onsoir à Vous
Oui ,bonsoir à vous tous , Fier adeptes du Jeux de Role au véritable sens du therme !
Suivant les conseils d'une personne chère à mon coeur je suis venu visiter ce forum et c'est avec plaisir que je me laisse gagner par l'envie d'y participer ...
Mais qui suis je donc me dirais vous peut être ! De toute façon je me presenterais alors ne niez pas ...
Jeune homme rendu fou de Roleplay à force de partie de jeux de roles aux scènes epiques et tendues ,les yeux fatigué de deviner à la lueur d'une bougie à moitiée fondue les chiffres ecrit et réécrit sur une vieille feuille abimées à force de froissement ,la musique et la voix du Maitre emplissant mes tympans dans un bruit stressant et familier du dés qui roule sans fin sur la table ... Ha ! l'euphorie de la première reussite critique et la decheance des trop frequents echecs critiques ... Les traitrises entre personnages et les sauvetages inextremis des situations que même le Maitre pense perdu ... Ou ces parties sadique où les joueurs tremblent sons ma verve dangereuse ,les obligeant à rivaliser d'astuce et de courage pour gravir les echellons de la Gloire !
Jeune homme d'une vingtaine d'années se laissant guider par ses rêves et ambitions dans la vie plus que par la raison.
Mon personnage :
"Nobles badauds d'un monde de douceurs
Ecoutez là complainte d'un être qui fut homme
Oyez donc cean le ménestrel menteur
Qui égaie aujourd'hui votre maison de chaume
Mille et une nuit s'écoulèrent depuis lors
Chacune portant son lot de larmes et de réconforts
En ce temps là j'était Sypion
Agile et frivole comme le dit mon nom
Printemps laissa place à Eté, et l'enfant de grandir
Nombres belles demoiselles furent à ses cotés
Avec elle il aimait à rire, boire et chanter
De leur suave parfums se délectait, l'habile satyre
Mais les années se lassent, arrive alors l'Automne
Doucereux spectacle que ces êtres qui se fanent
La jeunesse est bien dure, et la vieillesse s'efface
Le fossoyeur s'agite, la mort s'éveille et passe.
Avec les dernières tombes le village disparaît
Seul et sans compagnie, Sypion pense à partir
Avec le passé, il désire en finir
Dés lors le jeune homme avance sans tarder
Au diable les sentiments et les rêves effacés
Aujourd'hui s'amorce une vie libérée
De toutes ses connaissances, aucune n'ai restée
Pourquoi s'encombrer de ces couard terrifié
Petits matins d'hiver, voyageant sur la route
Ses tendres yeux cernés emplis de sombres doute
Il sens dans son âme un grand vide s'ouvrir
Le chanter, ne vous déplaise, il s'occupe à loisir.
Son histoire se poursuit en de nombreuses fêtes
De rêves un peu fou il s'est gonflé la tête
D'espoir un peu vain il s'est percé le cœur
Et des yeux s'est empli de visages rieurs
Ainsi s'achève le début d'une aventure
En partie la mienne, en partie la votre
Modifiée quelque peu, excusez la mesure
Si elle vous à plut alors, j'en ai bien d'autres."