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> Ad impossibilia nemo tenetur, Chapitre 1
écrit le : Samedi 14 Décembre 2013 à 08h19 par Isandre Danathaë
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Le départ avait immédiatement suivi le retour de Malaric parmi les Nains. Comptant sur son infaillible sens de l'orientation, l'Humain profita de cette équipée sylvestre pour partir en avant des deux guerriers qui avaient apparemment décidé de diriger conjointement le poney et son précieux chargement. Cela ne faisait que treize fois que Malaric s'était égaré ce dernier mois, il se considérait donc désormais comme un guide fiable de la Haute Forêt. A sa décharge, ses digressions spatiales ne trouvaient pas leur source en un dérèglement quelconque de sa capacité à se repérer, mais bien plutôt dans sa propension à diverger sur des objectifs personnels très secondaires. Voir tertiaires... Draak demeurait fidèlement à ses côtés, veillant sur son compagnon druidique et le tirant plus d'une fois des mauvais pas vers lesquels ce dernier s'évertuait à se diriger : crevasses dissimulées, buissons épineux infranchissables et essaims furieux n'étaient qu'une partie des maux desquels le loup l'avait éloigné en grognant sa mise en garde, voir en le repoussant de force du flanc ou du museau.

La découverte d'un bel exemplaire d'elianril, un arbuste épineux indigène à l'écorce comestible, fut l'occasion d'un premier retour vers les Nains. Sans même remarquer l'humeur maussade et les grosses gouttes de sueur inondant les guerriers, Malaric leur proposa jovialement un peu de l'écorce grisâtre dont il se délectait présentement, tout heureux de les faire profiter de l'un des mets raffinés de la Nature environnante. Ce n'est qu'un peu plus tard qu'il détala de nouveau, sans crier gare. La colique qui lui tenaillait le ventre était un effet secondaire qu'il oubliait trop souvent, tout comme le surnom de "bouffe-trippes" qu'il donnait parfois à la plante. Il suffisait pourtant de la laisser baigner dans un peu d'eau durant une journée pour altérer cet effet désagréable. En avait-il parlé à ses amis ?

Le trajet fut certes long mais, passé ce malheureux épisode malodorant, non dénué de charme, surtout depuis que son nouvel équipement sylvestre lui épargnait pleinement la morsure du froid. La forêt était belle sous son manteau hivernal et Malaric ne ratait pas une occasion de ramasser des champignons et feuilles persistantes pouvant présenter un intérêt culinaire ou médical quelconque. Il profiterait de la nuit pour essayer l'ingestion d'autres nouveautés, car l'elianril et ses conséquences néfastes n'avait pas encore totalement disparu de sa mémoire.
Chantonnant en sourdine quelques compositions personnelles à la gloire des dryades, des moucherons et des lapins vampires, le druide saisi d'un ravissement permanent en oubliait régulièrement ses amis peinant quelque part sur ses talons. Seule l'intervention épisodique de Draak, parfois à petits coups de dents impatients, le ramenait à la réalité ambiante et lui faisait rebrousser chemin. Mais comment les deux Nains l'auraient-ils deviné par delà ses sourires toutes dents dehors et ses sempiternels
"Mais dépêchez-vous ! C'est plus très loin ! Si, si !" ?

Enfin, ils arrivèrent à proximité du village gnome, débouchant dans la clairière des visiteurs sur laquelle avaient été dressées plusieurs "grandes" tentes. La remarque suspicieuse de Rak de Delzoun fit ricaner Malaric.

- Hi, hi ! Ours-Roc croit que les petites gens comptent pour du beurre. Il ne devrait pas se fier à leur taille...

A la dernière question, Malaric répondit par un étrange double coup de langue qui pouvait signifier "Oui !", autant que "Ben évidemment !" ou "C'était quoi la question ?". Ils n'eurent cependant guère le temps de s'étaler sur ces considérations étymologiques car le poney, lâchement atteint, fit une brusque embardée, renversant tout d'abord les deux Nains avant de s'égailler dans les bois, laissant choir son chargement sans ménagement.
Personne n'avait eu le temps de réagir face à ce surprenant accueil et le poney disparu bientôt parmi les arbres, trainant un travois brinqueballant et vide.
Malaric ne doutait pas que les sieurs Lorindol, Sphaelin et Godrick, s'ils étaient encore là, apparaitraient rapidement avec une arrivée aussi tonitruante. Après un premier
"Par les crottes fumantes du Grand Cerf !", il se précipita vers un K'ell toujours inconscient et ajouta toute une série de jurons mêlant anatomie, zoologie et divers gestes chirurgicaux. La descendance du jeune Glitzspinner avait de quoi s'inquiéter... L'Elfe avait-il été davantage blessé dans sa chute ?


Durant le trajet, Connaissance de la Nature pour trouver des végétaux utiles.
Au village, Premier Soins sur K'ell.



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Sorts mémorisés : Niveau 0 : Détection du Poison, Illumination, Purification de Nourriture et d'Eau, Détection de la magie - Niveau 1 : Enchevêtrement, Soins légers, Apaisement des animaux.

Fiche de Malaric, druide de Silvanus
 
 
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écrit le : Dimanche 15 Décembre 2013 à 16h12 par Sphaelin
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Novice de la Confrérie
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A ses questions et ses réactions, les gnomes avaient répondu par une tournée de visite aux différents malades et par l'explication des derniers évènements marquants ayant pu être à l'origine de l'apparition de la maladie au sein du village. Sphaelin n'était toujours pas certain de l'essence même de l'épidémie mais tout maintenant portait à croire à quelque chose tenant moins de l'intervention divine que d'actes sciemment vicieux à l'encontre du petit peuple. Il s'était même étonné d'avoir vu le nain restait sagement à leurs côtés et se convainquit que son appel à la prudence n'y était pas tout à fait étranger. Après avoir énuméré à voix haute les symptômes de la maladie, il en vint à les montrer à ses compagnons sur l'un des souffrants. L'érudit Lorindol avait rogné dans les entrailles de ses sciences et posait là le nom d'une bien sinistre affection: la boursoufflante cadavérique. Le clerc pour tout avouer ni avait jamais été confronté d'aussi prêt, la seule évocation de son apparition était la condamnation immédiate des porteurs et leur exil mortel tant il était inconnu le pourquoi de son apparition et la façon dont elle se propageait. C'était lorsqu'il s'installa dans un petit bourg proche de Valherse, étape de longs cheminements solitaires, qu'il eut vent pour la première fois d'un grand mal et s'informant auprès d'habitants inquiets, il apprit alors ce dont souffrait ces gens qu'on emportait au loin, ni les prêtres présents ni quelques médecins savants n'ayant pu apporter autre chose qu'un réconfort spirituel. C'était une bien triste époque dans la vie de ce village d'habitude si paisible. A peine avait-il été au courant d'un mal étrange qu'une voix crispa son coeur et noua ses tripes avec du fil barbelé mais la vision des malades le rassura, horrible pensée que celle de voir des humains à l'agonie pour calmer le tourment de son esprit. D'un air presque déjà funèbre, Sphaelin annonça d'une voix basse la sentence:

- Je ne sais malheureusement rien de la manière de soigner définitivement l'infection. Je peux apaiser la souffrance des malades mais sans l'aide d'un véritable guérisseur, je crains une fin bien précoce pour ceux atteint...

Le prêtre s'en serait presque voulu s'il n'accordait même en de sombres instants une aveugle confiance dans les saintes volontés. A toute destinée une raison, à tout acte une réponse, à tout mal un remède. Il croyait fermement à un équilibre nécessaire dans l’entièreté du monde et si une telle maladie existait, quelque fut ce qui l'avait inventé et répandu de par le monde, une solution existait. Le plus difficile était d'en avoir la nette conviction et la connaissance. Le prêtre entra dans une méditation silencieuse, les paupières mi close d'où ne se voyait plus que le blanc. Il cherchait dans le fond de son être tout ce qui pouvait l'aider à préciser ce que Lorindol avait su nommer avant lui. Il repassa en sa mémoire l'instant tragique de son passé, essaya de retrouver les mots qu'il avait échangé à Valherse, les images qui avait imprimé sa mémoire jusqu'aux odeurs d'alors. Il voulait se replonger intensément dans ce monde d'alors et faire resurgir du tombeau les secrets nécessaires. Dans cette sorte de transe propre aux ordres contemplatifs, il entrevit même sa soeur faisant le tour d'une bâtisse admirant l'architecture si singulière de ce bout du monde alors que les malades étaient mis à l'écart. Il s'étonna de la voir là, s’inquiéta même de ce qu'elle se promena toute seule dans une région inconnue et entreprit d'aller la rejoindre mais à peine faisait-il un pas dans sa direction qu'elle en faisait cinq et mettait un point d'honneur à le narguer de la vivacité qu'il n'avait pas. Elle l'entraina ainsi jusqu'à l'orée du petit bois freinant sa course. Alors qu'il put enfin la toucher, elle lui présenta une plante qu'elle tenait dans sa main. Le remède était là, il le savait.

Ces visions surnaturelles, Sphaelin les expliquait le plus simplement possible par l'intercession de son Dieu, le Saint Guide. Ou bien était-ce seulement l'esprit de sa soeur qui le guidait dans les méandres de sa mémoire, lui rappelant par ses images ce qu'il avait entendu et appris. Quoiqu'il en fut, Sphaelin possédait là ce dont il avait besoin pour tenter d'enrayer le fléau mais si il était capable de décrire la plante qu'il avait vu, mu par l'intime conviction qu'elle était bien la solution au problème posé plutôt qu’une réminiscence de quelques autres désirs ou expression d'une névrose indicible, ses capacités en herboristerie et autre alchimie n'était pas des mieux, aussi espérait-il le retour prochain d'un fou qui aimait à expérimenter tout ce que la nature offre. Il sortit de sa rêverie mystique avec un air hagard, murmura on ne sait quelle prière céleste et se tourna vers le patriarche qui était tout juste en train de prendre la parole. Avec l'interprétariat de Lorindol, il comprit que Malaric était de retour ainsi qu'une énorme bête à quatre pattes, description pour le moins absconse. Tous allait pouvoir rassasier leur attente par de nouvelles informations.

- Je l'ai vu! Loué soit son Nom. Restez dans les pas du Seigneur, restez y toujours et entendez ses commandements! s'exclama Sphaelin comme prit à son tour d'une fièvre soudaine tout en s'éloignant du petit groupe. Le temps compte et son Chemin est la Vérité! Je l'ai vu.

De toute évidence, si Sphaelin n'avait rien dit de sa certitude, il voulait rejoindre le druide pour lui exposer la situation et demander à ses fées de ramener la plante sauveuse dont il ignorait du nom jusqu'à comment lui faire appliquer les vertus médicinales qu'on lui prêterait alors.



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Fiche de Sphaelin, héraut de Shaundakul

Sorts niv0: Assist. divine / Lecture de la magie / Détection de la magie
niv1: Bouclier de la foi / Injonction / Repli expéditif (domaine
)
 
 
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écrit le : Dimanche 15 Décembre 2013 à 22h20 par Godrick Dolric
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Comme à son habitude le nain trépignait d’impatience. Il sautait sur place, n’y tenant plus, attendant l’occasion de se rendre utile. Pour le moment il n’avait qu’à écouter les propos traduits par Lorindol, quand celui-ci le voulait bien, et laisser les autres résoudre le problème de l’épidémie. Pour autant il fut surprit que personne ne relève la présence de la nouvelle source. La maladie avait commencé au moment de sa découverte et les premières personnes atteintes étaient celles qui avaient bu ladite eau de source.
Néanmoins il resta silencieux jusqu’au moment où Lorindol lui proposa de visiter la caverne qui servirait de nouveau de refuge. Il allait commencer à détaler, le sourire aux lèvres, lorsque un gnome affolé, monté sur un renard, vint crier des paroles inaudibles aux oreilles du nain.
Godrick fit demi-tour et demanda à Lorindol :


- Qu’est-ce qu’il dit ?

Devant le silence du mage, le nain allait rebrousser chemin et rejoindre la caverne, mais quelque chose lui disait que cette intervention n’était pas anodine, le gamin semblait vraiment perturbé par une chose importante.
Il se tourna une nouvelle fois vers Lorindol en élevant un peu la voix :


- Qu’est-ce qu’y dit !?

L’elfe, plongé dans ses pensées, ne répondait toujours pas au fils de la Pierre qui commençait sérieusement à s’impatienter. Il haussa le ton :

- Qu’est qu’y dit !?!

Au bout d’un moment, le mage répondit enfin à la requête du nain, et dès lors ce dernier sauta sur place ne sachant plus quoi faire.

* - Aller visiter la grotte ou aller accueillir des membres de mon peuple en prenant des nouvelles ? La caverne ou des nains ? Des nains ou la caverne ?
Des barbus, c’est sûr que c’est des nains ! J’en mettrai ma barbe à couper ! *

Ses pieds partaient dans tous les sens, indécis le nain n’arrêtait pas de changer de direction, il partait tantôt d’un côté, tantôt de l’autre, ne sachant pas quel chemin choisir.
Puis il s’immobilisa, reprit ses esprits et cria à ses camarades :


- C’est sur que c’est la nouvelle source qui est à l’origine de l’épidémie ! Faudrait aller y jeter un œil, les orques ont certainement du y verser un poison ou quelque chose comme ça. Faut mettre la famille en quarantaine et interdire à quiconque de boire l’eau ! Si elle a déjà était ramenée, faut la jeter ou garder un échantillon pour l’examiner. Faites passer le message dans le village ! S’adressant à Lorindol. Je pense que la caverne est sécurisée, si les habitants la connaissent c’est qu’ils savent qu’elle est praticable. Moi je vais rejoindre les barbus !

Il détala à toute vitesse ne laissant point le temps aux autres de répondre.

- C’est par où la clairière des invités ?

Procédant par intuition il prit le chemin d’où venait le gamin… en courant.



 
 
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écrit le : Lundi 16 Décembre 2013 à 13h44 par Braldur
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Aventurier
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-Par ma barbe, qui a fait ça ? s'écria Braldur en se redressant d'un bond, sa hache en main. La première ruade de Fonceur l'avait envoyé valser cul par dessus tête dans les fourrés avoisinants.

Le voyage à travers la forêt avait été usant pour notre nain plus habitué aux cavernes et montagnes, voir aux plaines qu'aux dédales verts des forêts. Il commençait à ressentir la fatigue d'autant plus que les élucubrations de Malaric et ses courses incessantes à la poursuite des inventions de son imagination ne raccourcissaient guère leur périple.

A la vue de la clairière et des tentes qui y étaient disposées, Braldur avait cru que leur calvaire s’interromprait, au moins momentanément, le temps de souffler un peu.

Visiblement, il n'en serait rien et nos amis n'eurent pas le temps de reprendre leur respiration avant que le jeune gnome ne se décide, sans crier gare, de prendre pour cible le fidèle Fonceur. A la première pierre les deux nains furent envoyés paître par la brutalité de la ruade et sa soudaineté. La seconde ruade, quand à elle, retourna le travois de fortune et jeta à terre le pauvre K'ell, toujours inconscient.

Après s'être relevé, Braldur secoua la tête pour se remettre les idées en place et jeta un coup d’œil alentour, pour tenter de comprendre ce qu'il se passait. Fonceur avait pris la fuite. Il le savait pas très courageux, cette mésaventure était déjà arrivé quelques fois, mais il savait également qu'il se calmerait vite. Aussi, son regard se tourna plutôt en direction de l'ennemi. A sa grande surprise il vit une petit silhouette, pas plus haute que trois pommes (oui même pour un nain), prendre la fuite sur un renard.


-Qu'est-ce ce que c'est que ça ?se demanda-t-il plus à lui-même qu'a ses compagnons.

*On dirait un enfant. Était-ce une attaque ou un jeu ?

Visiblement, il s'agissait d'une farce du petit être car, à présent, plus rien ne paraissait les menacer. Rak avait pris les choses en main et était partit récupérer leur monture. Malaric s'occupait de stabiliser autant que possible la blessure de l'elfe. La menace semblant disparue, Braldur rangea sa hache.

Déplacer le blessé dans son état semblait délicat. Les tentes étant toutes proches, Braldur donna de la voix, en langage commun ne sachant pas qui pouvait bien occuper ses tentes au milieu de la forêt.


-Y a quelqu'un là-dedans ? On a besoin de soin par ici.



 
 
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écrit le : Mardi 24 Décembre 2013 à 05h41 par Belgos Dalaèl
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Maître de la Confrérie
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user posted image est ainsi que le groupe d’aventuriers de la Confrérie des Gardiens Sylvestres et de la Compagnie des Marches firent connaissance une après-midi du mois de Ches, dans une clairière dès plus confortable. Toutefois, ils n’oublieraient pas de sitôt cette journée, encore moins Rak de Dekzoun dont la légendaire témérité était reconnue dans tout le Bastion. Et sans nul doute que le fier combattant des marches était très à l’aise dans caverne et autre chemin rocailleux mais là, ici et maintenant en pleine forêt,, le contexte était un peu différent. D’autant que notre vigoureux aurait du le savoir, surtout après son dernier périple dans cette même forêt.

Rak de Delzoun se mit à poursuivre le tout aussi téméraire Fonceur…une bien belle initiative que voilà, mais voilà…
Tandis que Frère Ours disparaissait au détour d’un bosquet de pins, un autre nain tout aussi roux fit irruption dans la clairière avec sur ses pas un humain un peu moin barbu que notre ami rôdeur et un représentant du Beau Peuple, ces trois nouveaux compères se déplaçaient à grande enjambée et bien entendu, la première personne qu’ils virent et reconnurent fut notre cher druide au verbe si imagé penché sur leur guide elfe bien mal en point mais toujours vivant…


En route pour le Chapitre II



Ce message a été modifié par Adlareth le Mardi 24 Décembre 2013 à 11h52



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L’aventure est dans chaque souffle de vent.
Pj's: Belgos Dalaèl (Compagnie des Marches) et Télim Osonsaar
Pnj's: Adrian (Conseiller), La Guetnorn, Shevarra (Compagnie des Marches.)
 
 
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