n immense sourire aux lèvres, Fairië avança en clopinant comme à son habitude, signe de bonne humeur. Un cliquetis d'acier provenant de son imposante lame dans son dos, ses longues locks détachées virevoltant à chaque bond. Le bonhomme ne manqua certainement pas d'attirer l'attention sur lui.
Et malgré l'heure matinale, les traits du Psion n'avaient pas changés, aucun signe d'une nuit méritée ou les marques d'un réveil forcé par l'aube naissante. Passant proche du bar, il adressa un large sourire à Arumn :-(commun) Mon cher tavernier ! Nous y sommes, bientôt tes clients chanteront les louanges de Bansh et de son fidèle ami Fairië.
Bondant le torse, le Psion n'avait sans doute toujours pas saisi le type de clientèle du coutelas. Eclatant de son rire si particulier, il continua son chemin vers le capitaine.
Stoppant sa "bouffonne" progression face au capitaine, son visage ne cessa pas de se fendre d'un immense sourire.-(commun) Enfin capitaine ! Nous sommes fin prêt pour notre grande épopée.
A la vue de la carte dépliée, le sourire du Psion s'élargit encore davantage. En l'espace d'une fraction de seconde, il avait le nez dans le vélin, balayant avec émerveillement les contours de la carte. Tapotant les bouts de ses doigts entre eux, l'excitation du Psion était clairement visible. Relevant le visage en direction de son capitaine, Bansh pouvait maintenant voir dans les yeux du Psion un désir de Liberté.