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La Taverne des Royaumes Oubliés > Quête : À la recherche d'Xyarvv > Les chemins incertains.


écrit par: Sunniva Lundi 10 Juillet 2017 à 04h45
13 Tarsakh 1373 : -La Griffe des tempêtes
Dans la chaumière de Martha.
Petit matin
<span style='font-size:8pt;line-height:100%'>Température ambiante : -15*C
Vent: Sud 75 Km
Averse de neige parfois forte.
Lever du soleil: 05h13
Durée du jour:13h00
Séluné : 4 ième quartier
</span>


Malaric, Ina, Xale, Baesul, Nersharr.


Dans la chaumière il n’y avait aucune pièce fermé, l’on pouvait voir l’ensemble de la seule et unique pièce qui allait du foyer bien plein de bois et tison, orné du retient chaudrons avec une marmite qui y mijotait un odorant civet, pour les habitués de la cuisson, il y avait une légère odeur de caramel distinctif que le civet commençait à coller au fond, tout près de la marmite, au sol, une cuillère usé de bois de frêne recouverte d’une sauce ambré, qui avait laissé une petite flaque sur le planché de merisier. En face du foyer une petite table de chêne rouge de quatre place avec tiroir sous le tablier accompagné de deux banc et sur le coté opposé du foyer un grand lit qui semblait grandement douillet garnie d’une catalogne savamment ouvragé aux motifs végétaux et aux couleurs verdoyante avec quelques dégradé de ocre et orangé, un coffre large de bois ceinturé de cuir était à son pied puis au coté du lit, au sol, un magnifique tapis arborant l’image d’un saule immense. A coté du foyer une chaise berçante méticuleusement sculpté était recouvert d’une série de peaux de renard argenté qui formait une mosaïque représentant un grand chêne, au pied de celle-ci un coutelas d’ivoire y était planté au sol. Sur le coté opposé de la porte d’entré une immense commode emplit de vaisselles de grès sur le dessus et sur les tablettes courbé puis était recouverte de chaque coté, de multiples herbes arômates, deux portes dans le bas empêchait de voir à l’intérieur. Sur le mur d’entrées, coté foyer, une pelle de bois et plusieurs crochets retenaient les manteaux de fourrures, couvre chef, cape et chapeaux, sans oublié un cordon de bois franc bien cordé jusqu'au mur du foyer ou reposait auprès de lui, un quart de cordon de bois sec. De l’autre coté de la porte, sur les crochets était accroché un arc long d’une beauté rare, arborant des figures d’animaux avec un carquois tout aussi bien travaillé d’un cuir de qualité emplit d’une douzaine de flèches à l’empannage jaune; chose rare dans le domaine, on donnait rarement l’avantage aux chardonnerets. Une ceinture à munition qui retenait avec deux poignards, un couteau à dépecer ainsi qu’une petite serpe argenté était accroché sur le dernier crochet de bois de racines et une place était libre dans la ceinture. Sur les mur, ici et là, des peintures parfaitement exécutées illustrant diverse paysage agrémentait l’ensemble, l’une des peintures représentait les bustes d’un couple dans la vingtaine, ce devait être les occupants, anciens occupants, car sur le lit la robe semblait d'un âge avancé.

écrit par: Xale Mercredi 16 Août 2017 à 00h28
Le baiser que Xale avait reçu était, et serais probablement la plus belle chose qui lui soit arrivé. Les lèvres pulpeuses de Syrynya était aussi douce que la soie elfique la plus fine et aussi tendres qu'une pêche mure et juteuse. Il était aussi déboussolé qu'un duergars sobre mais avait un sourire d'une oreille à l'autre qui lui pendait au visage, avec un petit air hébéter. Jamais il ne s'était senti ainsi. Il fit comme elle lui ordonnas, il sorti de la charrette, marchas jusqu'au seuil de la porte, puis sans s'en rendre compte, apposa une main sur l'épaule de Baelsul et lui dit, tout en gardant le même air:

-(elfique) Tue le chat et rentre à l'intérieur, sa peau feras une bonne fourrure.

Il vit la lame planté par terre et la reconnu aussitôt, c'était la lame de l’aîné Koltôr.
«Ces chiens ont laissé leurs épée, ils ont du avoir une bonne frousse!»

Se dit-il, mais n'en fit pas plus de cas, ce qu'il venait de vivre aurait même éveiller la libido du plus chaste moine. Puis il pressât le pas vers la chaumière. Il remarquas Kyu qui avalait du regard le chaudron au dessus du feu. Il balayas rapidement du regard la pièce, il portas une attention particulière à la ceinture accroché sur le mur près de lui et du coutelas planter au sol. Il pris la ceinture, qu'il mis en bandoulière. Après tout si le propriétaire des objets n'était pas la, c'est qu'il n'en avait pas de besoin. Il l'ajusta à sa poitrine puis ramassas le coutelas d'ivoire, il paraissais finement taillé. Il remarquas également une belle couverture de couleur argent qui était en dessous d'autres peau amassé ensembles près de la porte.Il pris la couverture qui semblait faite de peau de renard et la passas par dessus son épaule gauche. Il ramassas un bol du vaisselier, se penchas pour prendre la louche qui était par terre et se servis un bon bol de civet avant que le demi orque n'en avale le contenu d'une seule gorgée. Il pris un morceau de pain qui traînait sur la table et s'assis sur la couverture, dans un coin tout au fond de la petite maison. La scène qui allait suivre aurais fit choquer plus d'un si ils l'avait vu faire. Il avalas le contenu de son bol et son pain en se nourrissant avec ses mains et en reversant plus de la moitié, comme un cochon qui n'avait mangé depuis quatre jours. Il s'essuyas les mains graisseuses sur la couverture fine, lâcha un rôt immense qui résonnas dans toute la chaumière. Ensuite, il pris le coutelas d'ivoire et taillas un morceau de la couverture et rangeas le coutelas soigneusement sur lui, par la suite il se levas, alla au coin opposé au sien, se mis en position et déféquas toujours avec le sourire au lèvres. Ensuite il s'essuyas avec le morceau de tissu qu'il venait de taillé et le laissas par terre, près du petit tas qu'il venait de laisser tomber. Il allas ensuite sur ce qui restait de la couverture qui était étaler par terre, y fit trois tours sur lui même, comme un chien qui se couche, et s'étendas. Il surveillât la porte et se remémoras le baiser et les paroles de sa nouvelle déesse.

-(elfique) Syrynya, je te dévoue ma vie et mon âme.

Dit-il tout bas. La chaumière lui paraissait froid comparer aux mains et aux lèvres de sa reine. Il entreprit alors d'aller alimenter le foyer de bois qui étais près de la porte tout comme on lui en avait ordonné. Ce n'est qu'une fois couché qu'il remarquas que Baelsul et Malaric étais présent et étais occupé a mettre des fourrures en lambeaux près des fenêtres.

écrit par: Malaric Vendredi 18 Août 2017 à 03h58
Malaric s'engoufra à la suite de Kyu après avoir attendu que ce dernier ait dégagé le pas de la porte encombré de neige, attentif à ce que Draak lui emboite le pas. Marquant un léger temps d'arrêt en posant pour la première fois son regard sur la grande pièce qui occupait tout l'espace, il constata avec soulagement qu'un grand feu brûlait dans la cheminée. Si cela n'avait pas été le cas, rallumer celui-ci aurait fait partie de ses priorités absolue. Le fait que ces mêmes flammes soient surmontées par une marmite dégageant d'appétissants effluves constituait un plus pour le moins alléchant, mais il réprima bien vite les gargouillis de son estomac pour parer aux dangers pressants. Remarquant les nombreux objets pouvant leur servir, il ressentit l'intense soulagement de n'avoir pas à se battre pour gagner le droit de s'abriter en un lieu finalement bien accueillant. Il ne s'en précipita pas moins auprès de l'âtre et commença par procéder à une rapide inspection du conduit de la cheminée, essayant de jauger s'il y avait un risque pour que ce froid d'apocalypse puisse descendre par un passage trop large. Était-il possible de refermer le conduit en cas d'urgence absolue ? Il avait du mal à apercevoir une grille ou une plaque éventuelle avec les flammes proches de sa tête.

* Mais qu'est-ce qu'y fabriquent ces bougres d'andouilles !* Ne put-il s'empêcher de penser en constatant que les autres tardaient à venir s'abriter. "FILLETTE ! MAGNE-TOI LES MICHES SI TU VEUX PAS GELER SU PLACE !!!" Hurla t-il à l'intention de sa toute nouvelle camarade en espérant que du coin de l'âtre les autres puissent l'entendre au dehors.

Il balança hâtivement quelques bûches supplémentaires afin de renforcer la belle flambée et se retourna en lorgnant de tous côtés. Rapidement, il dut se rendre à l'évidence : malgré une activité apparemment toute récente, la chaumière était vide d'occupants qui avaient tout simplement disparus, malgré le froid impossible à supporter dehors. La chose avait quelque chose de surnaturel, comme la moitié de ce qui arrivait depuis un moment en cette journée à noter dans les annales !
Mettant vite fin à sa tentative de compréhension des évènements bizarres qui n'avaient cessé de se succéder, il s'approcha des peaux de renard et les attrapa en réprimant un haut-le-cœur devant la dépouille profanée de si nobles créatures. Mais malgré l'amour qu'il portait à tous les animaux, Malaric savait que beaucoup de bipèdes dépendaient de cette ressource pour survivre. Il jeta sans cérémonie les peaux près de la porte pour que ses compagnons d'infortune puissent s'en emparer dès qu'ils entreraient. Il fit bien vite suivre celles-ci par les autres nombreuses fourrures accrochées un peu partout dans la salle. Un gros tas de pelages variés apparut bientôt à l'entrée de la chaumière, prêtes à réchauffer les prochains arrivants.

Revenant près du grand lit, il se saisit de la catalogne avec l'intention de la déchirer en bandes à l'aide de son couteau, mais la beauté de l'ouvrage lui fit stopper son geste. Reposant le drap, il commença à farfouiller dans le grand coffre situé là.


- Et toi, le Demi-j'sais-pas-quoi ! Lança t-il au demi-orque sans cesser ses recherches. R'garde vite si qu'tu dégotes pas un drap à tailler en bandes. Faut qu'on s'dépêche d'vérifier si les lucarnes elles sont bien étanches. Mes p'tites couilles qui grelottent comme quand j'm'amuse à poil à filer l'train aux ondines en plein hiver me disent que c'froid à g'ler un efrit a pas fini d'augmenter. Faut qu'on s'magne de calfeutrer tout ça si on veut pas jouer les macchabées dans pas longtemps...
Mais qu'est-ce qu'il foutent les... MAIS GROUILLEZ-VOUS BANDE DE GELÉE DE CRÈME D'ANDOUILLES !!! Hurla t-il encore à l'attention des autres restés dehors malgré les crissements presque douloureux du gel qui s'intensifiait encore.

Peut-être son intuition habituellement fiable était-elle restée bloquée sur "DANGER ULTIMEMENT FATAL" après la trouille mémorable qu'il avait eu peu de temps auparavant, mais Malaric ferait tous les meubles s'il le fallait pour trouver de quoi assurer leur survie à tous en cas de fin du monde par le froid...

écrit par: Baelsul Vendredi 18 Août 2017 à 21h59
En entrant dans la chaumière l’Archer d’Argent s’empressa de se recouvrir d’une des fourrures que Malaric avait empilé près de l’entrée pour vite se réchauffer. Enfin il pouvait retrouver ses sens et notamment son touché. Ses doigts pourraient de nouveau être irrigué et son agilité serait vite retrouvé. Enfin, c’est ce qu’il espérait.

Gardant en main son arc mais prêtant moins d’attention à l’homme-lion qu’il ne l’avait fait durant les quelques minutes précédentes, le Lunargentais observa la pièce. La chaleur du feu faisait déjà effet et elle était réconfortante, comme une chaleur intérieure, comme lorsqu’il sentait une présence divine. Puis Baelsul remarqua les manteaux entreposés, ses compagnons affairés et surtout l’arc et le carquois accrochés sur le mur. Ils semblaient d’excellente facture ! Mais ceci n’étais pas la préoccupation du moment. Continuant de balayer la salle, ses yeux se posèrent sur l’autre Demi-Elfe.

* Non mais quelle honte ! Il vient de déféquer dans la salle ! Est-ce un sauvage ? Pourquoi sourit-il ? * Voilà qui n’était pas rassurant et qui confirmait les dernières pensée de l’elfe, il faudrait le garder à l’œil.

Le druide s’affairait de son côté à préparer la maisonnette à passer la tempête, un décision bien plus pragmatique qui motiva Baelsul à lui apporter son aide. L’ayant entendu parler des lucarnes, l’archer s’approcha des fenêtres pour aller les vérifier une par une.

- Je m’occupe de vérifier les lucarnes et la porte, si vous le souhaitez. Il nous faudrait aussi quelque chose pour maintenir les bandes de tissu le long des fenêtres, sinon le calfeutrage ne servira a rien. Nous pourrions aussi utiliser la paille du matelas du lit voire les peaux restantes pour renforcer l’isolation.

* Est-ce que l’air y passe ? Y-a-t’il du jour ? Les fenêtres sont elles suffisamment solide pour résister à la tempête ? * se demanda-t-il au fur et à mesure qu’il auscultait les contours des vitrages.

Baelsul en profita pour voir s’il existait un système de volet qui pourrait barrer plus fortement les vents extérieurs.

écrit par: Sunniva Dimanche 20 Août 2017 à 20h42
‘’ Un monstrueux sentiment de culpabilité s'étendait sur tout le pays, et des abysses entre les étoiles soufflaient des vents glacés qui faisaient frissonner les hommes dans des lieux sombres et solitaires.’’

(Karl Janson, aumônier de l’héritier d’Iilphemon dernier des seigneurs Imaskari. -634CV.)

‘’ Baine, est revenu, il rôde parti nous de part ses adeptes bâtards, faisant croire qu’il à eut un fils.’’

( Xyarvv, prisonnier du guetteur secret. 13 Tarsakh 1373.)


Pour les précautionneux, il était évident que les habitants de cette chaumière avaient bien construit leur demeure. Les murs épais de pierre arrondie faisait en sorte que la chaleur accumulé dans celles-ci, restait plus longuement que dans les pierres taillées et cela s’en ressentait de part le confort ressentit. Baesul découvrit que les fenêtres étaient double et déjà étoupé de crins de chevaux recouvert à ce qui ressemblait à du plâtres fin. Des volets extérieurs de bois durs laminés étaient encore ouvert, il s’agissait simplement de ressortir pour les fermer.

Le geste non civilisé de Xale fit presque perdre la sagesse surnaturel de Kyu qui au moment ou ce dernier allait se servir dans la marmite, il vit l’impensable. Si il avait passer près de l’avertir quand l’évadé avait prit la ceinture pour la mettre en bandoulière, il ne pouvait passer par dessus le manque de respect grotesque que le jeune demi exécutait dans l’endroit. Il oubliait l’odorant mets pour se diriger vers l’effronté quand le loup de Malaric qui lui venait presque de se faire déféquer dessus, sorti les crocs et se saisi des peaux de renards habilement cousus ensemble pour en faire une merveilleuse cape découpé que l’ex-prisonnier avait prit pour se coucher et la fit valser sur la table. Le jeune Xale se retrouvait couché sur le dos avec le loup qui grognait et bavait par dessus ses jambes, la bête ne cherchait pas à mordre le jeune demi mais le fait de se déplacer ainsi fit bouger le tapis au coté du lit puis le loup stoppait net son agression pour renifler le sol en grattant. Le moine arrivait au même moment en tenant le pot de chambre qui se trouvait près de l’entré dans un baril de bois sombre et laissait entendre sans ménagement …


- Tu n’est plus prisonnier petit, tes façons sont un déshonneur et un non respect pour les habitants de cette demeure, regarde comment la chaumière est bien entretenu et propre, pourquoi vouloir la souiller ainsi? Prend ceci et nettoie tes souillures et ton bol que tu as laissé trainé, nous ne sommes pas tes serviteurs.-

Il déposait le pot de chambre devant Xale puis tournait des talons et allait surveiller la marmite en laissant entendre son ventre qui en demandait mais le demi-orque semblait maintenant mal à l’aise de s’en prendre un bol. Il attendait les bras croisé sur le torse en cherchant quelque chose des yeux qui semblait ne pas être là. Le demi-orque en regardant le contenu de la marmite trouvait qu’il en avait beaucoup, il y avait dans celle-ci de quoi apaiser la faim d’une vingtaine d’humain et un demi-orque et sur la table, aucun couvert y était mit et à voir l’intérieur de la chaumière, elle semblait être occupé par deux personne seulement. Son ventre gargouillait.

Malartic qui avait farfouillé dans le grand coffre y vit des beaux draps d’un blanc immaculé finement cousu et décoré d’oiseaux habilement cousu de fils d’or. Deux lourdes couvertures de laine grise recouvrait un autre plus petit coffre, auprès de celui-ci deux rouleaux de tissus blanc couvrait le fond.

écrit par: Ina Lundi 21 Août 2017 à 00h26
Ce qui s’était passé dans la charrette trottait dans la tête de la jeune femme tout le long du chemin pour retourner à la chaumière. Un spectre ? une apparition ? une magicienne surpuissante ? Passer à travers des barreaux comme ça n’était surement pas donné à tout le monde. Elle avait vu son lot de choses étonnantes mais celle-là pas encore. Tant mieux, elle sera moins prise au dépourvus la prochaine fois.


¤Et en plus elle a ….embrassé cette…être ? L’au Delas est ben étonnant. Enfin, si d’habitude c’est squelette et décomposition je comprends que celui-là ait quelques attraits. Et il n’avait pas l’air de rechigner. Le petit. Hehe. ¤


C’est perdu dans son imagination d’un spectre avec Xale dans une situation très personnelle qu’elle entra dans la chaumière. Elle y découvrit tout le monde, avec un petit bonus félin. Enfin, petit, ouai pas si petit que ça. En tout cas elle pensa rapidement qu’il ne serait pas confortable à dormir sur son ventre. Un peu gros pour ça.
Machinalement, pour se protéger du froid elle attrapa une couverture que Malaric avait posé là et se là passa autour des épaules. Etant la dernière à entrer, elle ferma bien entendu la porte derrière elle.

Et voilà. Seule femme au milieu d’une bande d’hommes, chats, orc et autres. Heureusement qu’elle avait pleine confiance en ses capacités et sa force. Elle saurait se défendre contre ces énergumènes si jamais l’un d’entre eux venait à oublier les bonnes manières. Cette petite pensée lui fit d’ailleurs faire un petit retour en arrière dans la charrette avec ce démon inconnu mais plutôt immonde dans son genre. Un petit frisson plus tard, elle observa toujours devant la porte les autres s’affairer à vérifier les fenêtres et calfeutrer encore plus l’habitation. C’était une bonne idée. Elle put alors observer que sous ses airs de sauvageon, Malaric gardait un bon sens commun avec des connaissances intéressantes. L’argenté lui donnait un coup de main, l’orc faisait la popote.

Manger ! Mais bien sûr c’est ça qui manque. Elle s’approcha donc de la marmite et de l’orc pour observer le maitre à l’œuvre. Reniflant à pleines narines le délicat fumet émanant de la casserole, elle ne put retenir un haut le cœur quand d’autres effluves plus brutales vinrent se heurter à ses petites papilles.



-Bordel de merde !!! Le chat c’est toi qui...


Mais alors l’orc et le loup se liguèrent contre Xale. Le spectacle serait probablement drôle si cette odeur ne lui piquait pas les yeux à ce point.


-Nom de Sylvanus, c’est l’autre qui ne sait pas utiliser un pot de chambre ? Ah bah mon cochon, ça va être drôle la vie avec ton fantôme de femme de la charrette. J’espère que son sens de la propreté et surtout de l’odorat sont bien morts avec elle sinon, passe-moi l’expression mais ça va chier. Si tu recommence un truc comme ça je t’enferme moi-même dans la charrette avant de partir demain.


Puis elle se dit qu’il faudrait peut-être se faire pardonner auprès du chat qu’elle fut un peu rapide à accuser.
Elle prit alors trois bols et les remplis généreusement. Vu la quantité dans la marmite, il allait y avoir des restes. Et vu la tempête s’il n’y a personne ici ils ne reviendront surement pas tout de suite. Il faudra laisser une pièce avant de partir pour les remercier du gite et du couvert.

Elle déposa alors deux des bols sur la table avec des couverts à côté et appela les deux ingénieurs du froid.


-Malaric, Baelsul, faites confiance à l’ingénierie Humaine. On est bon pour les maisons et ce dans toutes les conditions. Venez donc manger un truc chaud. Ça vous requinquera. On pourra faire un bilan du bordel une fois rassasié.

Le dernier bol n’était pas pour elle. Elle s’approcha du chat géant. De près elle pouvait maintenant voir que c’était plutôt un lion humain qu’un chat géant. Evitons de le vexer. C’est peut-être un sujet sensible.



-Pardon pour la remarque de tout à l’heure. Je suis allé un peu vite en conclusions.


Elle lui tendit le bol


-Je suis Ina, Malaric et moi sommes des gardiens sylvestres de Thuldae.
-Quant aux autres, on vient de les rencontrer. Baelsul semble le plus raisonnable des trois. L’orc semble un peu azimuthé mais pas méchant, quand à l’autre souillon…ben voilà, l’odeur parle d’elle-même.
-Et toi ? Je n’avais jamais vu ni même entendu parler de créatures comme toi à part dans les contes. Tu m’intrigue beaucoup.


Gardant son attention sur le félin pour écouter ses réponses, elle se dirigea vers la marmite pour se servir un bol à elle aussi et à l’orc. Elle lui tendit avec un petit sourire et une main sur l’épaule, puis s’en retourna plus près de cette source d’intérêt nouvelle pour l’écouter tout en dévorant son repas. Le froid et les aventures du matin lui avait donné une faim de loup. Surtout qu’a bien y réfléchir avec ses trous de mémoire elle ne se souvenait même pas de son dernier repas.
Une créature comme ça c’était presque le bonheur parfait pour une druidesse comme elle. Le mélange de nature et d’humain en toutes proportions. Absolument fascinant.

écrit par: Malaric Lundi 28 Août 2017 à 07h48
- Merci mon gars ! Lança Malaric à Baelsul en constatant l'aide que ce dernier lui apportait.
Le druide poursuivait son inspection rapide du petit coffre lorsque, brusquement, il lâcha les beaux tissus découverts et se retourna vivement, surpris par la brusque réaction de son compagnon loup. Mais, comprenant ce qui venait de se produire, il fut vite rassuré en constatant que seule la cape de peaux de loups argentés faisait réellement les frais de cette colère. Malgré cela, ce n’était pas passé loin pour le dénommé Xale.
Puis protestations et reproches se mirent à fuser une fois que les autres aventuriers présents eurent compris que le gredin s’était mis plus qu’à son aise. Entre le bouillonnement contenu du semi-orque, l’écœurement méprisant de l’elfe et l’énervement franc d’Ina, le druide eut l’impression de revivre un condensé des quelques expériences fâcheuses et parfois blessantes qui lui avaient été donné de vivre, à une époque où lui aussi dut être guidé vers la civilisation. Et les nombreuses marques de sévices portées par le pauvre bougre ne lui avaient pas échappées.
Pris d’un accès de pitié pour le jeune demi-elfe, Malaric se rapprocha de lui avec un désir sincère de lui venir en aide.

- Eh, p’tit ! Lui lança-t-il en s’approchant avec douceur, accroupi et les paumes des mains visibles pour bien lui signifier n’avoir aucune intention mauvaise. T’as pas vécu des masses avec les autres bipèdes dans un monde libre toi, pas vrai ? J’ai connu ça aussi à une époque, tu sais ? Mais t’es libre toi aussi maintenant, p’tit… Par contre, tu peux pas faire tout c’que tu veux pour autant, tu vois ? Y a des codes, y a des règles et y a des lois que tu vas d’voir apprendre pour rester libre et bien portant. Parc’que sinon, les bêtes autant qu’les bonhommes y vont te violenter ou te rejeter parc’que tu respectes pas ces codes. T’as qu’à voir comment tous ces loustics y viennent de réagir…
Lui proposant son aide pour se relever, Malaric ajouta :
- Et première chose à apprendre : tu fais pas tes besoins n’importe où dans un lieu où l’on vit. Soit tu peux t’éloigner faire ça à distance dans la nature, soit tu utilises ce que l’on appelle une commodité. Un moyen mis au point par les bipèdes pour ne pas être obligé de sortir pour ça. En l’occurrence, le pot de chambre que ce cher Kyu t’a donné sert à ça. Faire caca dedans pour garder l’endroit propre et éviter qu’les maladies elles apparaissent.
Puis, se tournant vers Draak dont l’humeur n’avait pas été totalement calmée, il ajouta :
- Pis fait pas la tête, toi ! P’t’être bien que ça t’aurait arrangé un peu l’odeur c’t’affaire ! HA !
Le druide se rapprocha du loup et lui caressa la tête en ajoutant :
- C’est pas un mauvais le p’tit. Faut pas lui en vouloir, Draak. Il a juste pas appris c’qu’y fallait avec quelqu’un pour lui dire comment qu’on fait les choses... Pis pousse un peu ta truffe de là que j’regarde c’que t’a trouvé !
Malaric fit bouger son loup et contempla sa trouvaille.
* C’est quoi qu’on a là planqué sous le tapis… Une trappe ? *

PARCHEMIN
Malaric essaye de détecter un danger à ouvrir la trappe découverte (si c'en est bien une) et d'écouter à travers.

écrit par: Sunniva Vendredi 08 Septembre 2017 à 17h51
Aux aurores, les geôliers, toujours en castille, protestaient toujours véhémentement. L’un d’eux, plus petit, bouffi au joues rougi par le froid, les grands yeux saillants et qui semblaient de verre avaient un air incommensurablement bête en même temps que plein d’afféterie, regardait toujours vers le lieu d’éloignement ou de la résorption du phénomène qui venait d’alerter les badauds. Le pauvre bougre fut pris d’un malheureux mal-être puis sombrait dans une billebaude effrayante. J’en crains que le dément cafardeux père terreux en soit derrière toute cette affaire à la graisse de chevaux de bois.
( Rapport d’Ambroise Bigneau, doyens érudit et officier en chef du quart de nuit de la tour Sud de Fort Olostin )

Le vent soufflant, la neige s’accumulait rapidement et à peine pouvait-on voir les restes de la charrette renversée que c’était le plus loin qui était possible d’apercevoir quelque chose à l’extérieur. Peinant à faire des pas dans cette accumulation de neige qui s’entassait lourdement au vent, la mission de fermer les volets ne fut pas des plus commodes.

Ina avait servie, tout comme Kyu, un sermon à Xale qui semblait-il ne se sentait pas coupable mais bien ignorant des bonnes manières et coutumes général. Fallait-il lui en vouloir, lui qui avait été prisonnier toute sa vie avec tous les désagréments que cela impliquaient. La druide ne s’éternisait pas plus pour ensuite faire connaissance avec l’homme lion qui s’était faufilé dans la chaumière aussi adroitement que discrètement. C’est à ce moment que le demi-orque, après avoir vu Ina se prendre un bol dans la marmite décidait lui aussi de se servir et prit connaissance de l’intrus. À voir son faciès, il semblait étonné mais surtout heureux : Un autre sauveur venait d’apparaitre, c’était bien celui qui semblait le plus flou de ses rêves, le plus énigmatique et aussi celui qui jouerait, toujours d’après ses rêves, un rôle important côté de la protection et du chemin car le moine avait bien vu un chemin tortueux qui entrait dans les sous-bois de la haute foret, chemin qui avait disparût depuis des lustres et qui avait été abandonné. Il allait sauter sur l’occasion pour l’interpeller mais Ina le fit avant et le moine de l’ordre du corbeau dû se contenter d’avaler son bol de civet délicieux dans l’attente de se présenter ou de reprendre un autre bol, ce qui fût fait sans attendre. * Mais où sont les occupants?* Se demandait-il toujours depuis son entrée en remplissant sa deuxième bolé.

Le loup qui grattait le sol de ses griffes des pattes avant, reniflait de sa truffe une odeur qui semblait l’exciter et le rendre indifférent à celui qui avait souillé l’endroit peu de temps auparavant. Le tapis qui se trouvait en place fut rapidement déplacé sous le lit pour donner tous les aises que le canidé avait besoin. Visiblement, une trappe apparaissait à l’ensemble des occupants intéressé. Un petit anneau dans l’alcôve servait de poignée mais le loup était incapable de s’en servir, continuant ainsi de gratter inutilement, dans son mécontentement, il regardait Xale en grognant, considérant qu’il était le coupable de son incapacité à ouvrir la trappe. Par chance Malaric ordonnait à son canidé de se calmer pour ensuite faire de la diplomatie puis de l’enseignement au jeune demi et découvrait la trappe en même temps que l’ex-prisonnier.

Le druide qui tentait d’écouter de l’autre côté n’entendit rien, par-contre il senti comme une odeur mélangé de fumé vivante, de viande, et autres herbes aromates qui se faufilaient entre les minces interstices. Pour ce qui était d’un piège quelconque il ne pouvait, sur le présent, le savoir mais il semblerait que c’était qu’une trappe simple qui devait aller dans le caveau. Draak ne cessait de piétiner et de couiner comme si quelque chose le pressait c’est ce qui empêchait les fines oreilles de certains d’entendre les cris interminables et suppliant du petit Émerick qui seul dans son tiroir venait de se réveillé subitement suite à un atroce cauchemar.


écrit par: Nersharr Samedi 09 Septembre 2017 à 22h23
L'homme-chat s'était effectivement faufilé avec grâce à la suite du demi-elfe. Une fois à l'intérieur, il avait semblé grandement apprécier la chaleur du foyer, à se fier à son sourire satisfait. Déjà équipé de son manteau de fourrure et entrant dans une demeure chauffée, il n'avait pas pris la peine de ramasser l'une des fourrures que Malaric avait mis à disposition de ses compagnons d'infortune.

Une fois à l'intérieur, il avait pris le temps d'observer les lieux et d'essayer d'en comprendre le fonctionnement. C'est que dans son clan, on ne vivait pas dans des maisons en dur et il n'avait, pour sa part, encore jamais mis les pieds dans une telle construction. Il portait donc un regard intéressé et étonné sur chaque meuble, chaque fenêtre...

Il ne lui fallut pas bien longtemps pour ressentir, comme tout un chacun, une profonde répugnance pour ce que venait de faire l'ex esclave. Le cadeau malodorant du métis tira une grimace dégoûtée à l'éclaireur qui détourna le regard, se demandant s'il ne faudrait pas abrégé les souffrances de cet être manifestement déficient.


¤ Il faudrait mettre fin à ses souffrances, ce serait lui faire un cadeau. ¤

Et alors qu'il réfléchissait à la pertinence de cette idée, Ina lui adressa la parole, sur un ton qui ne lui plaisait pas. Pire, elle lui reprocha la souillure qui était l'oeuvre de Xale. L'espace d'une seconde il eut envie de lui sauter à la gorge, mais il se souvint alors que les humains n'étaient pas habitués à croiser ceux de son espèce. Il fut bien aise de ne pas l'avoir agressée, puisqu'elle tenta de se faire pardonner quelques minutes plus tard en lui offrant à manger. N'étant pas certain de ce qu'il pensait d'elle, partagé entre d'un côté l'antipathie qu'il ressentait pour elle suite à l'insulte qu'elle venait de proférer et d'un autre côté la satisfaction d'être l'objet de sa curiosité. Il décida pour le moment de lui adresser un sourire courtois sans prendre la peine de lui répondre.

Il continua simplement son observation de la demeure, sans apporter son aide à Malaric et Baelsul, ne sachant pas exactement comment procéder pour les aider. Lorsque le temps virait ainsi, il avait coutume avec les siens d'utiliser des formations naturelles pour s'abriter, telles des grottes, et non de se barricader dans ce genre de bâtiments. Pour le coup, il n'avait pas bien eu le choix face à cette tempête surnaturelle.

Il acquiesça discrètement aux propos de Malaric lorsque l'humain commenta ce qui venait de se passer, puis constatant l'intérêt de ce dernier pour la trappe dans le sol, il décida lui même de porter son attention sur elle. D'autant plus que le compagnon animal de ce dernier semblait avoir l'intuition que quelque chose pouvait s'y trouver, à se fier à l'air excité que la bête avait. Il s'approcha alors suffisamment de la trappe, sans dire le moindre mot, se pencha vers elle et l'observa avec attention. N'y voyant là qu'une banale trappe et ne voulant pas interférer dans les affaires du druide, il fit un signe à ce dernier, l'enjoignant à ouvrir ladite trappe.

écrit par: Baelsul Dimanche 10 Septembre 2017 à 09h38
Les remontrances faites au demi-elfe qui avait osé déféquer dans le coin étaient totalement justifiées. Baelsul, qui ne comprenait pas le comportement de ce récent compagnon, avait préféré que d’autres se chargent de lui expliquer les ‘Coutumes Générales’ pour deux raisons. La première était évidemment le comportement suspicieux de son congénère depuis leur rencontre, ses sauts d’humeur, etc. La seconde était plus lié à la peine qu’il avait éprouvé pour le demi voyant bien que quelque chose de puissant ou de marquant l’avait conduit à adopter cette attitude, quelque chose d’anormal et qui semble-t-il ne disparaîtrait pas de sitôt. Il faudrait sûrement employer beaucoup de douceur et de tact et prendre son mal en patience.

Après avoir, non sans mal, fermés les volets, Baelsul en profita pour se réchauffer les mains en saisissant le bol de tambouille généreusement servit par Ina. En le prenant, il lui adressa un sourire et glissa un « merci », tout en écoutant ses paroles échangées avec l’homme-chat. Baelsul était curieux de connaître chacun des aventuriers composant le groupe nouvellement constitué.

Comme il l’avait pensé et espéré, les deux druides du groupes semblaient les plus aguerrit des membres du groupe et le fait qu’ils prennent les choses en main n’étaient pas pour lui déplaire, lui qui souhaitait d’abord et avant tout apprendre. Il savait que les relations entre les uns et les autres pouvaient être délicates, et ils venaient d’en vivre deux belles démonstrations ! Celle de Xale, pour le moins grossière et la curiosité d’Ina envers Nersharr.

Tout aussi intrigué que la druidesse et remarquant le faible entrain que mettait l’homme-félin à interagir avec elle, Baelsul décida d’insister mais avec une autre approche, évitant d’aborder l’aspect de l’individu. Il s’approcha de la trappe vers laquelle s’était dirigé Nersharr. Lui tendant la main en signe de bienvenue, il lui adressa la parole :
- Notre rencontre n’a pas été des plus amicales. Pardonnez ma suspicion d’origine, mais devant le déchaînement des éléments, nous étions à l’affut de toute menace.
Puis Baelsul enchaîna, regardant tour-à-tour Malaric, Nesharr et la trappe :
- Nersharr du clan Lion-Rugissant ? Je suis Baelsul Archer de Lunargent.

Baelsul attendait la réponse de Nesharr, espérant que son attitude plus amicale permettrait d’apaiser les tensions extérieures et intérieures au groupe.

écrit par: Ina Dimanche 10 Septembre 2017 à 13h55
Le chat avait souri. Montrant quelques-unes de ses dents ravageuses. La journée de la jeune femme était refaite. Par contre il ne s’embarrassa pas à faire entendre le son de sa voix. Quel dommage. Il est peut-être un peu timide se dit la jeune femme.

Alors que son nouveau centre d’attention se déplaçait dans la maison, elle put l’observer. Sa démarche, sa posture. Les articulations visibles. Les jambes les bras. Il avait tout l’aire d’un humain avec un peu de lion. Les articulations étaient humaines. Dommage, il perd beaucoup en puissance de bond. Mais il était recouvert de fourrure. Ses muscles étaient assez gros. Il devait développer une puissance assez importante.
Et cette fourrure. Magnifique. Tout simplement. Quelques cicatrices annonçaient la couleur de ses aventures passées. Son Age qu’elle qu’il fut était difficile à déterminer. Avec un peu d’habitude elle pourrait peut-être extrapoler quelque chose. Mais sans connaissances sur les us et coutumes de ce peuple, il était difficile de dire si les cicatrices venaient de nombreux combats au fil des âges ou simplement de quelques malheureuses escarmouches.
Une créature tout bonnement fascinante. La jeune femme ne s’offusqua même pas du manque de réponse tellement elle admirait le travail de la mère nourricière. Leth de son côté n’était pas si à l’aise que cela. L’instinct de proie vis-à-vis du félin n’était pas si loin. La présence de sa compagne devait être rassurante. Evidement qu’Ina la protégerait au péril de tout ce qu’on pouvait imaginer. Mais les capacités d’une telle chose ne pouvaient pas être sous estimées.

Faisant passer Leth sur sa main gantée plutôt que sur son épaule elle put alors se concentrer sur le bienêtre de celle qui la suivait depuis si longtemps. Leur lien était fort et le resterait. Ina lui proposa a manger, un peu de viande de son bol. Elle n’imaginait pas laisser le rapace chasser des souries par un temps pareil.


-Je sais que tu préfères la viande crue mais il faut savoir se contenter de ce que nous avons ma chère. Et par un temps pareil il est inconcevable que je te laisse sortir.

Pendant que le faucon mangeait clairement à contre cœur la viande pour humain, la jeune druide pu lui replacer ses plumes ébouriffées par le vent. Et vérifier au passage qu’elle ne souffrait d’aucun problème due au froid.

Finalement, Ina qui observait les autres se masser autour d’une trappe se désintéressa de la situation. Dans sons fort intérieur, elle n’approuvait pas tellement les actes de ces hommes. On ne fouille pas chez les gens comme ça. Déjà qu’ils mangeaient le repas, utilisaient les couvertures les chaises le feu etc. Peut-être ne fallait-il pas abuser de l’hospitalité forcé. En tout cas, elle ne se sentirais pas à l’aise de savoir que quelqu’un fasse la même chose chez elle.

Seul Kyu semblait avoir les mêmes notions qu’elle a ce niveau-là. Xale, n’avait visiblement pas de notions du tout et les autres se préoccupaient plus de cette trappe que de quoi que ce soit d’autre. Balesul engagea la conversation avec le lion. Peut-être aura-t-il plus de chance qu’elle. Allez savoir.



¤Situation amusante. Si j’étais une vraie langue de harpie je pourrais bien dire que papa et maman discutent pendant que les enfants jouent dans leurs chambres. Hahaha. Allez, voyons ce qu’a à nous dire cet orc. Il nous connaît, ça fait une chose que nous n’avons pas en commun. ¤

Elle s’approcha alors dudit moine pour se tirer une chaise au coin du feu avec lui. Elle avait fini de manger et fini de s’occuper de Leth. Lui venait de finir son deuxième bol. Troisième ? bof peu importe. Vue ce qu’elle pensait laisser en dédommagement ils pouvaient même finir la marmite si le cœur leurs en disait.


-Alors, il fait quand même meilleurs dedans hein ? Et avec un truc en plus sur la peau ? Bon, c’est bien gentil tout ça, mais vue qu’on va être bloqué ici pour un moment encore il serait peut-être temps d’avoir quelques explications. Tu nous a appelé sauveurs je ne suis même pas sur de ton nom, tu nous connais, tu nous a déjà vu, je n’en ai aucun souvenirs. Donc sois-tu es l’orc le plus discret de Toril avec un potentiel pour la téléportation non négligeable soit tu caches quelque chose, et dans les deux cas, c’est une situation qui sort de ma zone de confort.

Disant cela, elle s’était assise, la cheville gauche sur son genoux droit. Le coude posé sur le genou ainsi surélevé. Elle jouait machinalement avec le morceau de bois qui était attaché dans ses cheveux, à l’arrière de sa tête. Elle n'était menaçante ni dans ses paroles ni dans ses gestes. Pour cette fois ci, elle tenterait de garder son calme. Si seulement elle avait encore la mémoire de cette dernière année, elle serait peut être un peu plus détendue mais rien n'était revenu de plus depuis qu'elle pu remettre sa mémoire en ordre. Il ne reste qu'un blanc nommé comme une ville.

écrit par: Xale Samedi 16 Septembre 2017 à 15h17
Xale avait senti une légère aversion des autres envers ce qu'l avait fait. Il ne comprenait cependant pas pourquoi, il avait toujours fait cela, autant avec les nains qu'avec son père. Quoi que dans la forêt il le faisait a l’extérieur, mais vu les conditions météo, il n'avait guère eu envie de se geler la bourse en faisant ces besoins. Il n'était pas habitué a être dans une grande maison comme celle la, il s'était habitué a vivre sur le bord d'un feu sans vraiment avoir de logis, mais la chaleur dans la pièce était plus réconfortante que celle d'un feu à ciel ouvert. Xale n'avait pas bien compris tout les grands mots compliqué qu'on lui avait vomi, tel un nain avec un choppe de bière en trop dans le ventre.

« Ils se croient plus intelligent et meilleur que moi, ils peuvent aller aux enfers! excepté Malaric, lui il est bien»

Avait-il pensé, Malaric était le seul qui avait pris le temps de lui expliquer les choses lentement et avec compassion, il sentait qu'il avait une grande affection envers tout ce qui était sauvage, la preuve il avait un loup comme animal de compagnie. Quand à Baelsul et l'homme chat eux n'avait rien dit sur le sujet mais le visage de Nersharr rempli de dégoût voulait tout dire.

Xale observat le coutelas qu'il avait ramassé un peu plus tôt et l'analysa, il semblait être de très bonne qualité et la lame était encore tranchante, il avait aussi ramassé une petite serpe mais avait décidé qu'elle ne lui servait à rien et donc la planta dans le bois du plancher. Avec sa nouveau petit couteau il coupas quelques morceaux de tissus de son matelas de fortune et les tressas ensembles pour en faire une petite corde solide. Il enroula le reste de chaine qui pendait de sons bras gauche autour de celui-ci et attacha le bout de la chaine à elle même avec la petite corde qu'il venait de fabriquer.


«Elle va enfin arrêter de me gêner quand je dors et de faire du bruit quand je marche!»

En soulevant la tête il remarquas que pendant ce cours laps de temps, presque tous s'était assemblé autour du lieu ou le loup de Malaric grattait plus tôt. Le loup jetas un regard rapide au demi elfe et lui montras ses crocs rapidement, le demi elfe lui répondit en lui montrant ses dents.

-(elfique) Malaric n'est pas méchant mais si tu m'approche avec des intentions mauvaises je te transforme en couverture d'hiver!

Dit-il tout bas à lui même. Il observas alors Ina qui avait l'air d'être en pamoison devant le grand chat, peut-être elle avait des goûts spéciaux envers les animaux, après tout elle se balade avec un aigle comme compagnon.

-(Elfique) Décidément ces magiciens sont bizarres! Peut être sont=ils tous comme sa.

Il vit aussi Ina nourrir son aigle et le caresser. Il n'arrivait toujours pas a comprendre pourquoi l'animal ne se faisait pas rétorquer qu'il étais sale alors que visiblement lui aussi si il avait envie de chier, il l'aurait visiblement fait par terre. Il se levas alors et décidas d'aller voir la commotion autour du plancher ou était tous réunis les mâles. Il vit que l'objet en question était une trappe, et comme personne ne se décidais à l'ouvrir, il le fit lui même.

écrit par: Sunniva Lundi 18 Septembre 2017 à 16h04
Il est absolument indispensable, pour la paix et la sécurité des vivants, qu'on ne trouble pas certains recoins obscurs et morts, certaines profondeurs insondées de Toril, de peur que les monstres endormis ne s'éveillent à une nouvelle vie.

( Allan Prudhomme, prêtre de Torm lors d'une entrevue avec ses supérieurs, 1373.)


Kyu mangeait comme si il n’e l’avait fait depuis une lune. Lorsqu’ Ina prit place auprès de lui, le moine la regardait avec intérêt et gentillesse. Suite aux propos de la druide, le demi gardait son bol bien en mains puis doucement faisant bien attention pour ne pas postillonner, il dit sur un ton jovial empreint de connaissance…

-Oui, il fait mieux à l’intérieur, le froid commençait à m’agacer et que dire de ce civet Mmmmm…-

Il reprit une bouché et doucement de son coude gauche remit l’ancienne cape de fourrure de renard sur le bout de la table puis continuait…

- Je ne vous connais pas, j’ai comme vous fait des rêves dans lesquels vous m’êtes apparût et pour certain ce fut une impression et pour d’autre ce fut des noms, des visages.-

Il regardait par-dessus son épaule les mouvements autours de la trappe puis revint à Ina qui semblait-il, était la seul intéressé par ce qui se passait et retint son souffle un instant pour ensuite continuer…

-L’ordre à laquelle je fais partie, l’ordre du corbeau, ce sont aperçut, tout comme l’enclave d’émeraude et les druides du cercle de la roues d’argent, qu’il se tramait quelque chose dans les rêves depuis plusieurs lune. Certains croient que c’est une machination des drows d’autre que la toile magique fait défaut et d’autre que Baine est de retour. Pour m’a part je m’en fou de la cause, une chose certaine est que dans mes rêves je participe à protéger le groupuscule qui va tenter d’en savoir plus sur le phénomène, donc, vous.-

La dernière bouchée fut prise directement au bol en sapant légèrement pour ensuite s’essuyer les commissures avec sa langue qui semblait monstrueusement grande. Il se raclât la gorge puis continuait sur la même lancé…



-Dans mes rêves, vous, Ina, sembliez loin, les pourtours en général très clair pour les autres à part L’homme lion, étaient flou et distant… Sombre plus exactement, j’ai eu l’impression que vous étiez dans l’une des étages des enfers.-


Il laissait un certain temps en plissant les yeux puis presque silencieusement…
-Vous n’êtes pas une adepte des arts sombres Ina, n’est-ce pas?-


Posait-il avec retenu. Si Ina avait eu un peu plus d’expérience dans la lecture des corps, elle aurait vu que le moine, subtilement, c’était disposé à feindre une attaque possible, mais Kyu qui lui était un fin combattant avait pris un soin calculer à ne pas le faire voir par contre, ce qui le trahissait, fut son regard qui était suspicieux.

À côté d’eux, le quatuor de bipèdes observait la trappe que Drakk avait découverte. Tous amassés autours de la trappe à regarder cette dernière, nul n’osait l’ouvrir, soit par prudence, par sagesse ou bien par peur peut-être quoi qu’il en était, l’ex-prisonnier, lui, ne réfléchit pas longuement et en s’approchant de la dite trappe l’ouvrit d’un bon trait pour laisser celle-ci retomber au plancher. Il y avait surement des yeux qui le regardait présentement mais Xale ne semblait pas être dérangé par ceux-ci, pour lui, pourquoi attendre à regarder quand on peut ouvrir et en savoir plus. Pour lui, une forte odeur de viande sortait de l’endroit, le lieu était un petit trésor en soi.

Les souffles cours, tous purent constater qu’il n’y avait pas de pièges, ni de surprise, à part peut-être une légère fumée qui semblait sortir du caveau pour se diriger vers la cheminé. Une échelle solidement cloué au soliveau semblait d’un bois dur et résistent. La lumière présente dans la chaumière permettait de voir le planché du caveau qui semblait bien être fait non pas de terre mais bien de pierre savamment disposé, l’ouvrage ne datait pas d’hier. Pour vois plus loin il faudrait bien certainement descendre avec une torche ou une lampe à huile comme celle qui était déposé sur la commode à vaisselle. Une forte odeur d’herbes aromates, de viandes séchés et autres condiments tout aussi différent les uns des autres montaient laissant une ambiance encore plus chaleureuse dans la chaumière.
Drakk qui avait la truffe dans l’ouverture agissait comme il le faisait quand ce dernier venait de trouver quelque chose, non pas qu’il semblait renifler mais ses oreilles étaient tendu et son maitre Malaric put comprendre que ce dernier entendait quelque chose que personne en place pouvait entendre.

Baesul, au moment que Drakk se penchait au-dessus de la descente eut un sentiment étrange, comme si quelque chose l’attirait et en même temps un doute se propageait dans son esprit. Quelqu’un avait besoin d’aide mais il ne pouvait savoir qui n’y même quand et l’endroit, par-contre il savait que la direction à prendre était le caveau. Surement quelqu’un qui c’était caché en bas pour une raison ou une autre; a ne pas en douter il y avait quelqu’un à secourir. Il ne pouvait savoir ce qui c’était passé auparavant car l’homme lion n’avait pas dit à personne ce qu’il avait vu sortir de la chaumière.

Nersharr trouvait bien étrange la fumée qui sortait du caveau et senti un déplacement derrière lui, c’était Kyu qui venait d’atterrir à son coté. Ina avait vu le moine faire un bond extraordinaire lorsque la trappe avait touché le sol et tel un chat, les réflexes ainsi que l’agilité du lourdaud demi-orque furent impressionnantes.
Restait maintenant à savoir qui descendrait le premier ou bien qui refermerait la trappe.
[I]

écrit par: Ina Mercredi 27 Septembre 2017 à 14h02
Ina écoutait attentivement les paroles de Kyu. Malheureusement la réponse ne lui convint pas du tout. Comment ça il n’en sait pas plus ? C’est quoi cette histoire de fou. Les rêves. Elle-même n’en avait pas de souvenirs. Elle ne se souvenait même pas de la dernière fois qu’elle avait fermé l’œil. Alors le dernier rêve.

Puis, là où elle fit un bond intérieur, ce fut quand il dit qu’elle sortait de l’enfer. Et si c’était vrai ? Et que c’est pour cela qu’elle ne se souvenait de rien ? Son cœur s’emballe, le cerveau en ébullition.


¤Bordel souviens toi connasse souviens toi !!!¤

A part un sentiment de malaise profond, rien ne revint. Le blanc, ou plutôt le noir total. Ce qui eut pour effet de remonter un peu plus la druidesse.

-Adepte des arts sombres ? Et puis quoi encore ? Pourquoi pas me dire tout de suite que je suis une nécromancienne tant qu’on y est !!! Je suis Ly’aegisir des gardiens des feuilles de la confrérie des gardiens sylvestres de Thuldae. Notre mission est de protéger la nature et ses habitants de toutes menaces ! C’est un super titre ronflant et long à dire mais c’est une fierté de pouvoir prêter ma force à cette cause. Ne tirez donc pas de conclusions hâtives, les dernières personnes à l’avoir fait à mon égard ne sont plus là pour en parler.

¤Bon c’est pas moi qui les ait défoncé mais j’aurais bien aimé quand même… hein Katrina…¤

-Et si par malheur vous veniez à faire cette même erreur envers la confrérie, souvenez-vous à l’avenir qu’on a botté le cul de Korn et de ses troupes l’année de la harpe sans corde, soit, si jamais vous aviez du mal avec le calendrier, l’an dernier !

Sans même s’en rendre compte, la jeune femme s’était levée durant sa tirade. Lui manquer de respect à elle était une chose. En manquer à la confrérie en était une autre. Les joues rouges de colère, elle qui souhaitait rester calme durant cet entretien, c’était raté. Qu’est ce qu’ils ont tous à être aussi provoquant avant même de se connaitre. Katrina avait fait la même erreur. Tasia également.

¤Je vais finir par croire que c’est moi qui ait un problème. Peut être…aussi….mais quand même merde !!!¤

Mais ce qu’avait dit l’orc n’était pas resté sans échos dans sa tête.

¤Alors comme ça j’ai visité les enfers et je suis encore en vie pour en parler. En voilà une bonne nouvelle. ¤

Au même moment la porte de la cave fit un bruit plutôt fort qui mit fin à la joute oculaire. Elle qui était concentré sur le regard inquiétant de Kyu sortit en sursaut de son état pour regarder d’où venait le bruit. Kyu fit d’ailleurs un bond impressionnant. Ce qui mis la jeune femme sur la défensive. Son regard n’était clairement pas innocent. Il ne joue pas encore carte sur table. Il en sait plus que ça. Comment le lui reprocher finalement... ils ne se connaissent pas

L’odeur de viande fumée lui vint aux narines. Bonne odeur qui lui remis l’eau à la bouche. Et quand elle s’énerve, il faut qu’elle mange. Laissant les enfants jouer avec leur trappe, Ina soupira en fermant les yeux pour tenter de retrouver son calme. Elle se resservit un bol de ragout et entrepris de le manger doucement en observant les autres.

Mangeant d’une main et caressant sa compagne de l’autre, elle put observer les comportements de chacun en détail. Assise à table, le fait de manger encore la calmait très efficacement. Les douces plumes de Leth dansaient sous ses doigts pendant que la sauce du ragout emplissait ses papilles.


¤Voyons donc quel autre truc improbable ils vont trouver à faire maintenant… on passe au pillage de leurs réserves tout de suite ou on attend un peu ? Le ragout ne tiendra pas plus de quelques jours mais la viande séchée c’est une autre affaire. Et cette tempête ? Quand va-t-elle s’arrêter ? Faut rentrer à la maison à un moment.¤

écrit par: Baelsul Samedi 30 Septembre 2017 à 11h37
Baelsul se souvenait des rêves évoqués par Kyu, désormais il comprenait mieux pourquoi et comment le groupe s’était formé. C’était sûrement ce même esprit de la destinée qui l’avait poussé à faire confiance aux différents individus qui constituaient le groupe.

Se relevant et se retournant vers Kyu, l’elfe lui dit :

« Je crois que la cause importe au contraire ! Vous pensez qu’il puisse s’agir de Drows ou d’agents de Baine ? Peux-tu nous en dire plus ? Que viendrait-il faire ici à l’orée de la haute forêt ? »

Puis un sentiment étrange saisit l’Archer d’Argent, s’ajoutant aux effluves qui venaient de s´échapper de la cave. Son esprit était comme happé par le caveau, quelque chose, quelqu’un l’attirait, il avait besoin d’aide ! Mais qui pouvait-être cette personne ? Pourquoi s’était-elle retrouvée en bas ?

Le doute le poussa à agir selon son intuition, ainsi le demi-elfe lâcha :

« Il faut y aller, je le sens on nous y appelle, quelqu’un a besoin de nous. »

Comme guidé par cette voix intérieure Baelsul se releva et alla chercher l’arc suspendu sur les crochets au mur de la chaumière. L’arc long était magnifique et de bien meilleure facture que celui qu’il portait habituellement. L’une des extrémités formait la tête d’une licorne tandis que l’autre s’achevait par une sculpture de forme lupine merveilleusement ouvragée. Puis l’Archer d’Argent s’arma du carquois de cuir orné des formes rappelant les branches d’arbres majestueux.

S’approchant de Xale, le Lunargentais lui posa la main sur l’épaule en signe d’apaisement et enchaîna en elfique :

« Ces magiciens peuvent nous aider aujourd’hui et demain dans notre quête commune, mais aussi dans nos quêtes personnelles. Je vais descendre, veut tu m’y accompagner ? »

Puis il ajouta en commun :
« Nous devons descendre, je sens une présence en bas, une présence qui a besoin d’aider, besoin de nous. Peut-être s’agit-il de l’habitant de ces lieux ? » tenta l’elfe.

Enfin Baelsul termina d'un trait le bol qu'Ina lui avait servit. Lui qui avait aperçu la lampe à huile sur le meuble à vaisselle s’en alla la chercher, affirmant de fait son intention de rentrer dans le caveau. Guidé par son instinct et le sentiment de faire le bien il me pouvait s’empêcher d’exprimer une certaine envie d’y aller mêlée toutefois d’un doute qui ne faiblissait pas.

Avant d'entamer la descente, Baelsul s'agenouilla puis plaça ses mains paumes ouvertes sur ses cuisses. Il commença ensuite a entonner à mi-voix un chant elfique. Teinté de son folklorique et de mélodies religieuses, celui-ci revêtait une couleur mélancolique et servait de prière à la fois.

écrit par: Xale Samedi 30 Septembre 2017 à 14h03
Suite à l'Ouverture de la trappe, Xale y sentit une odeur de viande, bien que celle-ci était plaisante au narines, il garda un petit doute quand à la provenance de celle-ci. Jeune il avait appris très vite que les humanoïdes rôtis avait la même odeur que celle du cochon. Surtout que les Duergars pouvait encore être proches, bien qu'ils avait abandonné leurs charrette et titi la bourrique. Il ne voyait pas grand chose au fond du trou mis a part que le plancher semblait solide. Il s’apprêtait a sauter à l'intérieur du trou quand il sentit la main de Baelsul. Il lui répondit:

-(elfique) Bien sur que j'y vais, les Duergars sont peut-être passé par cette même trappe. J'ai pas trop confiance dans les mages, sauf peut être lui.

Dit-il en pointant Malaric du doigt. Aussitôt ces paroles dites, une voix retentis dans sa tête, c'était les mots que Syrynya avait itérer plus tôt dans la charrette, «Tu as, tout comme ton demi frère, hérité du sang magique de ta mère», Ce pouvait-il que lui aussi puisse utiliser la magie? Peut-être Malaric lui enseignerais, et qui était ce demi-frère dont elle lui avait parlé? Tant de question et si peut de réponses, il fermas brievement les yeux et murmura:

-Syrynya.

Son nom l'appaisait et lui donnais du courage, il était prêt a tout pour sa déesse. Le temps qu'il pris pour effectuer l'action, Baelsul revint avec une lampe qui était posé a ses pieds pendant qu'il chantait.

-(elfique)Pourquoi tu chante avant de d'aller dans un trou? Tu veut donner un spectacle au rats qui y vivent?

Dit-il a Baelsul, il trouvais cela étrange, une coutume qu'il ne connaissait pas. Il pris la lampe, alla l'allumer avec une petite branche avec le feu du foyer, revint et bondit dans le trou.

Une fois en bas, il portas attention aux alentours afin de repérer si des traces avait été fait récemment et si il n'y avait pas de pièges ou d'autres dangers.


PARCHEMIN
Jet de dés pour savoir si il ne se fait pas mal en tombant
Jet de dés [fixe]
1d20 + 6 = 8 + 6 = 14
(+3 DEX et 1 degré en Agilité)
puis un autre jet de dés pour perception
Jet de dés [fixe]
1d20 + 1 = 3 + 1 = 4
(+1 racial en perception)

écrit par: Sunniva Mardi 03 Octobre 2017 à 03h02

Hurlevent, hurlevent, abreuve toi des glaçons, ils portent en eux l'essence.
(Chant antique et disparut.)

C’était à savoir si Kyu avait sauté auprès de la trappe dû au vacarme que celle-ci avait propagé dans la chaumière ou dû à l’emportement de la furie qui se tenait devant lui du nom d’Ina. Intérieurement le moine se senti coupable d’avoir été franc et en même temps ambivalent sur sa véritable pensée du moment. Allait-il réfléchir à cela quand Baesul survint en questions. L’air béa, le demi-orque regardait l’archer puis naturellement répondit sur un ton neutre…


-Heuuuu… Kyu croit que se sont probablement des drows, beaucoup de témoins affirmes leurs présences dans le coin depuis un certain temps, les prêtres affirme que c’est le retours de Baine, l’enclave eut sont persuadé que la toile magique se déforme mais… Mais mes rêves me laisse entrevoir une engeance, un être qui ne devrait pas être vivant et qui l’est, un… Un enfant et auprès de lui, un drow au yeux pers, ils sont tout deux emprisonner dans des profondeurs insondables. Une chose certaine, nous ne sommes pas les seuls à vouloir les trouver, plusieurs ont disparut, d’autres sont morts… Le gardiens veille, il est vigilant et puissant.-

Il avait les yeux vide et sont regard était très lointain. Il sortie rapidement de son état quand le questionneur confirmait qu’il y avait des gens en danger dans le caveau, comme si une décharge électrique avait percuté le moine, se dernier ne dit mot mais tout son corps parlait de lui même, il était prêt à suivre les aventurier sous la chaumière.

Xale dans toute sa splendeur naïve, restait fidèle à lui même, après une logique réponse à son compatriote de sang, s’élançait pieds en avant vers les profondeurs de la chaumière. La lumière n’étant pas la meilleurs, ne donnait pas passé d’information sur la profondeur exacte et lorsque dû arrivé le moment de toucher le sol la chute continuait encore puis habillement, l’ex-exclave atterri rudement sur le sol de pierre taillées s’obligeant de faire un roulé boulé pour ne pas se briser un os. un peu sonné de son arrivé il vit une masse sombre et fortement dense s’approché de lui cela semblait lui sauter dessus, sur le coup son coeur se serrait tellement qu’il crût qu’il allait vomir puis sa vision reprenant de son effectif lui confirmait que se n’était pas un des frères Költor mais bien Kyu qui l’avait suivit de près.

Baesul, après avoir judicieusement penser à apporter de la lumière fit un geste pieux, geste qui avait apporté un questionnement de son semblable et aussi qui venait d’attirer une Chose qui n’aimait pas tellement les prières, et ce, l’archer le sut instantanément suite à sa piété. Il senti sur lui des yeux qui n’existait pas encore et le regard sombre qui l’épiait laissait une pesanteur calculable sur l’instant. peut être était-ce ce fait qui le fit descendre prestement vers le caveau, comme si le fait de s’enterrer lui éviterait se regard impure.

En descendant l’escalier étroit aux marches courtes ou bien en atterrissant sans y avoir descendu les dites marches, une odeur prenante et réconfortante envahissait les narines, les aromates différé des multiples plantes séchées, pièces de viandes et de poisons fumés, salés, saucissons, volailles et des dizaine de pots de terre cuite au couvercle scellé à la cire ainsi que les légumes racines laissait aux narines, une agréable sensation. Une fois au bas de l’escalier, la hauteur du lieu restait quand même impressionnant, à la place d’un plafond bas celui-ci avait pas loin de trois mètres et les murs couverte de tablettes étaient emplit du sol jusqu’au plafond. La pièce avait aisément quatre mètres par quatre mètres et avait sur le coté droit de l’escalier une table avec deux chaises de bois finement travaillé et sur la table y reposait une bouteille de vin avec une chandelle planté dessus, un couteau simple, des miettes de pains et un verre de terre cuite ouvragé de motifs végétaux.

Des tonneaux de de vins, assurément, couvrait la moitié du mur Nord du caveau, empilé les uns sur les autres et chacun sur un ber, l’on pouvait compter quatre tonneaux de haut par deux de large ce qui faisait huit tonneaux et tous, avait un robinets de soutirage. Sur le mur Ouest un mini foyer était accompagné de quelque bûche de bois, de très gros chaudrons de fonte, de barriques de bois et d’instruments qui semblaient servir à des oeuvres brassicoles. Pour une chaumière de fond de campagne, celle-ci avait un caveau qui aurait sans doute fait pâlir de jalousie plusieurs auberges.

Une fumée fine et piquante sortait de l’un des tonneaux, à la grande surprise ce fait n’était pas anodin et elle planait en se dirigeant vers le haut, dans la chaumière pour ensuite se diriger vers le foyer. Un peu de cette fumée allait aussi vers le foyer du caveau mais en moins grande quantité.

Pour Ina, Malaric et Nersharr qui était encore dans la chaumière, ils sentirent une bourrasque de vent qui semblait vouloir partir avec la couverture de la bâtisse, le vent se propageait par tout les petits interstices et le feu de la cheminé pâli de froideur laissant mourir les tisons les moins fort, les craquements du froid qui voulait faire exploser les pierres des murs de la chaumière laissait une impression inquiétante au trio. Sous la porte d’entrer le bois du planché se mit à geler à vue pour s’arrêter un mètre plus loin. Tous comprirent que se qui se trouvait à l’extérieur présentement était surement mort. Drakk et le volatile de la druidesse eurent un cri commun. Les druides qui savaient que les animaux sont lier par leurs âmes, furent persuadé que plusieurs des leurs venaient de trépasser.

écrit par: Ina Jeudi 12 Octobre 2017 à 19h47
La détresse de sa compagne lui glaça le sang. Un cri aigu empli de compassion pour ses homologues qui n’avaient pu se mettre à l’abris.
¤La nature reprend toujours ses droits, mais il arrive quand même que cela prenne du temps. Cette tempête va réduire la région en glace si elle continue. Mains nous ne pouvons rien faire encore. J’espère que Thuldae y échappe, ils ne sont pas préparés pour de telles températures. ¤

Ina se sentait également coupable d’avoir haussé le ton contre Kyu. Il ne disait peut-être pas toute la vérité mais il semblait toutefois assez sincère. Et cette année de manque dans sa tête continuait de lui faire monter l’adrénaline. Subir un traumatisme était une chose qu’on peut surmonter, mais s’imaginer le pire en était une autre. ET pour ça son imagination était débordante.

Ce qui la réveilla de ses pensées moroses et inquiétantes fut les paroles de Baelsul. Une âme était en danger selon lui. Et aux vues de la réaction du loup de Malaric elle était bien encline à le croire. Tout indiquait la trappe et ce sous-sol enfumé.

¤Il est temps de reprendre su service ! Si on peut sauver qui ou quoi que ce soit de cette histoire, il ne faut pas hésiter. ¤

Inspirant profondément pour faire le vide dans son esprit, elle se devait d’être concentrée pour passer à la suite. Elle récupéra son barda qui trainait dans un coin de la pièce, et s’harnacha comme il convient. Vérifiant les sangles de son armure et de ses sacs. La position de ses lames, prêtes à en découdre s’il le fallait. Les sous-sols ne sont que rarement des endroits sans danger.

Sa lance à la main, elle passa près du tas de bois et raviva le feu rapidement. Si cette petite chaleur peu nous faire gagner encore un peu de temps avant le froid glacial, c’était toujours ça de pris. Au passage sur le rebord supérieur de la cheminée, elle déposa une pièce de platine pour dédommager les habitants. Autant pour la nourriture que pour les couvertures souillées et déchirées et surtout pour l’hospitalité forcée. Qui à son avis n’allait pas s’arrêter de sitôt.


-Et nous revoila partit pour une cave. Ma pauvre Leth, s’il faisait beau je t’aurais bien dit de rester en surface mais j’aurais peur de ne pas te retrouver en revenant vu l’environnement. Alors haut les cœurs et en avant.

Disant cela, elle suivi ses nouveaux compagnons dans la chambre aux victuailles innombrables. Une telle pièce, qui plus est en sous-sol, était impressionnante pour une si petite maison de campagne. Ils ont dû creuser comme des fous pour faire une chose pareille.
Ce qui l’interpella surtout en descendant ce fut le manque de sorties une fois dans la pièce. Si en effet il fallait secourir quelqu’un par ici, il fallait maintenant fouiller pour trouver une sortie. Quoi qu’il en fût, impossible de ressortir. Ils seraient gelés en quelques secondes.
Ina pris donc le temps de bien observer la pièce. Chercher le moindre indice de passage. Des traces sur le sol. Frapper doucement sur les tonneaux pour voir s’il y en avait un qui pourrait s’avérer vide et praticable. Faire couler quelques gouttes de chacun d’entre eux pour vérifier, au cas où il sonnerait vide qu’elle ne se soit pas trompée. Tout y passait. La moindre trace sur le mur serait inspectée.


PARCHEMIN
Perception :
Jet de dés
1d20 + 11 = 9 + 11 = 20

écrit par: Sunniva Dimanche 22 Octobre 2017 à 13h26
« Il y a un livre interdit qui avait été l’objet de rumeurs monstrueuses, quelques années auparavant, après la découverte de rites innommables dans la tour du père terreux, vous vous souvenez Maistre, j’avais à peine huit ans, après l’arrestation du père terreux ce maudit livre ne pouvait bruler nous avons dû le baigner dans l’acide, l’enfermer dans un coffre sans ouverture et le jeter dans le tréfonds du lac sans fond! »
( Discussion d’Eugène dit le gros assistant avec le Maistre de Fort Olostin)

Avec la lumière de Baesul dans le caveau les yeux purent tranquillement s’habituer à l’éclairage et l’inspection d’Ina auprès des fûts lui apprit que les deux du bas étaient vide et les autres avaient tous, des contenus différent, cela passait du vin, au vin fortifié cuit, tonique à base d’herbe amer, liqueur d’herbe aromates, liqueur de fraise et une eau de vie au arômes des tourbe local. Celui vide de gauche, n’avait aucune odeur et lorsque la druide ouvrit le robinet un son d’aspiration se fit à peine entendre, son voisin de fût, lui avait toujours un peu de fumé qui sortait sur les pourtours du couvercle et lorsqu’elle ouvrit le robinet, de la fumée y sortie et celle-ci avait vraiment une odeur d’encens rare et celle d’un feu vivant. Pour sur, il devait ce tramer quelque chose de l’autre coté de ce fût fumant mais Ina ne trouvait rien pour l’ouvrir à part le robinet. Elle remarquait quand même de léger et fin ligaments de bois au pied du tonneau comme si deux morceau de bois avait frotté l’un sur l’autre et ce, plusieurs fois. Il y en avait aussi sur le rebord du tonneau où va se fondre le couvercle et le tonneau lui même. Dans son inspection des tonneaux elle vit la même chose sur son voisin de coté, l’autre vide mais tout les autres n’avait pas cette poussière de frottement. Puis la druide en elle remarquait une subtilité non négligeable, dans le grain du bois des deux couvercles des fût du bas elle aperçu une anomalie, il était impossible qu'un bois puisse avoir un tel grain tellement ceux-ci était graphique, pour l'expert qu'elle était elle y voyait une roue à neuf rayons sur chacun d'eux, Pour la druide et Xale il était évident qu'il y avait un passage, voir deux derrière les couvercle des tonneaux, restait maintenant à savoir comment y parvenir. Et cette roue lui disait quelque chose, Bien sur que toute les charrettes possédaient des roues à rayons mais il y avait autre chose... Mais quoi?

Kyu avait l’air d’être contemplatif sur une des tablettes qui contenait des meules de fromages à pâte ferme. Mains dans le dos il avait l’air d’un petit garçon qui attend patiemment sa friandise tant convoité mais inaccessible.

Dans la chaumière le vent s’intensifiait sifflant au travers des anfractuosités de la pierre allant jusqu’à faire entrer un peu de neige qui virevoltait ici et là dans la pièce. Le feu semblait avoir froid tellement la température chutait, Malaric décidait donc de fermer la trappe du caveau pour pas que le froid emplisse le sous bassement et que ses compagnons puisse être gêné du climat. Pour ceux dans le caveau, lorsque la trappe fut fermé, la fumée cessait de passer du fût de chêne, Ina vit rapidement la fumé retourner comme à l’intérieur.

À l’extérieur, la mort s’installait paisiblement dans le lieux entourant l’ouverture du portail, ailleurs les habitants sentirent une baisse de la température qui était anormal et tous restèrent bien au chaud dans leurs demeures. À la tour Sud-Est du Fort Olostin, l’un des érudits maistre observait à l’aide de sa lunette de rapprochement la région plus éloigné vers le Sud, dans la tempête qui sévissait plus bas, la noirceur n’y était pas normal. En observant avec difficulté il crut voir l’ancienne chapelle détruite par le feu et ce vieux loup au cuir tanné par les intempéries décidait de faire préparer une troupe pour aller porter de l’aide au habitants fermier. Il précisait avec attention de se munir d’arme, de vivres, de fourrure et d’un prêtre, d’ouvrir le chemin qui menait vers le Sud. Une douzaine d’hommes, huit chevaux les plus robustes, deux chariots glissants, un prêtre ivrogne et un jeune palefrenier prirent la route vers le Sud.

Plus vers l’Ouest dans les caps des montagnes au fond d’une grotte maintenant vide de vie, la Chose qui prenait tranquillement de la conscience ressentit une attraction vers le Sud-Est mais celle-ci étant trop loin elle décidait de finir son repas présent, l’ogre et sa famille lui permettait de prendre doucement de la densité, se qui était tantôt un nuage de poussière devenait vaporeux avec comme seul ton, l’encre qui tachait l’endroit. Il lui fallait atteindre cette tour non loin, il y sentait un attrait certain, un imprudent l’appelait. Le père terreux se préparait à recevoir un invité de marque, son cercle de protection était fin prêt et la porte était installé, une fois la Chose en place il pourrait l’envoyer quérir son trésor, l’Oracle appelait à l’aide, le moment était bon et le père terreux serait bientôt puissant, très puissant.

écrit par: Baelsul Dimanche 29 Octobre 2017 à 22h09
PARCHEMIN
Perception
Jet de dés
1d20 = 12 = 12

d100 "la chose qui rode"
Jet de dés
1d100 = 62 = 62


L’elfe arrivé en bas du caveau était surpris par l’amplitude du matériel qu’il contenu et la richesse de ses provisions. Mais où avait-il bien pu tomber ? Les propriétaires de la maisonnette semblaient de bien riche personnes. En plus des provisions en abondances, la décoration de la salle supérieur et l’équipement de maison et de combat qui s’y trouvaient avait de quoi interroger.

¤ J’espère que l’habitant de ces lieux ne nous en voudra pas d’avoir goûté à sa soupe et de s’y être installé momentanément ¤

L’Archer d’Argent suivi du regard la fumée qui se dégageait d’un des tonneaux pour en savoir plus ! Était-ce l’objet de l’attention ? La personne qui s’était réfugiée ? ou au contraire d’un danger ? En s’y approchant Baelsul observa les alentours du tonneau.

¤ Ça doit être le fumoir qui fait ressortir ces odeurs, j’espère que personne ne s’y trouve enfermé. Quel malheur cela ferait ! ¤

L’absence d’ouverture ou d’issue apparente troublaient singulièrement de lunargentais. Il était persuadé que quelqu’un s’y trouvais mais ne le voyait pas. Était-il invisible ? Ou existait-il un passage secret ou une porte dérobé qui s’était soustraite à l’observation de Baelsul ?

Baelsul décida d’ouvrir un passage au niveau des couvercles des tonneaux. Si de la fumé en provenait il y avait forcément quelque chose derrière, une source à dénicher. En tout cas c’était assez louche pour valoir la peine de s’en préoccuper.

Parcourant de nouveau la pièce du regard, Baelsul fouilla les installations en quête d’un pied de biche ou de tout autre accessoire permettant de faire un effet de levier. Ayant commencé son observation des lieux il précisa ses pensées à l’oral à ses compagnons :

« Je crois que nous devrions trouver un moyen d’ouvrir ces tonneaux, il me semble que c’est l’unique issue potentielle de cette pièce. S’y quelqu’un a besoin d’aide il doit forcément se trouver dans cette direction ! »

Puis ayant remarqué la fermeture de la trappe, l’elfe interrogea Kyu :

« Qu’en est-il de Malaric et de l’homme-félin ? Je ne comprends pas qu’ils aient refermé la trappe ! À mon avis il eut été plus prudent de rester groupirte ! »

écrit par: Xale Mardi 31 Octobre 2017 à 00h47
Après avoir sauté en bas du caveau et avoir eu son cœur presque sortir de sa poitrine, du à la mauvaise évaluation de la hauteur, il se reprit et restas un genoux a terre quelque secondes. Cela lui permis d'évaluer la pièce ou il se trouvait et de calmer un peu son esprit après cette bonne dose d'adrénaline. L'extase de son exploit n'avait pas eu le temps de se rendre sur ses lèvres qu'il sentit une masse énorme s'approcher de lui. Il arrivais à sentir l'odeur perfide de son haleine ce qui lui rappelas quelqu'un ou plutôt deux personnes qu'il connaissait. Pendant un moment il pensait que les frères Koltör était venus l'emprisonner à nouveau. Son cœur commençais a se serrer de terreur et de haine, il les attendais ces rats de tunnels. A peine le bout de ses doigts avait eu le temps de toucher le manche de ses lames, que la masse à l'haleine fétide avait changé d'apparence, elle ressemblais maintenant à Kyu avec son sourire dépourvu de crocs dominants.

-(elfique) Pour l'amour de Syrynya! (commun) Si moi pas avoir vu ton visage, toi aurais mangé lame a moi!

S’exclamât-il du mieux qu'il pouvait à l'orque qui l'avait mis sur ses gardes. Puis après Kyu, Ina et Baelsul avait à leurs tours descendus dans la pièce que xale ne savait pas a quoi elle servait. Par contre, l'odeur n'était que plus familière, celle du vin et de la bière. Il n'aimait pas l'odeur de l'alcool et qui plus est, il n'en avait jamais bu. Il ne pouvait se permettre d'avoir la conscience affaiblie par ce que les nains des montagnes appelait eau. Mis a par quand il rêvait de sa déesse.
«Syrynya, quand reverrais-je tes yeux encore plus brillants que milles étoiles dans un ciel obscur?»
Se mit-il a penser, puis il repris conscience, une étrange odeur de fumée venais d’apparaître dans ses narines et le bruit de la trappe qui se fermas se fit entendre dans ses oreilles. Il vit Ina qui était en train d'ouvrir les robinets de chaque tonneau qui ornais le mur et cognait sur leurs parois. Il se retournas et entendit les paroles de Baelsul.
«Combien de temps j'ai été dans les vapes moi? Syrynya pardonne moi de ne pas avoir été aux aguets!» se dit-il a lui même. Puis il répondit à Baelsul:

-Moi avoir trompé, lui pas bon mage, lui abandonne nous.

Puis il s'approcha des deux tonneaux sur lesquels Ina s'était arrêter. Il reconnu les traces qui y était gravés dans le bois, ceci ne voulais dire qu'une chose, il y avait un passage dans les deux tonneaux. restait plus qu'a choisir lequel ouvrir. Il décidas d'avoir recours à son expertise en crochetage et en sabotage pour inspecter et désamorcer, si il y avait, un ou des pièges.

PARCHEMIN
sabotage:
Jet de dés
1d20 + 2 = 10 + 2 = 12
, si il y as pièges, Xale tente de le désamorcer, sinon crochetage:
Jet de dés
1d20 = 4 = 4

écrit par: Ina Jeudi 02 Novembre 2017 à 21h49
Une bonne partie du groupe fraichement construit se trouvait maintenant dans les soubassements de la maison. Cette énigme des tonneaux faisait se ronger le cerveau à la jeune femme. Évidement qu’il y a une sortie. L’instinct animal ne peut se tromper sur ce genre de chose.

-Messieurs, nous avons plusieurs problèmes. Déjà il n’y a pas de sorties officielles ici. On peut largement supposer qu’il y a la possibilité de sortir par ces deux tonneaux vides en bas comme l'indique Baelsul, mais leur ouverture reste un mystère pour le moment.

-Maintenant arrive le second problème.

Pointant du doigt le tonneau d’où sort la fumée elle ajouta.

-Derrière celui-ci, il y à clairement le feu et ce n’est surement pas un petit feu de cheminé ou de fumoir. A moins que les propriétaires soient d’une richesse absolue en jetant de tels encens dans un feu de fumoir. Pour le moment, je n’ai pas l’impression que le tonneau soit chaud, ce qui voudrais dire que le feu n’est pas juste derrière et qu’ouvrir ce truc ne nous fera pas tout petter à la gueule. Mais c’est du bois. La chaleur va moins vite dans le bois que dans le métal donc…

Levant les paumes vers le ciel en signe d’impuissance elle continua.

-On peu espérer d’éviter le retour de flammes si on agit assez vite mais comme je l’ai dit je n’ai pas la moindre idée de comment ouvrir ce truc. Pourtant il est clair que le bois est particulier, si vous faites un peu attention, vous remarquez que les motifs sont bien trop fins et travaillés pour être du bois brut ou même fait par un simple humain. Ce dessin d’une roue à neuf rayons qu’on retrouve sur les deux couvercles est tout simplement du travail d’orfèvre destiné à n’être vu que par un œil très entrainé.

Disant cela, la jeune femme repris son étude de cette roue. Tournant la tête pour tenter de voir les différences de reliefs entre les grains du bois et du dessin. Elle laissait ses doigts non gantés parcourir le bois à la rechercher d’une nouvelle aspérité ou d’un détail qui changerais par rapport au reste. Son étude n’était pas terminée. Puis elle se souvint qu’elle n’avait pas parlé du deuxième tonneau. Se retournant avec un air un peu confus elle termina son idée de base.


-Quant au deuxième tonneau, rien à signaler. L’ouverture reste un mystère pour le moment aussi, mais pas de danger apparent, de feu ou autre chose de l’autre côté. Il y a un appel d’air qui va de chez nous a chez eux mais c’est tout ce que j’ai pu trouver pour le moment.

Laissant ses compagnons du jour à leurs réflexions recherches ou prières, qu’importe finalement, elle retourna à son étude du tonneau cachant le feu. Si quelqu’un était en danger c’était certainement derrière celui-là. Les animaux ont dû sentir la fumée et la détresse d’un être vivant avec.

Tâtant sérieusement et régulièrement le tonneau pour vérifier les changements de température, elle n’était pas experte en feu, mais il fallait tout de même se méfier. Ouvrir une porte devant un feu n’était que rarement une bonne idée.



PARCHEMIN

Ina concentre son attention sur le tonneau avec le feu et laisse Xale regarder l'autre
Connaissance nature :
Jet de dés
1d20 + 12 = 1 + 12 = 13

Art de la magie :
Jet de dés
1d20 + 7 = 19 + 7 = 26

Intelligence :
Jet de dés
1d20 + 2 = 13 + 2 = 15

Je suis pas certain que c'est bien ça pour le dernier jet ^^.

écrit par: Sunniva Mardi 07 Novembre 2017 à 17h02
Ce qui est, à mon sens, pure miséricorde en ce monde, c'est l'incapacité de l'esprit à mettre en corrélation tout ce qu'il renferme. Nous vivons sur une île de placide ignorance, au sein des noirs océans de l'infini, et nous n'avons pas été destinés à de longs voyages. Les sciences, dont chacune tend dans une direction particulière, ne nous ont pas fait trop de mal jusqu'à présent ; mais un jour viendra où la synthèse de ces connaissances dissociées nous ouvrira des perspectives terrifiantes sur la réalité et la place effroyable que nous y occupons ; alors cette révélation nous rendra fous, à moins que nous ne fuyions cette clarté funeste pour nous réfugier dans la paix et la sécurité d'un nouvel âge de ténèbres.

( SSyin Mizzrym grand mage de guerre de la 2e escadre du 3e bataillons de la 1ere brigade de la division surface de la maison Mizzrym en discussion avec son second. 13 Tarsakh 1373. )

A un moment, devant les deux tonneaux suspects, Ina semblait perdu dans ses pensées. Sa mémoire ainsi que son sens de l’observation appuyé de son intelligence lui permirent d’en savoir beaucoup plus pour son avenir prochain. L’ensemble se devait d’être décanté pour la druide. L’avantage de ce moment d’arrêt lui permis de s’apercevoir que le tonneau qui fumait n’avait aucune chaleur qui s’y dégageait, de plus la fumée ne semblait pas forcer pour sortir, seul l’afflux d’air lui permettait de s’infiltrer dans la pièce, donc le feu devait être très éloigné d’eux, ce qui rendait l’énigme encore plus fastidieuse.

Durant ce temps Xale cherchait un piège quelconque ou simplement une façon d’ouvrir les couvercles des tonneaux, en vain, il dû se rendre à l’évidence que la seule manière d’ouvrir serait de les défoncer. Même si un quelque chose en lui dictait qu’il devait avoir une autre manière des ouvrir, il ne parvenait pas à trouver comment, par contre, dans son inspectassions plus approfondie des tonneaux il vit que les deux du bas étaient relié au mur tandis que les autres ne touchaient pas le mur; était là la preuve qu’il y avait bien deux passages et non qu’un. Avec du temps et une bonne dague, il serait surement possible de gratter entre les tonneaux et les pierres pour faire un espace assez important pour libérer les tonneaux avec un peu de force. * Soit patient Xale pour mes yeux, ils t'observent. Suit l'encens car l'autre te mènera à ton ancienne vie.* Entendit-il intérieurement tandis qu'une brise légère lui laissait l'odeur de Syrynya le faire rêver.

Baelsul cherchait de quoi ouvrir les couvercles et à part le pied de chandelle qui y avait dans l’endroit et le bras de soutient du chaudron dans le foyer, il n’y avait rien qui puisse être applicable. Il faudrait de la force et une masse, hache ou épée pour y parvenir. Subitement il ressentit un étrange sentiment, comme si il était épié une fraction de battement de paupières et instantanément il vit en mémoire la cendre volante qu’il avait entrevue avant d’arriver à la chaumière puis au même moment une chose inconnue de lui se produisit. Une vision lui apparut mais cette vision tenait beaucoup plus d’une sensation d’attirement, comme si un bon repas venait d’être ressentit au travers un carreau fuyant, une image imprécise se formait dans son esprit pour y entrevoir dans un flou cendré, un bébé emmitouflé dans des lainages diverses et seul dans un tiroir d’un bureau savamment bien travaillé dans un bois dur et rare. Baelsul ressentait toute la détresse du bébé et le froid qui l’enveloppait telle la morsure de l’eau gelé d’un lac qui vous engouffre lorsque la glace cède sous votre pied.

Kyu c'était approché des tonneaux attendant que la force soit demandé. Sur sa commissure droite, des miettes de fromage trahissaient son appétit et sa piettre capacité à dissimuler un mensonge ou une espièglerie. Mains toujours dans le dos , il gardait dans sa mains gauche, le morceau arraché à la meule.

Plus loin la Chose qui finissait ses repas, eut un sourire intérieur en se délectant d’avance des deux autres victimes qu’elle s’offrirait, l’elfe lunaire n’était pas tant appétissant mais la détresse du bébé avait un goût tant recherché. Ayant sublimé de cendre à liquide au ton d’encre, la Chose allait prestement se nourrir quand soudain un appel d’une démesure insensé la fit se tourner vers un lieu non loin d’elle. Les paroles interdites qui étaient psalmodiés en ce moment l’invitaient à prendre forme immédiatement. Ce qui fut malheureux pour elle, fut le désir qu’elle ait, de prendre corps sur l’instant; le piège du père terreux venait de fonctionner, fallait-il encore s’assurer que les défenses de ce dernier puissent tenir. Calsifer qui de son feu prévoyant, observait la scène avec beaucoup d'enthousiasme et en même temps il redoublait son feu pour une meilleur sécurité.

L’équipe envoyé vers la chapelle en feu sortait tranquillement de Fort Olostin et d’après le prêtre qui avait quelque connaissance dans la science de l’atmosphère et de ses caprices, conclut que la tempête se dirigeait vers l’Ouest et baissait d’intensité car la noirceur du nuage devenait de plus en plus clair quoique le violacé qu’il entrevit à certaine occasion lors d’éclairs surprenantes, le faisait douté. En cachette il prit une bonne rasade de son eau de vie à base d’herbes aromatiques.

Dans la chaumière de Martha le vent semblait légèrement diminuer mais des silences presqu’anormaux, parsemait parmi les bourrasques des temps morts inquiétant. Draak tous poils hérissés grognait les crocs bien visible devant la porte d'entrée et aussi vers le foyer bien emplit. Soudain, le peu de lumière que projetaient les carreaux des fenêtres bloqué par les auvents et celle du foyer disparurent laissant place à une ténèbres profonde. À ce moment Draak changeas de place, ce qui semblait dans la ténèbres, être auprès du foyer. A ce moment un son distinctif d’objets qui serait tombé dans les flammes vint aux oreilles très fines de l’homme lion. Ce ne fut guère long avant de percevoir dans la gorge, les yeux et dans le nez, une irritation qui semblait vouloir perdurer puis comme si le monde venait d’arrêter, il n’eut plus aucun son.


PARCHEMIN
Baelsul perception.
Jet de dés [fixe]
1d20 = 3 = 3
sur DD 10=Manqué.

écrit par: Xale Vendredi 10 Novembre 2017 à 03h30
Tentant de comprendre les paroles d'Ina qui parlait de manière hâtive et légèrement nerveuse, Xale eu un doute sur les capacités de la druide.

-Sa être bois, pas fève! Et si feu brûler dans baril, baril plus être la, bois brûle bien.

Dit-il en roulant les yeux. N'était ce pas évident qu'il ne pouvait y avoir un feu dans le tonneau, sinon il aurait déjà brûler. Il commençais a perdre patience car il n'arrivait pas a percevoir le mécanisme qui leurs ferait sortir de ce caveau. Il commençais a sentir la claustrophobie, quoi qu'il ne connaissait pas ce mot, l'envahir, cette cave commençait a lui rappeler les murs de pierre qu'il avait connu en tant qu'esclave. Pendant une seconde il se rappelas le sentiment de liberté et de joie qu'il avait sentit lorsqu'il avait foulé, pour la première fois l'herbe humide de ses pieds nues et sentit la chaleur du soleil lui brûler la peau qui, avait terni assez vite malgré le manque de lumière naturelle qu'il avait connu sous le joug des frères Koltör, surement du a son sang elfique sauvage. Il sentait les murs devenir de plus en plus froids et se refermer sur lui. Ce qui le calma furent les paroles de sa déesse, il ne les entendis pas, enfin pas vraiment, c'est comme si il avait eu connaisse soudaine de ses paroles, il sentit alors une brise parfumé et ensorcelante, c'était l'odeur de Syrynya, il arrivait même a goûté le sucrée et fruité qu'elle avait dégagé et qui avait envahi ses narines durant leurs première rencontre. Il ferma brièvement les yeux et se souvint alors de ce qu'elle lui avait annoncé dans la charrette:


«Libère moi Sylvanôr, premier fils de Smylla Nathos, tu n’as pas hérité des yeux bleu de ta mère mais bien ceux de ton père. Tu as, tout comme ton demi frère, hérité du sang magique de ta mère mais tu l’ignore, n’est-ce pas pauvre Sylvanôr, appelé Xale l’esclave par ses tortionnaires?»

Ce pouvait-il vraiment qu'il aie du sang magique? tout en gardant les yeux fermés, il se concentras, il tentât de sentir le froid sur sa peau, puis sentit les aspérités de sa peau usé par les coups de fouets, ensuite il se concentras sur ses muscles qu'il avait développer par le labeur qu'il avait subit, ensuite ses nerfs qui était endurcis et raides tellement il était constamment sur ses gardes, puis ses os et ses articulations vieilli par l'humidité des cavernes, il sentit alors son sang couler la longueur de ses veines et alimenter son corps de vie, en se focalisant il dit a voix toute basse et de manière pieuse en elfique:

-(elfique) Guide moi vers ton baisé magique Ô divine déesse Syrynya!

En disant ces mots, un amour plus profond que l'amour de la chair l'envahi, en lui vint un amour inconditionnel, celui de transmettre la pureté et la sérénité qu'il avait connu lors du baisé qu'il avait reçu.

Ouvrant les yeux, il vit l'anormalité entre les deux tonneaux et les autres. Faisant signe a Baelsul, Ina et Kyu, il pointas la où les barils donnait sur le mur.


-Baril touche mur. (elfique) Baelsul traduit pour la magicienne et l'orque ce que je vais dire, je ne parle pas bien le commun. Je n'ai pas trouvé comment ouvrir le passage mais il faut absolument aller dans le tonneau de droite d'où la fumée provient, si nous prenons le chemin de l'autre tonneau nous seront capturés et fait prisonnier par les Duergars, je ne retournais pas être leurs esclave pour être de nouveau fouetté. Ma déesse m'indique que le tonneau avec la fumée est le chemin.

Puis une idée fis son apparition dans sa tête, le petit coutelas qu'il avait trouvé dans l'étage au dessus paraissait bien façonné pour n'être qu'un simple couteau a fromage ou à pâté. Il sortis le coutelas de la ceinture qu'il avait mis en bandoulière et passas la lame sur le pourtour du couvercle du tonneau, peut-être que le coutelas servais de clef magique. Si celas ne marcherais pas, il demanderais a Kyu d'usée de ses poings massifs et de mettre ce maudit couvercle en pièces

PARCHEMIN
Avant d'ouvrir les yeux, Xale tente de sentir la magie que pourrait lui confier sa déesse ou son sang
Art de la magie
Jet de dés
1d20 + 1 = 13 + 1 = 14

écrit par: Ina Dimanche 12 Novembre 2017 à 14h13
Ina eut d’abord un moment d’étonnement. Un esprit logique se cacherait il dans cette tête crasseuse ? Bien sur que le bois ça brule, triple buse. Mais comme elle n’avait pas dit que tous ces truc-là semblaient bien magiques, comment le pauvre hère pourrait-il savoir qu’un bois magique brule moins bien ? Son roulement d’yeux pourtant ne fut pas très apprécié par la jeune femme.

¤Je te le ressortirais ce roulement mon petit. Bouges pas. ¤

Elle le laissa tranquillement faire sa prière, se souvenant de ce baiser qu’il avait reçu dans la charrette. Puis il parla en elfique, dans un langage impeccable. C’était une nouvelle surprise. Peut être avait il parlé ainsi avant mais elle n’avait pas tilté alors. Ce n’est que maintenant qu’elle réalisa qu’il savait s’exprimer autrement qu’avec des odeurs insoutenables et des mots placés à la va comme je te pousse en commun.

Elle ne pût cependant pas retenir un petit rire quand il parla de se faire capturer par des Duergars. Et puis quoi encore. Elle avait un rapport à faire à son chef de confrérie sur les événements récents et surtout elle devait voir l’archidruide pour qu’il l’aide à plonger dans sa mémoire perdue. Aussi bien pour elle que pour d’autres, ces souvenirs perdus peuvent être primordiaux, tout comme insignifiants, mais elle n’envisageait pas de continuer sans savoir. Pour l’instant elle ne reste avec eux qu’à cause de la tempête et de la vie à sauver dans ce tonneau. L’affaire de Kyu méritait un peu plus de réflexion, et surtout un avis des hautes instances de Thuldae.




-Par contre notre masse musculaire ici présente, serait peut-être en mesure de nous ouvrir un passage ? Normalement cette ouverture se fait par magie avec un sort de manipulation du bois, mais a moins qu’on ait une journée et une nuit devant nous, je ne peu rien pour nous pour l’instant.

S’écartant de quelques pas et faisant un geste des deux bras et une petite révérence.

-Si Kyu veux bien se donner la peine de défoncer le couvercle du tonneau fumant, ou le corps du tonneau, peu m’importe on a pas tellement le temps de tergiverser. Attention tout de même, Xale et moi n’avons pas décelé de pièges mais ça ne veut pas dire qu’il n’y en a pas.

écrit par: Nersharr Mardi 14 Novembre 2017 à 21h56
Les êtres que l'homme lion avait rejoint dans la chaumière semblaient tous apprécier parler et parler encore. C'était un passe-temps que ceux de son espèce ne comprenaient pas bien. Pour lui, une fois qu'une chose avait été dite, il n'était pas nécessaire d'y revenir. De plus leurs incessants verbiages l'empêchaient clairement de se concentrer et de rassembler ses pensées... Aussi, quand ils décidèrent de descendre, tout bon éclaireur qu'il fut, il décida de rester, tout comme l'avaient fait Ina et Malaric. Peut-être qu'ainsi il parviendrait à avoir le calme nécessaire pour repenser à ce qu'il avait vu et déterminer la meilleure façon d'agir.

Par ailleurs, plus il pensait et plus il se disait qu'il fallait qu'il s'assure que cette chose ne les prendrait pas à revers. Il faudrait donc qu'il reste là le plus longtemps possible et quand il ne pourrait plus tenir, il suivrait la piste de ses compagnons d'infortune. Et il leur expliquerait ce qu'il avait vu et ressenti, afin qu'ils puissent bien appréhender la possible situation à laquelle ils allaient être confrontés. Ina finit par descendre à son tour et Nersharr se retrouva seul avec Malaric. Du peu qu'il en avait vu, il appréciait le druide. Peu de mots et une affinité manifeste avec la nature et son compagnon animal.

Alors qu'il réfléchissait sur la suite des événements, il pouvait s'empêcher de penser que la tête de créature, si par hasard elle en avait une, lui assurerait certainement la direction du clan. Il chassa cette pensée d'un geste de déni de la tête et s'apprêtait à dire au druide qu'il était à présent temps pour eux de suivre les autres.


¤ Il faut les rejoindre, il ne se passera plus rien ici. ¤

Malgré le froid qui grandissait, le vent avait semblé se calmer et c'était pour cette raison qu'il avait eut cette pensée. Toutefois, une seconde plus tard, il changea radicalement d'avis sur la question alors que des silences anormaux laissèrent place à d'inquiétantes et soudaines ténèbres. Le faible son qu'il avait entendu dans la cheminée, suivi de cette sensation d'irritation et ce silence surnaturel l'inquiétèrent au plus haut point.

Dans une sorte de réflexe, il abaissa son centre de gravité au maximum en s'accroupissant, comme pour se faire le plus discret possible et tendit l'oreille dans un effort de concentration extrême, cherchant à déceler toute chose qui pourrait lui paraître anormale.


PARCHEMIN
Nersharr se fait discret afin de pouvoir se déplacer sans se faire repérer si nécessaire

Jet de furtivité :
Jet de dés
1d20 + 14 = 2 + 14 = 16


Après quoi il écoute et garde tous ses sens en alerte et il essaye de ressentir ce qui se passe autour de lui :

Jet de perception :
Jet de dés
1d20 + 10 = 19 + 10 = 29

écrit par: Sunniva Mercredi 15 Novembre 2017 à 19h35
Il est à peine possible de décrire avec des mots ce qui arriva par la suite. Cela abonde en paradoxes, en contradictions, en anomalies qui n'ont pas de place dans la vie quotidienne mais peuplent nos rêves les plus fantastiques et y sont considérés comme absolument normaux jusqu'à ce que nous retournions à notre monde étroit, objectif, rigide et limité aux correspondances de la logique tridimensionnelle.
(Partage du maîstre Arnault Primevent avec l’un de ses élèves.)

L’invitation à Kyu de converser avec Baelsul ne laissait pas dans l’indifférence le demi-orque ayant toujours la bouche pleine de fromage. S’approchant tranquillement, il répondit après avoir avalé sa dernière bouché…

-Nous ne pouvons pas obliger quelqu’un à nous suivre puis après tout, nous ne sommes qu’à quelque marches d’eux, si il y avait quelque chose d’urgent, soit pour nous soit pour eux nous aurions qu’à crier et nous serions tous rejoins.-

Sans prêter trop d’attention sur le couvercle du tonneau, son genou droit vint frapper au centre du couvercle qui dans un étouffement impressionnant le fit se fendre en deux. Les deux partie du couvercle étaient maintenant à l’intérieur du tonneau où encore visible ils reposaient pour l’un, au fond et l’autre semblait déposé plus bas que le tonneau avec la pointe supérieur qui se laissait voir au fond du baril. Kyu reculait d’un pas en reprenant un autre morceau de fromage à pâte ferme.
La lumière de Baelsul s’infiltrait dans l’ouverture laissant celle-ci pénétrer dans l’antre fumé. Il était possible d’y voir assez loin, une douzaine de mètres tout au plus et c’était véritablement un couloir fait de la même pierre que dans le caveau, mur, planché et plafond vouté était d’une propreté déconcertante pour un tel endroit. La fumée occupait la moitié supérieure du couloir sans en cacher les détails et qui semblait avoir la même hauteur que le caveau, elle semblait assez stable pour l’instant. L’odeur était plus prononcée et celle-ci sentait beaucoup plus les encens qu’auparavant. Il n’y avait pas encore de courant assez important pour que la fumée sorte mais quelques mouvements naturels la faisaient danser légèrement. Il y avait un feu quelque part mais il semblait loin.

Sans effort et sans demander, le volatile d’Ina prit l’initiative d’entrer et volait au ras le sol pour disparaitre dans l’ombre plus lointaine. Au même moment Baelsul ressenti une seconde fois un appel, la détresse venait de quelque part dans le tunnel puis tous entendirent clairement un bébé pleurer en éco dans le couloir, le son était très faible et étouffé mais réel. Lorsque Baelsul entendit les pleurs il sut que c’était la détresse qu’il avait ressenti un instant plus tôt et lorsque la trappe venait d’ouvrir.
À peine quelque temps après l’entrée du volatile un grattement se fit entendre assez lointain mais quand même audible pour Ina seulement, elle fut persuadé qu’il s’agissait des serres de son fidèle compagnons qui tentait un de faire une marque ou d’attirer l’attention de sa maitresse. Restait maintenant à savoir qui entrerait dans le couloir par l’entrée du tonneau ou qui n’entrerait pas, à première vue même Kyu serrait apte à passer dans l’ouverture.

Dans la chaumière plus rien n’allait. La ténèbre ainsi que l’absence de son, eurent le dessus sur les tentatives de Nersharr de se faire discret et de réussir à percevoir quelque chose. Malaric de son coté, allait faire apparaitre une lumière divine quand le son lui interdit toute paroles. Sa réaction secondaire fut de couvrir la trappe du tapis et de se coucher dessus. Draak vint le rejoindre cherchant à aider son maitre. Soudain, Nersharr senti sur sa peau dénudé de son visage et de ses mains, un déplacement d’air qui passait du foyer vers la porte. Le déplacement d’air rendit encore plus virulent, les picotements dû à l’irritation du produit qui c’était libérer dans la chaumière, sa gorge, ses narines, ses yeux le démangeaient de plus en plus même sa peau libre lui piquait atrocement et si il avait malheur de toucher l’une de ses parties, il crut que sa peau se détachait de son corps. L’air n’y était plus respirable tellement elle fut saturé du poison qui se répandait dans la pièce. La conscience voulait fuir mais l’être qu’était l’homme lion avait plus de détermination que de n’importe lesquels des humains mais son instinct de survie plus grand que la normal eut raison de lui. Draak et Nersharr avait adopté la position fœtale cherchant à protéger leur vie. L’inconscience les prit et le trio fut à l’unisson.
Cela prit plusieurs rafales avant que l’éclaireur drow ouvre la porte de la chaumière avec difficulté pour faire ventiler l’endroit. Le quatuor de chasseur sous l’ordre de SSyin Mizzrym, avait pris le soin de bien empoisonner leur victime et d’attendre que ce dernier se résorbe avant d’entrer cueillir leurs prochains esclaves. Ils avaient vu le chariot renversé des frères Koltör et s’imaginait sans problème les voir à l’intérieur et connaissant bien leurs fougue au combat, ils n’avaient pas pris de chance de les combattre ouvertement, mieux valait les endormir avant. Si leur approche vers la chaumière avait couté plusieurs vie des leurs dû à la température dernière, le quatuor avait réussi grâce à quelques enchantement d’un des leurs, à rester en vie. Leur escadron qui suivait la dernière passé dans le portail, avait comme but de l’intercepter pour l’interroger et en savoir plus sur celle qui avait réussi à fuir la cité maudite. Cette tentative osé avait couté cher en vie mais SSyin Mizzrym était persuadé du bien-fondé des risques encourut, après tout tous le mérite lui reviendrait une fois cette mission terminé. En plus d’avoir Xyarvv, la jeune fille druide, il aurait les frères recherché.

Plus loin, l’approche de la Chose vers la salle d’emprisonnement judicieusement installé du père terreux, se faisait sans heurt. La Chose prit place au centre du piège quand soudain ce dernier se refermait sur elle. Calcifer épuisait presque toute ses ressources pour maintenir la protection demandé mais la puissance de l’ignoble Chose devant eux les surpassait, lui et le père terreux furent prit d’une terreur sans nom mais le piège c’était quand même refermé. Si l’alchimiste-mage qu’était le père terreux perdit connaissance, Calcifer tant qu’à lui n’était rendu qu’un frêle tison.

Syrynya avait scellé le piège sans que la Chose, le père terreux et Cacifer puissent s’en rendre compte et elle sut qu’un danger s’approchait sournoisement de Xale, son libérateur. Connaissant la valeur prochaine de ce dernier, elle dû abroger son travail pour venir en aide à l’ex-prisonnier. Un murmure vint chatouiller son esprit mais la sorcière bâtarde ferma l’accès et la Chose dû se rendre à l’évidence, il serait moins aisé d’atteindre son objectif qu’elle l’aurait crus; elle avait perdu trop de temps à se nourrir, elle aurai dû rejoindre Xyarvv plus tôt sans perdre de temps.



PARCHEMIN
Perception Baelsul:
Jet de dés [fixe]
1d20 = 20 = 20
=Réussite La Chose ne te perçoit pas.

PARCHEMIN
Perception Ina:
Jet de dés [fixe]
1d20 + 11 = 3 + 11 = 14
=Réussite. Tu entend les grattements.

PARCHEMIN
Perception Xale:
Jet de dés [fixe]
1d20 + 1 = 13 + 1 = 14
= Réussite. Syrynya te vient en aide.

écrit par: Ina Mercredi 15 Novembre 2017 à 20h40
Une ouverture simple, efficace. Sans même une goutte de sueur ou de deuxième essai. La force brute et gourmande. L’observation de l’entrée et de la fumée en hauteur ne pris pas longtemps. A peine les yeux adaptés à la noirceur du couloir, Leth pris son envol et s’engouffra dans l’espace nouveau.

Un peu surprise la jeune femme marqua une petite hésitation à la suivre. D’habitude sa compagne n’est pas tellement du genre à se ruer tête baissée dans la fumée comme ça et encore moins dans un tunnel. Mais ce qu’il y a de bien avec cette dite compagne c’est que la jeune femme lui faisait une confiance presque aveugle. D’où la première hésitation. Cette hésitation pu lui permettre de se concentrer sur ce qu’elle percevait. Son instinct, dont elle avait perdu une belle partie d’usage chez ses grands parents avait encore un peu de mal à revenir. Pourtant, même les humains en ont. Un des méfaits de la vie en ville fortifiée.

Elle pu alors entendre un cri d’enfant. Un bébé tout au plus. Elle qui n’avait d’instinct maternel que quelque part bien caché dans sa génétique, n’eut pas tellement besoin de réfléchir plus longtemps. Un enfant qui pleure dans ces circonstances ne devait pas avoir de personnes pour s’en occuper autour de lui. Dans un mouvement rapide, elle mit sa lance dans son dos.

Alors qu’elle cherchait une nouvelle source de lumière pour entrer à la suite de sa compagne, elle entendit les grattements des serres sur le bois, comme pour lui marteler de se dépêcher.

Elle se précipita vers la table pour attraper la bouteille avec la bougie et s’empressa de l’allumer sur la torche de Baelsul. Elle ne ressentait pas le besoin d’expliquer son geste ni son empressement. Soit tout le monde l’a entendu et dans ce cas que font-ils encore là ? Soit-elle seul l’a entendu et elle passerait pour folle une fois de plus. A ce moment-là, elle n’avait que faire des avis des personnes autour d’elle.

Une fois la bougie allumée, elle pu alors s’engager dans le tunnel à vitesse raisonnable pour ne pas souffler la bougie mais aussi vite que possible. Elle suivi les sons de sa compagne qui la guidais dans la pénombre. La lumière de la bougie n’était pas forte, encore moins puisque la jeune femme était en mouvement mais cela devra être suffisant si jamais le porteur de torche de son compagnon ne décide pas d’entrer.

Elle avançait un peu voutée, la main près de la flamme en protection contre les mouvements d’aire et respirait très doucement pour avaler le moins de fumée possible.


¤Une tempête de neige magique, un homme chat, un ancien esclave, un orc voyant et un an de ma vie qui me manque avec pour seul souvenir l’idée d’une ville dangereuse. Voila maintenant que je cours après le son d’un bébé qui pleure ! Mais une fois dans mes mains…j’en fait quoi de ce bout de truc ? Et puis un bébé niveau discrétion on a fait mieux. Ça chiale, ça chie et faut le nourrir. Je ne vais quand même pas lui donner le sein !!! Non, une montée de lait ça prends plusieurs jours, il sera mort avant. Faudra trouver autre chose. Mais ça mange quoi un truc comme ça à part le lait de sa mère ? Bon on pourrait rigoler un peu et lui donner un truc des tonneaux… tu me dira après, il sera calme le bordel…. Haha…non arête tes conneries. On va trouver sa mère et elle se démerdera avec !!! La tête des gardiens quand je vais revenir après un an d’absence avec un bébé dans les bras.... ça va être complexe à expliquer....¤

écrit par: Xale Jeudi 16 Novembre 2017 à 02h26
Le geste de Kyu avait embarrassé Xale et l'avait rendu quelque peut furieux. Avait-on déjà entendu parler d'un voleur qui ne peut ouvrir des serrures? Ce n'est pas tellement le fait qu'il aille ouvert le tonneau qui l'enrageais, c'était plutôt qu'il entendais les coups de fouets qui jadis avait fendu l'air et claquer comme le tonnerre lorsque ceux-ci embrassait sa peau du dos. Ses cicatrices commençait a chauffer et il avait l'impression qu'elles ne demandait qu'a se ré-ouvrir et laisser sa carcasse se vider de son sang. CLAQ! CLAQ! CLAQ! Il sentait chaque coup exactement là où le fouet avait frappé. Se tenant accroupi près du sol, il avait porté sa main enchaîné a son oreille et caressait le bout coupé, comme il le faisait chaque fois qu'il était nerveux. Le son de la chaîne bouger autour de son poignet ne faisait qu'empirer son émotion. Des sueurs froides lui coulait le long de la colonne et il avait l'impression qu'elles brûlait encore plus ses cicatrices. Ce châtiment lui avait été porté souvent, plus de fois qu'il pouvait compter, chaque serrure qu'il ne pouvait ouvrir, lui valait une vingtaine de coups de fouets. Le bout de son oreille lui avait été offert en cadeau par les frères Koltör, «Si ont te coupe le bout de l'oreille parce que ta pas ouvert le coffre qu'on as volé, imagine ce que les anciens vont te coupé si tu débarre pas les portes! HAHAHAHA!» avait dit le plus vieux alors que le plus jeune se gorgeait de bière. Revivre ce moment de son passé l'enrageais et il attendait le jour où il les découperais lentement et avec précision, juste assez pour qu'ils souffrent pendant plusieurs jours sans en mourir trop vite. Sa furiosité augmentait exponentiellement et son visage devenait de plus en plus rouge. Il serrait les dents tellement fort qu'il les avait presque sentis éclater dans sa bouche. Son sang bouillonnait, il le sentait parcourir ses veines de la même manière qu'il avait senti lorsqu'il s'était concentré pour sentir son sang magique. Il sentait une genre d'auras l'envelopper et sentit qu'elle devenait de plus en plus solide plus sa rage grandissait. Ses pupilles s'était tellement dilatés, qu'il avait l'impression de voir l'aigle d'Ina gratter le sol. Cette liberté et cet amour donner envers une autre créature, lui avait été enlever et cela ne faisait qu'ajouter de l'huile au feu qu'étais sa colère. Il revoyait son père adoptif tué par les mains des frères Koltör, celui qui l'avait aimer pour la première fois n'étais plus, au grand ricanement des frères.

-(Duergars) MOURREZ ESPÈCE DE FILS DE PUTE!!!

Avait-il crier de tous ses poumons. Il était maintenant debout et était avait le souffle court. Il sentit les yeux de ses compagnons mâles river sur lui, bien qu'il leurs faisait dos. Il vit Ina qui était accroupi tenant une chandelle dans le tunnel récemment découvert, s'arrêter retourner sa tête et le fixer. Peut-être de peur ou peut-être de rage, il ne pouvait le dire. Avec une honte d'avoir parler la langue qu'il détestait, il s'accroupi a nouveau et s’enfonça dans le tonneau aussi bas que possible pour ne pas avoir les yeux brûler par la fumée. Approchant Ina il lui dit:

-(Elfique) Cette langue seras plus facile pour communiquer qu'en commun. Désoler de m'être emporté, Syrynya n'approuverais pas. Est-ce que ses braillement de bébé vont finir, il va nous faire repérez. Si il ferma pas sa geule, moi je vais la lui fermez.

Il pris un moment en lui pour s'excuser auprès de sa déesse, il devrait rester calme si il voudrais un jour exercer sa vengeance et délivrer la justice et l'amour de sa déesse dans le monde. Il ne pu s'empêcher une pensée envers le bébé pleurant.

«Et si ce bébé avait été moi?»

PARCHEMIN
Jet de dés pour savoir si ma colère ne fait pas un sort au hasard sans le vouloir
Intelligence:
Jet de dés
1d20 + 1 = 7 + 1 = 8

écrit par: Baelsul Samedi 18 Novembre 2017 à 19h48
Faisant le tour de la pièce à plusieurs reprises l’Archer d’Agent se sentait un peu confus et perdu…

« Comment ouvrir ce foutu tonneau » lâcha-t-il alors qu’il était peu coutumier des grossièretés.

Il sentait toujours la présence perdue, prisonnière peut-être de la forme qu’il avait aperçue à l’extérieur… Ce sentiment d’impuissance était un des rares éléments qui pouvaient lui faire perdre le contrôle.

Et tout à coup, il fut envahi par un frisson glacial. La sensation qui avait empli Baelsul l’avait désemparée. Il était observé ? Il chercha des yeux les cendres qui voletaient. Puis le flou cendré et enfin le carreau ! Était-ce un carreau de la maisonnette ?

Puis cette image laisse place à celle d’un bébé, mais où était-il ? Se trouvait-il à l’extérieur ? Dans la charrette qu’on avait abandonnée en face de l’entrée de la Chaumière ?

Baelsul se laissa glisser sur le sol jusqu’à se retrouver assis sur le sol, le dos appuyé sur la paroi. Puis se ressaisissant il observa les cendres, la fumée provenant du tonneau pour essayer d’en savoir plus sur ces apparitions… Ne voulant pas alarmer ses acolytes, Baelsul se reconcentra et fit la traduction demandée par Xale. Après s’être rendu-compte qu’Ina avait parfaitement compris sans même avoir besoin de traduction, peut-être le groupe pourrait échanger plus facilement en elfique !

Frappé par la détresse de l’enfant, les cris avaient de nouveau saisit Baesul qui décida de s’engouffrer dans le tonneau à la suite de ses compagnons. En progressant par l’entrée formée par Kyu, il s’adressa pour le féliciter et en profita pour lui demander s'il parlait l'elfique.

Maintenant, restait à déterminer si le temps jouait contre la victime qui l’avait guidé dans le caveau et surtout à qui devraient-ils faire face !

L’avancée du groupe vers un but commun était primordiale pour maintenir l’esprit de coopération qui avait prévalu jusqu’à maintenant. L’entente cordiale entre chacun des compagnons pourrait peut-être se muer en complicité avec le temps.

Au fur et à mesure que le groupe s’enfonçait dans le tunnel Baelsul tenta de renforcer son attention pour détecter l’origine des cris du bébé ou une tout autre présence qui pourrait se manifester.


Cliquez ici pour dérouler le parchemin...

écrit par: Sunniva Dimanche 26 Novembre 2017 à 08h13
« O ami et compagnon de la nuit, toi qui te réjouis de l'aboiement des chiens et du sang répandu, toi qui erres au milieux des ombres parmi les tombes, toi qui es avide du sang et apportes la terreur aux mortels, toi seigneur Balkoth, lune noir des tréfonds inconnus, Ô grand mystère putride aux milliers de visages, accueille favorablement mes sacrifices. »

(Du guetteur Secret, Jehans, fils de Smylla)


Ils eurent bientôt fait de se retrouver à un endroit qui sur la gauche avait un autre corridor qui semblait aller plus profondément dans la noirceur mais leurs chemin continuait toujours en avant jusqu’au moment ou ils arrivèrent devant un corridor, a gauche, d’à peine trois mètres avec au bout une porte de bois franc avec le volatile qui se trouvait au devant. Des marques de griffes étaient visible sur le chêne rouge de la porte qui elle n’avait pas de charnière visible mais une serrure finement ouvragé au centre et aucune poignée.

Ina qui y avait été en douceur en prenant bien le soin de ne pas perdre la lumière de sa chandelle découvrait en avançant, que ce tunnel était ancien et en même temps impeccablement bien entretenu. Comment de tels tunnels dans des métairies aussi éloigné d’une ville? Puis un image lui vint, celle d’un tunnel qui sortait au beau milieux d’un désert de sable… La citée!!!

Xale était comme un poisson dans l’eau, l’environnement, l’éclairage un peu trop prononcé à son goût, il avait avancé dans l’ombre de la druide en disparaissant à quelque moment de la vue de Kyu qui pourtant fort alerte, et au yeux de l’archer qui lui tenait la lumière plus vive. Quand la lumière frappait la porte, le coeur de l’ex-prisonnier se mit à battre le tempo du défi; une porte sans charnière, sans poignée, avec seulement une serrure. À première vue, elle ne semblait pas ordinaire et était là l’emportement que ressentait le fils de Smylla.

Kyu en regardant la porte dit simplement…


-La porte ne cèdera pas aussi facilement que le petit couvercle du tonneau, elle est bien fabriqué de bois dur, à la tour de l’ordre du corbeau il y en avait une comme cela, très résistante et solide.-

Est-ce que cela avait aidé les autres ou à la cause, chose certaine son haleine n’allait pas pour le mieux, il reprit une autre bouchée de fromage à pâte ferme, ce qui fut la dernière et s’essuyait sur ses braies un genou au sol.

Baelsul tentait de repérer la source des pleurs et dans sa tentative négative il eut un tournis qui faillit lui faire perdre pied. Une vision lui vint et ce n’était pas celle d’un bébé pleurant sa vie, c’était la Chose qui était prisonnière d’un cercle magique. L’archer put facilement voir la pièce et il était persuadé que la vision qu’il avait était celle directement des yeux de la Chose. Une grande salle fait de bois orné de figures diverses était emplit de tablettes lourdement chargé d’une multitudes de pots, fioles, bols et contenant aussi étranges que différents. Devant la Chose se tenait un homme rabougrit aux cheveux blanc et à la peau presque flétrit, il semblait avoir milles ans et devant lui était ouvert un livre qui flottait dans les airs. Derrière lui l’âtre d’une cheminé grandiose était orné de pierre finement travaillé et à son centre un feu peu ordinaire; Il y avait dans les flammes un visage apparent, comme si la flamme était vivante. Baelsul ne senti pas de détresse mais bien un appel à venir libérer la Chose, c’était un ordre rien de moins. À la différence de ce que le Lunargentais avait vu peu de temps auparavant, la Chose n’était plus fait de cendre mais bien d’encre, une forme liquide qui laissait s’échapper des coulis au sol qui se tonifiait d’un noir jais. Auprès de la cheminé, une fenêtre laissait voir l’arrière plan extérieur, pour sur, la bâtisse était en hauteur, car les quelques pointes de montagnes visibles avait de la neige à leurs sommets et au loin il semblait y avoir une ville fortifié tout au bas des montagnes dans le début des métairies qui se laissait voir entre deux rafales de neige. Le possédé qu’était présentement l’archer était persuadé que la ville était Fort Olostin.

Nul ne put voir dans l’oeil droit du porteur de lumière, car tous étaient à regarder la porte de chêne rouge. Ce dernier c’était emplit d’un liquide noir jais et une lueur violacé y dansait tel le mal qui l’engendrait. Quand la vision fut terminé, Baelsul fut prit d’un frisson glacé avec un léger mal de tête coté gauche du cerveau, son oeil droit le démangeait et son souvenir n’était pas de bon augure. Il avait qu’une envie en tête, aller libérer la Chose. Ses racines anciennes et magique travaillait présentement fortement, à libérer l’emprise que la Chose avait sur l’un des enfants promis. Le Lunargentais venait de comprendre que si la Chose n’avait pas été fait prisonnière elle l’aurait sans doute possédé et manipulé. L’éclat violet disparut ne laissant aucune trace du liquide jais dans l’oeil droit puis une éclaire de vision lui apparut, c’était un bébé coucher dans un tiroir de bureau et emmitouflé ne laissant voir que le visage presque bleuté. Baelsul était persuadé que derrière cette porte, un caveau pratiquement identique à celui de la chaumière menait par un escalier étroit dans une maisonnette où attendait terrifié un bébé seul et abandonné. La maisonnette lui semblait vide et le feu de la cheminé était éteint. Suite à ses visions l’archer revint tranquillement à lui puis en regardant la main qui tenait la lanterne il vit sous sa peau, là ou passait ses veines des traits foncé qui pulsait au rythme de ses pulsations cardiaque. Instinctivement il baissait sa manche et regardait la porte devant eux. Un quelque Chose en lui l’interdisait d’alerter les autres aux propos de cette anomalie.

Makxilim qui venait à peine d’entrer de justesse dans la petite chaumière avant que ce froid démentiel le glace sur place, ne trouvait pas dans la présente, Sylvia et sa famille, seul les pleurs d’un bébé qu’il fut heureux d’entendre. Il savait que Sylvia était enceinte mais depuis sa dernière visite qui remontait déjà à trois lunes, il ne s’attendait pas qu’elle est accouché aussitôt. Le mage crût sur l’instant que l’apothicaire était avec le bébé pour le calmer et que son homme devait être dans l’écurie avec leur jeune garçon pour soigner le boeuf et les chevaux. Le néophyte des arcanes remarquait par-contre que le feux dans la cheminé était presqu’éteint, seulement quelques tisons frêles rougissaient nerveusement avec le vent qui venait d’entrer avec son arrivé et comme il connaissait plutôt assez bien les occupant, pourquoi pas les aider. Il saluait Sylvia avec tout la politesse voulut remit un feu convenable dans la cheminé et entendait toujours le bébé pleuré après sa courte besogne, il trouvait suspicieux qu’il n’ait pas reçu une réponse de l’hôte puis que le bébé puisse pleurer encore. Instinctivement la peur lui prit quand il s’imaginait que Sylvia et sa famille puisse avoir été prit à l’extérieur par ce froid anormal. Anormal n’était pas vraiment le bon mot car pour l’arcaniste qu’il était il avait remarqué la couleur violet hautement malsaine suivit de cette froideur magique. Il se tramait quelque chose d’important car cette électricité qui l’entourait depuis les premières éclaires lui prouvait que la magie déclenché avait une puissance sombre et puissante. Avait-il un lien avec les cauchemars qu’il faisait depuis un certain temps, possiblement et quand il y a un doute il faut agir comme si le doute n’existait pas: Lui avait dit un ami disparut autrefois. Il décidait donc d’aller voir la source des pleurs incessant. Il montait l’étroite escalier qui donnait accès au deuxième puis rapidement s’aperçu qu’il y avait un bureau finement travaillé que l’homme de Sylvia avait surement dû faire lui même et que l’un des tiroir était ouvert. Se tenait là un petit bout d’homme emmitouflé dans des lainages et fourrure. Le pauvre commençait à devenir bleuté. Le plus troublant fut de se rendre compte que personne d’autre y était. Cela n’était pas normal, vraiment pas normal, une mère ne laissa pas son jeune bébé aussi longtemps seul, ni même un père. S’interrogeait-il en songeant qu’ils devaient être dans le caveau, là ou toute les herbes et autre trésor de la nature se trouvait mais quand il était entré il avait bien remarqué que le tapis était à sa place, sur la trappe du caveau donc ils n’étaient pas là. La seul solution était l’écurie puis à ce moment la mage eut une peur, un sentiment qu’il était arrivé malheur à la famille.

Dans la chaumière de Martha, le quatuor de drow se régalait du civet qu’il restait dans le chaudrons. Ils n’avaient pas encore attaché le trio, sachant très bien que le poison en avait encore pour la demi journée à faire effet. en discutant entre eux, ils ne comprenaient pas comment cela se faisait que les frère Koltör n’y soit pas. Ils n’arrivaient pas à croire qu’un pouilleux de la forêt accompagné d’un loup et d’une erreur de la nature puisse avoir eut le poids sur les deux frères qui avaient déjà tuer quelque uns des leurs. L’un apportait que le charriot était renversé et que pour renverser un chariot de la sorte il aurait fallut au moins trois chevaux, l’autre était persuadé que les frères avaient été attiré par autre chose, son voisin ne dit rien et le dernier, le plus érudit et connaisseur des arcanes conclut que entité qui était passé avant eux dans le portail, devait avoir la réponse et il doutait que celle qui venait de la citée interdite puisse avoir survécu à une telle puissance. Il prit l’initiative de réveiller le pouilleux pour avoir plus d’information, ensuite il le tuerait et interrogerait l’homme lion, si il savait parler, le loup serait pour le déjeuner.

Syrynya regardait la scène, attendant le bon moment. Son libérateur n’était pas là mais pas loin, la menace était moindre, alors elle gardait sa force pour l’instant où il serait judicieux de l’utiliser. Une partie d’elle s’approchait de Xale, elle observait sa concentration, ses yeux étaient rivé sur la serrure, la sorcière bâtarde de Domel s’approchait et murmurait à l’oreille gauche de l’évadé.

*Sauver la vie qui pleure. Garde tes arrières, plus sombre que les Koltörs ne sont pas loin. Suivez la fumé et rester à la lumière. La Chose ne restera pas prisonnière longtemps, je dois m’en occuper. *

Xale senti sur ses lèvres un baisé puis l’odeur de Syrynya venait couvrir l’haleine de Kyu.

écrit par: Nersharr Dimanche 26 Novembre 2017 à 14h28
Les picotements, les sensations étranges, la lourdeur de l'atmosphère...
Plus il y réfléchissait et plus la solution s'éloignait de lui, bien que l'homme chat était certain d'avoir eu connaissance de quelque chose de ce genre. Il luttait comme il le pouvait contre l'évanouissement qui semblait vouloir prendre le dessus, mais rapidement son instinct de survie prit le dessus et le poussa à se recroqueviller sur lui-même, comme pour apporter une protection la plus importante possible à ses organes vitaux.

Alors qu'il se sentait sombrer, il lui sembla comprendre ce qui était en train de se passer.


¤ Les picotements, la douleur, l'air irrespirable... Mais bien enten... ¤

La solution n'eut pas le temps de se former dans son esprit, car il perdit conscience à ce moment précis ne sentant ni n'entendant plus rien. Le néant, perdu dans son inconscient.

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Nersharr se releva. Il ne savait pas combien de temps il était resté ainsi allongé, mais la couche de poussière qui l'avait recouvert, ainsi que le sol, était vraiment épaisse. Il avait donc dû rester probablement plusieurs semaines... Comment avait-il pu survivre à cela ? Il n'en avait pas la moindre idée. L'homme et le loup qui étaient avec lui avaient tous deux disparus. Leurs empreintes recouvertes par la poussière ne lui permettaient pas de savoir s'ils s'étaient enfuis en le laissant là ou si les choses s'étaient déroulées autrement.

L'éclaireur était prêt à jurer que les autres aventuriers qu'il avait croisé étaient descendus par une trappe, sous le tapis qui se trouvait à côté de lui, hors il n'y avait plus de tapis et plus la moindre trace d'une quelconque trappe. C'est perdu dans ses pensées que l'hybride se releva, douloureux, mais à priori sain et sauf. L'air n'était plus empli de froideur et il ne se dégageait plus de l'atmosphère quoi que ce fut d’effrayant. Le soleil qui entrait dans la demeure par les fenêtres ouvertes laissait entendre qu'une belle journée allait se dérouler devant lui. Pour une raison qu'il ne comprenait pas, il n'était pas inquiet pour ses compagnons et décida de reprendre la route qui l'avait mené en ce lieu.

C'est donc confiant et serein qu'il quitta la demeure dans laquelle il se trouvait. A peine fut-il au dehors que tout son univers s'effondra... Les cadavres de tous les aventuriers qu'il venait de croiser étaient abandonnés sur le sol laissés à des charognards dans un spectacle qui lui retournait l'estomac. Il avait déjà vu des scènes similaires, quoique tout de même beaucoup moins sanguinolentes, mais malgré cela il ne parvint pas à retenir un haut le cœur et le vomissement qui vint avec... Pour une raison qu'il ne parvenait pas à s'expliquer, il était pétrifié par la terreur et ne parvenait pas à bouger... Soudain apparut devant lui la créature intangible et effrayante qu'il avait vu peu avant d'arriver. Celle-ci s'insinua dans son esprit pour s'adresser à lui.


- Jamais tu ne les commanderas.

Puis, apparut entre les griffes de la créatures, le père de Nersharr, le visage déformé par la terreur et la douleur, hurlant et rugissant de toutes ses forces. La créature commença à tirer d'une main la tête et de l'autre le torse, comme pour déchirer le vieil homme-lion en deux. A nouveau elle s'adressa à lui, dans sa tête.

- Jamais tu ne les reverras. En vie...

Puis elle tira un coup sec...

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Pendant ce temps, alors que Nersharr, éclaireur du clan Lion Rugissant était en train de faire le pire de tous ses cauchemars, le quatuor d'elfes noirs était en train de déterminer, autour d'un bon civet, comment et dans quel ordre ils élimineraient le druide, son compagnon et l'éclaireur qui se trouvaient inconscients sur le sol.



PARCHEMIN
Jet de volonté :
Jet de dés
1d20 + 4 + 5 + 5 = 3 + 4 + 5 + 5 = 17

Jet de perception :
Jet de dés
1d20 + 10 + 5 + 5 = 20 + 10 + 5 + 5 = 40

écrit par: Makxilim Lundi 27 Novembre 2017 à 10h25
L’œil presque collé à la fenêtre le magicien regardait la terrible tempête qui sévissait. Une abomination. Il essaya de se souvenir d’un tel déchaînement des éléments. Mais ce froid n’était pas naturel et que dire de la teinte des éclairs qui animaient le ciel ? Non, rien de cela n’étaient naturels.

Il prit bien garde à ne pas toucher les vitres qui de l’extérieur voyait déjà une pellicule de glace se former. La demeure tenait bon, pour le moment, mais il fallait en être conscient celle ci n’était pas des plus solide.


- Ahhhh... ! Le bébé !

Les pleures du nourrisson le sortirent de sa réflexion. Il alla aussitôt le rejoindre à petite foulé. Le pauvre bambin avait une couleur anormalement bleuté. Il faut dire que la pièce n’était pas bien chaude, Makxilim avait lui-même gardé son long manteau et celui-ci n’était pas de trop. Il tata les joues du petit en pleur d’un doigt maladroit qui traduisait son manque d’assurance de cette situation.

* Mais où sont-ils ? *

Il regardait frénétiquement de droite à gauche, penché au dessus du lit improvisé, il été dépassé par les cries du bébé espérant voir surgir d’un moment à l’autre l’apothicaire, sa mère, qui aurait sut instinctivement le calmer et Makx par la même occasion.

- Chut ! Chut ! Tout va bien. Attends.

Il plaça ses mains à plusieurs reprises sur le bébé essayant de trouver la meilleure prise pour le prendre. Il s’était enfin décidé à s’occuper du petit et à l’emmener dans la pièce principale prêt de l’âtre qu’il venait de raviver.

- Aller on se calme, petit dragon bleu ! Viens voir tonton Lim. Tout va bien.

Il réussit à porter le bébé de Sylvia, en prenant bien soin de soutenir sa tête. Ce simple geste lui donna du baume au cœur comme s’il venait d’effectuer un acte de bravoure hors du commun.

- Tu es gelé, mon petit. On va arranger ça. Mais par les cries des harpies. Tais toi.

Le petit dans ses bras le mage descendit dans la pièce principale, les pleures du bébé alimentés son stresse. Il alla se mettre près de la cheminé où les braises ranimés apportées tout de suite une chaleur bienveillante.

Machinalement Malxilim, berçait maladroitement le bébé pour espérant enfin le calmer. Toujours personne. En même temps il était inimaginable que la famille surgisse maintenant de nul part avec cette tempête. Il reporta son regard sur le tapis qui masquait la trape comme pour s’assurer que celui-ci n’avait belle et bien pas était bougé.


* Ils n’étaient donc visiblement pas en bas *, Il n’avait plus qu’a espérer qu’ils étaient réfugié dans l’écurie.

Son mauvais pressentiment grandissait en lui. Les cauchemars des dernières nuits l’avaient plus ou moins amenés ici, et cette tempête qu’il en était sûr n’avait rien de naturel, apportée du crédit au fait qu’il était au bon endroit. Mais le fait de se retrouver seul là a s’occuper d’un bébé bloqué dans cette maison par une tempête magique ne faisait pas partie du plan. Avait-il seulement eu un plan ?

Et le petit dragon bleu, comme il l’avait surnommé, qui ne cessait pas de pleurer et de crier. Comment une aussi petite chose pouvait-elle faire un pareil boucan ? Le magicien s’en voulut d’avoir seulement pu imaginer quels sorts il connaissait pour le faire taire. Il chassa ses mauvaises pensées en berçant un peu plus fort le nourrisson et commença pas chantonner une chanson qu’il tenait de sa mère. Dépourvu de don artistique, la comptine à défaut de calmer le bébé en pleur, apaisait le mage.



PARCHEMIN
Makxilim face aux évènements étranges effectue un test de Connaissance : Mystère.

écrit par: Ina Mardi 28 Novembre 2017 à 21h46
Ina avançait dans ce couloir impeccable. Tout n’était pas normal dans sa vie et déjà pour elle vivre dans des arbres a Thuldae était une chose étonnante, mais un couloir aussi finement ouvragé et tenu comme si on y faisait le ménage deux fois par jours, c’était une autre paire de manches.

Elle en venait à croire de plus en plus cette histoire de cercle d’argent. Ça ne pouvait pas être une coïncidence tout ça.

Xale était sur ses talons, et siffla une petite phrase peu engageante pour la survie du petit qui pleurait. Pour l’instant, elle laissa couler l’affaire. La priorité était de se concentrer sur l’endroit où se trouvait cet enfant.


¤Bouge pas mon cochon, si tu touches à un seul cheveu de cet enfant, je te découpe en tranches. Tous ces tunnels, ça me rappelle cette maudite citée et un désert. Un désert ? Il me semblait que j’était dans des tréfonds ou un truc comme ça. Ça n’a plus de sens toutes ces affaires. ¤

Une fois devant la porte, Ina s’approcha se sa compagne et la siffla doucement pour lui demander de revenir sur son épaule. Elle n’aimait pas voir un oiseau aussi petit s’attaquer à une porte aussi grosse.

-Reviens ici toi, petit volatil. Tu m’as fait une peur bleue en fonçant tête baissée comme ça. Voyons quand même ce que tu as trouvé petite futée.

Elle s’approcha de la porte et mis son cerveau en ébullition comme elle avait pu le faire pour les tonneaux. Le grain du bois, la taille, la serrure. Elle passa même quelques secondes à regarder par ce trou de serrure. Pendant son inspection, et n’y connaissant malgré tout rien en crochetage, elle s’adressa a Xale qui était encore avec elle.

-Peut être une occasion de te refaire. J’ai le souvenir que tu as tenté de crocheter la serrure de la cariole tout à l’heure. Peut-être celle-ci t’inspirera plus. Cette fois ci t’as même pas le froid pour te piéger. Mais t’as pas non plus la clé magique alors…

Laissant un peu de place pour que le jeune demi puisse accéder à l’objet de convoitise, elle continua son inspection.

PARCHEMIN
Art de la magie :
Jet de dés
1d20 + 7 = 17 + 7 = 24

Connaissance nature (pour le bois)
Jet de dés
1d20 + 12 = 13 + 12 = 25

Perception (pour les pièges et les détails)
Jet de dés
1d20 + 11 = 13 + 11 = 24

écrit par: Baelsul Samedi 02 Décembre 2017 à 16h44
Tout hébété, tout retourné par la vision qui venait de s’offrir à Baelsul, ce dernier tituba quelque peu et chercha à s’appuyer contre le mur pour garder son équilibre. Quelques secondes passèrent avant qu’il reprenne totalement ses esprits. Il avait besoin de pouvoir échanger pour clarifier ce qu’il venait de vivre, parce que tout cela n’avait à priori que peu de sens pour lui…

Pourquoi l’ombre planante, la Chose, qui avait causée, ou avait semblé causer tant de dégâts, de destruction et de déchaînement des éléments se retrouvait-elle prisonnière ? L’homme de la vision était-il un bienfaiteur ayant réussi à la maîtriser, ou plutôt un être maléfique contrôlant à dessein la Chose.

Puis le contact avec l’ombre planante persistant revient, il devint tout à coup convaincu qu’il devait libérer la chose ! Était-ce elle qui émettait ces pleurs d’enfants ? Non ce n’est pas possible, les pleurs sont trop proche et l’encre ombreuse se trouvait au sein d’un tour de Fort Olstin ! Soudaaint la vision du bébé dans une autre chaumière confirma à Baelsul sa dernière pensée.

Tout en réfléchissant l’Archer d’Argent s’était bien garder d’exprimer ses pensées à ses acolytes. Il eut été tenté, mais les traces de jais apparues sous sa peau avaient terminé de l’en dissuader. Ses compagnons auraient-ils pu voir en lui un esprit empreint de sorcellerie ? Cependant, il ne fallait plus perdre de temps et confirma ce dont le groupe était à la recherche :


- Nous devons vite briser ou trouver un moyen de passer cette porte, elle mène à une chaumière du même type de celle d’où nous venons, l’enfant s’y trouve seul et je crains qu’il ne meure de froid rapidement.

Voyant ses compagnons affairés autour de la porte, l’elfe resta en retrait, ayant bien peu de compétences utiles face à ce genre d’obstacles. Il se contenta de décrire à Kyu la forme de la pièce qu’il avait entrevue dans sa vision. Sait-on jamais, si quelqu’un s’y trouvait mieux valait être en position de pouvoir se défendre.

écrit par: Xale Mardi 05 Décembre 2017 à 01h02
L'odeur et le baiser de syrynya avait donner un regain d'énergie et de confiance a Xale, un léger sourire avait également apparu sur les lèvres du demi.

«Si syrynya me demande de sauver le bébé qui pleure, alors je sauverais le bébé qui pleure! Mais pourquoi? il ne feras que nous amener des problèmes et nous ne passerons pas inaperçu avec un enfant!»

Pendant un instant il mis en doute les paroles de sa déesse. Aussitôt la pensée arriver, aussitôt il la sortie de sa tête.


« Que penserait-elle de moi si je ne fais pas ce qu'elle me dit, je lui doit la vie pour m'avoir appris qui je suis!»

Les paroles qu'avait dit Kyu était vrai, la porte semblais bien travailler et la serrure ne semblait pas être aussi simple que celles de certains villages, il vis qu'elle lui donnerais du fil a retordre. Il se mis a inspecter la serrure de plus près, maintenant qu'Ina lui avait céder le passage. Ces paroles lui avait donné un plus de motivation, jusqu'à présent il n'avait pas réussi a crocheter une serrure et cela L'avait mis hors de lui.

-(elfique) Si j'ouvre la serrure tu me montreras comment apprivoiser un animal comme le tiens?

Le fait qu'il demande quelque chose a un autre être signifiait beaucoup pour le demi. Où certains n'y aurait vu qu'une rivalité cocasse ou bien un pari entre connaissances banal, exprimait pour le demi un début de confiance envers la druide. Sa confiance n'étais pas quelque chose de facile a acquérir, mais il sentais au profond de lui qu'elle ne l'aurait pas trahi pour une poignée de cuivre ou une fiole de vin. Il sentait même l'appui de syrynya qui le soutenais dans sa volonté de faire confiance en autrui. Cela lui faisait du bien, même si il le cachait au plus profond de lui. Il repris son inspection approfondie de la serrure pour voir si il décèlerait une faille dans le mécanisme ou bien un indice qui lui montrerais la meilleure manière de la travailler. Pendant près d'une heure il examina le mécanisme avant de se lancer dans son métier.
PARCHEMIN

jet de dés pour examination de la serrure
Jet de dés
1d20 + 4 = 13 + 4 = 17


jet de dés pour le crochetage
Jet de dés
1d20 + 4 = 11 + 4 = 15


écrit par: Sunniva Mardi 05 Décembre 2017 à 03h20
"Puis vient le jour des révélations de l'Apocalypse, où l'on comprend qu'on est maudit, et misérable, et aveugle, et nu et alors, fantôme funeste et dolent, il ne reste qu'à traverser les cauchemar de cette vie en claquant des dents."

( Citation du père terreux à sa cent sixième années d'anniversaire.)

L’inspection de la druidesse lui permis d’en savoir plus encore sur cette porte. Elle était bien fait de chêne rouge plutôt rare dans la région et avec attention, il y avait les même motifs que sur le couvercle du tonneau, à la différence que la porte entière en était couverte. Les motifs de la roue à neuf rayon s’entrelaçaient du haut jusqu’en bas; un pur chef d’oeuvre de réalisation. La serrure devait avoir été forgé par les nains les plus habile car elle possédait d’après la druide, trois métaux différent finement travaillé. Il ne semblait pas y avoir de piège et la jeune fille était persuadé que la porte ouvrirait vers l’intérieur. À bien y regarder les serres de son volatile n’avait en fait qu’effleuré la surface de la porte et à encore bien y regarder il semblait que la porte se guérissait des égratignures qu’avait causé son compagnons animal: Les grafigne se refermaient doucement, comme si la porte était vivante. Son regard plus magique lui apprit qu’effectivement, il y avait en cette porte une magie naturel, elle savait que certain druide utilisait des portes de ce type qui avait en elles un esprit sylvestres qui opérait avec un mot de passe ou autre.

Baelsul jouait bien son jeu et ne voulait surtout pas alerter ses compagnons d’infortune nouvellement rencontré. Le Lunargentait prit l’initiative de faire part de ses visions aux propos de la chaumière et du petit en mettant un accent sur les détail auprès de Kyu qui une fois fait, ce dernier changeait d’attitude; son air devint grave ce qui lui donnait un air mauvais.

Xale ne vit pas le temps passé, sa concentration était à son comble et rien ne l’aurait distrait. Son inspection de la porte lui apportait plusieurs avenue pour l’ouvrir mais avec les outils qu’il avait sur lui il ne restait que peu de possibilité. Il tentait une manoeuvre osé en étudiant les moindres changements dans l’évolution du crochetage de la serrure qu’il ne verrait surement plus jamais. A un moment il crut avoir déclenché un piège puis il senti une forme d’énergie se déclencher puis celle-ci se dispersait dans le reste de la porte. Les goutte de sueurs qui perlaient sur son front le chatouillait mais il restait concentré jusqu’au moment ou la pointe dentelé de son outil de la main droite se coinçait et pliait légèrement. L’impasse car le clic sonore entendu laissait entendre aussi un claquement méthodique inquiétant. Sachant qu’il venait de déclencher un mécanisme il crut sur l’instant qu’une catastrophe allait poindre puis il senti sur lui une brise légère et primtanièere; Syrynya avec son odeur incomparable était présente. La brise pénétrait dans la serrure et l’outil de sa main droite fit un demi tour sans se briser et la porte avançait d’un doigts, c’était ouvert.
Une voix rieuse lui soufflait quelque mots... "Le monde est dur et impitoyable. Il exige des compromis de la part de ceux qui souhaitent emprunter leur propre voie. Ne compte que sur toi-même pour te protéger, car la trahison est facile. Use de camouflage, de tromperie et de secret Suit la voie du Loup Solitaire, car c’est celle de l’indépendance. N'oublie jamais mon libérateur, tes racines seront toujours celle qui te hisse en dehors des ténèbres." Xale restait de marbre en même temps qu'un frisson le parcouru.

La porte s’ouvrit vers l’intérieur laissant à loisir les effluves florales faire leurs travaille d’émerveillement, par la suite les odeurs plus diverses vinrent chatouiller les narines des aventuriers. La lumière entrait parcimonieusement à l’intérieur laissant voir une multitude d’étagères emplit de différent pots, de fioles de contenant, de caisses, boites et milles et une autres choses qui s’apparentaient à un entrepôt d’apothicaire. Modeste, le caveau était frais et sec et semblait d’une grandeur très surprenante pour un tel lieux.
La lumière qui perçait la noirceur laissait entrevoir un escalier étroit qui était muni d’une rampe et ce, au milieux de la pièce, elle était au centre des étagères qui formait presqu’un labyrinthe.

Dans la chaumière, les pleurs incessant perçait le silence des lieux , Makxilim avait beau chercher une raison aux pleurs n'y parvenait pas, par-contre il était persuadé que la magie déclenché par les éclairs venait d'un plan sombre, si ce n'était pas directement d'un des enfers. Ses pensées creusait sa mémoire qui parmi la multitude d'écrits que le mage avait put lire, le guidait vers une noirceur puis un nom lui vint; Furcas, l'un des 8 seigneurs de guerre présent depuis l’origine du conseil celui qui serait en charge de toutes les relations avec les mortels, le recruteur, celui qui lors d'un contrat, avait sa part sanglante à la fin de la signature: Les 8 sombres!!! S'exclamait-il intérieurement.

Ina qui avait un brin plus de maternité en elle reconnu des pleurs d’inconfort puis doucement l’intensité baissait d’un cran et pour Kyu qui avait des oreilles sensible il arrêtait net son avancé pour mieux écouter, puis tous purent entendre une comptine maladroitement chanté par une voie masculine. Kyu lâchait une espèce de grognement de mécontentement et ne perdit pas de temps pour ouvrir la trappe et faire irruption dans la pièce. Le tapis volait un peu plus loin laissant la poussière danser dans les rayon de lumière du feu de la cheminée. Makxilim eut un sursaut et en se retournant il y vit un demi-orque qui une fois le voyant parut bizarrement mal à l’aise.

Nersharr qui dans son cauchemars luttait contre les affreuses images et sentiments qu’il vivait, prit connaissance qu’il entendait une conversation, une langue impure, guttural qui tranquillement devint compréhensible. Au même moment il vit dans se cauchemars une forme lumineuse qui en passant au travers de cette Chose cendré la fit disparaître. Le voile diaphane serpentait dans l’air laissant sa lumière d’or emplir les yeux de l’homme chat. Se fermant les yeux pour ne pas être aveuglé, il crut sur l’instant qu’il était réveillé, mais le fait de voir son corps couché en position identique à celle de Draak auprès de lui et le corps du druide, il comprit que ce n’était pas qu’un cauchemars, le rêve prenait place. Son regard se portait sur le reste de la pièce qui n’avait plus de murs, laissant la neige entrer mais la température était clémente et même confortable. Un quatuor de drow se tenait autour d’eux, délibérant de l’avenir incertain de ceux qui dormaient. La stupéfaction de l’éclaireur était à son comble quand le voile d’or vint passer entre les drows, seul celui qui avait parlé le dernier semblait reconnaitre que quelque chose se tramait, étant sensible à la magie il suspectait une présence. Il cessait de parler puis fit des gestes arcaniques rapide dessinant devant lui une kabbale incertaine. Pour la première fois de son existence, Nersharr entrevoyait la puissance de la magie à l’état pure devant lui, l’essence naissait de tout autours puis le voile doré aspirait l’essence pour la retourner sur l’arcaniste drow qui sur le coup semblait déboussolé. Bouche béat le mage prit place sur l’une des chaises de ‘endroit puis dit simplement aux autres de se préparer à partir, car il venait d’avoir un message de rejoindre les leurs, c’était urgent. Le trio qui l’accompagnait eurent l’air de ne pas comprendre mais ne discutèrent pas les ordres de leurs supérieur. Celui qui n’avait dit mots, se levait puis allait enfoncer son poignard de botte entre les côtes du druide couché auprès de son loup et en fit de même pour la bête et l’homme chat. Celui qui rêvait senti la lame le transpercer et en même temps la douleur était tolérable et il savait pertinemment que le poignard n’avait pas touché d’organe vital. La lenteur avec lequel le drow avait fait ses gestes gratuits en disait long sur ses racines puis tous s’approchèrent du mage, comme si ce dernier avait une quelconque protection puis ils sortirent laissant la porte ouverte qui n’avait pas de mur pour la retenir. Le voile doré passait au travers du corps de Malarik pour ensuite passer dans celui du loup et finalement celui de Nersharr, ensuite allait fermer la porte puis arrêtait devant l’homme chat. Un visage d’une beauté incomparable apparut et le regard merveilleux entrait dans celui qui rêvait; il s’endormit de nouveau laissant le voile d’or le réchauffer.

Une langue léchait le visage de Nersharr accompagné de pleur animal. Quand l’éclaireur solitaire ouvrit les yeux, c’était le loup qui une fois l’homme lion réveillé allait se coller sur le corps endormi du druide. La blessure de se dernier avait cessé de saigner et il était vivant, tout comme le loup. Le feu n’avait presque plus de flamme et il faisait noir à l’extérieur. Une douleur où la lame avait passé dans son rêve, était présente et quand le coureur d’aventure inspectait sa blessure, elle était bien là et ressemblait à une blessure que l’on avait pansé. Combien de temps c’était-il passé? Il ne pouvait le dire. Mais d’où venait cette blessure!? Était-ce bien des drows ou ce n’était qu’un cauchemars?.


PARCHEMIN

Jets d'Ina réusst .

Jets de Makxilim mystère.
Jet de dés [fixe]
1d20 + 4 = 14 + 4 = 18
.

Jets de Xale +? = réussit.

écrit par: Baelsul Mardi 05 Décembre 2017 à 21h52
Pendant que la druidesse et le roublard auscultaient l’obstacle, Baesul fredonna un chant de courage que lui avait appris son oncle au cours de leurs escapades en forêt. Cela lui permettait de patienter tout en reprenant totalement ses esprits suite aux visions qu’il avait eues.

La dextérité dont avait fait preuve le compagnon demi-elfe pour ouvrir la porte relevait du secret pour Baelsul. Tous ces systèmes mécaniques représentaient un mystère et il n’en appréciait que plus les talents de son congénère.

L’attitude de Kyu avait évoluée suite à la description de la scène. Malheureusement ça n’était pas la volonté première de l’Archer ! Celui-ci souhaitait seulement qu’on se prépare à ce qui pouvait advenir pour venir en aide au plus vite au jeune être en pleur.

Lorsque la porte fut ouverte, le lunargentais découvrit, comme il l’avait vu, une pièce richement garnie en ustensiles et en essences florales. Cet évènement laissa vite place à un chant maladroit, qui n’était en rien une berceuse mais semblait calmer le bébé dont les pleurs s’étaient amenuisés.

Alors que Kyu entama son ascension au rez-de-chaussée de la première, Baesul lui emboîta directement le pas. Il voulait avoir le cœur net et surtout être en mesure d’intervenir, que ça soit pour protéger le bébé ou son nouveau compagnon kyu. Dans ce genre de mésaventure, la petite expérience du groupe l’avait prouvée, c’est ensemble qu’ils surmontaient les obstacles.

Sur le qui-vive, le demi-elfe arriva au niveau de la trappe peu après Kyu. Scrutant l’humain qui portait l’enfant, il se rendit-compte que son attitude paraissait protectrice. Peut-être qu’aucune affection ou lien filiale unissait les deux individus, mais malgré la maladresse de sa comptine, une bienveillance apparaissait.

Alors, Baelsul pris la parole dans le but de se présenter :


- Pardonnez cette intrusion dans la chaumière, mais nous avons entendu des cris et nous sommes accourus ! Nous cherchions refuge face à la tempête qui s’est déclenchée et nous avons pensées que les l’être aux pleurs pouvait avoir besoin du même aide que nous.

Espérant la réponse de son interlocuteur, l’archer relâcha ses muscles et ses mains, prenant une position plus ‘pacifique’ que celle de son acolyte demi-orc. Pendant ces courts instants, Baelsul en profita pour observer la pièce, à la recherches d'indices sur ce qui avait pu se passer.

Cliquez ici pour dérouler le parchemin...

écrit par: Xale Mercredi 06 Décembre 2017 à 02h00
La sueur perlait encore sur le front de l'ancien esclave. Il avait réussi, restant accroupi, son visage resta de marbre et aucune expression ne se lit sur son visage. En son intérieur il sautait de joie, de un il avait réussi a ouvrir la porte, de deux sa bande et lui n'était pas morts par sa faute et de trois Ina lui devait maintenant une faveur. Les paroles de sa déesse le rassurèrent, en étudiant attentivement chacun de ses mots. Il était certain maintenant de la voie qu'il devait suivre. Pour la première fois de sa jeune vie, il avait un but autre que la vengeance. La méfiance qu'il avait acquis depuis tout jeune et les habiletés qu'il avait travaillé lui serait maintenant utile pour son vrai but. Il devait suivre sa voie, celle du loup solitaire de Syrynya, sa déesse de l'amour, de la vie et de la mort. Il devrait prêcher le renouveau, tout comme l'odeur et la douceur printanière de la grande louve. Les multiples cicatrices recouvrant son dos et son oreille mutilé semblais lui donner des frissons. Aussitôt la porte ouverte, il entendit le cri du bébé pleurant et y décelas une autre voie. Se rappelant les paroles de la grande louve, il savait qu'il devait porter secours au bébé et offrir le cadeau du renouveau a ceux qui lui en voudrait du mal. S’apprêtant a se relever, il sentit une grande masse le bousculer et passer devant, il n'avait même pas entendu le grognement de l'orque. Puis Baelsul le suivait d'un pas proche. Il se repris et bondit vers l'escalier. La trappe était maintenant ouverte grâce a kyu. La poussière avait a peine eu le temps de retombé, que Baelsul s'était introduit et excusé.

«Il faut attaquer d'abord poser des questions ensuite, nous devons protéger le bébé. Par syrynya, je vais devoir lui montrer qu'il ne fait faire confiance a personne!»

Il sautas et sortis de la trappe et y vis un homme a la barbe marron et coiffé d'un chapeau pointu. Xale ne posas pas de question et n'attendis pas que l'homme ai eu le temps d'attaquer soi le nouveau né ou ses compagnions. Il sortis un de ses kukris et le lancas vers les cuisses de l'homme pour le forcer a se mettre a genou
x.

-(elfique) Il faut protéger le bébé!

Criat-il a ses comparses qui était debouts en train de fixer la scène. Il empoignas aussitôt son deuxième kukri dans sa main droite et fondit sur l'homme en vue d'enlever le bébé des mains de l'homme et de se positionner derrière lui pour lui mettre la dague au cou.


PARCHEMIN
jet de dés lancer de kukri
Jet de dés
1d20 + 3 = 9 + 3 = 12
(+3 dex)

jet de dés pour enlever le bébé des mains de l'homme et se mettre derrière lui
Jet de dés
1d20 + 6 = 7 + 6 = 13
(+3 dégré en agilité, +3 dex)

écrit par: Makxilim Jeudi 07 Décembre 2017 à 10h46
*FURCAS !... Les 8 sombres…*

Le Mage bercé toujours l’enfant, mais ses pensées étaient ailleurs, la berceuse qu’il chantonnait maladroitement l’avait replongé dans ses pensées sur ce sinistre et mystérieux orage qui ne présageait vraiment rien de bon. Et ce souvenir, non, plutôt cette sensation de mauvais présage.

- Les 8 sombres. Finit-il par se chuchoter.

Au même instant le tapis qui masquait la trappe vola dans la pièce arrachant un sursaut au Mulanien qui en même temps resserra sa prise sur le nourrisson. Le bon du mage réveilla Fidget, le familier aux ailes membraneuses qui se réchauffer, la tête vers le bas accrocher comme a son habitude sur le rebord arrière du couvre-chef de son maître, s’envola visiblement dérangé plus qu’apeuré. Le nuisible alla se re-lover dans ses ailes agrippés dans un coin du plafond bien à l’abri cette fois.


- Que diable est-ce ?

Sa torpeur se traduisit par l’apparition d’une tête d’orque loin d’être accueillante. Makxilim qui avait des antécédent s avec la race sauvage se mit tout de suite sur la défensive tenant le bébé de son ami maintenant comme il le pouvait dans son bras gauche et dégaina son gourdin fermement dans son autre main. La surprise de l’invasion n’avait pas laisser le temps au mage de prendre le recule nécessaire pour l’utilisation d’un sort quelconque, la proximité l’obliger à se préparer a une attaque au corps à corps.

Toujours en alerte, l’orque fit place à un elfe qui se voulait beaucoup plus amical. Ce dernier n’adoptait pas une allure agressive et semblait même ne pas vouloir de mal. L’inquiétude du mage était toute fois bien réelle et cette brusque intrusion, alors que ses amis et parents du bébé était introuvable et laissait imaginer le pire, n’arrangeait en rien l’état de stresse que vivait le mage.
Il pointait son gourdin d’un individu à l’autre, n’écoutant même pas les paroles pacifique de l’elfe.


- Qu’avez-vous fait de Sylvia et de sa famille ? Où sont-ils ? N’approchez pas ? Qui êtes-vous ? Sont-ils en vie ? Questionna t’il nerveusement.

Puis soudain un troisième énergumène sortie de la trappe et se rua vers lui en lui lançant un projectile, que sur l’action Makx n’eu même pas le temps d’analyser. Par réflexe plus que anticipation, le mage placa en barrage son gourdin entre l’assaillant et le bébé comme protection et se décalla voulant éviter l’attaque en direction de la tabler afin de mettre celle-ci entre lui et les trois barbares.


PARCHEMIN
Makx se déplace espérant esquiver l’attaque.

écrit par: Ina Samedi 09 Décembre 2017 à 11h11
La porte s’ouvrit. Soit par magie soit par un exploit du l’ex-esclave mais toujours est il qu’elle s’ouvrit. Cette porte avait encore les signes de cette organisation druidique peu connue. Ina continua de regarder quelques secondes la porte alors que ses compagnons se ruèrent dans la maison.

¤Pfff misère, quel manque d’éducation, c’est terrible. On est pas chez tata Jeanine !!! Enfin, ya un enfant en jeu, peut-être qu’on peut se laisser aller pour cette occasion ?¤

Kyu ouvrit la trappe avec un coup d’épaule qui fit valser avec fracas le tapis qui se trouvait dessus, mais ensuite plus rien de sa part. Baelsul commença à parler de façon plus calme et posée. Enfin un qui n’avait pas oublié sa bonne éducation chez lui.

¤Un orc et un demi-elfe qui se pointe chez moi par la trappe, je te garantie qu’ils se seraient pris un coup de flammes avant même d’avoir pu parler. On a de la chance là-dessus. ¤

Et finalement Xale se précipita. La jeune femme ne savait pas qui se trouvait au-dessus, mais si Baelslu parle à quelqu’un on peut imaginer que ce quelqu’un est suffisamment humanoïde pour prendre soin de l’enfant.

Pourtant la réponse de ce qui semblait être un homme n’augurait rien de bon.


¤Sylvia ? Lui non plus ne semble pas être le propriétaire de la maison. Par contre il connait les habitants¤

Marchant tranquillement après Xale elle monta les marches sans se presser. Mais lorsque Xale cria qu’il faut protéger le bébé et qu’il en profita pour sortir ses armes, la situation passa d’un simple malentendu et différent de propriété à :

-Par les baloches de Sylvanus ! Xale !!!

Finissant de monter les marches elle découvrit un spectacle plus qu’inquiétant. Xale s’était déjà lancé dans la mêlée face à un inconnu au chapeau pointu qui tenait dans ses mains le petit convoité. Les autres visiblement furent surpris par cette idée saugrenue d’attaquer sous prétexte de protéger le bébé. Par un sifflement rapide Ina fit s’envoler sa compagne de son épaule, qui trouva sagement un perchoir sur une poutre de la maison.

Le matin, elle s’était sentie capable de se transformer en aigle géant. Cette prouesse effectuée, elle se sentit vidée de cette magie qu’elle ne connaissait que trop peu. Pourtant devant l’action de l’instant, ce sentiment de bestialité remonta en elle à la vitesse de l’adrénaline pulsant dans son cœur. La forme d’un ours noir s’imposa à son esprit, presque d’elle-même. La protection d’une mère ours pour ses enfants est une force qu’il vaut mieux ne pas défier sans y être bien préparé. Mais qui serait assez fou pour le faire naturellement ? Sentant la puissance de la nature affluer en elle, contenir un nouveau changement de forme lui demandait de calmer ses ardeurs. Elle ne tiendrait pas longtemps.

-Xale, si tu ne veux pas subir le courroux d’un ours aussi enragé que moi je te conseil vivement de rengainer ton arme et de ne plus bouger une oreille !!!

Le ton de sa voie n’était pas le même que d’habitude. Plus sombre, plus grave et d’une fermeté qu’elle ne se connaissait pas tellement. Elle avait déjà braillé des ordre ou des invectives mais elle ne changeais pas sa voie ainsi d’habitude.

écrit par: Sunniva Lundi 11 Décembre 2017 à 18h17
« XxYss gqqlfcbzzm Ldwwpthkk qQPmvssn GrrlKkgwWpx. »
(Citation gravé dans la porte de fer dragon d’ORrgNifff, Nycaloth solitaire envoyé en mission de reconnaissance, 13 Tarkash 1373.)

Baelsul de sa tentative intelligente et de mise ne fit pas l’unanimité, bien mal prit de constaté que ses efforts furent mit aux oubliettes par son congénère, il dû sèchement se rendre à l’évidence que Xale était un atome libre qui ne serait pas aisé de tenir sagement en place. Le Lunargentait aurait certainement voulut pire scénario qu’il n’aurait pas trouvé comment. Stupéfait du revirement, il n’eut pas le temps de réagir à temps pour déstabiliser le téméraire crocheteur de serrure. LA pièce n'avait vraiment pas de trace de combat, elle était comme toute bonne chaumière familiale, avec ses désordres habituel.

À en croire les actes de l’ex-prisonnier, il ne devait pas avoir été élevé dans le duvet et sa douceur et c’est ce qui touchait le moine qui en voyant le premier lancé de couteau, eut une série d’image non plaisante. Le colosse demi, fit un roulé boulé sur la table et se retrouvait presqu’au même moment que Xale de l’autre côté, le devançant d’à peine une coudé. L’imposante masse de muscle qui présentement laissait voir les stries profonde dans ceux-ci tellement les nerfs devaient être tendus telle une corde d’arc, ressemblait à une sculpture de marbre une fois en place. L’air sombre du demi-orque et le regard acéré de celui-ci parlait de lui-même. Il était exacte de croire qu’en d’autre temps, le bâtard devait avoir œuvré du côté sombre de l’existence et l’intimidation qui se mettait en place se ressentait tout autour allant jusqu’aux nouveaux compagnons de fortunes. Pour Makxilim il se retrouvait avec un immense dos musclé devant lui et son cœur devait battre le tempo de la nervosité, au moins il était certain de l’intention de la masse semi verdâtre à l’odeur quelque peu nauséabonde, il tentait de protéger sa personne et le bébé. La position du moine était sans faille, le pied droit en avant et son poids semblait être sur celui de gauche en arrière, tandis que sa main gauche en avant semblait couler dans le granite et la droite en arrière attendait comme la corde d’un arc, d’être relâcher.

Xale qui avait vu son lot de mercenaires, d’esclaves gladiateurs, d’ennemies démoniaques, d’engeance venant des enfers, ne pouvait que s’apercevoir qu’il en sortirait mort de cet affrontement, son expertise lui dictait de ranger son kukri mais l’on n’apprivoise pas un chat sauvage aussi rapidement, il faut du doigté et de la patience et il semblait bien que celui qui se tenait devant lui présentement ne semblait pas vouloir user de doigté mais il avait quand même la patience. En même temps que les paroles de Kyu sortirent, une autre voix vint chanter dans l’esprit de l’un des fils de Smylla, l’odeur qui accompagnait les paroles assurait sa provenance…


-Xale, tu te dois de retenir tes intentions, mes rêves mon montré ton sentier et ton existence ne finissait pas ici mais soit assuré que si tu oses t’en prendre à moi ou à tout autres présent, ton chef d’œuvre funeste peut commencer.-

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Élevé par un moine de l'ordre du corbeau et devenu part la suite un membre actif de l'ordre, il est devenu un moine agent solitaire de l'ordre, allié de l'enclave d'émeraude et côtoyant depuis peu l'organisation druidique de la Silverwheel. Kyu cherche ardûment à s'intégrer dans la population, mais il y trouve quelque difficulté, alors il progresse en aidant de façon totalement désintéressé l'Ordre, l'enclave et la Silverwheel.


Imposant de part sa taille de 2 mètres et peu charismatique, il n'a pas rapidement accès au pourparler. Pourtant avec un peu de temps, il se démarque par une nature enjouée et amicale. Pour un demi-orque il possède une certaine connaissance et est loin d'être l'abruti qu'il laisse entrevoir.


- Mon beau et doux sauveur, puisse-tu me pardonner, je n’ai pût t’avertir d’avance que le jeune Nathan venait d’être secouru par Makxilim, fils de l’esclave Sandy; tu te souviens, l’humain qui a réussi à s’évader quand tu avais à peine six ans. Celui qui tien Nathan est son fils… La toile Xale, la toile est tissée depuis longtemps pour vous tous réuni… Et prend garde une troupe de Sschindylryn sont à votre recherche.-(Parole de Syrynya)


L’impétueux semi-elfe fut instantanément soulagé et en même temps un peu confus, même si il avait entendu à la fois les paroles de Kyu et celles de Syrynya, la décision lui revenait, le libre arbitre était toujours de mise.


Une odeur qui ne semblait pas venir du verdâtre survint aux narines sensible de Lim, le bébé avait des besoins tout frais qui venait de s’extraire. Comment une si petite chose peu autant sentir mauvaise. Fut la question futile qui traversait rapidement l’esprit de l’arcaniste. Celui qui n’avait pas encore eut réponse à ses simples questions posé, restait sur un goût toujours amère de ses pensées d’avant l’intrusion soudaine; les 8 sombres n’étaient pas des enfants de cœurs et l’heure lui semblait grave, si bien sûr, ses soupçons étaient les bons. La tête pleine de questionnements du mage secondé d’une intrusion musclé l’empêchait de ressentir la présence de la magie pure qui rôdait présentement dans l’endroit. Quoique des petits pétillements susceptibles d’être reconnu par le transmutateur passèrent pour une montée d’adrénaline mais le fin halo diaphane qui semblait venir d’en face du colosse qui lui empêchait de voir l’agresseur n’avait rien de banal : Soit l’agresseur allait utiliser la toile, soit il avait sur lui un objet fortement magique pour dégager ainsi autant de puissance sans avoir recours à une vision magique.
Ina fut en place à la fin d’un échange téméraire, la druide n’en était pas à ses premières altercation avec des troubles fêtes mais sa patience avait des limites aussi. Quoi qu’il en était, la sylvestre utilisait la diplomatie pointé d’humour pour résonner le bâtard de sa missive qui assurément n’était pas dite à la légère. Son volatile regardait la scène restant sur ses gardes et toujours prêt à agir.

Mais la forêt, dans son noir linceul, était d’un silence sépulcral. Attendait là, patiemment, l’agent trouble de l’escadre d’élite drow, il venait de perdre deux de ses meilleurs pisteurs et son informateur ne venait toujours pas. Les artifices magiques qu’il avait disposés sur lui pour vaincre cette froideur anormale allaient être sur le point de s’éteindre. Il regardait le seul survivant de l’escadre avec lui, allongeas son bras gauche et vint déposer sa main sur l’épaule de ce dernier, celui-ci suspicieux du geste du mage voulut se retirer mais la morsure mortelle du serpent venimeux qui était dans la manche de son maitre, avait frappé. L’arcaniste le regardait se débattre puis en signe drow lui ordonnait de ne pas faire de bruit. L’éclaireur sombrait sans voir d’éclat ou d’ombre, il eut juste le temps de mordre sa dent creuse. Lorsque le mage voulut disparaître à l’aide de l’un de ses colifichets, la mort qui rôdait à l’orée de la forêt, surgie. Le cou de l’arcaniste ne résistait pas bien longtemps sous l’immense pression des mâchoires du lycanthrope qui lui, venait d’éliminer les uns après les autres, les drows qui était sorti de cette porte malsaine. La conscience présente de se gardien sylvestre lui interdisait d’en rester là. Il lui fallait venir en aide à ses deux confrères, Ina et Malaric, restait maintenant, à les trouver. Sur une immense branche de chêne blanc en hauteur, ORrgNifff venait d'être témoin de la scène, impassible, le nycaloth suivrait le lycan, n'ayant plus de drow à espionné.

écrit par: Makxilim Mercredi 13 Décembre 2017 à 17h46
Le mage qui avait le palpitant en folie, compris à la posture du roc orque que dans ce petit groupe tout le monde n’était pas du même avis que son agresseur elfique.

Lim se détendu, rabattant son arme le long de son corps et se redressant afin de ne plus avoir cette posture défensive. Ils étaient de toutes manières bien trop nombreux et au regard du changement de situation, l’attaque n’était certainement pas la meilleure des approches pour lui.
Il n’en reste pas moins en alerte et attentif, un groupe composé d’un demi-orque et d’un elfe aussi sanguin ne devait pas être très sûr.


- Voilà mon gars, fait comme le grand verdâtre te dis. On va tous rester calme.

Makx essayer de se tendre au dessus de l’armoire à glace orque afin de voir les intentions de son assaillant. Mais le colosse lui masquait la vue, s’était peine perdu. Les autres ne semblaient pas lui vouloir du mal. Il y avait pourtant quelque chose ou quelqu’un qui manipulé la toile, mais le contexte accaparé trop l’attention du Transmutateur pour qu’il en recherche ardument la cause et mis ça sur l’orage sinistre.

- Ok! Je ne sais pas qui vous êtes, mais je n’ai pas de mauvaises intentions.

Toujours pas serein et ne connaissant pas ces individus et se sentant en position de faiblesse, Makx entreprit de se présenter.

- Si tout le monde est maintenant calmé, vous pourriez commencer par répondre à mes questions. Qui êtes vous ? Et qu’est-ce que vous faisiez là planquer dans la cave de mon amie ? Et.... Ah! Mais c’est horrible !

Le Mulanien, finit par ranger son arme afin de libérer sa main droite, avec laquelle il alla aussitôt se pincer le nez. Il avait d’abord pensait que l’odeur venait de l’orque mais il réalisa très vite que c’était quelque chose de beaucoup plus petit qui puer autant. Il continuant à parler avec une voix nasillarde.

- Et je m’appel Makx... Ah ! Je ne peux plus.

Sans finir sa phrase, il agrippa le bébé des 2 mains sous les aisselles et le tendu en avant afin de l’éloigner le plus loin possible de son nez. L’action avait visiblement eu un effet décontractant sur le nourrisson qui venait aux odeurs nauséabondes, de remplir son lange.

- Je crois pouvoir dire sans trop me tromper que quelqu’un doit être changé ici.

Visiblement pas accoutumé de ce genre de situation parentale, le mage était plus embêté par les gestes à adopter pour s’occuper du bébé que par la gestion des intrus. Son regard se porta par instinct maladroit vers la seule femme de cette pièce. Comme l’implorant du regard d’utiliser cette instinct maternelle unique au femme qui l’aurait par la même occasion sauvé de ce pétrin. Mais il ne pouvait se résoudre à leur laisser toucher au bébé de Sylvia. Il ne connaissait toujours pas leurs intentions.

En bien mauvaise posture le mage attendis leur réponse, ne pouvant plus parler restant en apnée devant la boule puante qu’était devenu le bébé.


*Quoi faire ?*

écrit par: Baelsul Dimanche 17 Décembre 2017 à 13h39
¤Mais quelle folie s’est emparée de Xale !!¤

Il est impossible de connaître les intentions de la personne tenant le bébé dans ses bras. Surtout qu’en prenant un peu de recul, c’est bien nous qui pénétrons dans une demeure qui n’est pas la nôtre.

¤Oui, il faut protéger le bébé, mais il s’y prend comme un manche… Attaquer la personne qui le tient dans ses bras est la plus mauvaise option….¤

L’apparition d’Ina, s’interposant entre Xale et l’individu au chapeau pointu relevait d’une vraie démonstration de force. Rassuré, Baelsul espéra qu’elle soit suffisante pour ramener Xale à la raison, et surtout qu’il n’était pas trop tard pour nouer contact avec le porteur du bébé. La transformation d’Ina en ours était impressionnante. Baelsul en avait déjà entendu parler lorsqu’il avait côtoyé son oncle et les druides du Caerilcarn mais n’en avait jamais été directement témoin. Puis, Kyu secondant Ina ne pouvait que faire du barrage une réussite.

Makx, sûrement un peu fébrile face à la situation avait réagi en montrant qu’il ne souhaitait pas chercher l’affrontement. Baelsul était conforté dans son intuition première, Makx ne semblait pas agressif envers le bébé mais plutôt désemparé. Se sachant en position de force, le semi-elfe entrepris de lui répondre en reprenant le ton qu’il avait utilisé initialement :

- Vous connaissez les habitants de cette chaumière ? Sylvia ? Et cet enfant ?

Puis il enchaîna :

- Nous sommes accourus ayant entendu des pleurs. Pardonnez notre compagnon demi-elfe qui a tendance à s’échauffer un peu vite quand on fait de nouvelles rencontres.

Makx ayant rangé ses armes, il ne semblait plus possible qu’il commette un acte offensif. Baelsul en profita pour jeter un œil à la pièce dans laquelle il se trouvait avec une attention particulière pour détecter du matériel permettant de prendre soin du bébé. Dans le même temps il en profita pour essayer de remarquer les similitudes et différences avec l’autres chaumière et notamment la capacité à tenir face à la tempête.

En réponse à la dernière remarque de Makx l’Archer d’Argent, ayant bien vu le jeu de regard de Makx vers Ina, répondit :


- Vous avez-raison, allez-y, je crois qu’il vous connait mieux que nous.

écrit par: Xale Jeudi 21 Décembre 2017 à 03h18
La roulade rapide de Kyu démontras a Xale que l'orque était beaucoup plus agile qu'il ne le paraissait. La posture imposante qu'avait adopté celui-ci déstabilisait quelque peu le jeune bâtard, puis les paroles d'Ina vinrent introduire un doute dans les pensée de Xale. Le visage d'Ina paraissait changer, il avait l'impression que le museau d'un ours avait commencé a se dessiner et que ses dents commençait a s’acérer.

«Si j'attaque ils seront 3 sur moi, en plus la magicienne se transforme en ours! Ha sa ne serait pas le première fois que je suis en sous nombres. Quoique là se sont des soi dit compagnons. Moi qui commençais a faire confiance a la magicienne. Bof il n'y as que moi, syrynya et ceux qu'elle me dit de protéger qui compte. La c'est le bébé que je dois protéger!»

Suite a cette pensée, une fois de plus les paroles de Syrynya vinrent calmer et mettre un peu d'ordre dans les pensée de l'ex esclave.

Une mémoire refis surface quand il entendit le nom de Sandy, Sandy était un jeune homme qui avait été acheté par les nains et avait été vendu par un groupe d'inconnu qui portait des capes et couvrait leurs visages avec des masques de dragons. Il les avait vu une fois et cela l'avait marqué. Sandy avait été abaissé dans le palais et déjà avait le corps recouvert marques qui semblait provenir de chaines, fouets, et objet contondant. C'est marques Xale savait les déceler par un simple regard. Sandy n'était pas le genre d'homme qui parlait beaucoup et les seules paroles qu'il avait entendu prononcer était *Kelmet, pas Kelmet, sauve toi Kelmet, sauve toi ma lumière...*. L'acte par lequel il avait réussi a s'échapper avait causé une alarme grandiose dans les tunnels qui servait de cité au nains. Tous courait dans tous les sens comme des poules a qui on vient de couper la nuque. Les nains questionnait tous les prisonniers un par un et menaçait de couper mains et pieds à qui leurs mentirais. Après quelques baffes venant d'une matraque en bois dur sur tous, y compris Xale, Ils décidèrent d'y aller d'une autre approche, la liberté a qui leurs dirais comment et ou s'était évadé le prisonnier. Un ruse a laquelle l'esclave n'avait pas cru, il savait qu'aussitôt que quelqu'un parlerais, il serais disparu le lendemain et pas parce qu'il était libre. Tous semblait avoir compris le subterfuge et personne ne parlais, personne ne savait comment cela s'était passé, mis a par Xale, enfin presque. Cela était arrivé durant la nuit, Le jeune demi-elfe n'arrivais pas a dormir, les coups de fouets qu'il avait subi cette journée lui brulait encore la peau. Il remarquas que cette nuit la était plus tranquille que d'habitude, pas un son ne se faisait entendre alors que d'habitude la plupart des esclaves se battaient de rage et pour un morceau de pain ranci et dur comme le granit. Le calme plat, tous emblait dormir et aucun ne ronfleait. Xale seul dans sa cachette qui cpnstituait en un trou taillé dans les murs et qui donnait sur une pièce minuscule, entendit un léger murmure et vit une lumière verdatre émaner derrière son entrée. Il se faufilas hors de sa cachette et eu l'impression de voir Sandy passer a travers le mur du palais, il avait une aura verte qui l'entourais. Jusqu'à ce jour, Xale avait cru avoir eu une hallucination ou bien un rêve.

C'était vrai que l'homme avait quelques trait de Sandy, tel le nez, la forme du corps et du visage, mais ce qui était le plus marquant c'était les même yeux.

Il baissa quelque peu sa garde et rangeas son kukri dans son fourreau. Sans quitter l'homme du regard, il marcha très doucement vers son autre kukri et choisi chacun de ses pas en fonction de la distance qu'il voulait garder entre lui et l'orque qui protégeais le barbu. Il ramassa l'arme tout en fixant l'homme chapeauté droit dans les yeux. Il n'attendais que le moment où il lirais la sournoiserie et la malice dans les yeux de Makx, tout en gardant sa main droite dans son dos tenant fermement la poigne de l'arme. Il défi le lien qui rattachait la dernière maille de sa chaîne a la première. Il laissas ainsi doucement pendre sa chaîne et l'utiliserais pour bloquer la première attaque qui lui serais porter. Ses nerfs ne se détendais pas et l'on pouvait sentir qu'il ne faisait pas du tout confiance en l'homme. Il écoutas l'homme se présenter et Baelsul échangez des paroles avec lui. Xale s'était maintenant positionner de biais en arrière du barbu, il ne pouvait plus voir ses yeux, mais saurais lire le non verbal de celui-ci et serait le premier a agir. Quand il vit que Makx tendais le bébé a bout de bras et regardais Ina avec la bouche fermé et les narines pincés, il se dit qu'il pourrait en profiter pour prendre le bébé et être sur que l'homme n'en voulait pas a la vie du jeune nourrisson. Il décidas de s'approcher tranquillement et tendre le bras gauche pour prendre le bébé. L'odeur qui importunais certains, était naturel chez Xale et donc ne lui dérangeais aucunement. Il en profitas pour dire à l'homme:


-Toi fils de Sandy esclave?

écrit par: Ina Mardi 26 Décembre 2017 à 21h40
Quelle histoire. Heureusement tout le monde sembla retrouver son calme et un minimum de sens commun. Xale tel un chat aux aguets se déplaça sur le côté toujours prêt à bondir au moindre geste suspicieux du magicien.

La scène pourrait être drôle à observer s’il n’y avait pas la vie d’un petit enfant au milieu de toutes ces boules de muscles et de magie. Kyu semblait particulièrement protecteur ce qui rassura beaucoup la jeune femme. Xale n’osera pas s’attaquer a lui. Le coup de genoux et la vitesse de ses mouvements malgré sa masse en font une arme redoutable. Même lui peu le comprendre…enfin probablement.

Se calmant complètement, elle senti la fureur animale s’éloigner de son esprit et son cœur reprendre un rythme normal. Elle ne souhaitait pas montrer d’agressivité d’autant que l’homme en question semblait être familiers avec les habitants de la maison, une fois de plus absents.


-Xale, quand on dit de protéger le bébé, il vaut mieux éviter de tuer celui qui le tiens entre ses mains. Un coup mal placé sur le bébé ou même un coup bien placé qui lui fait lâcher la bestiole et boum, on se retrouve avec un enfant mort dans les bras.

S’approchant à hauteur de Kyu pour continuer la conversation avec le nouvel humain, elle sen rendit compte très vite de l’odeur. Le savant mélange entre l’orc fromagé et la nature dans son élément le plus basique donnait un effet étonnant. Pourtant bien que visiblement il lui tendais le petit avec un air implorant, Ina ne se démonta pas.

¤Et puis quoi encore !!! il est bien là où il est le morpion. Haha¤

-Dites, on va remettre les choses au point de suite, je suis une femme certes, mais c’est vous l’ami de la famille donc il n’y a pas moyen que je prenne cette petite chose pour lui changer l’arrière train. Vous êtes la figure connue de la pièce pour lui, comme l’a souligné Baelsul, donc à moins que vous ne souhaitiez traumatiser cet enfant, vous allez prendre votre courage à deux mains et faire ce qui doit être fait.

¤Les hommes et les enfants….quelle honte. ¤

-Et pendant que vous souffrez olfactivement, on va pouvoir trouver de quoi le nourrir et continuer à discuter.


-Donc vous vous appelez Makx. Je suis Ina. L’impulsif c’est Xale, vous vous en êtes douté, le grand baraqué c’est Kyu et celui qui semble avoir le plus de bon sens ici c’est Baelsul. Maintenant que les présentations sont faites, est ce qu’il est possible que vous fassiez quelque chose pour ce petit homme avant que l’air ne soit plus respirable ?

Disant cela, elle reprit la direction de la cave à victuailles. Descendant les marches elle dit un peu plus fort pour que Makx continue de l’entendre :

-Je vais chercher de quoi le nourrir, s’il y a une chose que je sais sur ces trucs là c’est que quand c’est vide il faut remplir. N’oubliez pas de répondre aux questions de Baelsul tant que vous avez les mains occupées.

PARCHEMIN
Une fois en bas, Ina cherche du lait, des céréales ou des fruits bien murs et légumes divers (patate carottes panais etc).


écrit par: Sunniva Samedi 30 Décembre 2017 à 22h33
13 Tarsakh 1373 : -La Griffe des tempêtes


Dans la chaumière de Nathan.
(et l'allantour proche)

fin de la journée
-10*C
Vent: Sud Sud Est 15 Km
Lever du soleil: 05h13
Durée du jour:13h00
Séluné : 4 ième quartie


« Le système de l'univers, tel qu'il nous apparaît, du moins dans ses manifestations Torilienne, resplendit de cruauté. Il s'y trouve cependant un peu de charme, surtout du fait de l'amour, mais on pourrait croire que l'amour n'a d'autre objet que d'alimenter l'horreur et de la perpétuer tant pour sa beauté que pour ses horreurs. Maintenant je le sais, dans ce monde cruellement merveilleux, les beautés passent par les horreurs. C'est fou comment les forces du mal sont aussi fortes, aussi belles que les forces du bien, comment l'entraînement est plus important que la guerre... C'est parce que l'on se fait du mal à l'entraînement que l'on va gagner, parce que l'on a souffert tout ce que l'on a souffert que l'on est en mesure de déguster la victoire. »

(Citation du père terreux à son jeune apprenti Jehans, 27 Eleinte. La Flétrissure, l'Année de la Harpe Inutilisée, 1371 CV)



Le mur c’était interposé, le magicien demandait des comptes puis de l’aide, l’archer parlementait, le fourbe évadé se plaçait judicieusement et attendit le bon moment pour prendre Nathan puis divulguer à Makx que son père s’appelait Sandy, Ina de son flegme remit l'ensemble sur des bases communes et allait chercher de quoi manger.

Roulement de tambours, le tonnerre se fit entendre après qu’une lumière vive violacée zébrait le ciel assombrie de cette journée des moins banales. Le vent avait considérablement baissé et le froid ne semblait pas vouloir continuer de baisser. Le zénith de cette journée du 13 Tarkash n’était pas visible et l’on aurait pu croire qu’il était presque le temps de la fin de journée. Une pesanteur accablait tous les occupants présents comme si un poids s’évertuait des alourdir. Seul le petit Nathan orphelin semblait flotter sur un nuage pestilentiel au bout des bras de Makx qui bientôt vint dans ceux de Xale.


L’ex-esclave ne pouvait définir le sentiment qu’il eut une fois le petit Nathan dans ses bras. La vie du fourbe par adoption ne c’était pas montrer dans ses plus beaux atouts, laissant le jeune demi, laissé à lui-même à la naissance en Outreterre et laissé à l’abandon pour être ensuite recueillie par une humaine qui avait réussi à s’évader lors d’une attaque de druegars juste le temps de le sevrer et de se voir encore reprendre prisonnière et mourir peu de temps par la suite. Le groupe de prisonnier esclave avait ensuite été vendu aux frères Koltör qui avaient su anéantir l’espoir d’une vie meilleur à Xale. Là, cet être dépourvu avait dans les bras un bébé et ce dernier, aux dires de Makx, semblait ne plus avoir de parent. Une chose certaine était qu’intérieurement, le fourbe voulut une vie meilleure pour le petit mais serait-il capable de lui offrir? La question ne se posait pas pour l’instant, les pleurs demandaient à ce qu’on le change pour commencer et ensuite que l’on tente de retrouver ses parents sinon, le remettre à une nourrisse une fois rendu à Fort Olostin.


Baelsul qui avait déjà passé par Fort Olostin savait qu’il y avait un petit orphelinat ou le bébé pourrait être laissé, pourquoi pensait-il à cela en ce moment? Le passage furtif d'une ombre dans l'une de ses veines de mains répondit à la question soudaine de l'archer. Rien n’interdisait d’ailleurs de tenter de retrouver de la famille proche du petit et Makx semblait connaitre les parents du bébé. Les pensées présentes de l’archer étaient plutôt à chercher de quoi nettoyer les besoins odorants qui souillait l’arrière-train du pleurnichard, il trouvait non loin du buffet une cuvette qui semblait parfaite pour un bain de bébé et au côté, plusieurs bouts de tissus de grandeur acceptable qui semblait avoir été nettoyé plusieurs fois. La cuvette reposait sur un petit meuble étagère qui servait surement à l’entretien du nouveau-né et surement qu’à l’étage, où devait être les lits car au ré-de chaussé il n’y en avait pas, il devait avoir le nécessaire voulu.


Le temps de faire une ronde de la chaumière, trouver de quoi se nourrir, ce qui ne manquait pas dans cette chaumière et la sylvestre dû se poser la question: Pour combien de bouches à nourrir avait-il ici ? Tellement les stocks étaient impressionnant. Changer le petit et de tous prendre un temps d’arrêt pour éclaircir les pensées confuses ainsi que de se présenter, la noirceur s’installait tranquillement. De parts les carreaux de verres côté Ouest l’on pouvait voir les portes de l’écurie qui étaient ouvert et de cela, rien de bon pour l’éventuelle survie des parents de Nathan. Si l’un d’eux était en vie, il serait déjà entré pour prendre soin de leurs enfants.


Cette journée avait été rude sur la vie, plusieurs existences avaient changer et pour d’autres, c’était terminé dans d’atroces moments. Chacun se souviendrait de cette journée et il était évident qu’elle n’avait rien de normal. Restait maintenant à savoir ce qui c’était passé et si tout cela avait de quoi à voir avec les élucubrations abstraites de Kyu qui disait encore une fois qu’ils étaient enfin tous réunis pour aller sauver Xyarvv et que demain commençait leurs quêtes vers le Nord-Est de la haute forêt en un lieu appeler le fort des portes de l’enfer. Selon lui, ils devaient se dépêcher car plusieurs autres factions étaient à la recherche de se Xyarvv et elles n'étaient pas tous recommandé.

Beaucoup de question se posaient et restait à tenter de trouver des réponses. Le plus important; allaient-ils suivre se moine inconnu de nature impressionnante aux odeurs nauséabondes vers un lieux qui pour certains, était un lieux maudit?

La troupe envoyé de Fort Olostin arrivait devant l'ancienne chapelle, il n'y restait plus rien, qu'un tas de cendre fumant encore, seul la porte et son armature tenait debout. Fin saoul et titubant, le prêtre semi chauve regardait la porte perplexe. Il reconnaissait là, un signe divin et s'exclamait haut et fort devant les rarissimes fermiers vaillants qui avaient bravé la tempête et la petite troupe qui avait accompagné le prêtre...


-Vv'ous voyiez! La fouoâ à réson! Leee templ est détruit mmais son entrée reste ouvarte.-

écrit par: Makxilim Mercredi 03 Janvier 2018 à 17h17
Ina venait de décliner subtilement l’invitation à prendre en charge le petit mais anticipa la suite allant chercher de quoi nourri l’enfant. Malgré tout, dans la tête du mage il y avait un maelstrom de questions que même Oghma lui-même si aurait perdu.
Des inconnus qui sortaient d’une trappe, comment avaient-ils atterri dans la trappe ? que faisait il tapis dans cette trappe ? Ils semblaient d’après le demi-orque pas vraiment commode chargé d’une mission ou d’une quête.
A côté de ça la chaumière de son amie était vide, abandonné tout comme le dernier né de la famille. Ou étaient-il passé ? La tempête avait-elle soufflé leur vie ?
Et puis ce demi-elfe plus énervé que gentlemen avait prononcé le nom de son père biologique ! Le connaissait-il ? Ah bien y regarder l’énergumène lui disait vraiment rien et son attitude singulière ne laisser pas indifférent.

Sandy. Il n’avait plus entendu ce prénom depuis longtemps. Sa mère lui avait révéler l’existence de son ‘vrai’ père. Elle voulait qu’il sache que son fils était né d’une union d’amour et que les attitudes néfaste de son beau-père y été lier et n’avait rien de personnel. La sagesse de sa mère avait surement sauver Makxilim de cette enfance pris à partie aussi bien par la figure masculine du foyer, que plus tard par sa demi-sœur. Mais il n’en s’avait pas plus sur son père, sur Sandy, il était généreux et courageux d’après sa mère et quelque trait de caractère de Makx lui rappeler cette homme qu’elle n’avait jamais oublié, mais qui n’était plus. Il l’avait souvent questionné plus petit afin de savoir ou été passer cette esclave qu’elle avait tant aimé. Etait-il mort ? les avait il abandonné ? Il n’avait jamais eu de réponse claire de sa mère et avec les années cette être inconnu avait tout simplement fini par n’être qu’un souvenir d’histoire enjoliver par les sentiment de sa mère. Il l’avait un temps détesté de ne pas être parmi eux de les avoir laisser a ce destin, puis avait fini par ce faire à l’idée qu’il n’était personne. Ce prénom fit remonté quelques lointains souvenir. Zilik, sa demi-sœur le chercher t’elle encore ? Pourrait il revenir en Mulhorande sans risque ?

Il était tout de même étrange que le dénommé Xale comme l’avait présenté Ina, connaisse son nom et surtout le lie à lui. Tout cela relevait de la sorcellerie et pour un utilisateur de la toile cela attiser sa curiosité. Il allait répondre quand le demi-elfe, vint prendre le bébé dans ces bras. Makx était soulager de ne plus porter la boule puante à bout de bras et la sensation de légèreté qu’il ressentie lui fit du bien, mais le fait que ce soit le demi-elfe au tempérament rageur qui avait pris le petit ne le rassurer guère. Puis à l’attitude étrange qu’avait Xale une fois le petit dans ces bras laissa pensé que peut-être qu’il n’y avait rien à craindre dans l’immédiat. Il garderai tout de même un œil sur le petit, si il arrivé quelque chose à l’enfant de Sylva il s’en voudrait pour l’éternité.


- Ok, ok, fait attention avec la tête ! Et serait-il possible qu’on se connaisse ?

Gardant un œil sur tout le monde à la foi, le mage était interpeller tout même par les dire du semi-orque. Xyarvv ne lui disait rien, mais le terme des portes aux enfer résonner que trop bien avec le souvenir qu’avait apporter le tempête des 8 sombres et du nom de Furgas. Il ne savais se que cette quête était au juste, mais il avait le sentiment d’être à sa place, alors attendons la suite des évènement et faisant plus ample connaissance, pensa t’il. Il se tourna vers l’elfe Baelsul qui s’atteler à réunir les éléments afin de changer le bébé.

- Vous êtes chez Xavier et Sylvia, et ce petit est bien leur jeune dernier. Malheureusement la dernière fois que je l’ai vu elle était enceinte jusqu’au coup et visiblement les quelques lunes qui s’en est suivi on suffient à mettre au monde cette jeune pousse à l’odeur répugnante. Sylvia est une apothicaire chez qui j’avais l’habitude de me fournir, mais nos relations bien que devenu amicale, reste récente. Ce qui m’inquiète c’est qu'elle, son mari et leur premier fils sont introuvable. J’ai atteints la chaumière juste à temps pour échapper à la tempête venu tout droit des enfers et les lieux étaient déjà vide à l’exception de lui. Pointant du regard le nourrisson dans les bras de Xale. Vous comprendrez donc que je me sens obliger de prendre soin du bébé. Donc doucement avec lui et au nom de mon amie je vous offre l’hospitalité. Si cela avait encore une quelconque importance, les lieux étant déjà acquis à leur cause. Mais le magicien était homme a mettre les formes. Mais avant dite moi comment vous vous êtes retrouvé tous les 5 dans cette cave ? Et sur vos intentions ? Vous semblaient devoir partir rechercher un certain Xyarvv, il y va de soit que le bébé n’ira pas avec vous.

Cette mise engarde était à l’attention de Xale. Les deux hommes n’étaient pas partie sur de bonne base et même si le tempérament du mage tendait vers une approche diplomatique, il n’avait pas pour autant confiance en ces inconnus.

écrit par: Baelsul Dimanche 07 Janvier 2018 à 13h07
La réaction de Xale, même si elle ne pouvait être pleinement rassurante, apaisait Baelsul, qui encore envahit par le spectre de l’ombre noire ne souhaitait pas de violence supplémentaire.

Après avoir trouvé de quoi s’occuper du petit : cuvette, tissus etc. l’Archer les porta a Xale qui semblait s’occuper de Nathan. Se tournant vers Makx il lui lança :

- J’ai bien l’impression que c’est plutôt Xale qui prend soin du bébé et que vous vous en êtes déchargé sans vraiment vous faire prier. L’odeur n’est pas ‘répugnante’ elle est naturelle pour un enfant de cet âge.

Puis il continua en s’adressant à Xale en elfique en lui tendant ce qu’il avait trouvé :



Après un silence et acquiesçant suite à l’affirmation de Makx l’elfe reprit en commun et de telle manière à ce que tous puissent entendre :

- Nous ne pouvons pas, en effet, emmener l’enfant avec nous, c’est trop dangereux. Je crois qu’il y a un orphelinat à Fort Olostin, c’est sûrement la moins mauvaise des solutions.

En repensant aux évènements qui s’étaient déroulés à l’extérieur puis dans la première Baelsul se souvint qu’ils avaient cherché refuge au sein de la première chaumière pour se libérer du froid. Il prit alors un moment pour examiner l’état de la pièce, les fenêtres, la porte et la vivacité du feu. Puis il commenta :

- Nous avons trouvé refuge dans une chaumière qui ne doit pas se trouver très loin d’ici. Après avoir entendu l’appel de l’enfant nous sommes arrivés ici via un tunnel communicant par les caves des bâtisses. Merci pour l’hospitalité, je crois que nous devrions nous préparer à passer la nuit ici. Peut-être devrions-nous prévenir les deux autres compagnons qui se trouvaient avec nous ?

De nouveau Baelsul fit le tour de la chaumière pour voir s’il y avait le nécessaire pour dormir sur place.


Cliquez ici pour dérouler le parchemin...

écrit par: Ina Samedi 13 Janvier 2018 à 19h06
Ina écoutait d’une oreille distraite les discutions qui se déroulaient au premier. Elle n’entendait pas tous les mots mais l’idée générale était facile à comprendre. Tout le monde s’est calmé, le petit va être changé et lavé. Ne reste plus qu’a le nourrir une fois la jeune femme remontée.

Fouillant dans le sous-sol plein de victuailles elle mit la main sur du lait et quelques légumes. La fin de la journée approchant, elle récupéra quelques autres morceaux de nourriture pour tout le monde. Quelques légumes, pomme de terre, carottes, poireaux et oignons, ainsi que de la viande séchée. Un beau morceau de jambon fumé qu’ils pourraient se partager et aussi en emmener un peu. Visiblement les locataires de la maison sont introuvables. Mauvais signe. Il faudrait tout de même trouver un temps pour aller voir s’ils ne s’étaient pas réfugiés dans une autre bâtisse à proximité s’il y en a une. Pendant la cuisson des légumes elle pourrait s’y aventurer. La température n’est pas véritablement agréable mais au moins, elle était moins invivable que lorsqu’ils étaient en train de fouiller la charrette.

Remontant tranquillement avec le diner du soir, elle posa les morceaux de viande sur la table et s’approcha du foyer. Elle retourna ensuite chercher de l’eau et peut être aussi quelques ustensiles de cuisine élémentaires. Couteaux, pics à viande, eau.

Elle s’assis à la table et commença l’épluchage des légumes à quelques coudées du matériel pour l’enfant.


-Sans vouloir commander à qui que ce soit, est-il envisageable que l’un d’entre vous prenne ce couteau pour tailler quelques morceaux de ce jambon ?

Elle repoussa le jambon et le couteau en question vers le centre de la table.

-Visiblement on est parti pour rester ici cette nuit alors autant se mettre à l’aise.

Elle commença alors par découper les oignons, qu’elle lança émincés dans une marmite qu’elle avait rapproché d’elle. Une fois cela fait, elle mit la marmite sur le feu en attendant qu’elle ait terminé les autres légumes. Les quelques poireaux remontés furent coupés en quelques instants. Lavé succinctement une fois découpés puis jeté également dans le récipient. Idem pour les carottes.

Les oignons commençaient à rendre leur eau et blanchir sous la chaleur, il était temps d’y ajouter de l’eau pour éviter qu’ils ne brulent. Pendant que l’eau s’imprègne du gout des oignons et des poireaux, elle entreprit d’éplucher les pommes de terre. Vue le nombre de bouches, la quantité de pommes de terre était conséquente. Cela prendrait bien du temps. Mais le temps que l’eau ne se mette à température elle aurait surement fini. Chaque pomme de terre était soigneusement épluchée, lavée et jeté sur le feu avec le reste. De temps à autre elle remuait tranquillement le futur ragout.

Finalement une fois la dernière pomme de terre envoyée, elle remua une fois de plus avant de recouvrir la marmite.


-Et voilà. Niveau diner, ça va pas être du grand art, mais cela sera suffisant pour nous en principe. Par contre je ne suis pas très habitué aux aromates divers, donc si quelqu’un se sent l’âme de jouer les cuistots pour nous rendre tout ça un peu meilleur, qu’il se fasse plaisir.

Finissant de regarder son œuvre culinaire rudimentaire, elle prit son sac qu’elle avait posé au pied de la table pendant la préparation, elle le mit dans un coin de la pièce. Elle récupéra aussi un morceau de viande séchée pour le donner à sa compagne. Elle prit tout de même ses armes, la gourde pleine d’eau et la potion de soin qu’elle rangea dans une poche de son havresac.

-Vue que la température remonte tranquillement, je vais aller faire un tour dans les environs. En particulier dans cette bâtisse là-bas. Si jamais il y a des survivants. Le diner sera prêt dans une trentaine de minute peut être un peu plus. Prenez une louche trouée pour vous servir sans avoir trop de jus. Le petit peu manger une petite pomme de terre et du lait. Mais si vous donnez à manger à ce morpion, ne salez pas trop la popote d’accord ? Il parait que c’est pas super bon pour eux. J’ai aussi vu un pot de crème dans un coin en bas, ça peu agrémenter un peu l’affaire si ça vous dit.

-Commencez à manger sans moi, ya pas de souci, par contre si je ne suis pas revenu dans une heure, commencez à vous inquiéter. Pareil si l’un d’entre vous souhaite m’accompagner, c’est avec plaisir.

Elle défit alors son Alasea pour enfiler le manteau à capuche qui était dans le fond de son barda, et remit sa cape par-dessus. Il fait moins froid dehors mais tout de même. Sa compagne accrochée à son armure, bien placée sous toutes les couches de vêtements d’extérieur finissait son morceau de viande. Finalement elle put prendre une torche, l’alluma dans le feu et entrepris de se diriger vers l’extérieur, torche dans une main et lance dans l’autre.

écrit par: Sunniva Mercredi 17 Janvier 2018 à 15h58
« Dans leur développement, les rêves respirent ; ils ont des larmes, des tourments, et sont susceptibles de joie ; ils laissent un poids sur les pensées de notre réveil, ils enlèvent un poids aux fatigues de notre veille. Par expérience, j’ai compris que lorsque l’on dort nous sommes en fait éveillé et lorsque nous croyons être éveillés, nous dormons. La réalité subjective nous porte à croire à l’éveil mais avec une attention particulière lorsque nous sommes endormies, nous réalisons rapidement que le contrôle que nous exerçons sur nos rêves apporte un changement significatif dans notre soi-disant réalité éveillée. Quoi qu’il en soit, il nous est impossible, lors de notre éveil, de changer quoi que ce soit dans nos rêves, tandis que l’inverse est possible. Les rêves changent votre réalité éveillée et non le contraire. »

(Discussion du père terreux avec son jeune apprenti Jehans, 28 Eleinte. La Flétrissure, l'Année de la Harpe inutilisée, 1371 CV)



Dans la chaumière, le seul qui semblait totalement ailleurs, était Xale qui de sa nouvelle fonction du présent, s’occupait du petit Nathan. À le voir, il était possible qu’il n’en soit pas à sa première fois mais effectivement, le fourbe évadé prenait toute les attentions particulières qu’un bébé demandait. Il n’oubliait rien et Nathan semblait heureux car plus un pleur ne sortait du petit. Les yeux vert émeraude du bébé suivaient à la trace chaque mouvement qu’exécutait son protecteur cherchant à lui prendre son pouce pour jouer. Xale ne se posait pas de question, les soins il les prodiguait de façon naturelle comme si il avait eu une douzaine d’enfants avant Nathan. La douce chanson que Syrynya lui susurrait à l’oreille devait y être pour quelque chose. Chose certaine c’est que pendant ses soins, le fourbe ne répondit pas aux questions posées.



Makxilim y allait d’une présentation qui postait la situation présente et future. Ne cachant rien à part le fait qu’il avait un doute sur les éclaires violacées et des sombres présages qu’il avait eu aux propos des 8 sombres puis de Furgas. Il perçut par contre le regard de Kyu sur lui lorsqu’il avait mentionné que la tempête venait tout droit des enfers.



Le lunargentois répliquait d’une façon typiquement demi-elfe et s’ensuivit d’un accord commun avec l’humain en donnant par le fait même les réponses aux questions posées. Son regard se posait ici et là puis réalisait qu’il y avait amplement de place pour tous pour y passer la nuit, si bien sûr, certains d’entre eux dormaient à même le sol. La grande peau de bovidé au mur Est et celle au sol près du même mur pouvait parfaitement servir à confectionner un lit pour la nuit.



Ina y allait de façon pragmatique et utilisait le moment à son maximum. Préparant un repas simple et très réconfortant puis donnait quelque explication sur ses prochaines intentions et s’appliquait à les suivre. À ce moment Kyu se déplaçait et s’invitait à sortir avec elle en prenant la peau au sol pour se la déposer sur les épaules avant de sortir.



L’extérieur était vraiment plus clément qu’à leurs arrivé chez Martha, le vent restait quand même présent mais la température était naturellement froide et sans plus. L’avancé ne se fit pas aisément et par chance le colosse y allait de petite enjambés qui ouvrait le chemin à la druide jusqu’à l’entrée de l’écurie. Celle-ci était vide à part, ici et là, des tas de foins, le petit chariot et ses harnachement. L’accès au deuxième se faisait par un petit escalier mince et étroit et là aussi rien mis à part le foin entreposé et une couverture déposé sur celui-ci; un sourire intérieur apparut laissant croire à la coquinerie possible que le couple se permettait, loin des regards de leurs enfants. L’expérience de la sylvestre, une fois en hauteur, lui démontrait très bien qu’il y avait eu ici même des bêtes et qu’elles avaient disparus ou fuient. Aucun corps et aucune trace qui laissait croire à un combat. L’inspection en règle et en profondeur n’apportait rien, à part la disparition des parents et de leurs bêtes.

La druide revint sans avoir rien trouvé de concluant et Kyu à sa suite fermait les porte de l’écurie derrière eux avant de retourner à la chaumière. En ouvrant la porte de celle-ci, les deux investigateurs sentirent la bonne odeur et la chaleur apaisante. Le colosse, sans attendre, se prit un bol et mangeait silencieusement puis allait déposer son corps au sol, le dos appuyé à la porte d'entrée de la chaumière en laissant la peau sur ses épaules, ce ne fut guère long avant que ses yeux ferment.

La soirée fut courte, la journée avait été pour tous difficile et éprouvante, le froid confronté à la douce chaleur du feu et suivit d’un repas riche et chaud avait laissé la détente s’occuper des tourments passé. Chacun trouvait place dans la chaumière pour s’étendre. Xale c’était occupé du petit tel une mère, l’avait changé et emmitouflé dans des laines puis l’avait déposé dans le dernier tiroir du bureau du deuxième et c’était lui-même couché en boule auprès du bébé, la main droite par-dessus l’enfant qui dormait à poing fermé. Le trio restant, sentaient sur eux une lourdeur de fatigue et après avoir amplement nourrit le feu, chacun sombrait dans un sommeil réparateur, bien installé dans un lit. Aucun bruit, mis à part le vent qui sifflait une douce mélodie naturelle dans les interstices des carreaux des fenêtres et des pétillements d’un feu.



Le sommeil prit place puis différemment les uns des autres le rêve s’installait jusqu’au moment où…



« Le vent froid soufflait dru, impassible à la souffrance qu’il administrait aux peaux sensibles, la sensation de déchirure qu’ils subissaient tous, n’avait d’égal que les coups de fouets qu’avait autrefois subit le rustre évadé de l’Outreterre. Pour l’ensemble des présents, la souffrance semblait éphémère ou tolérable dépendamment l’état d’esprit que l’on adoptait, chose étrange, était la sensation d’être en contrôle de la densité de cette souffrance.

Ils y étaient tous, même le petit Nathan qui semblait se mouvoir en lévitation. L’horizon restait toujours incertain, flou, énigmatique et se mouvait au gré des motivations personnels. La route semblait interminable mais le temps, dans les rêves, étant moins tangible, laissait le loisir de raccourcir la marche et d’en arriver plus rapidement au sujet commun. Chaque détail de la réalité leurs étaient clair et beaucoup plus précise que s’ils étaient éveillé, pour la druide le chemin emprunté était maintenant indélébile dans sa mémoire; ils avaient emprunté une piste sinueuse dans la haute forêt que Xale avait trouvé et qui les menaient vers le fort des portes de enfer. Ils se rappelaient tous qu’ils avaient passé par Fort Olostin et aussi par chez le père terreux mais tout cela leurs paraissaient terriblement loin. Baelsul sentait qu’il avait une liberté de mouvement beaucoup plus prononcé et en même temps il sentait sur lui un regard qui tentait de percer le mystère de son état présent. Pour Kyu cela semblait normal mais le magicien découvrait là, un potentiel fort intéressant pour son avenir. Xale, parcourait l’instant avec une certaine délectation, le sentiment de liberté et de se savoir caché en même temps était euphorisant, son avantage était bien sûr, la présence de Syrynya auprès de lui, il la sentait tout proche, ayant même l’impression d’être en elle tellement sa légèreté le transportait. C’est d’ailleurs elle qui l’averti d’un danger qui approchait, non loin devant eux sur la piste dans la haute forêt, embusqué et patient, le nycaloth ORrgNifff attendait leurs passage.



Baelsul, instinctivement, encochait une flèche à sa corde d’arc et sa vision se portait à la cime d’un majestueux chêne rouge où il ne vit qu’une ombre indistincte. Makxilim aperçut tant qu’à lui, un changement dans la toile, une énergie sombre déformait sa vision, il y avait là devant lui à quelque pas, un chêne rouge qui vibrait et la source venait de la cime. Ina entendit un appel, à l’unisson, la végétation locale murmurait une alerte, l’équilibre était perturbé et la terre semblait trembler au rythme d’une respiration inconnue. Kyu continuait d’ouvrir le chemin et semblait n’avoir rien perçu, contrairement à Nathan qui de sa lévitation vint se blottir auprès du colosse inconscient du danger. »



Dans la nuit, le groupe de Fort Olostin avait trouvé refuge dans l’une des chaumières d’un fermier à la famille nombreuse. L’étrange feu qui c’était produit à la chapelle, apportait des interrogations au prêtre ivre qui sombrait soudainement dans un cauchemar funeste.

écrit par: Xale Mercredi 24 Janvier 2018 à 01h26
Xale ne pouvait dire d'où lui venait cette aptitude a s'occuper d'un enfant. Peut être était-ce à cause qu'il n'avait jamais eu ces types de soins étant jeune, il ne pouvait le dire. La présence de Syrynya le rassurait et lui donnait confiance sur chaque geste posé. Il suivait le rythme de la comptine qu'elle lui susurrait a l'oreille et la fredonnait a son tour tout en prenant les divers objets que Baelsul lui tendit. Il voulu répondre a la remarque du demi elfe concernant l’orphelinat, mais était tellement absorbé par sa tâche, que la réplique qu'il avait en tête lui fila par celle-ci. L'ex esclave eu un sentiment de bonheur quand le jeune Nathan le fixa de ses grand yeux marrons et lui envoya un sourire de plaisir et de bien être, maintenant qu'il était propre, quoi que l'odeur n'avait aucunement gênée Xale qui était habitué a des odeurs bien plus prononcés, rancis et cadavériques. Il alla prendre un peu de crème qu'il donna a boire au poupon. Il chanta tout bas la comptine de sa déesse, qui l'accompagnait toujours, au bébé. C'était une comptine elfique et avait l'impression de l'avoir déjà entendu, mais ne pouvait se souvenir où.

-(elfique) Le jeune loup chassant
solitaire et sûr de lui
se disant roi de la forêt
au cœur froid et dur
tout comme l'hiver
mordit sa proie au cou
les crocs rouge de sang
hurla a la lune sa victoire
quand il vit un louveteau humain
pensant a un prochain repas
l'approcha et lui montras ses armes
quand il fut surpris
de voir l'humain lui envoyer un sourire
et caresser son poil salis par la terre
le roi alors se dit
qu'il pouvait ne plus être solitaire
son cœur autrefois de glace
était maintenant chaud comme l'été
il montras a l'humain a chasser
et a hurler comme un loup
en retour il appris du jeune
a aimer comme un humain
le roi autrefois solitaire
avait maintenant une meute


Pendant qu'il chantait tout bas cette chanson, Nathan fini par fermer les yeux et sombrer dans un sommeil profond. Xale ce mis alors a penser a son père adoptif et se demandas si il avait un jour imaginé une scène pareille. Il se mis alors a s'imaginer père de plusieurs enfants, il ne put s’empêcher un sourire. L'idée était farfelu et à la fois réaliste. Il pouvait abandonner sa quête de revenche et lancer sa propre famille. Il pourrais devenir fermier et faire pousser des légumes. Intérieurement il se mis a rire et savait qu'il n’abandonnerais pas sa quête et chassas cette idée. L'espoir dune vie semblable restas néanmoins caché profondément dans son esprit, qui sait, un jour peut-être il deviendrais comme le loup solitaire de la comptine. Xale ne sentit pas la faim, mais sentit la fatigue. Tout le monde avait mangé et Ina était revenu avec Kyu, il ne les avait même pas entendit sortir. Le demi-elfe montas a l'étage et y couchas le bébé. Il s'assis près de lui, la main droite sur le poupon. Il luttas aussi bien que mal contre le sommeil.


«Il ne faut pas s'endormir! Il faut être au aguets! nous ne sommes pas chez nous! Ont peut se faire attaquer n'importe quand! Pense au bébé, il ne faut pas qu'il lui arrive du mal, par Syrynya! Allez concentre toi, tu est plus fort que la fatigue! Ou bien...! Cinq minutes! Oui juste cinq minutes! On mourras pas pour cinq minutes! Juste pour relaxer les yeux! NON! Ne te laisse pas tenter! Syrynya est ta force elle t'aideras! Une minute! Juste pour dire...Syrynya...»

Xale examinas attentivement la piste qu'il avait découvert. Il examinas le sol, les arbres, le vent et les bruits aux alentours. Tous ses sens était éveillés et fonctionnait a leurs pleines capacité. Il se sentait libre et léger comme une plume. Il sentait une chaleur en lui, malgré le froid intense et le vent mordant qui soufflait comme des lames de rasoirs. Ces compagnons semblait avoir plus de mal que lui a enduré une telle douleur, tandis que c'était presque tout ce qu'il avait connu, mis a part la solitude. Même sa chaîne n'était pas froide, elle semblais ne rien pesez et il avait l'impression qu'elle ne faisait pas le moindre bruit. Cette sensation incroyable était dû a Syrynya, il ne faisait qu'un avec elle, elle était en lui et lui en elle. Sur son visage, on pouvait presque apercevoir, par moment, le visage délicieux et pur de sa déesse qui transparaissait par dessus le sien. Il gardais toujours une oreille attentive sur Nathan. Sa déesse l'avertit alors d'un danger. Il fit signe a la troupe qui le suivait d'arrêter et de se baisser.


-Moi allez voir plus loin. Danger en avant. Vous restez caché. Syrynya vous protégeras.

Il était surpris de son niveau d'élocution en commun, depuis quand avait-il autant évolué. Il piqua alors vers la gauche, et s'enfonça dans la forêt. Il restas accroupi afin de faire le moins de bruit possible et se positionnas de façon à être derrière la créature et inspecter le terrain afin de lui tendre une embuscade.

PARCHEMIN
Jet de furtivité
Jet de dés
1d20 + 3 + 3 = 5 + 3 + 3 = 11


écrit par: Baelsul Dimanche 28 Janvier 2018 à 20h10
Rassuré par le matériel bien fournis de la maison et le retour prompt d’Ina et de Kyu, le demi-elfe s’en alla préparer les différentes couches et en profita pour s’installer sur une des douillettes fourrures qui ornaient la maison. Prenant alors son arc et entendant Xale entonner une comptine elfique, le Lunargentais commença à faire vibrer la corde en lui donnant une rythmique qui accompagnait parfaitement les paroles de son congénère. En pinçant délicatement la corde avec sa main droite et la tenant fermement de la gauche, il produisit une mélodie simple d’inspiration elfique.

Puis vint le temps du sommeil, malgré les craintes de la journée, le groupe nouvellement constitué était confortablement installé et l’Archer d’Argent avait la sensation qu’il pouvait se fier à chacune des personnes présentes. Seul Makx, plus récemment rencontré demandait un peu plus d’attention.

Le sommeil envahissant les paupières de l’elfe, celui-ci se laissa emporter par ses pensées, loin de la chaumière, loin d’où il était. Il se voyait d’abord parcourant la haute-forêt en long, en pleine course avec plusieurs manifestations de la nature : dryades, mégalocéros et loups. Puis tout à coup, cette liberté de mouvement prononcée qu’il avait ressenti fut doublée d’un sentiment de souffrance malléable. Une souffrance qui n’était pas physique, ni palpable, mais pourtant bien présente.

L’origine du phénomène était inconnue, mais présent désormais auprès de ses compagnons d’infortune, eux aussi semblaient être touchés. La force du groupe encore une fois devrait leur permettre de se sortir de ce mauvais pas, mais difficile d’agir lorsqu’on ne sait pas d’où vient la menace.

Quelque peu pantois face à la situation, Baelsul se resaisit lorsque le sentiment d’une présence étouffante se fit face à lui. Une ombre venait de passer, vive dans son mouvement mais lourde dans son regard et sûrement intimement liée à la quête du groupe. Son rôle n’étant pas clairement défini et au vu des expériences passés, Baelsul préféra garder ses pensées pour lui-même tout en restant sur ses gardes.

Ayant entendu les paroles de Xale, l’Archer maintint sa position tout en conservant l’arc bandé et prêt à tirer. Il en profita pour signifier gestuellement la présence de l’ombre en haut de la cime de l’arbre. Peut-être Ina, amie des faunes sylvestres, pourrait en savoir plus. Ou peut-être Makx, s’appuyant sur ses talents de magie profane, pourrait-il discerner quelque chose ?

De nouveau Baelsul glissa ses doigts sur sa corde et commença à la faire vibrer, prêt à en découdre. Il accompagna de son mouvement digital d’un léger fredonnement qui l’appaisait.


Cliquez ici pour dérouler le parchemin...

écrit par: Ina Dimanche 11 Février 2018 à 22h46
Tout était beaucoup trop net et propre pour être rassurant. Cette étable, écurie ou quoi que ce soit était à des lieux de ce que pouvait s’imaginer Ina. Le petit coin a détente exceptée. Où sont partit les bêtes ? Pas de sang pas de trace de lutte. Rien. Trop rien pour être honnête. Peut-être était-elle un peu paranoïaque, mais couplé à la tempête et aux éclaires violets, tout cela ne disait rien qui vailles.

¤Et bien en voila une histoire de fou. Rien de rien. J’aime pas ça du tout. ¤

Retournant a la chaumière, elle s’y prit également un bol de ragout préparé à la va vite plus tôt et l’avala rapidement.

Elle veilla aussi tard que possible, espérant l’arrivée de ses deux compagnons restés chez Martha. Mais aucun signe d’eux ne vint. Elle finit par s’endormir non loin du feu, enroulée dans une épaisse peau de bête. La situation semblait sous contrôle. Enfin elle l’espérait.


L’arrivée dans ce nouvel environnement onirique n’était pas pour la rassurer quand a la situation actuelle. Evidement qu’elle était dans un rêve. Evidement qu’elle n’était pas allé chez ce père terreux, ni même a fort Olostin avant. Et ce père terreux qui était-il d’abord ? Quand a la destination, le fort des portes de l’enfer. En voila une idée saugrenue. Le berceau du mal de la haute forêt.

¤Il faut prévenir les chefs rapidement au réveil. Tout cela dépasse de loin ce que je peux imaginer. ¤

Elle avait fait taire au maximum la douleur qui l’avait amené à ce rêve, et maintenant qu’elle prenait pleinement possession de ses nouveaux moyens, elle réalisa que ses sens étaient très connectés a la nature environnante. Tout lui semblait claire. Devant eux un chêne, avec a sa cime un danger. Un danger qu’elle avait du mal à identifier pour l’instant. Cependant, comment peuvent-ils rester à couvert. Si leurs sens sont aussi développés que cela, il semblait évident que c’était la même chose pour l’adversaire. Pour autant qu’il en soit un d’adversaire. Il était seul face à une troupe complète et complémentaire. Stratégiquement il avait le dessus avec un possible effet de surprise, mais une fois le combat lancé, cela se retournerait contre lui rapidement.

-Si tu pense que je vais te laisser affronter seul ce qui se trame en haut de cet arbre, peut être devrait tu vérifier auprès de ta déesse. On ne sait ni ce que c’est ni à quel point c’est dangereux. Tu n’y va pas seul. Et me parles pas de ta déesse, je te rappelle qu’elle était coincé dans une charrette pas plus tard qu’hier donc j’attends de la voir en action avant de lui confier ma vie.

Resserrant son paquetage, qui étrangement pesait bien moins que dans ses souvenirs, elle pris sa lance à deux mains et suivi Xale aussi discrètement que possible pour se rapprocher de la menace.


écrit par: Sunniva Lundi 12 Février 2018 à 19h55
PARCHEMIN
Jet de dés [fixe]
1d20 + 3 = 11 + 3 = 14


ORrgNifff, le Nycaloth solitaire qui bien au-dessus de la troupe, observait avec intérêt l’avancée du groupuscule. Si le lycan rencontré plus tôt sur le plan physique l’avait semé et que les drows s’en étaient éteins de leurs existences il ne lui restait qu’à observer et suivre le groupe en présence. Il ne s’attendait pas à être vu ni même être repéré, la magie qu’il avait employée devait lui servir à être invisible, inodore et silencieux, mais ici, il était dans les rêves et dans les rêves, bien des choses ne se passent pas comme nous aimerions; cela il ne le savait pas lui qu’il était dans un rêve, donc il se crut un observateur privilégier.

À voir la réaction du demi-orque avec le bébé au dos il crut qu’ils passeraient tous leurs chemins, sur l’instant il se délectait de sa position puis l’un le fixait de son arc, comme s’il était visible; surement dû à la puissante aura noir qui l’entourait, un autre disparut, celui à l’aura blanche et la femelle disparut elle aussi, mais pas pour bien longtemps, car les facultés qu'ORrgNifff possédait, lui permettaient d'avoir une visons bien particulière. Il semblerait qu’il ait été repéré. Bien mal prit de ce fait, il dû se résilier et faire face à la situation.

Un soupire d’insatisfaction plus tard il réalisait que si il les tuait, il ne pourrait savoir où ils allaient, il dû à regret sauter en bas de sa branche et se faire voir.

Xale avançait à pas de loup se dissimulant adroitement entre les branchages, feuillages et ombres forestière, sa vision et son avantage lui donnait loisir d’observer cette chose qu’il entrevit comme une gargouille. L’ex-esclave en avait déjà vu, lors d’un rituel d’appel des druergars mais si celui-ci était libre il devait être fortement puissant et dans cette pensé il senti sur lui des yeux rouge qui perçait sa couverture : Il n’y avait pas de doute il avait été perçu.

Baelsul qui n’avait eu qu’un pas de placement pour ce placer dans l’ombre d’un majestueux frêne pointait sa flèche dans la direction voulut et attendait le moment crucial pour libérer le trait qui se voulait mortel au moment où il ajustait sa mire, lui aussi senti sur lui un regard rouge puis un instinct encore nouveau, lui interdit de tirer mais sa volonté propre se débattait avec l’ombre qui l’entourait et ambivalent il devint.

Ina, certaine de sa couverture suivit de près Xale qui ne perdit pas son temps pour disparaître devant-elle, le fourbe savait comment se cacher dans la nature mais le né fin de la druide pouvait sentir la nauséabonde odeur que laissait transpirer l’invisible ex-esclave; elle n’était pas loin de lui c’était certain. Avançant à pas furtif, la forestière vit devant elle Xale qui lui regardait vers la cime du chêne ou se tenait, à ne pas en douter une statue de pierre ailée, celle-ci les regardait d’un regard rouge.

Makxilim, lui avait la vue floue et les pétillement qu’il ressentait lui prouvait que la nature de ce qui se tenait dans la cime du chêne était fortement magique et démoniaque.

C’est à ce moment que le Nycaloth décidait de se laisser planer jusqu’au sol devant eux. Surprenant fut l’atterrissage que l’on aurait pu croire dans un grand fracas, simplement que quelques feuilles furent projeté dans les airs lorsque la masse de trois mètre de haut mit pied au sol. Si la hauteur de trois mètres n’était pas surprenante la circonférence de ses ailes avait de quoi impressionné surtout dans un endroit où les branches étaient serré. L’énergumène qui devait faire deux mètre de large serrait ses ailes dans son dos puis fit une prestance en s’éclaircissant la voix.


-Mmmmm, mal à vous voyageurs impétueux, pour votre renseignement personnel ne vous attendez pas de passer inaperçu aux yeux d’un Nycaloth, rare échappe à ma vigilance mais je suis assez impressionné de certains d’entre vous. Ha oui, désolé mon manque d’étiquette, je me nomme ORgNifff, Orn pour les plus intime soient-ils, je ne vous veux aucun mal, malheureusement, je fais que tenter de vous suivre et comme vous m’avez découvert et bien vous n’aurez d’autre choix de vous habituez à moi et moi à vous.-

Dit-il toutes dents affutées bien au clair, le nombre de celles-ci étaient d’ailleurs fort impressionnante et semblait des plus aiguisées et tranchante. Son impolitesse le fit continuer…


-Je vois que parmi vous il y a des ombres que nul sur Toril n’aimerait avoir et à son inverse la clarté de certain me donne mal aux yeux. Pour sûr, vous êtes un groupe éclectique intéressant et il semblerait que vous êtes le dernier à avoir réussi l’impossible, surprenant pour des mortels tout aussi peu éduqué, instruits et néophyte du monde.-

Dit-il en mettant sa main droite devant Kyu qui allait tenter un coup puis se retournant vers le demi-orque et sur un ton caverneux…


-Toi, le noble sauvage, n’y pense même pas, ce n’est pas qu’il ne me ferait pas plaisir de combattre avec toi, ni les autres d’ailleurs, mais vous seriez tous perdant et imaginez-vous comment il serait agréable pour moi de vous laisser en vie pour continuer de vous faire souffrir!-

Son sourire prit de l’initiative et ajoutait moins caverneux…


-Madame, messieurs et autres, veuillez accepter avec agrément ma présence parmi vous. Vous n’avez pas le choix de toute façon, à moins que vous vouliez souffrir le restant de votre existence. N’allez pas croire non plus que je vous aiderez dans votre mission, si tel est votre mission, voyez moi comme un observateur, simplement et si vous réussissez à retrouver Xyarvv, alors je disparaîtrai sans vous faire aucun mal : Ensuite mon maîstre, décidera de ce qu’il adviendra de vous.-

Une émanation mauvaise n’émanait de lui tel les flammes des enfers et même si Xale en avait déjà vu, lui aussi dû se contrôler pour ne pas sombrer dans la folie. Ce dernier cherchait du regard Syrynya en vain, sa vouée avait disparu, par-contre il sentait en lui sa présence qui le soutenait dans cette peur grandissante qui ne vit pas poindre en surface.

Qui oserait répondre à ce stipendié? Seul ceux qui réussirait à avoir assez de volonté.




Test de volonté pour tous, mis à part Xale et Belsul.

écrit par: Xale Samedi 17 Février 2018 à 17h34
La furtivité avec laquelle Xale se déplacait donnait une montée d'adrénaline a celui-ci. Une extase jamais senti lui donnais un sourire mesquin aux lèvres. Quand il s'arrêtas, il senti une force immense et puissante peser sur lui, si Syrynya ne l'accompagnais pas, il serait surement écrasé et paralysé par cette force rouge. L'aura cette force lui rappelait vaguement l'atmosphère qui s'échapait du frère Koltör ainé qui avait l'épée aux auras maléfiques.

«Peut-être la créature et l'épée vienne du même endroit?» Pensât-il

Il regardas alors en l'air et y vis à ce qui ressemblais a une gargouille. Il se souvint d'avoir assisté, pas parce qu'il y avait été invité, a un rituel Duergars. Il se souvint qu'ils était six, habillés de robes grises qui cachait leurs visages et s'était placé de manière a former ce qui paraissait un cercle. Il y avait des chandelles et des marques peintes sur le sol. Il se souvint que l'ambiance était glauque et lui avait donné des frissons pendant trois jours. Ils s'étaient mis a incanter des paroles et l'atmosphère était devenu dense et pesante, mais pas autant que l'atmosphère qui régnait présentement. Peut de temps après le chant, un trou noir était apparu au milieu des incanteurs. Le trou semblait absorber toute lumière, la pointe des flammes des chandelles pointait vers le trou, il avait également quelque chose d'hypnotysant, Xale n'avait pus s'empêcher de regarder dans la noirceur et s'était senti absorber vers elle. Plus il tentait de s'en échapper, plus il se sentait absorber, il se souvint alors d'avoir entendu une voix douce en lui qui lui avait dit qu'il pouvait résister a la noirceur. D'un coup, le trou avait imploser et avait aveugler le demi d'une noirceur si sombre, qu'il n'avait pus s'empêcher de fermer les yeux pour apaiser sa vision. quand il les rouvris, les chandelles était éteintes et il ne voyait plus rien. Soudain les flammes s'était rallumés et au centre, au lieu d'y voir une trou noir, il y vis une gargouille immense et aux ailes déployés. La créature parlas le Duergars et demandas qui l'avait invoqué pour qu'il puisse mourir. Un des incanteurs s'était alors avancé vers la créature, avait levés ses mains vers la chose et s'était mis a incanter un autre chant, étrangement Xale avait alors compris le sens des paroles, mais n'y avait jamais fait de cas. des chaînes magiques était alors apparu autour de la gargouille et elle lutas pour se déprendre. Ceci duras plusieurs minutes jusqu'à ce que la créature recroquevillas ses ailes, mis un genoux a terre et avait appeler le duergars maître.

Orn était descendu de la cime et s'était présenter a tous. Si seulement Xale pourrait se souvenir des paroles d'incantations, il pourrait les dires a Ina et elle pourrait enchainé la gargouille et ils pourrait la controller. Xale vit que personne ne parlais mais que tous était a cran, surtout Kyu, et si Kyu avait fait un pas pour attaque, c'est que la créature n'était pas de leurs cotés et elle devait mentir quand elle disait qu'elle ne leurs ferais pas de mal. Le demi pris alors sa corde en soie de son sac et y fit un un noeud coulant et y attacha un de ses kukris a l'autre extrémité, il cacha la corde dans son dos. Il demandas tous bas a Ina:


-Est ce que toi connait magie pour enchainer gargouille? Moi déja avoir vu une magie comme sa, mais moi pas souvenir de paroles. Moi distraire gargouille pendant que toi prépare magie, D'accord?

Il sorti alors de sa cachette et approcha la gargouille tout en tenant dans sa main gauche le coutelas d'ivoire et demandas a la créature:

-Qui être maître a toi? comment nous savoir que toi pas nous attaquer par surprise? Pourquoi toi cherche Xyarvv? toi pas être sauveur! Toi dit que nous souffrir, nous être plus nombreux, peut être que être toi qui va souffrir!

Pendant qu'il questionnait la gargouille, il se déplaças en biais de ou se trouvais Kyu, tout en tenant la corde dans son dos de sa main droite.
PARCHEMIN

Xale essai de se souvenir des paroles du sort d'enchainement du Duergars
int:
Jet de dés
1d20 + 1 = 10 + 1 = 11


Le jet de la maitrise des corde pour faire le noeud coulissant
maitrise des cordes:
Jet de dés
1d20 + 3 = 10 + 3 = 13


Il essait aussi de tromper la créature
tromperie:
Jet de dés
1d20 + 2 = 5 + 2 = 7


Il prépare aussi son attaque qui seras de lancer la corde autour du cou de la créature dex:
Jet de dés
1d20 + 3 = 3 + 3 = 6

écrit par: Ina Mercredi 21 Février 2018 à 22h08
Ina était encore cachée selon elle, mais pourtant la créature avait dit mesdames. Du coup étant la seule femme du groupe, elle du se rendre à l’évidence, elle était découverte. Ou pour le moins la chose savait qu’elle était peu loin. Xale tenta une approche directe mais avant de partir, il lui dit quelque chose dans un langage dont elle n’était pas coutumière. Elle chercha dans sa mémoire et dans sa compréhension des langues si elle pouvait déchiffrer ce qu’il venait de lui dire à la va vite. En tout état de cause, la nouvelle bestiole devant eux n’était d’une part peu avare en paroles et encore moins en menaces.

¤Et tu crois qu’on va te laisser nous filer le derrière avec des menaces ? Pauvre bête. Peut-être devrions nous mettre fin à ta vie histoire de soulager le monde de ta bêtise. En tout cas, ya pas moyen que j’accepte que tu nous accompagne. D’autant que je ne connais pas ton maitre, et que tu as clairement l’aire du mauvais coté de la barrière naturelle. ¤

Pour l’instant la jeune femme resterait cachée en fouillant sa mémoire pour déchiffrer ce que Xale lui avait dit. Elle voulait aussi bien entendre la réponse aux questions, et finalement si la situation venait à dégénérer, elle pourrait encore avoir un petit effet de surprise en déboulant de derrière un fourré.

¤Si ya peut être moyen que je m’habitue à toi….quand j’aurais tes dents en collier !!!¤

Aussi discrètement que possible, elle défit les attaches de son sac à dos et le déposa au sol. Sa lance dans une main, et le reste de son armement bien en place dans leurs fourreaux, elle se préparait à un assaut surpris de la part de leur adversaire. Il faudrait réagir vite et bien si jamais les hostilités devaient se lancer. La « bestiole » faisait quand même dans les trois mètres de haut, sans compter le large. Un coup d’aile pouvait probablement projeter un homme de bonne carrure à quelques mètres. Autant dire que si combat il y avait, il n’allait pas être de tout repos.


écrit par: Baelsul Vendredi 23 Février 2018 à 14h33
L’elfe n’avait pas goût pour les créatures non-naturelles, c’était à l’opposé de sa culture et de ses valeurs elfiques. Ce rejet venait d’être amplifié par la disgrâce du vol aérien de la bête et renforcé par sa manière de s’exprimer. Fronçant les sourcils, le lunargentais était perplexe devant les paroles du Nycaloth. Cette gargouille sûrement venue tout droit de l’enfer voulait accompagner le groupe au fort des portes de l’enfer ?

¤ Quelle idée saugrenue ! Il cherche à retourner d’où il vient ? Non… sûrement pas, cette bête malsaine à sûrement un dessein autre, qu’elle ne souhaite pas dévoiler. Cette perfide créature veut nous manipuler ? Je crois qu’elle a trouvé à qui parler. Enfin peut-être qu’elle nous écraserait en un clin d’œil comme elle le suggère ? ¤

Continuant dans ses pensées :
¤ Trois scénarios s’offrent à nous :
- Combattre la créature en un front uni;
- Laisser la créature nous rejoindre et la voir se retourner contre nous, mettant son complot a exécution et nous prenant par surprise;
- Vivre un difficile voyage en compagnie de cette immondice. ¤

Baelsul avait suivi du regard les actions de ses compagnons, et notamment de Xale, qui préparait quelque chose. L’archer décida de retenir son mouvement et même son intervention pour se caler sur celle de son congénère qui avait, semble-t-il, pris l’initiative.

Afin de maintenir sa concentration, Baelsul continua de faire vibrer sa corde à un rythme régulier de son annulaire droit.


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écrit par: Sunniva Vendredi 23 Février 2018 à 15h49
Le sinistre être qui se tenait devant eux avait une prestance hors de l’ordinaire, malgré son apparence peu commune et sa taille anormal il dégageait une stupéfaction; surement de la magie croyait-il Maxilim qui semblait gelé sur place. Le charismatique Nycaloth répondit franchement à Xale en le regardant droit dans les yeux…

-Mon maîstre, demi-homme, est Yar.-Dit-il avec un sourire carnassier qui donnait encore plus d’envergure à ses cornes légèrement recourbé vers l’arrière puis poursuivit dans l’ordre des questions…

-Je possède qu’une parole puis mon maîstre a été très clair à ce sujet, tant que vous ne chercherez pas d’embrouille avec moi, je n’en chercherai pas.-Son sourire revint plus naturel et après une pause calculée il ajoutait…

-Je ne cherche pas Xyarvv, c’est lui mon maîstre et c’est lui qui m’envoie vous escortez.-Son regard plein de sournoiserie se fit plus intense et ajoutait…

-Yar par-contre, n’est pas mon supérieur, Furcas est mon supérieur, qui lui, m’envoie vous surveiller.-Son sourire fut encore plus carnassier qu’à la première réponse en suivant précieusement les déplacements de Xale et s’ensuivit…

-Moi sauveur? HaHaHaHa… Qui dans cette existence peut se glorifier d’être sauveur? Votre mental est limité humain ou pire vous ne faite que croire au lieu de savoir?- Son rire caverneux laissait une empreinte sonore qui se propageait aux alentours et continuait sur la même lancé…

- Vous humains, ne connaissez pas la souffrance telle quelle est réellement et ne connaissez rien des Nycaloths et leurs pouvoirs, tandis que moi je connais vos faiblesse, vos peurs, vos hantises, vos affres, vos apeurement, vos effrois, vos épouvantes, vos frayeurs, je vous connais depuis bien longtemps, trop longtemps. Ce n’est pas la première fois que Furcas m'envoie chez les humains, ce vieillard cruel à la tête blanche et à la longue barbe qui gouverne les 20 légions d'esprits de l'enfer, et qui enseigne l'astrologie, la philosophie, la rhétorique, la logique, la chiromancie, la pyromancie, lui qui domine les chevaliers d'industrie cherchant des moyens illicites pour s’associer avec les humains, lui, il m’a tout enseigné de vous; alors oui, il se peut que je souffre, mais j’en doute.- La révélation qu'il venait de faire avait un but précis et ses ailes se déployèrent légèrement dans un silence puis son pied droit tournait en suivant la direction que Xale empruntait. Son regard de braise se plissait puis…

-Tu es plein de courage demi-homme et bien imprudent aussi de croire que je ne te vois pas venir mais si tel est ta décision, vient!-

Orn fermait les yeux laissant son sourire arborer ses nombreuses dents affutées invitant malicieusement les fous qui oseraient s’en prendre à lui. Ce qui l’intriguait était cette aura aussi pur que le cristal divin qui émanait de Xale, la créature ne parvenait pas à comprendre d’où émanait cette force car il ressentait que le demi-homme n’avait pas un cœur pur et il dû continuer de penser que cela devait venir d’un colifichet caché sur lui. L’autre intrigue venait de l’archer qui ne semblait pas avoir baissé sa mire sur lui, ce dernier avait une aura des plus malsaines que le Nycaloth n’avait entrevue depuis bien longtemps, si lui venait des diantrefosses ordinaires, celui-là venait de bien plus bas. La créature était certaine que l’archer était un membre infiltré, d’après l’aura qu’il dégageait et sa concentration sans faille, c’était sans aucun doute un envoyé du Seigneur sans nom du Premier, Bel lui-même, et connaissant parfaitement ses serviteurs, le duc Amduscias, Malphas et Goap, eux aussi des chefs de guerre et des généraux, ce demi pouvait venir de l’une de ces factions. Dans ses pensées il mettait un ordre de priorité et décidait d’écouter encore d’avantage ce que les insectes devant lui avaient à dire ou à faire.

Ina dans ses souvenir, prenait conscience de l'être qui était devant eux et aussi qu'elle pourrait si elle le voulait réciter la protection que Xale lui avait lancé comme une vulgaire pomme. La druide prenait aussi conscience que si elle échouait elle serait peut être responsable d'une convocation et ouvrirait peut-être un portail directement dans la citée maudite. Ses pensées confuse lui interdisait d'aller de l'avant, elle avait une certaine connaissance des convocations et de la magie divine mais de là à savoir retenir un démon. En même temps une force en elle ne voulait pas de l'être charismatique qu'ils avaient devant eux. Les révélations du Nycaloth lui apportait l'ampleur de la situation, leurs troupe n'avait pas affaire à de simple briguant, ils avaient affaire à des être impures directement des enfers.

écrit par: Baelsul Vendredi 23 Février 2018 à 21h13
Baelsul se souvint de la force ombreuse avec qui il avait interagit à plusieurs reprise et qui l’avait aidé à entrevoir durant un bref instant ce à quoi ressemblait la cave de la seconde chaumière. Il décida de reprendre contact et commença à chanter le mélodie elfique qu’il avait précédemment utilisé et qui avait involontairement convoqué la force ombreuse.

Comme venait de le préciser judicieusement le Nycaloth, l’Archer et sûrement l’ensemble du groupe, n’avaient aucune connaissance de la puissance d’une telle créature et encore moins des façons de la vaincre. Si l’émanation d’ombre pouvait lui donner un coup d’avance comme ça avait déjà été le cas, peut-être serait-il mieux armé face à la créature, peut-être saurait-il que faire.

Le discours de la créature n’était pas aussi clair qu’il pouvait paraître dans l’esprit de l’elfe, qui ne connaissait pas la hiérarchie des créatures démoniaques. Un Maistre qui n’est pas un Supérieur et inversement ? Bref, ça n’avait pas beaucoup de sens pour lui qui avait toujours vécu de manière libre et n’avais répondu qu’a son instinct ou suivi les conseils de la Seldarine ou directement ceux de Corellon.


¤ Comment croire le monstre ? Quelle valeur peut avoir sa parole ? Aucune sûrement…. Par contre je sais que la vie en a une, celle de mes compagnons, celle de cette forêt… Comment s’allier, même temporairement à un tel être ? ¤

Les paroles du Nycaloth remettaient en cause le premier jugement du demi-elfe, mais il ne voyait pas d’autres issues qui soient plus juste pour le monde que la disparition de cette immondice. Dans le même temps, inutile de se lancer dans un combat inutile.

Pour la première fois depuis quelques temps, on évoquait Xyarvv, hors du groupe.

¤ Peut-être que cette créature est notre meilleure piste pour pouvoir accomplir notre quête de ‘sauveur’ comme évoqué par Xyu ? D’ailleurs, il ne semble par réagir… Mais que fait-il ? ¤

L'arc toujours bandé et rythmé par son annulaire, Baesul en profita pour adresser une prière à Corellon, lui demandant sa protection, dans cette situation difficile.

écrit par: Xale Samedi 03 Mars 2018 à 16h44
Xale sentit que si le groupe devait attaquer, cela devrait se faire vite et frapper dur. Il avait un pressentiment que la créature serais difficile a abattre, mais que la tâche ne serais pas impossible. Le fait qu'elle avait fermé les yeux lui donnait de la confiance, peut-être un peu trop même. Cette trop grande confiance et sous estiment du groupe pourrait être la cause de son déclin. Sa déesse qu'il sentait dans son cœur et dans chaque particule qui faisait partie de son corps, le rassurais, le réconfortais et le guidais. Syrynya lui avait laisser savoir que ORgnifff ne mentais pas, mais quelque chose autre que sa déesse indiquait a Xale qu'il ne disait pas toute la vérité. De plus les paroles que le monstre avait lancé sur la souffrance irritait l'ex esclave. Son sang commençais a bouillir, certaines visions de son passée refaisait surface pour le hanter. Il revivait la fois ou ont lui avait coupé l'oreille, les multiples fois qu'ont l'avait fouetté, les fois ou le plus jeune des frère Koltör s'en était servi comme cible pour le tir à l'arbalète et à la massue, les fois ou il était enchaîné a biquette et que les frères se régalais de nourriture devant lui alors qu'il n'avait pas mangé depuis des jours, les nuits glaciales dans le palais, les multiples viols que lui avait fait subir Draknu le chef de la petite bande d'ont les frères Koltör font parti. Alors que ses cicatrices le démangeait et que pendant un millième de seconde ont aurait pu apercevoir une rage plus que noire et profonde dans les yeux de Xale, un seul mot le ramenas à lui et le calma:

-Syrynya...

Dit-il tout bas à lui même. Le nycaloth était toujours la, avec son sourire machiavélique, ses crocs ressemblait a des épées naines qui étais pris ensembles dans une mâchoire. Xale se devait de faire quelque chose, Kyu était sur place et étais prêt a toute éventualité et Ina était toujours caché.

«J'espère qu'elle prépare l'incantation!»

Pensa-il. Xale décidas d'invoquer un cercle de protection, cela serait une manière de l'immobiliser sans l'attaquer.


-Que toi connaitre de souffrance? toi dire que nous pas savoir ce que c'est! Juste Nycaloth savoir ce que c'est souffrance? Toi dit toi connaître peurs a moi, moi plus avoir de peur, donc toi pas connaitre moi. MOI ÊTRE XALE, AMOUR DE SYRYNYA! Syrynya prête moi ta forçe!

PARCHEMIN
Xale lance le sort cercle magique contre le mal sur le nycaloth

écrit par: Ina Dimanche 04 Mars 2018 à 14h48
Des informations à traiter mais toujours un tableau assez incomplet de la situation. Ce Xyarvv, s’il nous appelle, pourquoi nous envoyer son laquait ? Sommes-nous si faible qu’il considère qu’une escorte nous est nécessaire ?

¤Par les couilles de Sylvanus, tu vas voir ta tête quand je t’aurais mis la main dessus derrière ta porte. J’ai survécu un an dans la cité interdite, ce n’est pas pour me retrouver escorté par un démon. ¤

La bête ailée disait la vérité. Soit, au moins il n’y a pas à se méfier de ses mensonges. Mais les créatures qui ne mentent pas sont parfois les plus fourbes car elles sont capables de cacher des vérités bien plus dangereuses.

La tension n’était pas descendue un seul moment durant la conversation. Baelsul toujours prêt à tirer et Xale prêt à fondre sur l’adversaire aussi vite que l’éclaire. Kyu également était prêt à en découdre. Le combat semblait de plus en plus inévitable d’autant que la jeune femme n’avait pas encore ouvert sa bouche. Ce qu’elle pensait tout bas n’allait probablement pas les aider à désamorcer la situation. En avait-elle envie ? Surement pas !!!


¤Un bon démon est un démon mort ! Et toi mon pote, tu va prendre un tarif maison ! ¤

Ina essaya de se remettre en mémoire les paroles du sort de Xale, mais à bien y réfléchir, le danger de l’utiliser était beaucoup trop grand. Autant le garder en dernier recours si jamais l’affrontement tournait mal. Il permettrait de se protéger un peu plus. Peut-être…si je ne me plante pas dans une prononciation, pensait-elle.

¤Il y a surement moyen de lui tirer encore quelques limaces du nez à celui-là. Mais il va falloir que je me montre. ¤

Quand elle eut fait le tour de cette idée de continuer la discussion un peu plus avant de le renvoyer à son créateur, la magie fit son apparition dans l’environnement. Quelqu’un va lancer un sort. Donc autant dire que le combat va commencer.

¤De la magie divine ? Mais bordel qui est capable de faire ça à part moi dans le groupe ? Soit yen a qui cachent bien leurs jeux, soit ya encore un truc qui va nous tomber dessus. Malaric peut -être ? En tout cas c’est le moment d’envoyer la sauce ! Voyons si on peu électrifier un peu l’ambiance !¤

Sentant la magie affluer, Ina sortit donc de sa cachette et planta sa lance dans le sol à coté d'elle. Il était temps de se lancer dans la mêlée. Mais d’abord, un petit jugement divin par la puissance des éclairs serait une bonne entrée en matière.



Les mains jointes, doigts écartés, la druidesse sépara ses paumes pour voir apparaitre dans le creux de ses mains un petit nuage noir chargé d’électricité. Concentrée sur ses mains, elle fini par relever le nez pour faire face au démon à quelques mètres d’elle. Un petit sourire en coin apparu sur son visage.

¤Mange ça ! On va voir si tu connais vraiment la souffrance ! ¤

-On m’avait dit que les démons étaient des abrutis, mais à ce point-là, j’ai du mal à le croire ! Si tu as imaginé une seule seconde que nous pouvions voyager avec un démon, ton maitre t’as mal renseigné sur nous, et en particulier sur moi. Passe le bonjour à Korn de la part des gardiens sylvestres de Thuldae.

Elle tendit le doigt vers l’adversaire du moment pour guider l’éclaire qui devrait descendre du ciel.

PARCHEMIN
Ina lance appel de la foudre sur le Nycaloth. (incantation en druidique rien de spécial d'écrit)

écrit par: Sunniva Lundi 05 Mars 2018 à 15h28
PARCHEMIN
initiative Xale, Kyu, Baelsul, Ina et Orn.

Att Xale
Jet de dés [fixe]
1d20 + 6 = 8 + 6 = 14+5(Syrynya)+2 tenaille=21 sur 18=réussite.

ATT. Kyu
Jet de dés [fixe]
1d20 + 14 = 8 + 14 +2 tenaille = 24
Jet de dés [fixe]
1d20 + 14 = 19 + 14 +2 tenaille = 35
Jet de dés [fixe]
1d20 + 14 = 16 + 14 +2 tenaille = 32
Jet de dés [fixe]
1d20 + 9 = 15 + 9 +2 tenaille= 26
Dégâts:
Jet de dés [fixe]
2d6 + 5 = 9 + 5 = 14
,
Jet de dés [fixe]
2d6 + 5 = 8 + 5 = 13
,
Jet de dés [fixe]
2d6 + 5 = 6 + 5 = 11
,
Jet de dés [fixe]
2d6 + 5 = 10 + 5 = 15
= -53 PV. Orn

ATT; Baelsul:
Jet de dés [fixe]
1d20 + 11 = 3 + 11 = 14+5(Chose)=19 sur 18=Réussite. +coup identique (Chose).
Dégâts:
Jet de dés [fixe]
1d8 + 8 = 8 + 8 = 16
,
Jet de dés [fixe]
1d8 + 8 = 4 + 8 = 12
= -28 PV. Orn.

Att: Ina:
Jet de dés [fixe]
1d20 + 10 = 13 + 10 = 23 contre 18=Réussite.
Dégâts: Nul, absorption d'électricité.

ATT; Orn:
Jet de dés [fixe]
1d20 + 9 = 2 + 9 = 11 contre Kyu 20+5=25=Échec.
Jet de dés [fixe]
1d20 + 9 = 8 + 9 = 17 contre Xale 13+5=18 = Échec.

Orn Téléportation d'attaque. Dissipation de la magie.


Orn avait la prétention de son rang et de sa race. Croyant que le groupuscule allait gentiment le laisser les suivre, la situation aurait été des plus pratiques pour l’ensemble mais il semblerait qu’ils aient besoin d’une leçon pour apprendre. Il avait été pourtant très clair, sans détours et aucune cachoterie dans ses dires puis après tout il savait que cela allait prendre cette direction; personne avait confiance à un fiélon, pourtant…

Le nycaloth allait répondre quand Xale le sermonnait à grand coup de psychologies d’esclaves et d’un élan un peu fou, d’après Orn, s’élançait vers lui en criant une abjuration au nom de Syrynya. N’y croyant pas et sachant très bien que ce fou ne pourrait rien contre lui, son sourire s’élargissait encore démesurément et même temps qu’il se demandait qui était cette Syrynya. Du coup, l’envoyé de Furcas sut à qui il avait affaire, c’était un piètre prêtre de la surface au nom d’une déesse inconnu, du moins de lui. Sa prétention lui interdisait d’éliminer cette vulgaire magie pieuse, il aurait pu sans grand effort dissiper toute magie mais à quoi bon, la leçon en serait que plus virulente. Première erreur qu’il fit.

Xale dans son élan venait de donner le signal, même si il n’en était pas conscient, il venait de commencer ce que beaucoup n’aurai osé. Kyu de l’autre côté de lui profitait du léger temps qu’il possédait pour tenter une prise en tenaille. En même temps que Xale, il sautait d’un bon impressionnant vers Orn qui avait le regard fixer dans celui de l’ex-esclave qu’il croyait inoffensif : Deuxième erreur.

Baelsul comprit que le moment était venu et avec cran, car il en fallait pour tirer dans une mêlé sans avoir peur de toucher l’un des compagnons du moment. Son trait parti et lorsque l’archer vit le trait celui-ci était accompagné de scorie d’un noir jais exactement comme celles entrevue lorsqu’il avait vu cette Chose au loin. Instinctivement il se retrouvait avec une deuxième flèche d’encocher puis laissait s’assouplir la corde une seconde fois. Ce trait aussi avait la même trainé jais qui allait dans la même direction que la première et pas très loin derrière.

Ina qui était resté concentré, étudiant avec un soin particulier les alternatives possibles en était venu au même constat que Xale, et il semblait que le combat était la seule alternative à cette issus. Les questions viendraient par la suite. Sortant de sa cachette naturel elle en appelait à Sylvanus et fit apparaître la foudre pour l’écraser sur l’abomination de pierre devant elle.

Maxillim, était à étudier les dires du fiélon et prenait le temps de voir ce qui allait se passer avant de choisir la bonne méthode d’en arriver sans trop de dégâts. Le bébé Nathan était lui, caché dans le creux d’un arbre, commençant à vouloir une tétée.

L’ex-prisonnier bondit puis d’un habile rouler boulé vint se retrouver un genou au sol et quand il étirait son bras droit pour aller toucher le mollet de la jambe gauche d’Orn. Un moment il crut qu’il n’y parviendrait pas puis au tout dernier moment, une extension vaporeuse lumineuse vint sortir de son index et vint toucher le mollet visé pour libérer la magie divine et instantanément une forme de bouclier lumineux vint entourer le nycaloth sur un rayon de trois mètre autours de lui.

Au même moment Kyu d’un puissant coup de pied droit vint frapper le genou droit du colossal adversaire puis dans le même élan un autre coup de pied à plat sur le même genou pour ensuite venir saisir les deux ailes du fiélon et les maintenir fermé dans son dos en agrippant celles-ci avec force et grâce. L’ensemble avait été d’une fluidité surprenante pour un être de sa grosseur et avait été exécuté avec une précision étonnante en force et rapidité. Orn se retrouvait maintenant emprisonné et maintenu d’une prise dorsale.

Un premier trait de flèche perçait les fourrages végétaux pour venir se fracasser en dessous du bras droit du nycaloth, si la pointe arrachait l’équivalent de son propre poids en pierre le reste de la flèche de guerre vola en éclat après l’impact et Baelsul s’aperçut que les scories jais ne pénétraient pas dans le cercle de protection et s’évaporaient instantanément. Le deuxième trait filait directement au même endroit et touchait lui aussi à a peine un centimètre de la première faisant les même dégâts laissant un petit trou de deux centimètre sur l’aisselle droite du fiélon laissant s’échapper un morceau de pierre qui vint tomber au sol; le reste de la flèche vola en éclat tout comme la première.

La foudre sylvanienne vient s’abattre directement sur la tête du nycaloth. S’attendant à une gerbe de pierre qui volerait dans tous les sens, la druide se préparait à en appeler une autre quand elle vit l’éclaire toucher et sentie que le courant avait passé ou avait été absorbé par l’être de pierre. Les yeux du fiélon s’ouvrirent d’un rouge flamboyant laissant un crie infernal sortir de sa puissante gorge.


-Pleutres, vous allez souffrir!-

Kyu semblait ne pas avoir reçu la décharge électrique et avait gardé sa prise sur les puissantes ailes les retenant solidement fermé et ceci ne semblait guère faire l’affaire du prisonnier de l’instant qui dans un effort qui se concluait nul, tentait de se libérer de la prise et en même temps de piétiner Xale à ses pieds. Suite à cet effort toute la masse de pierre disparut puis se retrouvait derrière Kyu aussi rapidement qu’un battement de cils et les ailes s’ouvrirent de toutes leurs largeurs coupant par la même occasion les deux troncs d’arbres de 30 centimètre qui se trouvait sur la route de leurs ouvertures.

Le cercle de protection opéré par Xale s’évaporait au même instant puis ils sentirent tous une énergie malsaine qui vinrent s’écraser sur eux. Ina et Maxillim prirent conscience qu’il venait de faire une dissipation de la magie sur un rayon indéterminé et venait par le fait même de se libérer de la prise tenace du demi-orque qui lui se retrouvait avec Orn derrière lui.

La rage qui prenait place dans le visage du fiélon en disait long sur son état actuel. Il venait d'être grandement affecté par la première attaque et il semblerait que l'un de ses genoux soit en piteux état car il se tenait beaucoup plus sur l'autre, ses ailes devaient sans aucun doute l'aider à rester debout et à voir comment il tenait son bras droit, il semblerait que les flèches de Baelsul lui ait fortement endommager les fonctions motrices de celui-ci.

L'air autour d'eux commençait à crépiter d'une magie impure tellement que la végétation sur une circonférence d'au moins 10 mètres, flétrissait à vu d’œil. Maxillim restait cacher derrière le gros chêne et commençait une danse gestuel dans la toile.


Nathan se mit à pleurer de sa cachette. Les yeux d'Orn prirent la direction des pleurs et un sourire malin s'affichait encore moins serein qu'auparavant. Un battement d'aile plus tard ses deux pieds quittèrent le sol d'un quart de mètre.

écrit par: Baelsul Dimanche 11 Mars 2018 à 23h25
Baelsul qui avait atteint par deux fois le monstre adverse, se félicitait de pouvoir contribuer à tenir en respect la créature, notamment vis-à-vis du groupe et du petit Nathan. Le petit devait être protégé à tout prix, il représentait la vie et le futur, il était impossible de le laisser aux mains d’un tel être.

¤ Tous mes compagnons s’en sortent bien, persévérons ! ¤

Par contre le sillage de jais des flèches était étonnant, voir effrayant. Malgré tout, il était sûrement à l’origine de la puissance des coups tirés. Sans doute une intervention de l’émanation ombreuse que l’Archer avait tentée d’appelé à propos.

Continuant sur sa lancée, Baelsul éleva le ton du chant qu’il avait commencé à fredonné et senti comme un crépitement du bout de ses lèvres.






Tout en encochant une nouvelle flèche, il senti comme si son arc devenait plus performant, plus précis, plus à même de venir à bout de son adversaire. En réalité son chant avait généré une magie qui était passée directement du son de sa voix à son instrument de défense en passant par un contact digital avec l’arc.

La vue du demi-elfe lui avait permis d’identifier clairement les difficultés du monstre dans le combat et surtout celle de s’échapper par les airs. Baelsul décida de persévérer en ce sens et d’atteindre ses fonctions motrices. Ciblant les membres porteurs des ailes du monstre, Baelsul envoya un nouvel salve dès qu’il put.


écrit par: Ina Dimanche 25 Mars 2018 à 20h19
¤L’amour, l’amour, il en a de bonnes celui-là. Le bordel vient de se prendre plein tarif et en un instant il nous prive d’une force de frappe énorme en volant et annulant la magie. C’est con j’aurai pu le malaxer un peu. Une fois transformé en tronc de pierre avec une bouche, il aurait surement moins fait le malin. Enfin, toute magie a une fin, il suffit de tenir jusque-là et on pourra avoir nos réponses.¤

Les pensées d’Ina fusaient à toute vitesse. Le combat était peut-être le plus dure de sa vie car au contraire de la lutte pour les artefacts d’Earlann, ici aucune intervention et armes divine n’étaient à l’horizon. Il y avait bien Syrynnia mais la jeune femme doutait encore un peu de ses pouvoirs. Probablement pas pour longtemps cela dit.

Une créature volante, proie facile pour un bon archer et des éclairs. Mais la dissipation avait privé le groupe d’une poigné d’éclaires qui bien que peu efficace contre la pierre avaient le mérite de faire plaisir à l’humaine.


¤Il faut le clouer au sol, sinon il prend l’avantage. Si seulement j’avais la puissance nécessaire pour dissiper sa dissipation et lui faire un bon gros puit gravitationnel sous les pieds. On va devoir y aller a l’ancienne. ¤

Cette pensé en tête, elle entama son avancée vers la cible. Empoignant la lance qui se trouvait juste devant elle dans le mouvement, elle s’élança droit vers l’adversaire. Etant de face, elle avait peu d’espoir de toucher les ailes, mais par contre, elle avait repéré les morceaux manquants que Baelsul avait retirés. Insister sur une plaie ouverte, pierre ou pas pierre, ne finissait jamais bien pour le blessé.


PARCHEMIN
Ina charge avec la lance de maitre. Elle vise la blessure ouverte par Baelsul

écrit par: Xale Mercredi 28 Mars 2018 à 01h41
Le combat ne se passait pas du tout comme Xale l'aurait souhaité. Pendant quelques secondes, il pensait avoir eu le dessus sur la créature de pierre. Kyu le tenait fermement et Xale avait, pour la première fois de sa vie réussi un sort, bien que celui-ci soit divin et non magique a proprement dit, l'ex esclave n'en faisait pas encore la différence. Un clignement de yeux plus tard et Orn était derrière l'orque et la magie de Xale S'était dissipé. Une flèche s'était écrasé sur le corps du monstre, elle devait très probablement venir de l'arc de Baelsul, il avait l'impression qu'elle avait laissé un traîné noire dans le ciel, mais cela devait sans doute être du au Nycaloth. Tout semblait perdu, si seulement la créature n'était pas faite de pierre...

«De pierre, elle est faite de pierre!»

Une idée apparut soudain dans la tête du bâtard, si il pourrait manipuler la pierre, il pourrait probablement façonner les ailes d'Orn en un bloc afin qu'il ne puisse s'envoler. Il ne savait pas si Syrynya pourrait l'aider a effectuer un sort pareil, car lui même ne savait pas trop comment s'y prendre, pour le sort précédent il n'avait pas trop su, mais sur le moment il avait senti une force provenir de l'intérieur de lui mais pas de lui. C'était comme si son corps n'avait été qu'un intermédiaire entre ce monde et la volonté de sa déesse. Il tentas de lancer un nouveau sort, mais cette fois-ci de façonnage de la pierre:

-(elfique) O syrynya, Mon amour, Prête moi ta force et transmet a travers moi ta volonté, je suis tiens ici et pour toujours, façonne les ailes de ce monstre en un seul ...

Il ne puis terminer sa prière, car ce qui s'en suivi le mis dans une rage, le genre de rage qu'il connaissait bien. Les pleurs du bébé s'était fait entendre et Xale vis le sourire d'Orn se dessiner tranquillement sur sa bouche et la créature prendre son envol. Xale avait vue chaque milliseconde comme si elles aurait durée une minute. Il savait que le monstre démoniaque allait s'en prendre au nourisson flottant. Pris de cette rage qu'il connaissait, Xale lançait la corde avec le noeud de coulant afin qu'il se resserre autour du cou du Nycaloth.

-NON, SAUVE TOI BÉBÉ!!!!!

PARCHEMIN
xale tente de lancer la corde autour du cou du Nycaloth
Jet de dés
1d20 + 3 = 3 + 3 = 6



écrit par: Sunniva Mercredi 28 Mars 2018 à 15h19
PARCHEMIN

Xale Att. Orn. 6+5=11 = Échec. Sort:Contre sort (Syrynya).=Réussite.

Kyu Att. Orn.
Jet de dés [fixe]
1d20 + 14 = 1 + 14 = 15
+5=Réussite
Jet de dés [fixe]
1d20 + 14 = 18 + 14 = 32
+5=Réussite
Jet de dés [fixe]
1d20 + 14 = 14 + 14 = 28
+5=Réussite
Jet de dés [fixe]
1d20 + 14 = 13 + 14 = 27
+5=Réussite.
Dégâts:
Jet de dés [fixe]
2d6 + 5 = 2 + 5 = 7
Jet de dés [fixe]
2d6 + 5 = 8 + 5 = 13
Jet de dés [fixe]
2d6 + 5 = 5 + 5 = 10
Jet de dés [fixe]
2d6 + 5 = 8 + 5 = 13

Orn:-43PV

Baelsul Att. Orn avec arc.
Jet de dés [fixe]
1d20 + 6 = 8 + 6 = 14
+5=Réussite.
Dégâts:
Jet de dés [fixe]
1d8 + 8 = 8 + 8 = 16
X2=32.
Orn: -32PV. +Nécrose=-32PV/RD.

Ina Att. Orn.
Jet de dés [fixe]
1d20 + 5 = 8 + 5 = 13
+2+5=Réussite.
Dégâts;
Jet de dés [fixe]
1d8 + 1 = 7 + 1 = 8

Orn: -8PV

Orn Att. Kyu,
Jet de dés [fixe]
1d20 + 9 = 11 + 9 = 20
=Échec.
Jet de dés [fixe]
1d20 + 9 = 3 + 9 = 12
=Échec.
Jet de dés [fixe]
1d20 + 9 = 19 + 9 = 28
=Réussite.
Dégâts:
Jet de dés [fixe]
2d12 + 5 = 21 + 5 = 26

Kyu:-26PV.



L’issu du combat semblait aller pour les compagnons du mystère. Xale intérieurement sentait en lui une force divine qui lui donnait des ailes et de l’audace. Rapidement il commençait à formuler un sort puis en lui se produisit une chose qui le laissait perplexe; la force en lui, Syrynya, manipulait le sort qu’il tentait de lancer pour en créer un bien différent et ce, à l’insu de l’ex évadé, son amant. Une lumière diffuse vint entourer le fiélon qui fit disparaitre la zone d’anti-magie comme si elle avait été absorbée par la lumière or et disparut dans un éclat solaire. C’est peut-être la rage ou l’éclat qui empêchait Xale de bien viser le cou d’Orn et son Kukris attaché au bout de sa corde passait entre les jambes surélevé de l’être de pierre.

Kyu n’attendit pas pour faire un roulé boulé inversé pour se retrouver, encore une fois, derrière l’adversaire des ténèbres et dans un tournillons de coups maltraitait habilement de deux coups de genoux dans les reins le volatile de pierre puis de ses deux bras, vint saisir les deux ailes du colosse infernal qui lui dû mettre les deux pieds au sol et à le voir atterrir, il avait vraiment mal à l’une de ses deux jambes mais il tenait toujours debouts.

Baelsul laissait s’échapper la première flèche et la seconde prit le même chemin. Même fait, les flèches furent projetées entourée d’un halo noir jais et vinrent se ficher entre deux côtes. L’endroit qui fit toucher fut automatiquement prit d’une nécrose qui commençait à ronger la pierre et à entendre le cri foudroyant d’Orn ceci ne semblait pas faire le plus grand bien mais chose surprenante le cri pouvait être celui d’une délectation. Le pire n’était pas le cri mais bien la sensation que vécut l’archer. Il venait de savoir que La Chose l’avait repéré et il senti en lui un sentiment de plaisance à faire souffrir ou jouir l’infernal volatile de pierre. Il sut de suite qu’il était possédé et un sourire néfaste se dessinait sur son visage qui prit les tons grisâtres qui donnaient au pourtour de ses yeux, un cerne charbon et ses iris devinrent noirs.

Ina n’y allait pas de mains morte et sans savoir que la dissipation avait été éliminé elle chargeait en puissance armé de sa lance vers l’immonde créature qui devait tomber à tout prix et ce, vers le même endroit que Baelsul avait frappé la première fois et ce ne fut pas vain. La charge lui donnait tout accès au-devant du corps et en même temps ne lui permettait pas d’atteindre la zone voulut et lorsqu’elle arrivait au contacte la lance glissait sur la pierre et vint se bloquer sous le pectoral droit laissant s’échapper un morceau de pierre qui sifflait vers l’extérieur. Les yeux rouges se tournèrent vers elle avec un faciès des plus mauvais et là, la druide comprit qu’il venait de perdre patience et sa rage commençait. Il se débattit comme il le put avec à l’arrière de lui et en pleine prise, Kyu qui tenait ferme le fiélon de ses deux jambe entouré sur les hanches et les deux bras sur ses ailes puis dans son débattement réussit à assener un puissant coup de coude dans le flan du moine. Et là, comme auparavant il disparut laissant Kyu se recevoir sur ses pieds et apparut directement au-dessus du petit Nathan à quatre mètre au Nord et au-dessus d’une souche creuse. Le cœur de Xale faillit rompre, l’impossible allait-il se passer? Un sourire carnassier apparût sur le visage effronté d’Orn et là Ina étant la plus proche vit qu’il n’était plus de pierre mais bien de chair, elle comprit de suite, que son armure de pierre avait disparu et là où il avait été blessé, un sang bleuté coulait et qu'à l'endroit où était encore fiché les flèches de Baelsul, les chair semblait pourrir sur place et prendre de l'ampleur. Il se déposait un pied de chaque côté de la souche et…

D’une voix sèche, impérieuse, Orn énumère tous les messagers de feu qui, de mont en mont, de rive en rive, sont venus depuis les abysses putrides jusqu'à Yian-Ho pour se déchiqueter puis de paroles viriles, hautaines, royales ; ces flammes annonciatrices qu'il évoque en criant victoire, on les dirait soumises à sa volonté : Laisse entendre pour tous en regardant directement dans les yeux la druide sylvanienne Ina…

-Toi, qui à vue et connu la guerre sous de funèbres auspices en cette cité interdite, tu en veux encore de cette poix? N’a tu pas entendu le chant des douze vieillards qui en appel à cette nouvelle équilibre et cette nouvelle triade? Cette roue d’argent qui tourne sans fin, n’est-elle pas là ta véritable voie?
Alors pourquoi vouloir souffrir ainsi?-

Le sombre présage qui planait s’obscurcissait densément au-dessus d’eux faisant de l’air qu’ils avaient autour d’eux, plus astringente, rendant ainsi la respiration plus difficile; l’atmosphère devenait acide et piquante, les feuillages craquèrent de sèchement, la neige avait disparût, le froid était devenu intolérable puis d’un battement d’ailes maladroit, il s’élevait d’à peine d’un autre demi mètre et bras levé vers le ciel rougie qui tourbillonnait de mille feux maudits, il en appelait à un fléau qui viendrait s’abattre sur le groupuscule. Des vibrations malsaines vint assourdirent le lieu devenue impure à la vie et son sourire de s’élargir encore plus laissait entrevoir une langue fourchu apparaitre au gré de sa perfidie du moment. Ce n’était pas de l’escobarderie, c’était de la pure incorruptibilité.
*Ces enfants de la misère et du pêché sont-ils prédestinés à leur sort, comme moi au leur? N'étaient-ils, comme lui, que les marionnettes d'un monstrueux spectacle? Qu'est-ce donc que l'homme? Est-ce un assemblage monstrueux de choses incompatibles?* Toutes ces questions fusèrent en lui dans l’espaces minime d’un battement de cils puis les forces cabalistiques en qui il appelait les intangibles et néfastes aides sibyllins pointèrent d’un haut nuage aussi noir que le jais. L’éclair violacé zébrait les cieux rougit pour venir s’abattre sur le nycaloth qui semblait absorber cette énergie vraisemblablement impure. Un pétillement électrique se fit entendre en même temps que de petites éclaires fusèrent de ses deux puissants bras et d’un mouvement de doigts agiles laissait s’échappé une ignominie calculé. Du haut nuage jais, venait en spirale vers eux, une immondice incertaine; la nuée d’insecte infâme fonçait vers le groupuscule qui se verrait arracher la peau par des milliers de dévoreurs alouvi.

A ce moment, tous, sans exception, virent un changement s’opérer tout autour du nycaloth; le temps stoppait net son avancé laissant le nuage jais en suspend et laissait l’être de pierre dans sa position dernière : Quelque chose ou quelqu’un venait d’arrêter le temps. Était-ce de bon ou de mauvais augures?

Le corps d’Orn s’ouvrit en deux moitiés indistinctes et floues laissant une vapeur lente déformer les pourtours du corps et laissant tranquillement une lueur violacer sortir de l’intérieur pour laisser apparaître une densification de scories vaporeuse prendre la forme d’une bulle liquéfier au apparence de mercure : Pour les connaisseurs de ce produit, pour les autre, ce fut comme une boule d’un liquide argenté en mouvement. La bulle mouvante prit ensuite une forme qui ressemblait étrangement à un ogre des montagnes pour ensuite s’affiner doucement. La forme ne prit pas longtemps à se définir par la suite; l’être au centre des deux moitiés figé dans le temps avait tout d’un demi homme demi elfe, du moins en apparence mais légèrement plus grand et costaud. Ses cheveux cour laissait un reflet cuivré à roux et entourait se visage carré à la mâchoire découpé en laissant le nez aquilin s’ajuster aux lèvres charnues, ses sourcils était épais et se joignaient presque au centre du front qui se faisait dégagé et large pour laisser toute l’attention aux yeux pers particulier qui eux, étaient disparate l’un de l’autre; le gauche avait des reflets argenté de bleu à vert et le droit des reflets d’or à orangé et le plus surprenant la variation des reflets voyageait d’un œil à l’autre. Ses épaules robustes, son torse imberbe et découpé lui donnait un charisme hors de l’ordinaire pour ne pas dire exceptionnel. Le temps toujours, semblait s’être arrêter autour d’eux puis une voix retentit en eux…

-Vous voici enfin, je savais que vous oseriez vous en prendre à Orn et c’était pour moi la seule façon de vous joindre directement et ce, par le biais des rêves. J’ai très peu de temps alors je serai bref. Pour commencer, merci d’avoir répondu à mon appel et comme vous le savez je suis prisonnier et il semblerait que vous soyez ceux qui avez l’étoffe pour réaliser cette mission. Votre chemin physique ne sera pas de tout repos, plusieurs factions de tout acabit sont à ma recherche et ils seront sur votre route, restez comme vous êtes et vous vaincrez ou… Vous mourrez. Je vais transmettre à chacun de vous, des connaissances qui une fois réuni, vous permettra d’avoir une longueur d’avance sur les autres, restez soudé et ayez confiance. Restez vigilant à votre éveille et soyez attentif dans vos rêves, c’est par eux que je pourrai vous aidez. Je suis et resterai Yar, Le Balancier. Je vous ouvrerez les portes insaisissables si vous parvenez à résoudre cette énigme : Vous avez devant vous douze billes identiques et à l’aide d’une balance à plateau, vous avez trois chances pour me dire qu’elle est la bille qui est différente et surtout, me dire si elle est plus ou moins lourde que les onze autres. –

La forme splendide de l’être incroyablement charismatique qu’ils venaient tous de voir reprit celle de la boule de mercure puis le corps d’Orn se ressoudait en une pièce et le temps reprit son cour. La nuée s’avançait rapidement laissant l’arrière fond sonore emplit des pleurs inconsolables du Nathan apeuré. Un cri aiguë retenti, c'était celui du compagnon d'Ina qui tentait de faire diversion. Le cri du volatile était puissant et se mariait parfaitement avec les pleurs perçant de l'orphelin. À l'arrière d'Orn, apparut la silhouette de Makxillim qui avait, semblait-il, disparut derrière un tronc d'arbre pour ce faire une protection magique et à le voir, il semblait vouloir prendre le bébé à l'insu du nycaloth.

écrit par: Baelsul Samedi 07 Avril 2018 à 20h44
La présence de la créature ombreuse s’était faite puissante, plus encore que d’habitude, elle ne s’était pas seulement connecté à ses pensées ou à ses visions, cette fois-ci c’était autre chose qui s’était passé. C’est dans sa chaire que Baelsul avait ressenti la liaison cette fois-ci, il s’en sentait marqué voire transformé.

Il avait visé incroyablement juste et l’Ombre n’y était pas pour rien, Baelsul en était désormais convaincu. Juste et puissante fut la frappe, complétée par l’effort des compagnons du groupe le combat venait de prendre une toute autre forme. Jusqu’à ce qu’une horde de créatures commença à apparaître autour du groupe. La profusion de nouveaux venus embrouillaient l’esprit du demi-elfe qui n’arrivait pas à conserver une vision claire du combat. Peut-être étaient-ils perdus ?

Revenant à la sensation qui avait pris possession de son corps, Baelsul s’interrogea sur le prix qu’il venait de payer à avoir volontairement invoqué la Chose… Quel serait-il s’il persévère ? Baelsul avait toujours cru aux forces naturelles, à la beauté des choses nées du monde et qui s’éloignent de toute engeance démoniaque. Il se voyait désormais atteint peut-être souillé dans son corps. Qu’en serait-il de son âme ? Devant une telle révélation, il décida de ne plus faire appel à l’Ombre, du moins jusqu’à ce qui en sache plus par rapport à cette situation et par rapport à son propre for intérieur.

L’arrivée de l’être transformé depuis la boule de mercure était improbable.
Il venait de se présenter comme étant Yar, l’élément rassembleur et déclencheur de la création de la jeune compagnie d’aventuriers. Il annonçait que ce stratagème avait été le seul moyen de communication, l’archer d’argent étant en totale incompréhension des propos et de leur signification mais avait écouté avec attention les paroles. Les rêves étaient la clé du sauvetage de Yar…

Le temps étant revenu, Baelsul s’empressa d’observer plus attentivement la nuée qui s’approchait, de quoi était-elle constituée ? Quel était ce genre de menace ?

Cliquez ici pour dérouler le parchemin...

écrit par: Sunniva Mardi 10 Avril 2018 à 15h12
15 Tarsakh 1373 : -La Griffe des tempêtes

Dans la chaumière de Nathan.
Début de la journée
6*C
Vent: nul
Lever du soleil: 05h13
Durée du jour:13h00
Séluné : 4 ième quartie


Le cri presque insupportable de Nathan perçait les tympans les plus sensibles du groupe leur donnant un tournis désagréable. Makxilim réussit à saisir le petit dans ses bras protecteurs, mais Orn qui n'était pas dupe et impotent s'aperçut rapidement du stratège du magicien et son attention fut sur l'arcaniste imprudent. Un coup de pieds vers l'arrière vint percuter la hanche droite du protecteur qui allait valser un bon trois mètres plus loin en lâchant un cri de douleur immense; Nathan se retrouvait dans les airs et retombait au sol. Si le cri d'auparavant était insupportable, les pleurs qui vinrent suite à la chute firent des plus douloureux pour le groupuscule, mais semblait donner une joie immense au fiélon. Durant ce court laps de temps, le nuage descendait cruellement vers les compagnons. Le bourdonnement titanesque que laissait entendre le fléau d'insecte infernal entremêlé des pleurs du nourrisson était simplement insupportable.

L’ensemble des derniers évènements étaient si dense à digérer que tous, sans exceptions eurent une envie soudaine d’en finir avec leurs existences. La scène présente était si infernale que nul ne voyait une façon précise de s’en sortir, mis à part Ina qui rapidement tentait de trouver une solution qui semblait être un coup d’épée dans l’eau. Elle allait quand même tenter que les pleurs incessant lui empêchait toute concentrations.
Personne ne sut si c’était le froid de la chaumière ou les pleurs de Nathan qui réveillait les habitants présents mais une chose certaine, était qu’ils venaient tous de se réveillé ensemble et au même moment. Au travers des fentes des planche des couvres fenêtres le soleil traversait la poussière qui laissait une lumière réconfortante éclairer doucement la chaumière. Le matin était déjà là laissant encore bien présent dans leurs consciences, le rêve ou plutôt, le cauchemar qu’ils venaient de vivre.
Xale qui était couché auprès de Nathan s’aperçu rapidement que le petit avait une faim de loup et qu’il avait amplement emplit sa couche, si l’odeur ne le dérangeait pas, les pleurs par-contre commençait à lui bouleverser l’esprit. Et il s’aperçût que lui-même c’était uriné dessus. D’ailleurs, tous c’était relâché durant leurs sommeil, non pas par la peur mais bien dû à la longueur de leurs sommeil.
Le feu était éteint et ce, depuis bien longtemps, car le restant de nourriture qui était resté dans le chaudron auprès des flammes était froid, ce que dit Kyu en se lançant prestement dans celui-ci pour étancher sa faim.
Ina comprit de suite qu’ils avaient dormi possiblement plus longtemps qu’une seule nuit et Baelsul en fut certain. Les pierres des murs de la chaumière étaient froide et à certain endroit l’on pouvait y voir du frima sur celles-ci.
Une chose certaine était que tous en se regardant, comprirent qu’il avait vécu la même chose, la preuve étant que Kyu avait une immense ecchymose dans le flanc gauche et Makxilim avait peine à se tenir debout en se tenant la hanche droite, tellement qu’il crut avoir celle-ci brisé. En réalisant ceci il dit sur un ton inquiet…


-Nous aurions pu y rester! Nous, nous sommes réellement allé dans ce maudit cauchemar! Mais, mais comment est-ce possible? Ou plutôt, comment? Quoi? Mais?...-

Il cherchait possiblement, comme tous les présents, à comprendre l’impossible mais il était clair qu’ils avaient une mission d’une grande importance à réaliser et ils avaient tous eut des révélations importante qui les aideraient à la réaliser.

Soudain de puissants coups frappaient à la porte et une voix forte que Makxilim reconnu comme étant celle du prêtre ivrogne de Fort Olostin, en fin, il était connu plutôt comme Arnault Primevent, grand maîstre du Nord.


- Xavier, Sylvia, ouvrez! XAVIER, SYLVIA ÊTES VOUS LÀ!? Aller vous autres, dégager moi cette porte prestement, Sylvia doit avoir eu son enfant, nous l’entendons d’ici, grouillez-vous, nous devons impérativement refaire nos inventaires d’herbes, il y à eut beaucoup trop de blessé dans cette maudite tempête. Allez, allez, pelleter! Ils doivent êtres prit au piège avec toute cette neige.-

Makxilim s'approchait de la porte et criait...


-Maistre Arnault, c'est Makxilim de Mulhorande, il c'est passé de terrible chose, nous vous ouvrons!-

Dit-il énervé tentant avec difficulté, d'ouvrir la porte qui semblait coincé puis soudain la porte ouvrit laissant voir dans l'antre de celle-ci un immense gaillard couvert d'une peau finement travaillé qui laissait voir plus bas un pan de robe bleuté azure et des bottes haute d'un cuir finement travaillé. Son symbole religieux pendu à son coup par dessus l'épaisse fourrure ne trompait pas, c'était un prêtre de Tyr. Makxilim s'affalait au sol dans une douleur et le prêtre entrait non chaland en refermant la porte derrière lui et s'exclamait d'une voix forte...


-Par Tyr, quels sont ces terribles choses que vous me dites Makxilim et qui sont ces gens? Et de grâce, faite moi un feu que l'on se réchauffe. Où sont Xavier et Sylvia, nous avons besoin d'eux, en fait de leurs herbes.-

Le mage blessé grimaçait de douleur et ne put répondre sur l'instant ce qui donnait le temps à Arnault Primevent de prendre une grande rasade de sa gourde d'eau de vie.

écrit par: Ina Mardi 10 Avril 2018 à 19h35
La situation était dramatique, a la limite du désespéré. Les insectes volants arrivaient pendant que Makx prenait l’enfant, non sans être vu et mis au sol par le géant de pierre aux ailes d’enfer. L’apparition qui avait pris forme dans le corps d’Orn avait laissé son lot de questions avec un autre lot de réponses. Beaucoup de choses s’étaient éclaircies, mais bien d’autres restaient sombres. En particulier cette énigme de billes et de balance a plateau. Les mathématiques appliquées n’étaient pas le fort de la jeune femme, mais avec de quoi manipuler elle pourrait peut-être être en mesure de trouver une réponse satisfaisante.
Mais la question n’était pas le plus pressant. Ce nuage de mort fonçait droit verre elle et ses compagnons. La magie immensément puissante qu’elle pouvait contrôler dans cet environnement ne lui permit pas de trouver une solution adaptée à cette situation. Elle voulu faire un mur de vent, mais malheureusement, c’était un sortilège qu’elle n’avait que trop peu utilisé ni même vu pour le faire sous pression. Ajouter a cela les cris perçants du petit homme, elle perdit tout ses moyens. Petit homme qui avait fait un beau vol pour atterrir plus loin, enserrant le cœur dans la cage thoracique de la jeune femme. Le souffle court, le cœur battant à tout rompre, elle ne voyait que la nuée s’abattre sur elle.


¤C’est vraiment comme ça que je vais finir ? Dans un rêve ??? Après avoir survécu dans la cité interdite, aux portes de l’enfer pendant un an ???¤

Heureusement, le rêve toucha à sa fin. Elle se réveilla en sursaut, transpirante, maculée de fluides corporels, affamée et assoiffée. L’œil grand ouvert de peur de voir sa fin arriver, elle observa les autres membres de cette troupe de fortune. Tout le monde s’était réveillé en même temps. Le magicien pris la parole, tout aussi paniqué qu’elle.

-Bien sur que nous aurions pu y rester bordel ! Si ton esprit meurt dans un rêve, qui reviens à ton corps pour le faire vivre ?

Ina était absolument énervée, dépassée par les événements. Ce qu’elle détestait beaucoup. Encore plus que de se retrouver dans cet état de nerf maculé de ce qui pouvait se trouver dans son corps avant de s’endormir.
Ina siffla sa compagne pour vérifier que tout allait bien pour elle. La pauvre Leth n’était pas tellement dans un bon état non plus. Rapidement, la druidesse se leva pour trouver un pot d’eau et découper des morceaux de viande séchée pour sa compagne à partir des restes du repas de…l’avant-veille au moins. Elle en profita pour étancher une partie de sa soiffe alors que le volatil s’affairait à déchiqueter la viande. Elle se permit également de manger quelques morceaux de viande pour retrouver ses forces.

La situation était plus qu’inquiétante se dit elle en mastiquant l’énergie de sa journée.


¤ Si jamais on devait recroiser cette chose, il ne se laissera pas abuser une deuxième fois et combattra sérieusement dès le début. Il va nous réduire en poussière. Merde !!! On ne lui arrive pas à la cheville. C’est déjà un miracle qu’on soit encore en vie pour y penser. ¤

La sortant de ses pensées, les coups sur la porte suivi de cette voie qu’elle ne connaissait pas se firent entendre.

¤Et puis quoi encore !!!??? Votre inventaire d’herbes ! Je vais te les rouler dans le fondement tes herbes !!!¤

Voyant Makxilim s’affaler au sol après avoir ouvert la porte, elle se souvint alors qu’il avait pris un sale coup dans la bataille. Elle se leva alors pour aller voir ce qu’elle pouvait faire pour lui pendant que cet humain désinvolte entrait.

-Hey maitre Arnouille ! Tu ne vois pas qu’il est blessé ?! Au lieu de poser tes questions de latrines et exiger un feu tu pourrais peut-être filer un coup de main ? Ou les prêtres de Tyr ont-ils perdu leurs vocations à l’entraide et aux soins ces derniers jours ?

Mais alors qu’elle s’affairait à aider le magicien à se relever pour l’emporter sur une chaise et ainsi tenter de le soigner, elle vit l’autre se caler une rasade d’un truc pas net derrière le collier. A cette faible distance de la gourde, l’odeur bien que devant masquer les odeurs de 36H d’un dortoir assez sale était assez reconnaissable.

D’un geste large, elle envoya un revers de la main dans la gourde du prêtre.

-Tu picoleras plus tard fosse à vinasse !!!

écrit par: Xale Samedi 14 Avril 2018 à 15h36
«Tiens un nouvel ennemi!»
Se dit Xale en voyant apparaître la boule de mercure. Il s'était apprêter a lancer son kukri dans le visage que celle-ci avait pris jusqu'à ce qu'elle se mette a parler. le bâtard avait eu l'impression que la scène avait durée plusieurs minutes et en même temps seulement quelques secondes. Sa notion du temps était bouleversée. Puis vint la nué d'insecte et Orn qui donnas un coup de pied au mage qui avait récupérer le bambin. La colère montas une fois de nouveau dans l'esprit du demi, il craignait énormément pour la vie du bébé, il ne savait pas pourquoi mais il sentait qu'il devait s'en inquiéter. Il entendit intérieurement la voix de sa déesse lui dire de se calmer, mais cela ne marchait pas, sa colère montait et continuait de monter, a chaque seconde un souvenir de son enfance remontais et soudain il se rappelas de sa mère, il revit la scène que Yar lui avait montré.
«Si se n'était pas de ses fils de charogne de nains, elle serait surement en vie, et mon père aussi!»
Pensât-il, plus il y pensait plus sa colère montait, il serras le kukri qu'il avait dans sa main droite, pris la corde qui y était rattaché de sa main gauche, visas le visage de la gargouille de chair, et élança son bras droit vers l'arrière pour initier le mouvement du lancer.
Il se réveillas près du poupon au deuxième, il sentit sa cuisse froide et entendit les pleurs du bébé. Sa main droite était toujours sur le bébé mais sa main gauche tenait son arme. Le bébé tentait de téter le doigt très sale de l'ex esclave, ce qui démontrais qu'il avait faim. Une légère odeur se dégageait du bébé et Xale se dit qu'il s'était lui aussi laisser aller dans ses habits. Xale rangeât son arme, enlevas la couche de l'enfant, découpas un carrée dans la couverture ou était couché le bambin et l'attachas tant bien que mal autour de la taille du petit. Il profitas d'un moment pour reposer le poupon dans son tiroir et à genoux devant lui dire une prière a sa déesse. Il ne savait pas trop quoi dire, il n'avait jamais prier et on ne lui avait jamais montré comment. Du fond de son cœur il dit:


-(elfique) Déesse du matin et amante du soir,
entend cette prière qui tes dédier,
guide moi et cet enfant de ta lumière qui réchauffe,
de ton amour montre moi la voie,
mon cœur est tient ici et pour toujours,
que mon amour soit digne de ton nom,
Syrynya vrai déesse de l'amour.

Une chaleur réconfortante l'envahis, c'était sa première prière et il sentais une sorte fierté a L'avoir fait. Il entendit des voix provenir du premier étage. De sa main gauche il pris l'enfant et agrippas son arme de sa main droite. La voix d'Ina s'était fait entendre, il descendis les marches pour voir qui était à la porte mais tentas de rester le plus haut possible afin de ne pas se faire voir. Il vit un homme étrange prendre une gorgé de quelque chose, mais aussitôt Ina cognas la gourde de ses mains. Xale décidas d'observer la scène sans trop faire de bruit.

écrit par: Sunniva Jeudi 26 Avril 2018 à 14h18
La surprise passé et la rage de s'être fait reverser son boire précieux Arnault plissait les yeux vers Ina et sans attendre commençait un prétentieux discours hautain...

-Petite insolente des bois, pour qui vous prenez vous? Je suis le plus respecté de Fort Olostin, je suis le prêtre Arnault Primevent, grand maîstre du Nord, celui-la même qui à rédigé plusieurs livres saints sur l'histoire du Nord, de ses dieux et déesses, celui qui tient d'une main de fer les égarés dans le droit chemin, celui qui à affronté mainte fois les hordes Orque, celui qui à bâtie l'église de Tyr et qui à aidé à bâtir la chapelle qui à dernièrement brûlé et que seul l'antre reste debout, cette même antre que j'ai bâtie moi même et... Je vous ordonne de vous excusez madame chose!-

Le nez légèrement rehaussé, les yeux sévères et la bouche pointu il attendait son dû. Les gardes qui étaient entrés avec lui n'en fit pas de cas et les deux plus débrouillard allaient de suite faire un feu comme l'avait demandé Arnault. Il semblait bien qu'ils connaissaient bien le prêtre et sa hauteur.

Makxilim semblait nerveux de la suite et se distançait légèrement du duo. Kyu au contraire lâchait le chaudrons et la cuillère de bois et se dépliait pour se camper sur ses deux jambes en se tournant vers Arnault. Les gardes se regardèrent avec un petit sourire en coins et continuèrent d'allumer le feux toujours spectateurs. Baelsul ne semblait pas intéressé des nouveau arrivé et continuait de se réveiller tranquillement. Xale avait choisi la discrétion comme observateur après avoir prier Syrynya qui vint l'envelopper d'une chaleur réconfortante. Intérieurement, l'évadé sentit en lui un appel, celui d'un dieu sauvage et solitaire. Sa vision se fit trouble comme si il voyait en même temps une autre dimension et dans le tunnel brumeux le corps de Syrynya l'invitait à tendre la main à un masque noir où perçait celui-ci deux yeux noisette foncé. Le néophyte prêtre senti en lui une force nouvelle, son sentiment de lourdeur passé disparaissait tranquillement et une sensation de liberté pris le dessus. Léger, reposé et éclairé, Xale venait de trouver un nouveau sentier à suivre.

Le magicien coupait net l'affront d'Arnault et intervint avant qu'Ina puisse prendre la parole.


-Maîstre Arnault, l'urgence présente est beaucoup plus importante qu'un manque d'étiquette; pour commencer, Xavier, Sylvia et leur plus vieux fils ont disparût , une incroyable tragédie se trame présentement. Nous avons tous ici présents vécu des moments presque inexplicable tellement tout cela semble irréel, bref un grand débalancement dans l'ordre des choses est à ce produire, la toile magique est en pleine distorsion, l'équilibre est en danger. Furcas, Halaster, les neufs sombres sont tous dans la partie maîstre et nous avons tous eut une vision commune de ce qui se trame, n'avez vous donc pas eut ces maudit cauchemars de ce Yar? ...-

Il fut effrontément coupé par Arnault qui crachait la suite...


-La ferme sot, vous me faite pensé à ce fou de père terreux et à vous connaitre, vous seriez de mèche avec lui que cela ne me surprendrait pas, ce maudit fou est le seul responsable de ce qui se trame ici et dans la région, vous le savez très bien comme toute les hautes instances de Fort Olostin. Il ne faut pas chercher loin pour trouver le coupable, il est le seul qui œuvre avec le malin... Et d'ailleurs, je réquisitionne votre troupe de bon à rien à servir, vous allez me chercher ce père terreux et me le ramener dans les caveaux de Fort Olostin. Comme vous le dite, le temps est grave, vous êtes dans ma juridiction et vous obéirez, sinon je vous enferme tous, ma patience à des limites.-

Le feu pris tranquillement de l'ampleur mais ce n'était pas lui qui dégageait le plus de chaleur, Ina semblait bouillir de l'intérieur et Kyu semblait vouloir exploser, ce dernier était vraiment fâcher et pour cause, il connaissait les us et coutumes de certain territoire et de leurs règles local, Arnault avait tout les droits de les réquisitionner et de les enfermer si il le voulait et quelque part cela faisait l'affaire du demi-orque d'aller voir le père terreux mais c'était l’insupportable manière du prêtre qui l'énervait à ce point.

Il avait maintenant totalement ignoré la druidesse cherchant du regard la trappe qui menait au sous-sol et dans un automatisme récurant, il reprit une autre gorgé de son boire médicinal en faisant les premier pas pour s'y rendre.



Il y a deux gardes près de la cheminé, deux à l'extérieur à pelleter et quatre autres dans le chariot glissant avec des villageois, il semble y avoir six personnes dont deux vieillards hommes et quatre femmes.
Le charisme d'Arnault est très élevé et si vous voulez avoir son attention il vous faudra faire un jet opposé à son charisme, sinon il restera campé sur sa décision.

écrit par: Baelsul Mardi 01 Mai 2018 à 20h39
Le cauchemar dont sortait Baelsul, et apparemment l’ensemble du groupe, l’avait totalement secoué. Le combat avait été difficile et ce qui s’apprêtait à survenir aurait sûrement mené à leur perte. Jamais le demi-elfe n’avait été confronté à pareil difficulté ou atrocité. Il en avait perdu ses repères même si ses sens et ses réflexes ne lui avaient pas fait faux bond, car maintenu par la créature ombreuse.

Repensant à la connexion qu’il avait eue pour la troisième fois avec l’ombre Baelsul s’interrogea :

¤ Que m’est-il arrivé ? Comment ai-je fait pour créer ce lien ? Quelles en sont les conséquences ou le prix ? Pour moi ou pour d’autres ? Peut-être que je ne saurais jamais, peut-être prendra-t-elle mon contrôle ?
Dois-je en parler ? Est-ce que quelqu’un peut m’aider ? Si oui, il faut que cette personne soit de pleine confiance… ¤

Revenant au rêve, il songea qu’en plus d’avoir vécu une expérience intense, celle-ci s’était révélée collective et tous avaient failli y laisser leur peau ! C’est en tout cas ce que constatait chacun des membres de la jeune compagnie. D’ailleurs, leurs liens ne pouvaient qu’en sortir raffermit !

¤ Mais qui est ce geignard qui vient de s’introduire dans la demeure ? ¤

L’homme bourru qui s’était engouffré dans la chaumière, sans s’encombrer avec les politesses d’usages, faisait l’effet d’une douche froide au réveil. L’accueil que lui avait fait Ina, bien que quelque peu… « osé », était une juste réponse à ses brusques manières. Après qu’Arnault eu malmené Ina puis Makx, qui pourtant avait fait preuve de plus de respect, Baelsul decida d’intervenir.

- Tout d’abord bonjour, permettez qu’au-delà des titres que nous nous possédons respectivement, nous puissions nous adresser les uns aux autres en adultes et avec la déférence qui nous sied. Vous pouvez sûrement nous imposer de travailler pour votre juridiction, mais ce n’est pas la méthode adéquate pour que nous acceptions de le faire. De plus, je tiens à attirer votre attention sur les paroles de Makx, que je vous invite à réévaluer. Cette urgence n’est pas négligeable.

Cliquez ici pour dérouler le parchemin...

écrit par: Ina Mercredi 02 Mai 2018 à 20h53
¤Petite insolente des bois ? Madame chose ???¤



Cette petite tirade en druidique permit de relâcher un peu la pression. Peu de gens ici pouvais comprendre ce qu’elle disait et cela lui convenait totalement. Au moins, maintenant qu’elle avait insulté cet homme ouvertement pour elle, elle pouvait reprendre le fil de l’histoire.

-Bouge pas Baelsul, je vais lui en envoyer du titre et des faits d’armes ! Il pourra rentrer pleurer dans sa chapelle cramé et diriger les deux cent couillons qui n’ont pas les tripes de se révolter d’être sous les ordres d’un batard de la sorte !

-L’insolente des bois devant toi c’est Ina. Ly’Aegisir des gardiens des feuilles de la confrérie des gardiens sylvestres. Autrement dit pour un cerveau aviné et simple comme le tiens, la chef de la branche des gardiens qui te sauve les miches quand tu as un problème avec la nature environnante. Protecteurs de la nature et du vivant dans la forêt dont tu te sers également pour survivre grâce à la chasse et au bois dont tu te sers pour faire tes maisons. Défenseurs de la vie et gardiens de l’équilibre qui t’ont déjà évité l’anéantissement de la part des Eldreth Veluuthra en les gardant occupé et loin du territoire, qui regarde ton fortin comme un château de paille auquel il faut foutre le feu pour vous tuer tous. Sauveurs des enfants de Myrial, gardiens des artefacts d’Earlann. Et je garde le meilleur pour la fin, destructeurs du démon Korn et de ses légions des enfers.

-Et avant que tu n’envisage avec ta cervelle atrophiée de penser à tes relations, nous sommes les alliés de Lunargent, d’éternelle rencontre ainsi que d’un grand nombre de tribus disséminées partout dans la forêt et au dela. Et j’en oublie surement tellement ta tête me donne envie de vomir.

-Il t’es donc fortement conseillé de fermer ton claque merde et de soigner immédiatement cet homme qui souffre comme tes préceptes divins l’exigent, a moins que tu ne souhaite commencer a avoir des relations tendues avec la confrérie des gardiens sylvestres qui surpasse autant en habitant qu’en guerriers ton petit fortin ? Mais si dans ta stupidité infinie tu venais à choisir le chemin de l’affrontement avec moi, c’est face à un ours que tu devras faire tes preuves, petit homme. Tu n'es rien pour moi. Ton autorité, tu peu la remballer aussi vite que tu descends ta fiole de gnôle.

La longue tirade de la jeune femme s’était ponctuée de gestes divers et variés. Tantôt pointant son doigt sur le torse de son opposant, tantôt elle écartait les bras en signe de défis. Elle finie rouge de colère et de rage envers cet homme qui semblait s’imaginer qu’il avait tout pouvoir sur tout le monde.

écrit par: Xale Mardi 08 Mai 2018 à 01h25
«Qui est ce masque?» demandât-il intérieurement a son amour. «Est-ce lui qui te guide a recevoir mon amour?» Il restas légèrement perplexe. Si sa déesse lui demandais de tendre la main au masque, alors il tendrais la main. Il se vit essayer de toucher le masque, mais pas physiquement. Il sentit le grain du bois qui semblait à la fois fin et grossier. Il sentit sur sa paume des nœuds battre sur le masque, comme un cœur qui bât. La texture du bois semblais passer du chêne au bouleau, au merisier, au sapin, au cèdre, au saule, au pin, au mélèze et au peuplier. Neufs essences de bois réunis ensemble et semblait dessiner un cercle devant ses yeux. Une chaleur émanas de la sève qui se propageais sur ses doigts tel le sang chaud qui coule. Il se sentit embrasser la voie du loup solitaire, mais ne rejetais pas Syrynya pour autant. Elle l'avait guidé vers ce dieux, et à jamais elle resterais son amour éternel.

Très vite les paroles de l'homme qui se croyait pour un autre prirent le dessus de l'esprit de Xale. L'homme se croyait supérieur aux compagnons du demi. Il détestai cette attitude. Il l'avait que trop connu étant plus jeune. Il sentait une envie profonde de lui montrer une bonne leçon, mais se dit que le cœur du loup solitaire n'agis pas sans raison. Il décidas donc d'observer encore un peu et de déchiffrer ce que l'homme disait.

Il n'était pas question qu'on l'enferme a nouveau.

«Jamais je ne retournerais dans une prison, encore moins avec quelqu'un comme toi qui nous surveille. Le bébé aussi est encore trop jeune pour connaitre la prison, il ne deviendras pas ce que je suis. Il seras encore meilleur...»

L'ex esclave retournas alors le plus discrètement possible recoucher le jeune bébé dans son tiroir et se plaça derrière a côté de la porte à l'intérieur de la chambre, de façon a ce que personne ne le vois du couloir. Il entendit les pas de l'homme. Xale sorti son kukri et détacha la chaîne qu'il avait au poignet et se mis a pousser des petits sifflements pour attirer le prêtre du vent!


PARCHEMIN
Jet de dés de furtivité pour de déplacer sans faire de bruit
Jet de dés
1d20 + 5 + 3 = 9 + 5 + 3 = 17

écrit par: Baelsul Jeudi 10 Mai 2018 à 12h28
Perplexe face au langage druidique, Baelsul laissa la gardienne sylvestre terminer sa tirade dont il ne comprenait un traitre mot. Baelsul resta spectateur face à la tirade, insultant elle aussi, que renvoyait Ina dans la face du prêtre.

¤ Moi qui n’aime pas les conflits ouvert et qui avais tenté d’apaiser les tensions, les voilà ravivées au plus fort. Tant pis il ne me reste plus qu’à tenir la position d’Ina qui dans le fond me convient tout à fait ! ¤

Impressionnée par la longue suite de titre que venait de décliné Ina et dont il n’avait pas retenu la moitié, Baelsul rougit, lui qui n’en avait guère. Il n’avait pas décelé chez Ina un comportement de vantardise, au contraire, c’est plutôt une certaine sagesse qui la guidait habituellement. Comment, dès lors, se douter d’une telle panoplie de titre ?

¤ Et puis quoi encore ? Comme si nous avions besoin de balancer des titres pour faire raisonner ce monsieur-prêtre de mes deux ! La morale, exige plus de respect de sa part. ¤

À cet instant, Baelsul se senti trahit par ses propres pensées, le ton était montée et il sentait que son sang-froid prenait la tangente. Laissant planer le silence et dans l’attente de la réponse du prêtre-gonflé.

La violence des propos d’Ina, en tout cas la perception que l’Archer d’Argent en avait eu, ne changeait rien à la véracité de ses propos. De quel droit cet être s’appropriait le droit de décider sur nous ? Son autorité étant nulle, le petit recadrage druidresque n’en était que bienvenue !

Xale n’était pas apparu, lui qui en général démontre une agressivité et un sang-chaud plus élevé que la moyenne. Où est-il ? Que prépare-t-il ? L’archer jeta un œil dans le but de l’apercevoir et pour vérifier qu’il était bien éveillé, si d’aventure ça dégénérait.


Cliquez ici pour dérouler le parchemin...

écrit par: Sunniva Jeudi 10 Mai 2018 à 13h25
Personne ne fut surprit lorsque Makxillim prit la parole juste après la tirade d’Ina. Si la parole adoucissante de l’archer possédé avait grandement calmé l’ardeur du prêtre, Ina avait su allumé de nouveau, la mèche. Bealsul vit dans l’ombre du haut de l’escalier l’ex prisonnier se tenir prêt pour une rixe. La réaction de sauvetage que venait d’établir le mage néophyte venait peut être de mettre fin à une suite des moins attendu. Tout ce qu’ils venaient de vivres ensemble fut dit et expliqué en long et en large par le jeune mage au prêtre qui semblait ruminer son frein. Après s’être assis confortablement et réfléchi plus longuement, il fit des gestes harmonieux et psalmodiait des paroles pieuse puis vint apposer ses deux mains sur Makxillim qui fut guérit avec un renouveau sentiment de bonheur en plus. A la suite Arnault se levait sorti des dés de sa pochette secrète de son pan de robe divine puis après avoir gesticulé et psalmodié un verbe inconnu il laissait les dés rouler sur la table puis quand il s’arrêtèrent, il les regardait avec une attention toute particulière. Il plissait les yeux puis recommençait d’autre mouvement précis ainsi que d’autres paroles pieuses puis l’ensemble du bâtiment se couvrit d’un halo d’une pureté incroyable. L’ensemble des présents sentirent en eux un profond soulagement et une netteté d’esprit incomparable.

Pour Xale qui fit craquer la planche peu entretenue du haut de l’escalier, sa présence ne dérangeait pas les autres mais il reçut un surplus de ce halo purificateur divin et comprit que la question qu’il avait posée à son amoureuse ainsi que les visions qu’il avait entrevues juste auparavant étaient, bel et bien, vrai. Syrynya l’avait guidé vers un dieu que Xale pourrait servir adroitement.
Le temps parut s’arrêter un moment puis Arnault se levait prestement les yeux quelque peu révulsé de ce qu’il venait de savoir. Les arcanes et glyphes divin qui tournait dans la pièce, donnait au lieu, une apparence particulièrement bienfaisante.

Sur un ton différent de son accoutumé, le prêtre de Tyr dit…


-L’heure est bien plus grave que je l’aurais cru. Ma demande d’aller quérir le père terreux n’est pas seulement une crainte mais bien une réalité, je viens de voir qu’il possède des renseignements cruciaux sur cette chose impie qui a dévasté la région hier mais aussi qu’il peut vous permettre d’aller dans un lieu qui m’est interdit de voir. N’en reste qu’il est temps pour nous de faire cesser ces activités trop louche pour nous mais cela ne vous concerne pas. Votre rôle, ce que Tyr m’a permis de voir, est de prendre contact avec le père terreux pour ensuite aller secourir ce Yar qui est véritablement neutre et de l’accompagner chez lui pour revenir… Là, par-contre je devrai faire aller mes contacts pour vous aider à revenir.-

Son regard semblait perdu puis son faciès d’accoutumé revint et il regardait droit dans les yeux Ina, la fougueuse druide qui ne manquait pas de panache…


-Ina, Ly’Aegisir des gardiens des feuilles de la confrérie des gardiens sylvestres, il est vrai que nous avons une bonne entente avec vous et il est impératif que nos relations demeure des plus adéquate pour l’avenir prospère de la région, donc j’offre mes excuses sur le comportement que j’ai pu avoir mais comprenez que j’ai passé la nuit à purifier d’une sanctification la chapelle de ce passage de cette chose impure qui à laisser cette empreinte malsaine collé au lieu, j’ai guéri plusieurs villageois blessés et mes réserves sont au plus bas. Alors je m’excuse mais sachez que vos paroles resterons bien ancré dans ma mémoire, vos insultes gratuites n’était pas de mise et sachez aussi que sans cette eau de vie que vous appelez gnôle je ne serais pas là devant vous, sans elle je ne suis plus, je souffre d’un terrible mal incurable qui m’a été transmis par un démon en temps de trouble. Même Tyr n’y peut rien. C’est grâce à Martha et ses connaissances en herboristerie que je tien encore debout, c’est une décoction, certes à base d’alcool mais c’est surtout une teinture mère pour stabiliser les principes actifs de certaines plantes aussi rarissimes que périssables; c’est un remède et non une tare de ma part. -

Il restait stoïque puis ajoutait…


-Oubliez l’affrontement Ina, un seul mot divin et vous n’êtes plus, vous votre ours et tous les présents ici même, même celui qui s’occupe de Nathan au second étage.-

Le silence fit le baume aux relations tendu. La pédante situation d’Arnault ne lui permis pas plus et encore en avait-il offusqué Tyr d’un tel comportement outrecuidant, seul lui et son avenir le dirait. Pour l’instant il semblait faire fi des tensions et vouloir s’occuper du présent pour le bien de tous.
Des échanges sur le comment procédé et quand pour qui et pourquoi, qu’ils finirent dans une entente commune. Arnault s’occuperait de finir de faire le tour des chaumière et d’aider ses citoyens au mieux de ses capacité et le groupuscule s’occuperait d’aller chez le père terreux pour en savoir d’avantage tandis que les autorités de Fort Olostin prépareraient l’arrestation du dit père terreux une fois le groupuscule passé.
Il n’y eut pas de mention des tunnels de la part de Makxillim, restait aux autres de voir si il y avait urgence ou pas. Il fut décidé de laisser Nathan à l’orphelinat de Fort Olostin, Ina entre temps reçu un messager de brindille lui confirmant de continuer l’enquête qu’elle menait et qu’il était impératif qu’elle puisse tenir les gardiens sylvestres de sa progression et qu’une aide lui avait été envoyé dans la personne d’un gardien errant du nom de Brakmor. Ce qu’elle connaissait de lui était flou, mis à part qu’il était un gardien errant donc très peu connu des autres branches et surtout qu’il était un lycan, un agent sombre très peu recommandable mais comment effectif.
Ils partirent dans le début de l’après-midi de cette journée pour se rendre à Fort Olostin ou ils purent remettre le bébé et s’entretenir avec les hautes instances. Ils prirent connaissance que l’ombre malsaine avait frappé l’un des gardes et que son remplaçant était mort le soir même et que les témoins disaient que l’ombre avait valsé vers la tour du père terreux. Une carte sommaire du territoire leur fut remise et très visiblement le trajet pour se rendre à la tour était très visible. Simple, il fallait tout bonnement suivre les indications de la carte pour se rendre au lieu interdit de tous, la tour du père terreux. Bien entendu ils iraient seul et seulement lorsqu’il lâcherait le corbeau que l’on leur avait prêté, la compagnie de Fort Olostin irait quérir le vieux fou pour l’enfermer et l’accuser de tous les maux. Le second d’Arnault vint leurs porters à chacun un pendentif simple mais garni d’une pierre d’onyx à l’avant et de l’autre d’un saphir ou y était gravé des glyphes ancien et divin en disant qu’Arnault les remettaient pour revenir; le second ne semblait pas comprendre.
Le lendemain, après avoir passé une nuit mouvementé en rêve qui démontrait un passage caché pour pouvoir accéder à la tour et après avoir fait quelques emplettes utiles au voyage, la troupe prirent la route vers le Nord-Est là où la forêt se faisait dépasser par de haute falaises abrupte et sinueuse où le sommet était perdu dans une brume étrange. Ils arrivèrent après une journée de marche intensive à une rivière où il n’y avait pas de pont et de l’autre côté plus de route non plus, mis à part un subtile sentier non entretenu qui disparut rapidement. Ils continuèrent jusqu’au coucher du soleil pour prendre abri dans une grotte où les attendait un ours compréhensif qu’Ina dû tempérer les ardeurs territorial du mal léché ainsi que la peur encourut.

La nuit leurs furent complexe et ardu en compréhension; une série d’évènements disparates leurs étaient apparu et tous comprirent, après une discussion matinal, qu’ils avaient entrevu des scènes d’un avenir troublant, Halaster était derrière cela mais pire encore il était mort et un grand trouble s’ensuivait. Ce fut ce matin même qu’ils décidèrent de laisser ouvrir le chemin par Xale, ce dernier n’y voyait pas d’inconvénient, car lui, dans son rêve, il avait entrevu le chemin à suivre, était-ce Syrynya ou le dieu masqué? Il ne le saurait peut être jamais mais une chose certaine c’était qu’ils croiseraient sans nul doute un petit village d’orque sur leurs chemin et qu’il fallait à tout prit faire attention pour ne pas être repérer.

Baelsul n’avait dit mot sur son malaise intérieur qui n’avait pas fait de sienne jusqu’à présent depuis qu’ils avaient rencontré Orn mais depuis leurs départ vers la tour du Père terreux il senti en lui des poussées qu’il savait contrôler sans la moindre difficulté et il prit bien note aussi qu’il pourrait se rendre à la tour sans grand problème, comme si il avait une boussole en lui qui le guidait vers la Chose.

Makxillim tant qu’à lui expérimentait les visions qu’il avait entrevues en tentant de faire un tissage pour avoir une toile de fond et intérieurement il savait pertinemment que le père terreux lui donnait une source d’information valable pour ensuite faire sa propre idée de l’envergure de ce qui les attendaient. Une chose certaine était qu’il avait depuis la vision que Yar leurs avait permis, une soif grandissante d’en savoir plus sur le voyage par le miroir ou par l’eau.

Ina se sentait emplit d’une mission d’importance, elle ressentait que les gardiens sylvestres étaient tous derrière elle mais n’avait pas encore reçu de messager depuis le dernier et n’avait toujours pas rencontré le Lycan qui leurs viendrait en aide.




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