C’est au détour d’une ruelle sombre aux odeurs rêches et humides, que Yvhann entrevit pour la première fois la taverne des royaumes oubliés. Il ne pourrait, à jamais, oublier ce bâtiment si commun pour un citadin et si peu conventionnel pour un forestier qu’était Yvhann ayant vécu au Saule argenté que l’on appelait Thüldae.
Sa première impression sur cette bâtisse à l'architecture pittoresque de trois étages, faite de bardeaux de cèdre rouge que l’on avait teint avec du sang de bovin, assurément pour le préserver, donnait là, une vaste confirmation, des troublants personnages qui avaient pu s’y retrouver après leurs aventures sanglantes. Il haït cette endroit au premier coup d’œil. ° Lieux de perdition et de débauche Se disait il pour lui même. S’assurant de ne pas y mettre pieds. Mais voulant en parler a ses rarissimes proche, il monta les trois marches de chêne blanc, qui en avaient vu bien d’autres avant lui les monter et arriva sur un balcon au rampes d'épinette noire, brisé et réparé multes de fois. Il regarda la porte, qui elle, portait les multiple balafres que lui faisait subir la gens forte en testostérone et doucement, se mit la main gauche sur celle-ci et la poussa. Cette lourde porte de chêne semblait l'avertir qu'il pénétrait en un lieux trouble. L’ouverture se fit, accompagné d’un grincement rauque et de craquements de ces charnières usées qui c’étaient fait malmener durant fort longtemps.
Le plus surprenant, lorsqu’il entra, fut les odeurs différées, qui vint lui piquer l’intérieur du nez le faisant éternuer. Jamais auparavant, il n’avait senti pareil désagrément. Les planchés de pin jaune devait avoir été entretenu avec une huile d’agrume, qui donnait, mélangé au fond sucrée d’une fermentation, aux cuirs détrempé acres, des sueurs épicées ressemblant aux oignons que trop poêlé des nombreux clients de tout acabit, ainsi que la putride odeur de leurs dents gâtées, et ce, tout bien fumé de par la cheminée de pierres de rivière rondes , toujours fumante par manque d’entretien ; une odeur plus qu’écoeurante, mais qui restait imprimé dans la mémoire, comme un baume à une blessure.
Les lustres et fenêtres à carreau aux vitraux lumineux, rendu grasses par les lanternes à suif et des fumets graisseux provenant de la cuisine, laissait présager une diarrhée à coup sur, si le malheur voulait que votre appétit se déclare en cette endroit, plus voué au boire qu’a la panse.
Les désagréments olfactif passé, le cachet que laissait transparaître les montants de chêne rouge qui retenaient les poutres de frêne qui elles tenaient les plancher à planche large et inégal du même pin jaune que ceux de la salle commune, réconfortait le sylvestre, qu’était Yvhann.
En cette grande Salle commune, emplit de nombreuses tables et chaises disparate les unes des autres, était décoré, au goût douteux de part les multiples panaches et défenses de pauvres bêtes, suspendu ici et là. L’on voyait très bien le bel escalier central de noyer foncé sculpté. Celui-ci qui donnait accès a l’étage supérieur, où se trouvait, les nombreuses chambres et suites que l’établissement mettait au service des plus insouciant clients, qui y trouvaient là, un repos pour le moins, mérité.
Perpendiculaire a l’escalier, le grand comptoir de service d’érable piqué, surmonté de pierre semi précieuse et recouvert d’une tuile de grès soigneusement poli aux motif fleurie, donnait l’heureuse impression d’un service exemplaire et que son hôte était plus riche qui ne le laissait croire. Derrière ce comptoir ouvragé, sur le mur du fond, une imposante étagère du même bois que son voisin, entreposait dans leurs alcôves, les meilleurs liqueurs du royaume entier, ainsi que leurs récipients respectifs, quelques uns, de cuivres, d’étains, d’argents, et les plus belles pièces, étaient bien sur de cristal ou de verres au couleurs chatoyantes aux motifs cabalistique de leurs créateur alchimiste.
C’est là que Yvhann se rembrunie de lui même, car il se surprit d’être bien et à l’aise dans cette atmosphère unique, qu’était la taverne des royaumes oubliés.
La terre, pendant longtemps ma demeure dans l'obscurité de l'hiver, a fléchi sous le souffle d'air du matin. Le plan me presse maintenant de donner mon souffle. Pourquoi suis-je ici? Pour quelle raison suis-je revenu cette fois-ci? Et l'air souffle sur moi sa réponse rieuse. "Tu es la vie. Tu es le tout en train de devenir Un. Fais ton expérience."Fiche Yvhann Niv.0:Assistance divine 2x, Résistance, Illumination, repérage. Niv.1:Détection des collets et fosses*, Enchevêtrement, soin léger, Grand pas. Niv.2:Peau d'écorce, Puissance animal, Soins modérés*, lien tellurien. Niv.3:Morsure du loup garou, croissance d'épines*, Croissance végétal, Appel de la foudre*. Niv.4:Soins importants*, Dissipation de la magie. Niv.1 Rôdeur: Grâce du chasseur 2x, tir assisté.
|