[Concours] Taverne, Dernier délai : 15 mai

as de longueur minimales, mais je doute que tu puisse faire toute une description d'un bâtiment, aussi fabuleux que celui-ci, en un ptit post

ui, j'me doute ^^ mais c'était juste pour infos, tu as dit qu'on pouvait poser toutes nos questions, alors je pose

llez je vais y réfléchir et je poste tout ça dans le courant de la semaine. Ca sera bon, TJ ?

e crois que je vais m'y mettre, si bien sûr on me laisse participer

J'ai déjà pas mal d'idée pour notre taverne.

ais tu vas gagner trop facilement Rothex si on te laisse participer


Ceci n'est pas du chauvinisme Pro-Mj et ne s'apparante en aucun cas à du flood...

C’est au détour d’une ruelle sombre aux odeurs rêches et humides, que Yvhann entrevit pour la première fois la taverne des royaumes oubliés. Il ne pourrait, à jamais, oublier ce bâtiment si commun pour un citadin et si peu conventionnel pour un forestier qu’était Yvhann ayant vécu au Saule argenté que l’on appelait Thüldae.

Sa première impression sur cette bâtisse à l'architecture pittoresque de trois étages, faite de bardeaux de cèdre rouge que l’on avait teint avec du sang de bovin, assurément pour le préserver, donnait là, une vaste confirmation, des troublants personnages qui avaient pu s’y retrouver après leurs aventures sanglantes.
Il haït cette endroit au premier coup d’œil. ° Lieux de perdition et de débauche Se disait il pour lui même. S’assurant de ne pas y mettre pieds. Mais voulant en parler a ses rarissimes proche, il monta les trois marches de chêne blanc, qui en avaient vu bien d’autres avant lui les monter et arriva sur un balcon au rampes d'épinette noire, brisé et réparé multes de fois. Il regarda la porte, qui elle, portait les multiple balafres que lui faisait subir la gens forte en testostérone et doucement, se mit la main gauche sur celle-ci et la poussa. Cette lourde porte de chêne semblait l'avertir qu'il pénétrait en un lieux trouble. L’ouverture se fit, accompagné d’un grincement rauque et de craquements de ces charnières usées qui c’étaient fait malmener durant fort longtemps.

Le plus surprenant, lorsqu’il entra, fut les odeurs différées, qui vint lui piquer l’intérieur du nez le faisant éternuer. Jamais auparavant, il n’avait senti pareil désagrément.
Les planchés de pin jaune devait avoir été entretenu avec une huile d’agrume, qui donnait, mélangé au fond sucrée d’une fermentation, aux cuirs détrempé acres, des sueurs épicées ressemblant aux oignons que trop poêlé des nombreux clients de tout acabit, ainsi que la putride odeur de leurs dents gâtées, et ce, tout bien fumé de par la cheminée de pierres de rivière rondes , toujours fumante par manque d’entretien ; une odeur plus qu’écoeurante, mais qui restait imprimé dans la mémoire, comme un baume à une blessure.

Les lustres et fenêtres à carreau aux vitraux lumineux, rendu grasses par les lanternes à suif et des fumets graisseux provenant de la cuisine, laissait présager une diarrhée à coup sur, si le malheur voulait que votre appétit se déclare en cette endroit, plus voué au boire qu’a la panse.

Les désagréments olfactif passé, le cachet que laissait transparaître les montants de chêne rouge qui retenaient les poutres de frêne qui elles tenaient les plancher à planche large et inégal du même pin jaune que ceux de la salle commune, réconfortait le sylvestre, qu’était Yvhann.

En cette grande Salle commune, emplit de nombreuses tables et chaises disparate les unes des autres, était décoré, au goût douteux de part les multiples panaches et défenses de pauvres bêtes, suspendu ici et là. L’on voyait très bien le bel escalier central de noyer foncé sculpté. Celui-ci qui donnait accès a l’étage supérieur, où se trouvait, les nombreuses chambres et suites que l’établissement mettait au service des plus insouciant clients, qui y trouvaient là, un repos pour le moins, mérité.

Perpendiculaire a l’escalier, le grand comptoir de service d’érable piqué, surmonté de pierre semi précieuse et recouvert d’une tuile de grès soigneusement poli aux motif fleurie, donnait l’heureuse impression d’un service exemplaire et que son hôte était plus riche qui ne le laissait croire.
Derrière ce comptoir ouvragé, sur le mur du fond, une imposante étagère du même bois que son voisin, entreposait dans leurs alcôves, les meilleurs liqueurs du royaume entier, ainsi que leurs récipients respectifs, quelques uns, de cuivres, d’étains, d’argents, et les plus belles pièces, étaient bien sur de cristal ou de verres au couleurs chatoyantes aux motifs cabalistique de leurs créateur alchimiste.

C’est là que Yvhann se rembrunie de lui même, car il se surprit d’être bien et à l’aise dans cette atmosphère unique, qu’était la taverne des royaumes oubliés.

Bon la concurrence est plutôt en forme et ça va être dur de gagner quelque chose mais je me lance. Soyez indulgent...


Luciole venait de gagner son combat dans l’arène du phénix. Afin de fêter cela il décida de passer une nuit à la très populaire « Taverne des royaumes oubliés ».
Lorsque le guerrier arriva dans la rue où se trouvait la taverne, il la reconnue tout de suite bien qu’il n’y soit jamais aller. C’était une immense bâtisse au crépit saumon. De gigantesques balcons dépassaient du bâtiment faisant jouer les ombres sur sa façade. Les piliers qui soutenaient ces balcons étaient sertis de dorures qui irradiaient de milles feu sous le soleil. Luciole s’arrêta un instant pour admirer ce chef-d’œuvre. Il se rendit alors compte que la porte d’entrée était plus large que la normale et certaines portes qui menaient aux balcons trop petites pour laisser passer un humain (sans doute une chambre pour nain ou pour halfelin). Alors qu’il cherchait une réponse à ce phénomène en atteignant l’entrée, la porte s’ouvrit d’elle-même sans qu’il ait touché la poignée. Le guerrier resta bouche bée. Puis remarquant que les passants le dévisageait il compris qu’un sort avait été jeté afin que la porte s’ouvre devant toute personne qui s’approcherait. Le jeune homme eu un sourire devant l’ingéniosité de se sort et entra.
Le carrelage à l’intérieur était en marbre blanc. Six piliers en marbre noir et en or soutenaient le plafond de la salle. Face à l’entrée se trouvait un comptoir derrière lequel on pouvait voir une femme, un elfe, un halfelin, une orc et le haut du crâne d’un nain. A droite du comptoir une immense baie vitrée donnait sur un parc verdoyant. On pouvait apercevoir dans ce parc de grands arbres et plus loin un lac d’une eau d’un bleu profond. A gauche du comptoir une petite pièce fermée renfermait un jeune mage. Sur le mur de gauche un autre comptoir indiquait « Infirmerie ». Le guerrier en conclut que c’était l’infirmerie… Sur le mur de droite un dernier comptoir portait une immense pancarte sur laquelle était écrit « Boutique. Tout ce que vous cherchez se trouve ici. ». Tous ces comptoirs et ces piliers irradiaient la sérénité. On se sentait reposé rien que de se trouver ici. Luciole s’avança vers le comptoir en se promettant de visiter tous ce qu’il y avait à voir plus tard (même l’infirmerie…). La femme lui sourit poliment et lui demanda :
-Bonjour monsieur. Puis je-vous aidez ?
La jeune femme avait une voix et un visage magnifique qui laissa le guerrier sans voix. Après s’être raclé la gorge il parvint enfin à articuler :
-Eh bien je voudrais prendre une chambre pour la nuit. Mais je ne sais pas du tout combien cela coûte. Pourriez-vous m’éclairer ?
-Comme c’est la première fois que vous venez vous ne payerez pas.
Devant l’air ahurit du jeune homme elle lui expliqua qu’elle avait lut dans ses pensées et que beaucoup d’autres choses tenaient de la magie dans ce bâtiment. Après qu’on lui ait indiqué sa chambre le guerrier s’engouffra dans la cabine à gauche du comptoir où se trouvait le jeune mage. Celui-ci ferma les yeux et la cabine se souleva doucement pour s’arrêter au premier étage. Le mage lui sourit et lui souhaita une bonne fin de journée. Le guerrier entra dans sa chambre et fut agréablement surprit de trouver des vêtements propres pliés sur le gigantesque lit qui se trouvait sur le mur de gauche. En face de celui-ci un grand placard se révéla remplit de diverses habits tous plus beaux les uns que les autres. Une cheminée allumée se trouvait à coté du placard et un grand tapis était tendu sur le sol. Face à la porte une porte vitrée donnait sur le balcon. Luciole l’ouvrit et se pencha à l’extérieur. Il avait une vue magnifique sur le parc. Celui-ci était gigantesque. Au fond on pouvait voir le lac où nageaient des canards et pleins d’autres oiseaux inconnus. Au bord, des enfants jouaient dans l’eau. Entre eux et Luciole, de grands arbres abritaient de multiples mammifères tels que des écureuils. Le guerrier descendit dans le parc et se promena un moment. Il lui semblait qu’il n’avait jamais été aussi paisible qu’en ce moment. Quand la nuit tomba doucement, il rentra dans sa chambre en attendant son repas. Lorsqu’il entendit frapper à sa porte, il alla tout de suite ouvrir. La jeune femme qui l’avait accueillit poussait devant elle un chariot remplit de mets qui semblaient tous meilleurs les uns que les autres. Après avoir manger plus qu’il ne le pouvait le guerrier sentit ses yeux se fermer tout seul. Le lit lui parut alors très accueillent et il s’y installa confortablement. Le sommier était aussi dur que les aimait Luciole et il ne tarda pas à dormir d’un sommeil profond. Lorsqu’il se réveilla il était déjà tard et le soleil entrait à flots dans la chambre. Le guerrier se sentait parfaitement bien après cette nuit de sommeil. Alors qu’il s’habillait lentement, le guerrier se rappela soudain qu’il avait un autre combat à l’arène et il pensa un moment ne pas y aller pour rester plus longtemps dans la Taverne. En descendant Luciole dit au revoir au personnes à l’accueil et sortit en courant. Une fois de l’autre coté de la rue il s’arrêta un instant et se retourna pour regarder une dernière fois le Taverne. Il sourit et essaya de graver à jamais la beauté du bâtiment dans sa mémoire. Lorsqu’il entra dans l’arène la vision de l’édifice était encore présente en lui et lui donna, tout au long du combat, une force qu’il ‘avait jamais eu.

on je vous promet rien mais j'adore faire des maquettes avec des matériaux de récup' donc si j'ai le temps la motiv' et le matériel nécessaire je vous ferait peut être une joli taverne en 3d

e sais deux post à la suite c'est du flood ^^

Mais c'est pour que le concours aparaisse dans vos MAJ des nouveaux messages et pour que vous ne l'oublier pas. Pour ma part mon prjet avance à grand pas ^^ Je viens de lui accorder une bonne partie de mon aprem et je suis bien déterminé alors accrochez vous!!!

on mon texte devrait pas tarder (j'espere être dans les temps car maintenant que je taff c'est limite).

Je ne sais pas si je pourrais vraiment participer au concours à cause de cette phrase

.

Vous comprendrez quand vous lirez ma création . Si le juré décide que je suis Hors-sujet tant pis .

Bon je vais trouver un moyen d'envoyer paître Lathandre en restant en vie sinon Mikail il va me tirer les noreilles!!!