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La Taverne des Royaumes Oubliés > Lieux alentours > Val de Sundabar

écrit par: Morkab Caliban Jeudi 05 Janvier 2006 à 14h45

Début 4 ème jour de la Seconde Chevauchée d’Eleinte durant l’année de l’Entropie – Le Midi Mamon tentative de prédiction du temps (survie) Narration La deuxième enceinte était loin derrière eux désormais, rendue invisible par les brumes persistantes du matin frais et humide. Le fond de l’air encore incertain rendait difficile toute estimation du temps pour le reste de la journée comme pu s’en rendre compte le prêtre de la nature. Les premiers kilomètres sur la route de la Fourche en partance pour l’Est, leurs firent traverser quelques rassemblements de petites masures de paysans, qui malgré le temps oeuvraient à leur dur labeur dans les champs proches de la cité. Le Val de Sundabar entourant la fameuse ville était la dernière zone civilisée de l’Orient des Marches, la concentration de population y était assez importante sur quelques kilomètres carrés avant d’être réduit à la quasi inexistance sur le reste du territoire de l’Est. Bientôt s’abattit sur la région une pluie fine, qui si elle était ininterrompue, avait le double mérite de ne pas être glacée et de dissiper la brume omniprésente. Au travers de cette ondée les compagnons pouvaient constater que la campagne présentait toujours ces vastes étendues cultivées, mannes indispensables pour une grande ville comme Sundabar. Peu ou pas de d’arbres étaient visibles à l’horizon et seules les Montagnes Rauvin au Nord brisaient la monotonie du vallonnement. La pluie perdura durant tout la matinée et même pendant le midi, obligeant les voyageurs détrempés à penser de devoir prendre un peu de repos et de quoi se restaurer même sans la faveur d’un abri providentiel, qui de toute manière aurait nécessité un trop grand détour et de quitter la route pour être atteint.

écrit par: Mamon Vendredi 06 Janvier 2006 à 13h02

Mamon avait ses habits trempés par la pluie qui tombait, mais tout cela ne l’empêchait pas de penser à la suite du voyage. -Je pense qu’il serait bien de s’arrêter un peu pour nous reposer et manger un peu. Adressa-t-il à ses compagnons de routes. Il regarda autour de lui pour voir l’endroit le mieux adapté pour se reposer en s'abritant un peu de la pluie. Avec celle ci qui trempait le sol, il savait qu'il ne pourrait pas allumer un feu pour se rechauffer et cuir la nouriture. De plus il fallait avoir une vue sur ce qui pouvait arriver car Théodus avait prévenu que la route serait parsemer d’embûche. Il fallait trouver un endroit pas trop loin de la route où ils puissent faire face à toutes éventualités et où il pourrait s'abriter un peu de la pluie. -Quand pensez-vous les amis nous arrêtons-nous ici? Ajouta-t-il en regardant ses amis avec un petit sourire aux lèvres.

écrit par: Lye Vendredi 06 Janvier 2006 à 18h09

Désolée du retard je n'avais pas énormément de temps pour le rp en ce moment La sombre quesselle posa son regard bleu ciel sur Mamon. Bien que son visage fut à présent dissimulé, il put y deviner un sourire. Ses paroles avaient touchée la douce demoiselle qui se sentait moins tendue à l'idée que ses compagnons aient confiance en elle. Alors, d'une voix douce et non moins accentuée que de coutume, elle lui adressa quelques mots: "Merci Frère Mamon, je vous suis reconnaissante de votre soutien et heureuse d'entreprendre ce voyage avec une personne telle que vous." L'elfe détourna ensuite son regard. On pouvait voir à présent à son cou un pendentif qui la désignait comme membre du conseil. Cependant, elle n'avait fait aucune allusion à son nouveau grade. Le fait qu'on lui en donne la charge l'ayant déjà grandement surprise. Les personnes qui constituaient cette compagnie étaient vraiment exceptionnelles, comme si leur façon de penser n'avait pas était totalement formaté par leur société. Cependant elle avait encore du travail avant de s'y faire une place aux yeux de tous... certains à sa vue n'avaient pas réagis comme elle l'aurait espérer. Mais cette attitude avait été loin de la surprendre.. Il faudrait du temps. Elle espérait que l'avenir évoqué par le prêtre de Mailikki devienne un jour réalitée et pas seulement pour elle. Le contact de Foragus l'arracha à ses pensées, il l'attirait à présent loin de ses compagnons. Qu'allait il lui dire qu'ils ne puissent pas entendre? Bien que surprise, l'elfe noir se laissa faire et prit part à la conversation. Le reste du groupe ne put rien entendre des propos échangés.. Puis le frottement contre le sol des lourdes portes de l'entrepot annonça le départ en baignant de lumière la pièce où étaient réunies les quatre compagnons. La drow plissa les yeux et rabaissa un peut plus sa capuche, les faibles rayons du soleil suffisant, malgré la brume, à l'éblouir. Mais bien que sa vue fut considérablement gênée par la lumière, la prêtresse rejoignit Anariel, Mamon et Kran d'un démarche non moins gracieuse que d'ordinaire, ses pas effleurant à peine le sol. Sa mauvaise vision ne sembla donc pas considérablement la gêner.. De plus, l'étoile du jour était encore cachée derrière la brume. Bientôt la quesselle s'enfonça dans les ruelles en compagnie de ses "frères", frissonnant au contact de la brise fraîche qui vint s'engouffrer dans ses vêtements. Pour le voyage, elle c'était vêtue d'une tunique agréable à porter tout en restant élégante composée d'un pantalon clair et d'une longue veste blanche serrée à sa taille par un ceinturon. De longues bottes dans le même cuir noir que la ceinture couvraient ses mollets, une rapière logée dans un fourreau finement ouvragé battant à son flanc gauche. Des gants sombres remontaient jusqu'à ses coudes autant pour la protéger du froid matinal que pour dissimuler sa peau d'ébène. Et enfin ,une cape et un foular couleur neige venaient cacher tout ce qui aurait put rester visible d'elle. Dans les premiers temps du voyage, la quesselle écouta distraitement les échanges entre ses compagnons de route, avançant aux cotés d'Anariel. Elle était songeuse, repensant aux siens qu'elle avait laissé derrière elle dans un jour au temps similaire à celui ci. Qu'étaient ils devenus à présent? Elle aurait bien aimé avoir des réponses à ses questions et espérait que sa déesse entende chaque nuit ses prières à leur égard... Parfois la prêtresse égarait son regard sur les silhouettes perdues dans le brouillard, et c'est sans tarder qu'elle se rendit compte qu'il venait de se dissiper grace à la fine pluie qui s'abattait sur le paysage. Quand Mamon pris la parole, elle y prêta cette fois attention, posant sur lui son regard cristallin. Le prêtre avait raison, il fallait trouver un abri... "Je suis de votre avis messire, mais ne devrions pas attendre de trouver un endroit plus propice à nous accueillir? Je ne vois rien ici pour nous protéger de cette pluie qui malgré son faible débit suffit à tremper nos vêtements.. " Elle leva les yeux, tentant malgré la lumière agaçante d'apercevoir un abri non loin. "mmm...Il n'y a quasiment pas d'arbres.. pensez vous qu'il soit nécessaire de s'arrêter sous la pluie? Peut être pourrions nous monter les tentes pour nous en protéger bien que cela risque de prendre un peut de temps.. Si on reste assis dans l'eau et dans se froid sans bouger j'ai peur que l'on commence notre voyage en tombant malade.." L'idée de déjà monter un campement ne lui plaisait guère, mais il fallait penser à préserver ses forces et l'elfe avait peur que à rester statique dans le froid les vêtements trempés ce soit encore pire que de continuer à avancer.. De plus, elle et Anariel avaient l'habitude du voyage et avaient passé la plupart de leur temps sur les routes dans les derniers jours, mais il n'était peut être pas de même pour ses compagnons.

écrit par: Kran Vendredi 06 Janvier 2006 à 20h14

La cape du barbare était complètement détrempée et bientôt une sensation d'humidité commença à l'envahir jusqu'à lui provoquer quelques frissons. Tout ce trajet, cette marche lui avaient provoqué de grosses gouttes de sueur qui lui perlaient dans le dos. Sa transpiration et la pluie continue le refroidissaient de plus en plus. Il pensa que la proposition de Mammon était une excellente idée mais il fallait trouver un endroit au sec. " Je suis d'accord avec vous chers frères et sœurs une halte serait la bienvenue. Mais si nous déployons nos tentes sous cette pluie elles seront trop humides, et nous ne serons pas sur d'arriver à les faire sécher. Le mieux serait de trouver une sorte de caverne ou bien une brèche dans les montagnes pour s'abriter et se tenir les uns contre les autres au chaud. - Y a-il des indications sur un tel endroit sur la carte que nous a fourni Théodus car je ne sais pas trop comment cela se lit ?" "Nous devons nous hater, le froid commence à m'envahir et j'avoue que la venue de qulques choses de chaud à boire ou à manger serait le bienvenue. Nous finirons bien par trouver un quelqu'endroit où nous abriter, il faut y croire." Le barbare se plongea dans un souvenir ou il se blottissait avec son père sous une couverture lorsqu'il partait chasser dans les montagnes, là où il ne pouvait pas faire de feu de peur d'attirer des prédateurs malencontreux.

écrit par: Anariel Samedi 07 Janvier 2006 à 18h25

Dame Anariel avançait en compagnie de ses frère, sous la pluie fine. Elle avait sortie, des qu'elle avait senties les fines gouttes cristalline et tiède tombaient sur sa peau fine, une cape a capuche d'une couleur noire, afin de la protégée. Mais malgré tout, elle grelottait légèrement, quelques parties de ses vêtements légèrement mouillée lui suffise a grelottait , n'appréciant que peu le contact d'un vêtement mouillé sur sa peau. Et pourtant elle en avait fait de long voyage, d'abord seule, puis avec sa fille, et pour finir, avec lye et sa fille. Et a présent, elle était loin d'être seule, et cela la rendait heureuse, appréciant que peu la solitude, lui donnant un ton de mélancolie dans le bleu de ses yeux. Donc la compagnie s'arrêta un instant pour réfléchir a la proposition de Mamon, qui était évidente, après de temps de marche, il serait bon de faire une pause. Mais comme le disait Lye, elle ne voyait aucun endroit propice au repos...Mais il devait certainement y en avoir pas loin, il fallait cherchait, même si il fallait encore marcher, car elle savait ce que c'était de voyagé, mais elle ne sait pas si il en est de même pour ses nouveaux compagnons. Elle gardait dans son coeur la même joie du départ, une sorte d'euphorie, ayant toujours aimé partir a l'aventure, elle aimait cela depuis toute petite, lorsque sa tendre mère lui contait les histoires chevaleresque, d'intrépide aventurier, ou alors de son fougueux père, noble et respectable Archer Mage. Ce qu'elle rêvait de devenir... Et malgré les conseils de sa mère, elle se lança vers l'inconnue. Et la voila ici même, dans la compagnie des marches, et fière de l'être.... -En effet, ici il n'y a guère d'endroit propice pour le repos, je propose que nous continuons un peu pour trouver un endroit ou nous pourrions reprendre des forces, mais ce n'est qu'une idée, libre a vous d'en décider...Dit elle avec douceur, d'une voix calme et sereine. Jamais l'on a entendue Anariel hausser la voix, rare sont ceux qui l'ont vue en colère, et généralement, elle se met en colère lorsque l'on s'attaque au plus faible que soit ou que l'on fait un acte grave, emplie d'une cruauté et d'une félonie implacable. Sa fille a vue ce visage lorsque celle ci se fit agresser par des brigands, d'ailleurs ils en ont tremblé et Ana a directement repris son air doux pour Alewen...

écrit par: Mamon Dimanche 08 Janvier 2006 à 17h23

Kran avait raison sur le fait que s’ils campaient leurs tentes ici elles n’arriveront pas à sécher à temps pour le départ, mais l'endroit que lui montra le barbare, un arbre éloigné de taille respectable et semblant posséder encore ses feuilles, les mettrait en difficulté. -Vous avez raison sur ce fait. Répondit-il à ses frères d’armes, puis en s’adressant directement à Kran il rajouta. Mais l'endroit que vous me montrer frére Kran nous mettrait dans une mauvaise posture, la boue nous ralentirait et nous désavantagerait si nous devrions combattre. - Je pense que nous n'avons pas le choix, nous campons ici ou alors nous continuons un peu au cas où l'on trouverait un endroit plus loin!. Lui dit-il, puis en s’adressant à tout le monde il ajouta. "Mais vu cette carte nous sommes à plusieurs kilométres d'un abri potentiel." - De plus du repos serait bienvenu pour notre mule. Puis en s'adressant à l'elfe noir en voulant plaisanter un peu. "Au moins avec cette pluie le soleil ne vous a pas brûlé la peau, ni vos magnifiques yeux." - Par contre notre soeur n'aura pas le plaisir de voir la lumiére de la lune cette nuit. Ajouta-t-il en regardant l'elfe de lune.

écrit par: Kran Lundi 09 Janvier 2006 à 22h56

Le colosse des montagnes écouta attentivement ses compagnons, mais malgré la pluie il leur fallait tout de même trouver un endroit au moins au sec, le temps que leurs affaires séchassent un petit peu. Le barbare sentait de plus en plus l'humidité l'envahir, il en avait la chair de poule. Et pourtant, il lui fallait continuer même si les mules commençaient également à se fatiguer, ils leur fallaient encore marcher pendant un certain temps. Il caressa lentement la croupe d'une mule qui se trouvait à proximité de lui et lui chuchota à l'oreille pour lui donner des forces en espérant que l'animal le comprendra. Le barbare fit mine à ses compagnons de s'arreter afin de parlementer avec eux, il se tourna vers Mammon et lui dit: " Je le sais frère Mammon qu'il nous faudrait nous arrêter mais nous devons recouvrir quelques forces mes compagnons pour trouver un bon abris. Il nous faut encore continuer notre route jusqu'à ce que l'on trouve un lieu plus approprié à la fois pour nous et pour nos bêtes." "Il nous faut décider mes chers frères et sœurs, personnellement je préfère continuer un peu plus peut être que notre persévérance nous récompensera." Le barbare attendit une réponse de ses autres compagnons avant de prendre une décision, il leur fallait rester uni pour montrer qu'ils étaient dignes d'être des membres de la compagnie des marches.

écrit par: Morkab Caliban Mardi 10 Janvier 2006 à 17h23

Mamon test de Survie Kran test de Survie 4 ème jour de la Seconde Chevauchée d’Eleinte durant l’année de l’Entropie – L’après-midi Narration Après que la sombre Quesselle et l’elfe lunaire aient donné leur assentiment au sujet de poursuivre leur progression plutôt que de stationner en un endroit où de toute manière ils ne trouveraient pas d’abri ‘au sec’, le petit groupe poursuivit leur marche le long de la route de l’Est. Partageant les rations séchées afin d’en conserver pour le soir, chacun eut de quoi se sustenter maigrement de lard fumé et de pain sec et malgré l’eau environnante qui tombait en pluie fine incessante, celle contenue dans les gourdes fut la bienvenue pour désaltérer leurs gosiers asséchés par la marche depuis l’aube. Sur le coup du début d’après-midi, les nuages devinrent plus noirs se qui laissa dessiner sur le visage de Mamon une moue de mauvaise augure. Peu de temps après la compagnie fut prise sous une violente averse qui tomba pendant près d’une heure, finissant d’achever de mouiller tous leurs vêtements même les plus épais et résistants à l’eau. Puis revint la pluie fine, tombant de son rythme régulier imperturbable au moral du petit groupe. Un faible troupeau de grosses créatures au moins aussi large qu’un cheval s’étaient rassemblés au loin dans la vaste prairie, mais la distance et la pluie empêchèrent d’en définir la nature exacte. Les couleurs du paysage paraissaient accentués par l’ondée, rafraîchissant de manière naturelle toute la beauté sauvage de ce lieu paisible. Quelques fermes se faisaient visibles de temps à autres dans l’immensité de la plaine, mais au grand dam des frères et sœurs, aucune n’avait le bonheur de se trouver sur la route qu’ils empruntaient. Alors qu’approchait le crépuscule une petite troupe de cavaliers apparut au devant d’eux, venant à leur rencontre.

écrit par: Lye Mardi 10 Janvier 2006 à 22h22

L'elfe a la peau d'ébène frissonnait dans ses vêtements détrempés... Cependant l'avantage de ce temps, comme l'avait si bien souligné le prêtre , c'était au moins que le soleil ne la faisait pas souffrir. Cependant, plus les heures passaient plus elle sentait la fatigue s'emparer d'elle. Voila un temps en apparence infini qu'ils marchaient, et ils n'avait fait même pas une pause... Alors que la lumière commençait à baisser au plus grand soulagement de Lye qui était tout de même nettement plus à l'aise la nuit, la drow vit apparaître à l'horizon un groupe de cavaliers. Instinctivement elle rabattit un peut plus sa capuche, portant l'espace d'un instant sa main gantée sur le médaillon de sa déesse. Malgré son calme apparent, chaque nouvelle rencontre la rendait particulièrement nerveuse et plus encore dans cette région où les étrangers étaient si mal considérés. Jetant un regard circulaire à ses compagnons, elle espéra de tout son coeur d'avoir leur appui sans pour autant en douter vraiment. Rien en ces terres ne la protégeait, aucune loi, aucun principe. Au contraire, toutes ces idées étaient contre son peuple et poussaient plus à son extermination qu'a sa compréhension. Baissant les yeux en cachant de cette façon tout son visage, elle prit une grande inspiration. Tout jusqu'à présent c'était passé à merveille, rien ne servirait de céder à la panique qui comme à chaque fois s'emparait d'elle. Cette impression perpétuelle d'être avant tout une menace aux yeux des autres était plus que oppressante, serrant ses entrailles comme l'aurait fait une main en y mettant toutes ses forces. De plus, cette sensation était amplifiée par son épuisement... D'une réaction quasi enfantine, elle chercha le doux regard de son amie, plongeant au plus profond du sien pour y trouver des sentiments rassurants. Mais ce flot d'émotions engendré par la simple vision d'inconnus fut vite effacé de son visage qui n'était de toute façon plus visible, elle prit la parole avec calme: "Nous avons de la visite mes frères, j'espère qu'elle ne nous sera pas hostile et peut être même pouvons nous espérer trouver auprès de ces chevaliers un abri de cette pluie incessante...qui sait?"

écrit par: Anariel Mercredi 11 Janvier 2006 à 22h27

Anariel frissonnait de ton son corps, chaque parcelles de vêtements, aussi épais soit il, étaient trempés, et Ana ne supportant pas cela, était bien servie de ce coté la. Mais elle se ressaisissait, tentant de ne pas effacer son air calme de son visage, mais a part le fait que tous grelottaient de froid, l'elfe ne voyait pas en quoi la situation était dramatique, enfin un peu mélancolique tantôt soit peu...La jeune quesselle aperçut également, au bout d'une longue marche, un groupe de cavalier. Elle restait neutre, elle avait l'habitude de croisé des gens de toutes sortes, ce qui n'est guère le cas pour son amie. Elle frissonna sentant encore l'humidité sur sa poitrine, tout son corps en réalité, engourdit par les vêtements mouillés, et connaissant sa chère Lye, celle ci devait se sentir nerveuse. Elle sentie son regard et le lui rendit, avec un doux sourire rassurant, l'azur de ses prunelles remplie de douceur a son égard, elle s'approcha d'elle et en elfique, lui murmura quelques mots, tout en posant sa main sur son épaule. - ...Fit elle dans un doux murmure de zephire. Elle les observait donc, de ses prunelles aquatiques, transparents sa fatigue, comme tout les autres, qui devaient être également fatigués, mais elle se tenait tout de même droite et présentable malgré son état...Elle leur souriant même, comme si tout allait bien..Enfin tout va bien a part quelques détails....Et le soleil lui manquait un peu, mais le fait que les yeux de Lye n'était pas meurtrie, et c'est cela qui était important, qu'importe si il faisait gris, tant que son amie ne souffrait guère... Mais pour la jeune demoiselle lunaire, tout était positifs, les pluies, même si elle les supportaient peu, elle en avait connue sur les route du voyage, la fatigue aussi, elle était donc relativement habituée. Et c'est finalement, le lien l'unissant avec ses frères qui est bien plus fort que toutes les épreuves qui les attends, c'est cela qui fait leur force, comme l'avait si bien dit Theodus...Et peu importe si tous sont trempés jusqu'au os, le lien est toujours la, m'enfin peu importe, il fallait se sécher au plus vite pour ne pas tomber malade bien évidemment, il fallait faire attention aux besoins du petit groupe....

écrit par: Mamon Jeudi 12 Janvier 2006 à 18h14

Quand l’elfe noir prévenu qu’ils allaient avoir de la visite, Mamon aperçu les cavaliers arrivaient dans leur direction. -Tenons-nous prêt les amis au cas ou ils nous voudraient du mal. Dit-il d’un ton serin puis il ajouta. Mais pas de réaction trop hâtive il se pourrait qu’ils soient des cavaliers de Sundabar. Ce que Mamon espérait le plus c’est que ces cavaliers soient de Sundabar et qu’ils puissent leurs indiquer un abri pas trop loin car il aurait bien besoin de faire sécher ses vêtements. Ses cheveux lui tombaient dans les yeux tellement ils étaient mouiller, sa capuche était tellement trempée quelle ne les protégeait plus. -En espérant que se soit le cas et qu’ils puissent nous indiquer un endroit à l’abri pas très loin. Il se tenait prêt et commença à preparer un sort au cas où ils en auraient besoin. -Continuons d'avancer pour leur montrer que nous n'avons rien à leur cacher. Rajouta-il en continuent d'avncer tout en maintenant la mule.

écrit par: Morkab Caliban Vendredi 13 Janvier 2006 à 09h46

Narration Peu de temps passa avant que les cavaliers ne soient à une distance suffisante pour qu’ils soient plus clairement descriptibles. Au nombre de huit, les hommes avançaient au trot de leurs puissantes montures et paraissaient eux aussi souffrir du déluge qui s’abattait sur la région. Le cavalier de tête stoppa, arrêtant par là même la progression de la file derrière lui. Encore à une vingtaine de mètres, le groupe monté se sépara en trois, deux hommes s’écartaient sur chaque flanc hors de la route en prenant soin de rester à distance. Sous les lourdes capes huilées à capuche qu’ils portaient et qui interdisaient tous détails permettant de les identifier, des arbalètes visibles pointaient dans la direction des membres de la Compagnie. De part et d’autres du meneur prenaient place les autres cavaliers en une ligne attentive. Au bout de quelques secondes, le premier du groupe s’adressa à eux d’une voix forte afin de couvrir le bruit de la pluie tombante. - Halte, voyageurs ! Qui va là ?! Vous êtes dans la juridiction de la Légion d’argent, veuillez décliner vos identités ! Le soldat se redressait sur ses étriers, tant pour mieux voir que certainement pour soulager ses muscles endolories par la position assise.

écrit par: Mamon Vendredi 13 Janvier 2006 à 13h13

Mamon regarda et écouta attentivement l’homme à cheval qui lui parlait, puis avec un petit sourire et une voix calme et sereine lui répondit sans hésiter. -Bonjour à vous mon seigneur! Je me nome Mamon je suis prêtre de Maïlikki, moi et mes amis faisons parti de la compagnie des marches de la cité de Sundabard. Il désigna ses amis de la main droite et montre le brassard de la compagnie de la main gauche puis il ajouta. -Nous sommes ici pour un travail que nous a demandé notre guilde. Il parlait calmement et sûrement et avec un petit rire étouffé, il rajouta. Mais à ce moment précis nous cherchons surtout un endroit à l’abri où pouvoir établir notre campement. Peut être pourriez vous nous en indiquer un si cela vous plaît et que Maïlikki vous en soit reconnaissante Il s’inclina et attendit la réaction de l’homme et surtout espérait qu’il pourrait leur indiquer un abri pour se protéger de la pluie.

écrit par: Lye Vendredi 13 Janvier 2006 à 15h55

L'elfe noir fixait les cavaliers. Ils faisaient sans doute partie de la légion d'argent... Silencieuse au début, la quesselle les détaillait de ses yeux bleu profond comme si elle cherchait à entrevoir leur visage. Mais les voyageurs sur leurs montures ne laissaient rien voir d'eux, cachés par de lourdes capes. Sans tarder ils se divisèrent, l'un d'entre eux approchant les compagnons de route. Chose prévisible, il vint de les interroger sur leurs identités. Mamon y répondit le premier en les présentant en tant que membre de la compagnie des marches. Au moins ce geste prouvait qu'ils ne leurs voulaient pas de mal, ou du moins pas encore. D'ailleurs de par leur nombre et leur apparence les hommes à cheval ne donnaient aucune envie à l'elfe de se battre contre eux.. C'était maintenant au tour du reste du groupe de se présenter, dont elle. Appartenant à présent au conseil, la prêtresse savait qu'elle allait être confrontée sans arrêt à de nouvelles rencontres si elle souhaitait mener à bien sa mission. Pourtant son estomac ne se dénoua pas pour autant, elle hésitait à se dévoiler son identité.. Sa nature pouvait même apporter des ennuis à ses compagnons, et ils n'étaient plus à l'abri de la ville!Mais l'elfe a la peau d'ébène décida de ravaler ses craintes, si il fallait qu'elle prouve sa bonne foi elle le ferait... Alors, sans pour autant ôter sa capuche, elle prit la parole pour à son tour décliner son identité: "Bonjour à vous Messires. En ce qui me concerne Je suis Maleryn Lye, prêtresse d'Eilistrae dame de la danse et récemment nommée au conseil de la compagnie des marches en tant que Soeur-Tigre." L'elfe noire avait parlé comme d'habitude d'une voix très accentuée, un accent peut commun du au peut de pratique qu'elle avait eu jusqu'à présent du commun face à celle de la langue des siens. Elle ne savait pas si de préciser son Titre conseil était réellement nécessaire car il était possible que les cavaliers ne connaissent pas précisément les fonctions que cela lui attribuait. Cependant elle avait préféré être précise bien que n'ayant même pas informé ses compagnons de quête de ce nouveau grade qui malgré tout pouvait être deviné par la présence du pendentif à son cou. Distraitement, elle porta son regard limpide sur l'elfe lunaire. Relevant légèrement sa capuche pour mieux la regarder, son amie put aisément deviner un sourire qui était pourtant caché par le foulard clair. Quelques mèches de nacre échappaient quand à elles à l'ombre du capuchon, des gouttelettes cristallines venant y glisser. La prêtresse qui grelottait dans les vêtements qui collaient à sa peau à cause de la pluie détailla quelques instants l'ensorceleuse. Sa présence la soulageait comme par magie car elle savait que en cas de danger elle serait là pour la soutenir comme les siens l'avaient fait pour elle. Relevant les yeux vers le ciel grisé par d'épais nuages, la danseuse soupira. Le voyage serait long...très long. Allaient ils réussir alors qu'ils avaient si peut d'indices? A quels dangers seraient ils confrontés? Une simple pluie suffisait à les ralentir et ce ne serait sans doute pas la plus dure des épreuves. Est-ce que tous ensembles ils allaient être à la hauteur de cet ennemi sur lequel ils ne savaient en rien? L'elfe l'espérait de tout coeur. Elle se promit de demander de l'aide à sa déesse lors de son prochain rituel nocturne.. D'ailleurs, la danseuse s'interrogeait sur le lieu où elle allait pouvoir en toute intimité pratiquer son art..

écrit par: Kran Vendredi 13 Janvier 2006 à 18h28

Le barbare regarda les cavaliers attentivement pour savoir s'il distinguait un signe distinctif sur leurs personnes ou sur leurs montures mais la pluie incessante rendait la tâche difficile. Depuis qu'il les avait aperçus au loin il restait sur ses gardes et se tenait prêt à dégainer sa hache au moindre mouvement belliqueux. Cependant, il sentit que des arbalètes étaient pointés sur ses compagnons et lui , alors il se ravisa et relâcha sa prise sur le manche de sa hache. ¤ Je ne vais pas risquer la vie de mes compagnons sur une simple suspicion. Je vais attendre la suite des évènements.¤ Kran écouta Mammon et Lye se présenter et attendit son tour patiemment, même s'il percevait un ton agressif et peu accueillent dans la voie de ses assaillants. " Bonsoir, messieurs, je me nomme Kran, membre de la compagnie des marches et frère molosse. Nous ne sommes point içi pour vous menacer mais pour une mission de notre ordre. Il n'est pas nécessaire de nous tenir en joue. Comme vous l'a dit mon frère, nous recherchons un abri pour un campement et permettre à nos bêtes de se reposer. A qui avons-nous l'honneur de parlementer, je vous prie" Puis le barbare se tût et attendit une réaction quelconque de ses individus. Il avait fait un effort pour ne pas offenser les cavaliers et ainsi ne pas mettre en danger ses compagnons et lui-même.

écrit par: Anariel Vendredi 13 Janvier 2006 à 21h12

Anariel observait les cavaliers d'un air serein et calme, et pas une once de stress n'enrayait son regard azuré. Elle était toujours prêt de sa meilleure amie, pour la protéger et la soutenir, lui rendant son doux sourire. Ainsi, chaque membres se présenta, elle n'était guère membre du conseil, mais désiré devenir Archer Mage, afin d'aider au mieux la compagnie, de protéger au mieux Lye...Elle s'avança légèrement, d'un pas gracieux.. Elle ne paraissait par dangereuse, elle ne l'as jamais était, sauf pour ceux qui s'en prenait a ses proches....Elle posa son regard sur celui qui avait parlait, et se présenta a son tour -Messires, je me présente a mon tour, je suis Anariel El Ryna, Soeur de la compagnie des marche, comme l'on si bien dit mes compagnons, nous sommes en mission, envoyé par la compagnie, et nous cherchons effectivement un abri, sauriez vous, noble messire, ou nous pourrions nous reposés? Fit elle d'un ton clair et fin, tout en concluant tout ce qu'avaient dit leur compagnon, Elle attendait cette fois ci, la réponse des cavaliers, il lui semblait qu'il avait certainement compris qui ils étaient et qu'ils ne demandaient qu'un endroit ou se reposer après une dure journée de marche...Elle esperait que la réponse serait positive, et cela lui étonnerait que des cavaliers de la Légion d'argents les attaquent sans raisons apparentes...De plus qu'ils sont également en mission, il serait délicat d'avoir des problèmes maintenant... Anariel reflechit un instant. La douce Quesselle se demandait si une aide animale, pouvant les guider de loin ne serait pas une idée intéressante. En effet, Dame Lunaire a souvent songer a invoquer un Familier, mais le temps lui manquait sur les routes...Et la, il serait fort utile, qu'un aigle de préférence, les guide a travers les lieux....Ce serait....Et puis il y aurait un membre supplémentaire dans leur compagnie, dans sa famille....Elle y pensera un peu plus tard, la n'est pas la question, pour le moment...

écrit par: Morkab Caliban Samedi 14 Janvier 2006 à 15h03

Narration Sur leurs déclarations, l’homme de tête s’avança et, levant un main en signe d’interruption, se mit à parler d’une voix forte. - Holà, holà… voyageurs, si vous parlez tous en même temps il me sera difficile de vous écouter et de vous répondre ! Il reporta un regard autoritaire sur Kran . "Ainsi vous êtes de la Compagnie des Marches. Bon. Je ne me sens nullement menacé, barbare. Et mes hommes appliqueront les ordres que je leur ai donné que cela vous plaise ou non. Sachez qu’au regard de la Légion d’argent votre autorité n’a aucune valeur légale pour moi, juste celle que je veux bien vous accorder par complaisance. Est-ce clair ?" Sans attendre de réplique, il tourna la tête, laissant traîner encore un instant ses eux de manière insistante sur le Colosse des Montagnes. - Qu’avons-nous là, alors ? Deux prêtres, un barbare et une elfe de lune ? Il sourit ironiquement. "Quel groupe hétéroclite !" Derrière lui, quelques ricanements fusèrent des rangs des cavaliers. "Hé bien, sachez, messieurs, dames de la ‘Compagnie’ que vous ne trouverez pas d’abri sur ces terres avant longtemps, si longtemps même que vous regretterez de vous être enrôlé, si cette pluie perdure." Tandis qu’il discourait, il se baissa sur sa selle afin de mieux observer chacun d’entre eux, cherchant tout spécialement à percer le mystère de la capuche jeté sur la tête de Lye.

écrit par: Lye Samedi 14 Janvier 2006 à 21h06

Lye releva son regard sur l'homme, ses yeux crystalins brillant d'une sagesse peut commune et d'une bienveillance non négligeable. L'ombre de sa capuche cachait la moindre parcelle de son visage, seules ses pupilles d'un bleu profond et quelques mèches nacrées se détachant de l'obscurité. L'attitude presque hautaine de l'homme de "bien" l'amusait plus qu'autre chose et était bien loin de la surprendre après plus d'un siècle d'existence. Malgré son rang qu'il prétendait clairement supérieur au leur, l'humain était loin d'impressionner la prêtresse qui ne s'empêchait pas de le détailler sans aucune gène. Elle avait clairement compris qu'il essayait de percer ce qu'elle cachait derrière son pâle fouloir et son large capuchon. Alors, silencieuse, l'elfe noire affrontait sans ciller les yeux posés sur elle. Tout en continuant de soutenir le regard du cavalier, la sombre quesselle prit la parole avec calme: "Merci de vos renseignements Messire. Sachez cependant qu'une simple pluie ne suffira pas à nous arrêter. D'ailleurs, les dangers de ce monde sont tels que si chaque personne se laissait décourager par les caprices de la nature nous n'avancerions jamais. Si vraiment aucun endroit n'est propice pour s'y arrêter nous trouverons une solution, ne vous inquiétez pas pour nous. Ensuite, apprenez que nous ne sommes pas ici pour chercher querelle et comme l'a souligné messire Kran il n'est pas nécessaire de nous menacer de la pointe de vos armes. Cela ne signifie pas que je pense que vous vous sentez menacé, je comprend parfaitement que cela soit une mesure nécessaire et prudente. " Malgré sa sérénité apparente, la drow n'appréciait guère de pouvoir être hérissée de carreaux à tout instant. D'ailleurs, l'attitude de ces hommes sans être agressive était bien loin d'être amicale. D'un certain point de vue elle trouvait ça presque comique qu'un humanoïde ai si peut de tact et soit même provocateur face à des voyageurs qui pouvaient être dangereux et bien plus fort que lui. Cette attitude, et l'elfe en était persuadée, finirait par lui faire vivre de mauvaises expériences. Mais l'être humain était une race particulièrement impulsive, sans doute par son manque d'expérience et de leçons qu'une vie si éphémère pouvait difficilement apporter. Ce qui était inquiétant, c'était que le cavalier avait à cet instant sa vie entre ses mains. Que ferait il si il découvrait sa nature de drow? Il lui suffirait alors de claquer des doigts pour mettre un terme à sa vie. Ce n'était pas vraiment la mort qui effrayait Lye. Au fond, la véritable peur qu'elle avait de quitter ce monde était due à la crainte qu'elle avait d'être séparée des personnes qui étaient chères à son coeur. Alors, si ce personnage était aussi sure de lui que ce qu'elle avait ressenti au premier contact, accepterait il de remettre en question ses idées et la vision qu'il devait sans doute avoir des siens? Renoncer à ses principes c'était aussi prendre un coup dans son orgueil. Et cet homme là, il avait donné à Lye l'impression de ne pas être indifférent à son amour-propre.

écrit par: Mamon Dimanche 15 Janvier 2006 à 14h49

*Voilà encore un homme qui a laissé son pouvoir lui monter à la tête* Pensa Mamon en écoutant ses paroles mal placées. -Vous savez messire nous ne voulons pas nous quereller avec vous et vos hommes nous voulons juste passer sans problème et s’il y à des règles à respecter nous les respecterons. Le prêtre se retenait de parler aux chevaux de ces malotrus pour qu’ils fassent une ruade et les désarçonnent, ce qui aurait tendance à le faire rire intérieurement mais il se retenait car ce n’était pas le moment de s’attirer leur foudre. Voyant que le chef des cavaliers s’intéressa de près à son amie l’elfe noir le prêtre refroidisseur à un moyen de le faire regarder ailleurs. -Mais je vois que vous avez l’air de souffrir de courbature, voulez-vous que je vous soigne grâce à mon don divin. Il espérait que ceci suffirait à oublié la Drow et de plus peut être à partir plus vite. Tout une journée à Chaval doit faire souffrir vos muscles.

écrit par: Morkab Caliban Lundi 16 Janvier 2006 à 11h25

Narration Le cavalier de tête se renfrogna et regarda le prêtre qui lui avait fait cette proposition qui avait visiblement eu l’effet de la surprendre. Pinçant ses lèvres tout en le jaugeant, il resta ainsi songeur durant un instant, puis il tira sur les rênes de sa monture, lui intimant l’ordre de faire demi-tour sur elle-même. - Non cela ira, prêtre. Inutile de perdre ta magie sur ma personne. Je pourrais continuer de m’asseoir sur cette selle que vous aurez abandonnés votre marche depuis longtemps. Il leva sa main à l’attention de ses hommes. "Allez, on continue la route !" Les cavaliers se regroupèrent de nouveau tandis que leur chef les rejoignait, tournant le dos au groupe de la Compagnie. En passant, le meneur leur adressa d'ultimes paroles. - Je vais vous donner un conseil que vous devriez suivre. Vous êtes un peu nombreux et peu mobiles, si vous persistez dans votre quête de vouloir vous occuper de tâches qui incombent à la Légion d’argent, vous ne trouverez qu’une mort stupide et inutile sur cette route. N’oubliez pas qu’hors de la protection des murs de la ville, vous n’êtes que des proies faciles ! Ces dernières paroles inquiétantes furent presque criées tandis que déjà les chevaux s’éloignaient au trot vers Sundabar, leurs maîtres courbant l’échine sous la pluie.

écrit par: Anariel Lundi 16 Janvier 2006 à 19h51

Anariel vit son comportement et ses idées changées face aux réactions peu amicales et plus d'énervantes des cavaliers hautains. Elle était restait silencieuse a leur réaction, car se connaissant, elle leur aurait renvoyé une pique blessantes, les remettraient a leur place bien comme il faut. Mais elle avait peur des représailles et ne voulait pas que ses frères soit blessé. elle se retint royalement de dire le moindre mot, car elle savait que le simple fait d'ouvrir la bouche aurait était pour sortir des propos épineux. elle les vit partir ainsi, et les derniers mot l'héritèrent tellement, qu'elle se rapprocha de Lye afin que sa douce présence la calme et l'apaise...Elle attendit donc qu'ils soient partit pour soupirer et respirer a grandes bouffées d'air afin d'évacuer les nerfs. Ils faut dire que ces cavaliers trop sur d'eux et irritables avaient le don de l'énerver et l'exaspère... *Oohh Par Mystra!! Ces Cavaliers sont infectes!* Elle tenta de reprendre son air calme et posé, car son visage avait considérablement changé d'expressions. Il était devenue plus dure, ses yeux azuré devenant un peu plus gris, elle se rapprocha d'avantage de Lye car sa présence la calmait et la rendait sereine. Elle reprit donc son expression habituelle, calme et sereine, apaisée par la présence de ses frères -Ne les écoutons pas mes frères, Nous avancerons dans notre quêtes soudée, ces paroles sortant de la bouches de ces cavaliers ne doivent pas nous toucher....Fit l'elfe lunaire d'une voix rassurante et confiante. Elle savait qu'ils réussiraient, elle priait La Dame des Mystères pour cela, elle avait confiance en ses frères, en sa compagnie, en son destin, en leur chemin commun, qu'ils traverseront pour cette mission, elle était toute euphorique a cette idée de volonté et d'union de groupe, de solidarité à travers cette mission aussi périlleuse soit elle, elle avait confiance, même si ils étaient trempés jusqu'au os, mais ce n'est pas grave, leur coeur est encore intact, leur volonté aussi, et c'est ce qui comptait.... *Qu'il pleuve ou qu'il grêle, avance sur ton chemin, guidée par l'espoir....*

écrit par: Kran Mardi 17 Janvier 2006 à 00h35

Le barbare fut assez mécontent de la réponse du meneur des cavaliers et surtout la façon dont ses compagnons et lui avaient été traités. La parole du cavalier résonnait encore dans la tête du colosse des montagnes. La compagnie des marches ne représentait-elle rien comparée aux légions d'argent. Leurs présences en ces lieux étaient-elles vaines. Nul ne le savait. Kran se remémora chacun des mots du fameux cavalier. ¤ Ses paroles étaient des menaces à notre égard ou bien un conseil, je me le demande, il faudrait ce renseigner sur la légion d'argent et connaître leur juridiction sur ces terres. Certes leurs caravanes n'étaient pas très discrètes compte tenu de la variété de ses compagnons mais leur mission devrait-elle s'achever si tôt avant d'avoir recueilli le moindre indice. Le barbare ne se résigna point et décida de continuer en espérant que le temps deviendrait un peu plus clément à leurs égards. " Nous devons continuer mes chers compagnons et ne pas se laisser trop impressionner par ses cavaliers. Cependant il vaudrait mieux que l'on reste vigilant car sur cette route nous restons assez vulnérables à une quelconque attaque. Il nous faut percevérer et honorer notre compagnie par nos actes et notre bravoure."

écrit par: Morkab Caliban Mardi 17 Janvier 2006 à 09h46

Mamon test d’Endurance (marche forcée) 8+1= 9 contre DD11 = Echec Mamon encaisse 4pts de dommages temporaires. Etat préjudiciable : fatigué Lye test d’Endurance (marche forcée) 2+2= 4 = Echec Lye encaisse 4pts de dommages temporaires. Etat préjudiciable : fatiguée Anariel test d’Endurance (marche forcée) 8+3= 11 = Réussite Kran test d’Endurance (marche forcée) 12+7= 19 = Réussite Narration Après leur marche de la journée et cette halte improvisée pendant laquelle ils avaient été interpellés par le groupe de cavaliers, Mamon et Lye prirent conscience soudain combien leurs jambes lourdes les faisaient souffrir. Tant et si bien que le poids de leur équipement leur paraissait soudainement avoir pris d’incroyables proportions. S’il le fallait, il pourrait continuer à avancer mais au prix de douleurs qui ne cesseraient de s’accroître. Le Colosse des montagnes quant à lui ne semblait pas manifester de sensation de fatigue, mais il restait vigilant et avait remarqué la mine faible de ses compagnons. Néanmoins, il était très étonné de la résistance que semblait témoigner la frêle elfe lunaire, car elle aussi affichait un teint frais et encore dispo. L’escouade de la Légion d’argent avait entièrement disparue au contraire de la pluie qui elle perdurait invariablement. Peu à peu le soleil déclinait en cette fin de journée d’automne, annonciateur d’une nuit bientôt proche en cette saison. Tout autour d’eux, il n’y avait toujours pas de quoi s’abriter des intempéries et du froid qui ne manquerait pas de venir avec l’obscurité du soir.

écrit par: Mamon Mardi 17 Janvier 2006 à 20h12

-Je n’en peux plus mes frères la fatigue gagne mes membres, mes jambes on de plus en plus de mal à me supporter. L’on pouvait entendre la douleur et la fatigue dans sa voix. Il faut absolument nous reposer et nous nourrir. Mamon regarda aussi l’elfe noir qui de son coté souffrait aussi, il se demandait qui tomberait le premier elle ou lui. Il leva la tête vers les cieux et s’adressa à sa déesse à pleine voix sans se soucier que ses frères ne l’entendent ou pas. -Oh Maïlikki reine de la forêt et de la nature! Aide-nous à trouver un abri et à nous reposer. Serais une épreuve que tu nous inflige ou l’un de tes ennemis nous empêcherait-il d’avancer? Il savait bien que ces questions resteraient sans réponses mais cela aider à continuer encore un peu. *Allez vas y avance encore quelques pas et tu te reposeras. Regarde Kran lui n’est pas fatigué allez suis le, avance encore* -Et toi mon ami comment te sents tu? Dit-il en s'adressant à la mule. tu n'es pas trop fatigué? ma pauvre mule on t'en demande beaucoup. Tous les moyens étaient bons pour reprendre un peu de courage et continuer à marcher et ne pas tomber, il ne voulait pas que le barbare ou la mule ait à le porter en plus de leurs paquetages.

écrit par: Lye Mercredi 18 Janvier 2006 à 16h32

Lye sentait ses jambes faiblir, le bruit de la pluie raisonnant dans sa tête. Combien de temps encore allaient ils marcher à la recherche d'un abri? Leur petit groupe allait il se laisser décourager par une simple averse? Et en plus de la fatigue, l'elfe noire était frissonnante sous ses vêtements, sa tunique pale collant à sa peau en adoptant la forme de ses courbes féminines. Plus rien d'elle n'était sec, les gouttelettes de pluie se glissant partout. Et c'est pour cette raison qu'en plus de l'épuisement, elle était véritablement gelée! Elle appréciait la nature à sa juste valeur, mais ses caprices étaient parfois insupportables.. Les paroles de Mamon la tirèrent de ses songes, elle posa ses yeux en amande sur lui. Le prêtre semblait lui aussi souffrir de la marche forcée, impression vite confirmée par les paroles qu'il prononça. Peut être allait il falloir s'arrêter même sans abri.. Lorsqu'elle le vit s'adresser avec douceur à l'animal, un sourit naquit sur ses fines lèvres. Elle comprenait de mieux en mieux pourquoi il avait été appelé par la reine des forêts. Un instant elle se surprit même à le dévisager, son regard rendu gris clair par le temps sombre l'observant plus en détails. Il était agréable de se savoir entouré par des personnes au grand coeur, et Mamon ne semblait pas en manquer. D'ailleurs, aucun de ses compagnons ne semblait y faire exception. Mais ce n'était plus possible de continuer ainsi, ils n'allaient pas marcher jusqu'à s'écrouler tour à tour! Alors, avec calme, l'elfe noir pris la parole d'une voix qui trahissait toute sa fatigue: "Je pense que nous devrions faire une halte même sans abri.. nous ne pouvons pas être plus mouillés que nous le sommes déjà et j'avoue que mes jambes ont aussi du mal à supporter mon poids.. D'attendre que nous nous écroulions tour à tour n'est peut être pas la meilleure solution.." Rabaissant légèrement son foulard pour que le reste du groupe puisse voir son visage, la quesselle leur adressa un doux sourire. Aucun abri ne se présentait à eux, quelles autres solutions avaient ils que de continuer jusqu'à l'épuisement ou de faire halte sous la pluie? Distraitement, elle déganta sa main et la passa entre les oreilles de la mule. Comme l'avait dit Mamon elle devait elle aussi être fatiguée malgré le fait qu'elle soit plus qu'eux habituée à de longues marches. Se remémorant sa diversion en sa faveur face aux cavaliers, elle reporta ses yeux bleus sur le prêtre, lui adressant un sourire amical. A présent, elle ne se méfiait presque plus de lui, il put d'ailleurs sentir que la drow était plus à l'aise en sa compagnie. Alors, sans tarder elle prit la parole d'une voix toujours aussi influencée par sa fatigue: "Merci Messire pour votre diversion de tout à l'heure, sachez que je n'ai pas manquer de m'en apercevoir et que je vous en suis reconnaissante. J'espère sincèrement que mes origines n'apporteront d'ennuis à personne ici." Le sourire qu'il aperçut sur son doux visage était sincère, les quelques mèches nacrées auparavant fugueuse à présent collées à ses joues par la pluie.

écrit par: Anariel Mercredi 18 Janvier 2006 à 21h10

Anariel, bien que trempée jusqu'au os et remontée quelques peu par l'attitude des cavaliers qui laissaient tout de même perplexe, n'était pas encore fatiguée, et elle gardait encore un teint frais et un soupçon d'euphorie du début de voyage. Mais le simple fait de voir ses frères Mamon et Lye fatigué, exténué la rendait triste, mais ils ne devaient pas perdre espoir. Seulement ils avaient raison, ils n'allaient pas continuer ainsi jusqu'à ce que tous s'ecroulent au sol, il fallait se reposer, même sous la pluie tenace, cela ne changera rien, ils sont tellement mouillé que l'on aurait crut qu'ils auraient fait un plongeon tout habillé dans la mer étoilée! Et puis il n'y avait aucun abris, cela en était presque frustrant...Elle posa son regard de source sur son amie et d'une voix rassurante, tremblant quelques peu a cause du froid, de ces vêtements mouillée lui moulant ses formes, en devenant presque transparente, cela en était insupportable pour elle... -Vous avez raisons mes frères, et je doute sincèrement que nous trouveront un abri même si nous continuons, vous avez besoin de repos, c'est certain....Fit elle dans un sourire hésitant , plissant légèrement les yeux, recevant des gouttes de pluie sur ses fines paupières de lune. La jeune quesselle attendit leur réponse, mais elle était de l'avis de Lye et Mamon, l'on ne pouvait pas continuer ainsi...Sinon qu'est qui arrivera? Trop faible ils sont en proie a tout en ses terres inconnues Ainsi face a la fatigue et la pluie, Anariel se trouvait quelque peu mélancolique, face a cette situation grise on peut dire est loin d'être noire, mais loin d'être blanche également...Cela était gênant, mais il fallait se faire une raison, cela aurait put être bien pire que ça.. Mais il fallait faire une halte, même sous la pluie, malgré le fait qu'elle l'agaçait cette pluie....Elle suppliait même Mystra de la faire cesser, mais bon elle espérait...Demoiselle Elfe attendit alors la réaction de ses amis.

écrit par: Kran Mercredi 18 Janvier 2006 à 23h11

Le barbare continuait toujours de marcher avec un air détendu et relâché. Il remerciait la nature de l'avoir doté d'une résistance et d'un physique pareil, il se dit que toute la jeunesse qu'il avait passé avec son père dans les montagnes n'était pas anodine. Cependant, entre les ondes de pluie il regarda un à un tous ces compagnons et s'aperçut qu'eux quelques-uns une d'entre eux commençait à être porter par leur esprit plutôt que par leurs jambes. La fatigue semblait plus particulièrement touchée Lye et Mammon qui donnait l'impression de chanceler au lieu de marcher au moindre mouvement de leur part. Kran fut également surpris par la fraîcheur de la jeune elfe qui malgré la pluie conservait un teint frais et un visage radieux. " Soit mes frères et sœurs, je vois que vous commencer à fatiguer reposons-nous quelques heures. Nous pourrions essayer de nous abriter sous une toile et essayant de l'attacher aux arbres histoire de déshumidifier quelques peu. Je vous félicite Anariel, je vois que votre résistance n'a d'égal que votre beauté et votre fraîcheur. Dame nature a été généreuse avec vous. " Le barbare ne put contenir ses mots, ils étaient sortis de sa bouche comme s’il n'avait pu les contrôler. C'était une des rares fois ou le colosse des montagnes parvenait à s'exprimer en présence d'une charmante dame sans balbutiée et chercher ses mots. Le fait qu'ils se trouvent dans la même galère lui avait sûrement permis de se rassurer et de prendre confiance, surtout parce qu'il avait participé à son intronisation au sein de la compagnie

écrit par: Morkab Caliban Jeudi 19 Janvier 2006 à 08h37

4 ème jour de la Seconde Chevauchée d’Eleinte durant l’année de l’Entropie –Le Coucher du soleil Mamon et Kran tentent de prédire le temps Narration Cela était décidé, le groupe avait finalement choisi d’établir un campement de fortune sur le bord de la route conduisant à l’Est vers l’Anauroch, n’ayant guère d’autres possibilités sans un effort conséquent qui risquerait de les éloigner de leur objectif. Kran avait parlé sans réfléchir lorsqu’il avait émit l’idée de faire sécher quelques affaires sous les branches d’un arbre. En effet, les arbres n’étaient visibles qu’au compte-gouttes dans l’immense plaine du Val de Sundabar et la plupart du peu qu’il y en avait n’était que de variétés perdant leur feuillage en ce mois d’automne. Le petit groupe se félicitait que la température fut relativement clémente pour la saison, leur octroyant la possibilité de mourir gelés pendant la nuit. Toutefois, même si la douce mort ne les prendrait pas de son baiser glacé, leur repos ne serait pas des plus confortables, leurs vêtements étant aussi imbibés d’eau que le reste de leur corps. Les deux tentes furent rapidement dressées, la pluie persistante aidant les voyageurs à se créer aussi vite qu’ils le pouvaient un minimum d’abri au sec. Sur la mule même les couvertures étaient détrempées et les provisions nécessitaient d’être mise en sûreté afin de ne pas pourrir. Au loin le soleil pâle se couchait timidement, incitant le barbare à dire qu’il lui semblait que la pluie durerait le lendemain également, sur quoi le prêtre de Mailikki surenchérit en leur promettant le même traitement jusqu’au surlendemain.

écrit par: Kran Jeudi 19 Janvier 2006 à 18h40

Les compagnons du colosse des montagnes et lui-même firent une halte non loin de la route et déployèrent les tentes, mais la pluie ne les avait pas gâtée. Les couvertures et leurs vêtements étaient détrempés. Le barbare ne prédisait pas un soleil radieux mais sûrement encore une journée sous la pluie. Le plus important était de se reposer et de réduire l'humidité de ses vêtements. Le barbare ôtait petit à petit ses vêtements et les torsadaient afin d’ôter le trop plein d'eau. La sensation de froid revenait lorsqu'il devait remettre ses habits après les avoir égouttés, cela lui donna un frisson qui remonta tout le long de sa colonne vertébrale. Il leur faudrait se tenir les uns à côté des autres afin de se maintenir au chaud. " Bien mes braves compagnons, je pense que le temps ne sera pas clément avec nous demain. Je crains que nous subissions le même temps. Reposons nous et mangeons ce que nous pouvons avant que cela ne pourrisse. Vu que nous ne sommes pas très loin de la route mieux vaudrait que nous fassions des tours de garde au cas ou. Quelqu'un veut bien m'accompagner pour le premier tour ?" Le barbare s'éloigna quelques peu du groupe et regarda le soleil s'éteindre à l'horizon avec une certaine amertume en demandant à Uthgar un peu plus de chaleur et moins d'humidité, et attendit que l'un de ses confrères ne vienne le rejoindre.

écrit par: Morkab Caliban Samedi 21 Janvier 2006 à 10h52

Lye détection = Echec Anariel détection = Réussite 4 ème jour de la Seconde Chevauchée d’Eleinte durant l’année de l’Entropie –Le Clair de lune Narration Fatigué, le groupe avait fait halte de force sous cette pluie interminable. S’étant contenté des rations comme d’un repas frugal mais certes indispensable, le frère-Molosse avait volontiers prit le premier quart de garde. Ses compagnons quant à eux trouvaient un repos qui leur semblait bien mérité. Leurs tentes bien qu’inconfortables leurs assuraient au minimum de dormir au sec, si l’on pu dire car leur vêtements humides n’avait aucun moyen de sécher. La température, bien que douce, fit frissonner ceux qui se reposaient, les extirpant de leurs rêveries ou bien de leurs sommeils de manière fréquente. Vers la mi-nuit la prêtresse de la dame de la Danse prit le relève, déjà ragaillardit de sa halte. Bientôt l’elfe lunaire vint la retrouver, elle aussi maintenant reposée, afin de lui tenir compagnie. Lye s’apprêtait à entamer sa cérémonie afin d’obtenir la grâce de sa maîtresse lorsque son amie lui prit le bras afin de lui montrer quelque chose qui avait attirer son attention sous les quelques rayons lunaires que voulaient bien laisser passer les nuages pluvieux. A milieu de la bruine qui continuait de les détremper de la tête aux pieds, elles pouvaient apercevoir une grande silhouette s’avancer à travers plaines, sa forme maigre, bien plus grande qu’un homme, restait néanmoins difficile à identifier. Elle venait clairement dans leur direction et n’était pas éloignée de plus d’une cinquantaine de mètres mais semblait n’avancer qu’en marchant.

écrit par: Lye Dimanche 22 Janvier 2006 à 16h03

Lye se sentit revigorée par sa courte méditation bercées par de doux songes qui lui avaient réchauffer le coeur. Elle avait put pendant ces quelques heures de repos reprendre contact avec ceux qui lui étaient chers par la la voie des rêves. Mais quand elle ouvrit les yeux l'humidité ambiante la fit reprendre ses esprits. Comme le barbare l'avait prédit, la pluie n'avait pas cessé et continuait à fouetter la tente en un rythme régulier. Regardant autour d'elle elle aperçu l'elfe aux cheveux diamants plongée dans ses songes, son visage porcelaine affichant un sourire serein. Toutes deux c'étaient dévêtues pour se débarrasser des vêtements humides qui leur tenaient plus froids qu'autre chose. Les tentes étant séparées, l'absence de vêtements sur le corps des deux jeunes femmes ne portaient atteinte à la pudeur de personne. A vrai dire, Lye ne l'était pas vraiment, car pour elles la beauté d'un corps nu n'était pas à cacher. Se redressant sans bruit pour ne pas troubler la méditation de son amie, la sombre quesselle fit glisser sa tunique le long de ses courbes, natant sa chevelure d'argent pour ne pas qu'elle l'encombre d'avantage. L'eau qu'elle retenait provoqua chez elle un nouveau frisson en entrant en contact avec sa peau d'ébène. Décidément, le temps n'allait pas les aider à avancer.. Prenant possession de son arme et rabattant sa capuche, l'elfe sortit alors de la tente en affrontant l'averse qui ne tarda pas à mouiller les quelques parties d'elle qui avaient réussies à sécher.. Levant les yeux vers le ciel, elle ferma ses paupières, appréciant malgré leur fraîcheur le contact des gouttelettes de pluie. Quelques rayons de lune se faufilaient à travers les nuages, certains s'égarant dans les cheveux de nacre de l'elfe noir en y faisant naître de centaines de reflets d'argent. S'asseyant sur l'herbe humide qui ne pouvait pas d'avantage mouiller ses vêtements, la prêtresse resta songeuse sans pour autant manquer d'attention pour ce qui l'entourait. La moindre des ombres attirant son regard. Les animaux nocturnes eux même c'étaient résignés à affronter la pluie afin de se rassasier et de reprendre le cour de leurs occupations habituelles. C'est donc ainsi que les premières minutes passèrent, la quesselle à moitié perdue dans ses songes, repensant à son passé, aux êtres chers à son coeur... Anariel vint bientôt la rejoindre, heureuse de la revoir elle lui fit par de ses rêves et échangea avec elles quelques paroles, une discussion agréable et reposante. Mais alors qu'elle s'apprêtait à aller rendre hommage à sa déesse malgré la pluie son amie l'alerta d'une présence qu'elle fut la première à apercevoir de son regard océanique. Fronçant les sourcils, la drow referma par réflexe sa main sur sa rapière. Peut de distance semblait les séparer de l'être qui d'ici n'avait rien d'humain, il fallait prévenir les autres! Sans attendre d'avantage, elle se dirigea vers la tente des garçons, l'ouvrant. Se penchant sur eux, la quesselle effleura leurs joues pour les réveiller en douceur, leurs adressa quelques paroles d'un calme imperturbable: "Mamon, Kran, réveillez vous, quelqu'un approche..." Quelques mèches de nacre échappaient à sa coiffure, des gouttelettes de pluie y glissant avant de finir leur course sur les visages des deux endormis.

écrit par: Anariel Dimanche 22 Janvier 2006 à 16h26

Anariel ouvrit légèrement les paupière, observant calme le fond de la tente, sans réagir, sans un seul mouvement, ses membres légèrement engourdis sous la tente. Elle était encore un peu dans ses doux songe, dans l'étreinte doucereuse, ces visages de ses êtres qui lui étaient si cher. Puis elle se frotta les yeux, calmement, se levant, observant que Lye n'était plus dans la tente...Elle devait être dehors, a faire son tour de Garde. Elle enfila donc en vitesse ses habits encore humide, grimaçant au contact humide et glacial du tissu détrempé. Et quand elle fut vêtue, elle rejoint son amies a la peau d'ébène dehors, causant avec elle de ses rêves, d'un peu de tout en vrai. Et d'un coup, la jeune quesselle posa son regard d'océan sur le paysage sous la pluie. Elle tremblait légèrement, ayant désiré que cette pluie cesse, la nature était si peu clémente pour les frères des marches....Son regard d'abord fixe et songeur changea en un instant... Elle approcha un peu le buste vers le loin, croyant voir quelque chose....Et la Douce elfe, grâce a sa bonne vision, reconnut une silhouette assez grande, semblant peu humaine...Elle en avertie directement Lye, et elle pouvait sentir dans sa voix une lueur d'angoisse. Lye serra ses main sur sa rapière et partie reveiller Kran et Mamon. L'elfe Lunaire ferma les yeux, et partie sous la tente pour chercher son arc et ses flèches...Elle peuvent être très utiles, l'on ne sait rien de cette silhouette, de plus elle n'as guère l'air humaine... Elle ressortie donc de la tente, rejoignant sa chère amie, posant son regard sur la silhouette se dirigeant vers eux, s'approchant de plus en plus....Elle serra la main sur son arc, ne quittant pas du regard la silhouette, toujours prête a attaquer si la troupe est menacée... Ana savait se battre, a force de voyager sur les routes, elle en avait fait des rencontres agréables et désagréables....Mais elle ne sait pas pourquoi, cette silhouette l'intriguait vraiment? Qui était ce?

écrit par: Morkab Caliban Lundi 23 Janvier 2006 à 11h09

Narration Réveillés en plein sommeil, les deux hommes maugréaient tant à cause du manque de repos que de l’humidité qui poursuivait sont éternel travail de sape du moral. Durant ce temps, l’ensorceleuse elfe avait sorti de sa tente son arc et son carquois afin de parer à toute éventualité. Maintenant elle scrutait la silhouette afin de mieux voir ses traits et de déterminer quelle était la nature de la créature au travers de la bruine ambiante. L’eau lui ruisselait dans ses yeux délicats, l’empêchant de voir correctement. Le reste du groupe avait finalement émergé au dehors et suivaient du regard la direction que leur indiquaient les jeunes Quesselles. Fronçant les sourcils sous les fines gouttes de pluies, Kran et Mamon observaient à leur tour la progression de l’humanoïde de haute taille. Celui-ci semblait s’être approché puisque seulement une trentaine de mètres les séparaient. Incapables d’y voir mieux qu’Anariel, ils durent se fier à la description que Lye leur fit désormais qu’elle distinguait mieux les traits. Près de trois mètres, d’une maigreur inquiétante en comparaison de sa taille, deux grands bras disproportionnés en longueur pendaient le long de son corps à l’apparence caoutchouteuse à cause de la pluie qui tombait. A ces descriptions et même s’il n’en avait jamais vu de leur vie, le sang des deux hommes ne fit qu’un tour. Tandis qu’ils se regardèrent simultanément, effarés, ils dirent ensemble : "Un troll !".

écrit par: Mamon Lundi 23 Janvier 2006 à 19h00

A la vue du troll Mamon ne pût s’empêcher d’avoir un pas de recul, il se souvint ce que son mentor lui avait raconté sur ces créatures qui attaquaient toutes créatures vivantes. - Cela commence bien! Dit-il avec une voix qui sortait d’outre tombe, on pouvait entendre un peu de peur et d’hésitation. Préparons nous il n’est pas là pour nous saluer mais plutôt pour nous utiliser comme dîner. Sur ces mots le demi-elfe fît le vide dans sa tête et réfléchit au sort qui pourrait aider ses amis à vaincre cette créature. *Troll! Troll! Réfléchit, réfléchit vite que faut il faire, fuire se battre?* Après quelque seconde il pensa à la fuite car il ne voyait pas comment il pourrait venir à bout de cette créature, mais qu’allez penser les autres si il leurs disait de fuir le prendrait-il pour un trouillard?. - Je ne vois que la fuite, nous ne pourrons rien contre lui ou alors se cacher le temps qu'il passe ! En même temps il commença à regarder autour de lui pour voir si il pouvait se dissimuler quelque part.

écrit par: Morkab Caliban Mercredi 25 Janvier 2006 à 12h21

4 ème jour de la Seconde Chevauchée de Marpenoth durant l’année de l’Entropie – Le Clair de lune Narration Dragan La pluie ne cessait de tomber, certes fine et légère, transportée par des vents modérés, mais qui avait l’irritante aptitude à s’insinuer par toutes les failles de la protection du paladin. Couvert d’une large cape à capuche imperméabilisée par des trempages à l’huile de phoques, Dragan avançait le dos courbé sur sa monture. Son cheval semblait lui aussi en avoir soupé de ces intempéries diluviens. Pourtant il était évident que depuis la veille, le temps ne désirait pas montrer une quelconque forme de clémence avec ceux qui n’avaient pas de toit sur leur tête. Heureusement pour lui le paladin frère des marches avait terminé depuis la veille sa première mission pour le compte de la Compagnie. Bien que minime, cette attribution d’escorte d’un marchand pour le village de Fortnouveau lui avait procuré de la satisfaction et le sentiment d’être de nouveau utile. Peu habitué au climat rigoureux de la région, le jeune homme qui attendait que le temps s’améliore, s’était lassé de patienter lorsqu’on lui avait annoncé que ces caprices de mère nature pouvait parfois durer des semaines entières dans la région. Il s’était évidemment empressé d’acheter l’article peu courant qu’était cette cape, et ne regrettait plus du tout cet investissement. Il avait donc pris son cheval sous le pluie battante pour entreprendre le chemin du retour pour la ville de Sundabar, siège du Bastion de la Compagnie. Après s’être décidé à poursuivre un peu alors que le soleil se couchait, il tomba sur un spectacle dont l’horreur glaça son sang dans ses veines. Sur le bord de route, une carriole gisait renversée, ses marchandises éparpillées de tout part de manière totalement chaotique. L’absence de corps le surprit dans un premier temps, juste avant qu’il ne constate les nombreuses traces de sang disséminées ça et là sur les objets. Parmi tout ce capharnaüm, Dragan découvrit des bouts de membres arrachés fait, avec ce qui semblait avoir été, une rare violence. Des bouts de doigts, des morceaux de mains, un demi-crâne constituaient une partie du macabre tableau qui s’offrait à lui. Le paladin d’Ilmater ne pouvait que trop bien ressentir la souffrance qui avait prit place en ce lieu, et ivre de tristesse, désireux d’en savoir plus sur l’immonde être qui avait pu perpétrer pareille atrocité, il opta pour remonter les traces laissées. Une fois l’émotion première passée et son chemin détourné, il réfléchissait plus posément. La taille des empreintes ne présageait rien de bon, et la force colossale ayant nécessité à faire virer la carriole non plus d’ailleurs. Peut-être ne serait-il pas de taille à affronter la chose qu’il s’était mit à suivre impulsivement. A la nuit tombée, poursuivant sous le clair de lune qui éclairait par intermittence la plaine sur laquelle il chevauchait, le jeune homme vit enfin l’objet de sa poursuite. Une grande silhouette émaciée aux bras disproportionnés avançait aux confins de sa vision.

écrit par: Kran Mercredi 25 Janvier 2006 à 18h57

Le barbare se réveilla en sursaut lorsque ses compagnons le secouèrent. Il se frotta les yeux et se leva d'un bond, il saisit sa hache par réflexe se leva et se dirigea en direction des deux elfes. Apparemment, un troll venait dans leur direction en marchant doucement. Mais ne sachant pas ce qui se passe dans la tête du troll les compagnons des marches se demandaient ce qu'ils allaient faire. Ils leur fallaient se concerter au plus vite. Leur principal avantage était leur supériorité numérique mais face à la force d'un troll les chances devenaient quasi équitables. Un frisson le parcourut, mais on ne pouvait savoir si cela était du à l'humidité des vetements ou bien à la venue de l'affrontement avec le troll. Le barbare n'avait jamais eu peur d'affronter un adversaire mais connaissant la force légendaire de celui-ci il rassembla ses esprits et parla à ses compagnons. - Que faisons-nous, on s'interpose, on le sonne ou on fuit. Si on fuit il risque d'anéantir tout notre équipement et nos bêtes. Il nous faut réagir vite et bien" Le colosse des montagnes attendit une réponse de ses confrères tant bien que mal mais plus il attendait et plus le troll se rapprochait.

écrit par: Anariel Mercredi 25 Janvier 2006 à 21h19

Anariel frissonna quand elle reconnut en cette silhouette étrange la forme d'un troll. Cela lui rappela sa première nuit en Haute Foret, ou elle et sa fille furent attaqués par des Trolls. Elle avait bien crut cette nuit la qu'elle allait rejoindre la Dame des Mystères afin de la servir. Même si elle aurait était heureuse d'être auprès de sa dame, elle voulait encore vivre. Et c'est précisément la qu'elle fit sa rencontre avec Lye. A cette vision une vague de douceur l'envahit, elle se secoua la tête et se redressa, prête a l'attaque. Mais elle se calma écoutant les propos pertinents de Kran et de Mamon. Ils risquaient leur vie, malgré tout, mais auront ils le temps de fuir? Rien que le fait de prendre du temps pour réfléchir a cette question risquait d'en donner au troll qui s'avançait vers eux. Il fallait donc se décider au plus vite! Elle regarda Lye, puis ses autres frères, Puis enfin, tremblant légèrement , elle posa son regard bleu sur l'immense créature, ses pupilles luisant d'une lueur d'angoisse. -Mes amis, il faut prendre au plus vite une décision, le temps s'écoule et le troll se rapproche!Fit la jeune Elfe lunaire. Elle se rapprocha par instinct de son amie à la peau d'ébène. La quesselle serrant son arc entre ses doigts, priant Mystra de veiller sur eux et de les protéger. De toute façon elle a toujours ses flèches, ses sort et le soutien de ses compagnons, combattre est risqué, surtout une tel créature!! Même si elle préférait l'attaque, la fuite etait une bonne solution. Mais elle attendait la réaction de Lye et la décision de tous pour foncé ou non. Elle suivrait la décision, car ce serait le groupe qui en aura décidé. Mais vite!!Car plus il sera proche, plus l'option de fuite serait improbable. *Mystra, protégez nous!* La belle aux cheveux de Diamant commençait vraiment a être terrifié, son coeur battait a la chamade, dut au stress et a la peur. Dans sa tête résonnait des tambours, toujours plus fort, et elle commençait a vaciller voyant le troll s'approchait de plus en plus...

écrit par: Dragan Jeudi 26 Janvier 2006 à 11h34

Le paladin freina sa monture. ¤Quel était cette chose? On aurait dit une bête difforme. ¤, La curiosité s’étant emparée du paladin depuis un bon moment déjà; La taille des empreintes qui ne présageait rien de bon, la force colossale ayant nécessité à faire renverser la carriole non plus d’ailleurs, ainsi qu’une silhouettes mouvantes. Il ne lui en fallait pas plus pour l’inciter à changer sa trajectoire. Mais le doute freina son intention. De qui ou de quoi s’agissait-il vraiment? Il leva les yeux vers le ciel, la lune éclairant son visage, la peau meurtrie par le froid, le sang glacé par la peur. Un homme seul poursuivant son chemin sous le clair de lune qui éclairait par intermittence la plaine sur laquelle il chevauchait, n’a rien de très rassurant! Fidèle à ses croyances et ne pouvant rester là sans rien faire, son courage reprenait le dessus. La haine qui montait en lui semblait lui procurer suffisamment de forces pour combattre une armée. ¤ Il est de mon devoir de rendre justice à ces pauvres gens! Qu’il s’agisse d’une bête où d’un homme, il le paiera de sa vie! ¤ dit-il d’un ton enragé. Il dégaina son épée et décidé, éperonna sa monture pour se diriger en direction de l’étrange silhouette. Sa décision était prise : il y avait un meurtrier en ces lieux et son devoir sacré était de le tuer. Les mâchoires serrées par la froide détermination qu'il affichait, il se dirigeait droit vers la mystérieuse silhouette tueuse. Les empreintes menaient ici et Dragan était fermement décidé à connaître l'auteur de ce massacre.

écrit par: Lye Jeudi 26 Janvier 2006 à 20h58

L'elfe noir fronça légèrement ses sourcils argentés, son regard océanique perçant à travers les ombres de la nuit sans aucun mal. Lorsqu'elle posa ses grands yeux en amendes sur le le monstre, ses compagnons purent clairement percevoir le frisson qui courut le long de son échine. La prêtresse avait déjà eu l'occasion de croiser ces créatures en compagnie des siens, la silhouette voûtée et non moins impressionnante la pétrifiant sur place. Cependant, une fois l'effet de la surprise passé, l'elfe pris une grande inspiration et détendit ses membres, son estomac se dénouant. Elle savait que la peur et l'angoisse ne résoudrait rien et encore plus face à un ennemi qu'elle savait bien trop puissant pour eux. Son clan et elle avait une fois tiré Anariel des griffes de ces créatures, et toutes les images du combat étaient encore intactes dans son esprit tout comme les blessures que portait son amie. L'elfe lunaire devait garder d'eux un douloureux souvenir..des cicatrices témoignant surement encore des coups qu'elles lui avaient infligé. Où serait elle à présent si les prêtres de la dame de la danse ne l'avaient pas secourut pendant leur rituel sacré? Fermant un instant les yeux, la sombre quesselle remplis ses poumons d'air, ne faisant même plus attention à l'humidité de ses vêtements. Elle décrit ensuite le monstre à ses compagnons en ouvrant à demi ses paupières sur sa douce amie, n'affichant aucune surprise lorsque Mamon et Kran crièrent en coeur le nom de la créature. Elle ne savait pas vraiment à quelle réaction s'attendre de la part de l'ensorceleuse.. Lorsque le prêtre de la reine des forets proposa la fuite, Lye perçut son inquiétude face à leur réaction. Cependant, elle acquiesça sans aucune hésitation. Cette réaction était une preuve de sagesse de la part de son compagnon qui se souciait apparemment plus de la sécurité des siens plus que de sa gloire personnelle. Sans perdre son calme, elle pris la parole, quelques mèches nacrées échappant à sa capuche: "Frère Mamon vos paroles trahissent ici toute votre sagesse." Glissant son regard limpide sur Kran, elle lui adressa un sourire amical. "Frère Kran, sachez que les trolls ne sont pas des créatures si faciles à...assomer, il nous faut fuir au plus vite. Moi et Anariel en avons déjà rencontré dans le passé et nous sommes loin de faire le poid." A ces mots elle revint à son amie, glissant sa main dans la sienne en lui adressant un sourire rassurant. Elle avait perçut son angoisse, et elle n'en était pas surprise. Cependant, elle avait reussi à calmer la sienne et ses idées étaient parfaitement claires. Il fallait replier le campement au plus vite et fuir loin de la bête.. Si ils les rattrapaient, elle pourrait toujours essayer d'invoquer les ténèbres pour les dissimuler, mais un simple sortilège suffirait il à se cacher d'une telle créature? Alors, regardant tour à tour chacun de ses compagnons, elle prit à nouveau la parole: "Il n'y a pas de temps à perdre, il faut replier le campement en vitesse et fuir le plus rapidement possible. Si il nous rattrape nos chances de survie sont infimes bien que je ne prétende pas connaître vos capacités de combattant. Ces êtres sont d'une puissance que vous n'imaginez pas.. Je ne sais si c'était une illusion due à l'épuisement, mais j'en ai déjà vu un se régénérer sans aucun problème en reposant simplement son membre au bon endroit..." Bien que calme, la prêtresse s'inquiétait pour la suite des évènemants. Si ils venaient à affronter le troll, survivraient ils? Et sa déesse ne s'offencerait elle pas de la voir ainsi fuir devant le danger? La dame de la danse encourageait ses suivants à détruire le mal.. Mais dans le cas présent, c'était la créature maléfique qui risquait de les détruire!! Serrant un peut plus la main d'Anariel en plongeant son regard dans le sien, elle lui sourit, tentant de l'apaiser comme elle avait sut le faire à plusieurs reprises. Portant son regard vers la lune, l'elfe noire porta sa main à son médaillon, adressant à sa déesse une prière dans la langue des siens, le commun des profondeurs: "Veille sur nous dame de la danse, guide nos pas loin du danger.." La langue était presque aussi chantante que l'elfique et non moins subtile. Cependant, il était certain que ce n'était pas la même et la façon dont la danseuse la parlait expliquait clairemant son accent.

écrit par: Kran Jeudi 26 Janvier 2006 à 22h12

Kran partageait son attention entre l'approche imminente du troll et les propos que lui prodiguaient l'elfe lunaire Lye. Sa respiration devient haletante, cela lui rappela ses combats contre les grizzlis des montagnes mais en ressassant les mots de sa sœur de quête il se dit qu'il valait mieux éviter l'affrontement direct à proprement parlé. - Essayez de distraire son attention avec de la nourriture ou un stratagème dont votre peuple à le secret mes chères elfes, le temps de se mettre à l'abri et de plier bagage. Ne prenons pas le risque que l'un d'entre nous ne se fasse blesser avant même d'avoir un quelconque indice sur notre but. Je m'occupe de ranger les tentes occuper vous de nos mules. ¤ Ne décevons pas Théodus ¤ Kran commença à ranger avec une vitesse inouïe la tente qui le protégeait pour dormir ainsi que ses affaires, négligeant quelques peu le pliage de la toile mais seul le résultat comptait à présent au vue de la situation. Après il faudrait s'atteler à celle de ses compagnons.

écrit par: Morkab Caliban Vendredi 27 Janvier 2006 à 09h35

Dragan test d’Intelligence 13+3= 16 >< DD15 = Réussite Narration Alors que certains discutaient de la bonne marche à suivre, ne réalisant visiblement pas l’urgence de la situation, d’autres se demandaient avec quelle viande on pouvait distraire l’attention d’un monstre d’au moins un quart de tonne. Plus il se rapprochait et plus le petit groupe pouvait voir toute la laideur de la face de la créature qui avançait en humant l’air sous la pluie tombante. Un grand nez filasse pendait au-dessus d’une large bouche semblant prête à engloutir tout sur son passage. S’il parvenaient à voir ce détail c’est que la créature ne devait pas se trouver à plus d’une vingtaine de mètres d’eux désormais, et Kran qui oeuvrait à toute vitesse pour rassembler les affaires n’en était qu’encore à démonter sa tente malgré la rapidité avec laquelle il se motivait. La grande silhouette s’arrêta brusquement de manière totalement inattendue. Inspirant profondément, elle bomba le torse avant pousser un rugissement tellement terrifiant qu’il en donnait la chair de poule au plus aguerri des compagnons. Dans un instant, la bête se jetterait sûrement sur eux. Avançant maintenant au trot dans la plaine, le paladin courbait l’échine sur sa monture tandis que l’eau de pluie continuait de ruisseler sur sa cape. La lame au clair scintillait dans la nuit, accrochant les rayons de lune par intermittence. Bien qu’il eût voulu se rapprocher plus vite, le terrain avait été tellement détrempé par les ondées depuis deux jours qu’il en devenait traître. Il devait donc mener constamment sa monture afin d’éviter ornières, tourbières et autres obstacles qui pourraient être désagréables s’il venait par mégarde à tomber dedans. Néanmoins, peu à peu, sa vision de la créature qu’il poursuivait se faisait meilleure et il cru reconnaître l’aspect de ce qu’on lui avait déjà décrit comme étant un troll. Tout en poursuivant son avancée, il tentait de se remémorer ces dires qu’il avait autrefois écoutés d’une oreille distraite. Le troll n’était, parait-il, pas la créature la plus lumineuse qui fut mais la violence avec laquelle il pouvait enfoncer une phalange entière de lanciers sans tomber sous leurs coups laissait songeur quand à ses chances de survie en cas de confrontation. Il était aussi connu que, non content de leur exceptionnelle agressivité et force, les trolls possédaient la faculté de régénérer des blessures qui leurs étaient infligées. Soudain, un détail l’extirpa hors de ses pensées, la terreur sur pattes n’errait plus sur cette vaste plaine car il voyait à présent qu’il se dirigeait en plein sur ce qui semblait être un bivouac sans feu sur le bord d’une route. Ses occupants subiraient très certainement le sort des propriétaires de la carriole qu’il avait trouvé au sortir de Fortnouveau.

écrit par: Lye Vendredi 27 Janvier 2006 à 17h41

Lye sentit son coeur bondir dans la poitrine à la vue de la silhouette qui se dessinait devant ses yeux. Alors sans réfléchir, elle saisit Kran et Anariel au poignet, les emportant dans sa course pour s'éloigner de la bête en attrapant au passage le sac de provisions. Tout ses sens en éveil, elle sentit l'adrénaline monter, l'excitation d'un proche combat s'emparant de tout son être. Relâchant ensuite l'elfe et l'homme pour ne pas les encombrer dans leur course, elle dégaina par réflexe sa rapière, la lune faisant danser ses rayons d'argent sur la longue lame effilée. Sa capuche renversée en arrière, sa longue chevelure de nacre ruisselante de pluie, elle prit la parole d'une voix calme mais non moins pressante: "Nous n'avons plus le temps! dépêchez vous! vite! Nos vies valent plus que des toiles de tente!" Sans attendre de réponse elle continua sa course, leurs courtes enjambées suffiraient elles à distancer le monstre? Elle ne le savait pas...ils auraient dus réagir plus vite! C'était leurs vies qui étaient en jeu.. Les gouttes de pluie qui continuaient de se glisser sous ses vêtements ne la faisaient même plus frissonner, l'angoisse qu'elle ravalait depuis quelques minutes ne se laissant plus maîtriser. Ce n'était pas simplement pour sa vie qu'elle avait peur, mais pour celle de ses compagnons... Si ils survivaient à cette épreuve, comment feraient ils pour affronter la route avec un équipement réduit à néant par une bête comme un Troll? Et encore..si ils réussissaient à sauver leur fragile existence! Ce monstre avait même la faculté de se régénérer et une résistance que sa magie avait bien du mal à percer. Ses souvenirs du dernier affrontement qu'elle avait vue entre humanoïdes et Trolls étaient encore intacts dans sa mémoire et les images des siens éviscéré par les griffes de ces créatures défilaient devant ses yeux crystallins. Il suffisait d'un seul coup infligé par un tel monstre pour abattre un humanoïde.. Elle se savait elle même encore peut expérimentée et très vulnérable face à ce genre de créatures. Mais même un guerrier expérimenté pouvait se trouver en difficulté face à des ennemis de cette force. De plus, bien qu'elle même soit à l'aise dans l'obscurité, elle savait que les deux hommes n'étaient pas dans leur élément. Le temps qu'ils bavardent avait suffit à la créature pour se rapprocher et les repérer. Comment avait elle put laisser ainsi les minutes s'écouler sans réagir! L'elfe noire tournait parfois la tête quelques secondes pour vérifier que le groupe suivait, en particulier Anariel. Si il arrivait quelque chose à l'elfe lunaire jamais elle ne se le pardonnerait! Se laisser ainsi rattraper par le temps..c'était bien là la preuve de leur inexpérience! De SON inexpérience.. Elle qui avant eux avait croisé ces créatures ne c'était pas montrée capable de les pousser à faire ce qu'il fallait au bon moment! Mais l'heure n'était pas aux songes, la prêtresse imaginant déjà la bête étriper tour à tour chacun des membres de leur groupe sans que leurs ridicules attaques ne lui infligent de dommages considérables. Et si il se mettait à courir....si il décidait de les attaquer, arriveraient ils à maintenir l'allure pour semer le troll aux enjambées peut être deux fois plus grandes que celles d'un humain? Intérieurement, l'elfe noire suppliait sa déesse de les aider, de les soutenir dans leur course. Haletante, elle ne cessait de vérifier que tous soient présents, glissant parfois un regard à la silhouette monstrueuse de l'énorme créature qui c'était dangereusement rapprochée.

écrit par: Mamon Vendredi 27 Janvier 2006 à 20h14

Quand Mamon entendit le crie de la bête et vit l’elfe noir courir en prenant Kran et Anariel par la main il en fit autant. Il courut prendre son sac sans s’occuper de la tente et se dirigea vers la mule, il prit le harnais à pleine main et tira dessus pour faire avancer la mule. -Allez avance ne reste pas ici tu vas te faire manger si tu ne bouge pas! Il criait sur la mule pour la faire avancer et tirait de toutes ses forces sur le harnais. Allez ne nous laisse pas tomber et avance. Il en oubliait la pluie qui continuait à tomber, il fallait qu’ils prennent le plus de distance sur cette créature. Peut être qu’elle perdra du temps à fouiller le campement. * Oh Maïlikki! Protége nous de cette créature et guide nos pas loin de ce danger * Comment une créature comme celle ci pouvait exister, pourquoi n’avait-elle pas une intelligence qui aurait permis de lui parlais ou de lui faire comprendre que nous ne lui voulions aucun mal.

écrit par: Anariel Vendredi 27 Janvier 2006 à 22h33

La vie défilait devant les yeux de l'elfe d'argent. Elle se laissait tirée, arrachée vivement a son angoisse, pensant qu'a une chose, filée et que tous soit sauvés, enfin..Tous les souvenirs de la bande des trolls étaient vifs. Elle en porte encore les cicatrices physique et psychologique, possédant de grande cicatrices sur le ventre, l'épaule....Mais pour l'instant elle courait. Pour que tous soit encore en vie, pour que leur missions continus, que la vie soit toujours aussi lumineuse, qu'elle revoit encore le sourire de Lye, la bonne humeur de Kran et le bon sens de Mamon, les éclats de rires d'Alewen, et le visages de ses amies...Tout cela elle voulait encore le voir, nooon l'elfe lunaire ne voulait pas mourir.Courir toujours et encore, elle vérifié que personne n'était a la traîne, que tous courait. L'envie de vivre, la peur, l'adrénaline la faisait courir vite, mais elle faisait attention a rester a la même hauteur que les autres. C'était pour eux qu'elle vivait, pour l'étincelle qu'ils mettent dans sa vie de tous les jours.... *Vivre!! Je veux que l'ont survivent!!!!Mystra je vous en pris, Sauvez nous!!!!* Il ne lui restait que cela...Le troll était si répugnant, si dangereux, en un coup, il pouvait tuer un être vivant!! Ces êtres immondes, elle les détestait....Mais leur faire face était trop dangereux, elle en avait fait l'experience, et elle et sa fille ont faillit y passer. Elles ne seraient plus de ce monde si Lye et sa communauté n'auraient pas étaient la. Elle leur doit tout!! Que ferait elle si elle perdait son amie? Elle en deviendrait folle de rage et de tristesse. Courir, encore et toujours, jusqu'à ce que la lumière éclaire leur chemin, que la Vie leur sourit et les sauvegarde!!!!

écrit par: Morkab Caliban Samedi 28 Janvier 2006 à 07h50

Narration Les compagnons fuyaient désormais et leur repli précipité n’avait rien d’une retraite stratégique mais tout d’une course pour la survie. En cette heure, en cette plaine battue par la pluie, seuls dans le noir de la nuit, ils n’étaient plus les enquêteurs partis pour traquer quelques brigands voleurs de convois, ils étaient des proies. Le départ impromptu ne laissait en leur possession que le strict minimum personnel. Tandis que Kran, Anariel et Lye filaient bon train sur la route en direction de l’Est, Mamon s’échinait à tirer la mule dans une direction qui ne semblait pas lui convenir du tout, et la bête commençait cruellement à le ralentir lorsqu’il entendit un grand fracas. Leur campement volait en éclat, saccagé par la grande créature qui éventrait les tentes et piétinait leurs affaires encore présentes, chargées de leur odeur. Le troll finit par relever la tête vers la route et beugla encore avant de s’élancer en avant sur leur pas avec une célérité que la grandeur de son corps ne laissait pas présager. Comment le jeune prêtre avait il pu croire qu’il parviendrait à s’échapper avec l’animal de trait, alors que préserver sa vie représentait déjà une entreprise plus qu’hasardeuse.

écrit par: Lye Samedi 28 Janvier 2006 à 12h40

Lye ouvrit deux grands yeux en voyant Mamon s'entêter à tirer la mule. L'elfe noire aimait les bêtes, mais pas à en sacrifier sa vie ou celle de ses compagnons pour elle. La mule allait mourir, mais elle ne laisserait pas la bête entêtée tirer avec elle le frère des marches dans le gouffre de la mort. Revenant sur ses pas à toutes vitesse, elle prit Mamon par le poignet l'obligeant à lacher la mule sans rien lui demander, son regard océanique expriment une dureté qu'il ne connaissait pas encore d'elle. Dans le même geste, elle leva sa rapière et trancha net le cou de l'animal qui ne tarda pas à s'effondrer. Elle espérait que la viande sanguinolente suffirait à distraire le Troll et n'avait témoigné aucun scrupule à ôter la vie à l'animal. C'était d'un geste précis et sans hésitation qu'elle l'avait renvoyé dans le royaume de Mailikki. Les secondes s'écoulaient à une vitesse folle. L'elfe noire ne laissa pas au prêtre le temps de se remettre et le tira avec elle avec ou sans son accord, bien décidée à ne pas le laisser se sacrifier aussi bêtement. "Dépêchez vous Mamon! l'animal était perdu peut être que ainsi il nous sauvera la vie! Il a trouvé le repos dans la royaume de la reine des forets, honorez sa mort en sauvant votre peau et vite!" Reprenant sa course, elle s'en voulut un peut d'avoir agis ainsi sans réfléchir. Cependant, elle savait que la bête ne survivrait pas à une rencontre avec un troll et son refus d'obéir aux ordres venait de lui coûter les vie. Elle savait le monstre friand de viande fraîche, il ne laisserait sans doute pas cette proie facile au sol sans y toucher. Du moins, elle l'espérait.. De plus si il avait attaqué la mule il l'aurait sans doute dévoré sans prendre la peine de la tuer avant, elle pensait avoir ainsi épargné des souffrances à l'animal qui gisait à présent dans son propre sang. Son coeur battait la chamade, des sueurs froides courraient le long de son dos. Elle aurait aimé prétendre ne craindre rien ni personne, mais il en était tout autrement. Ils étaient réduits au statut de simples proies, livrés à eux même en ces terres hostiles. Elle entendait au loin le fracas des tentes brisées..Que leur resterait il pour continuer leur route? Et encore, si ils s'en sortaient vivants! La prêtresse voyait défiler devant ses yeux des images douloureuses, des êtres sauvagement tués par ce genre de monstre. Torril était un monde cruel où la loi du plus fort régnait en maître sur la plupart des contrées. Les cavaliers avaient au moins eu raison sur un point: leur chemin serait bien moins facile à poursuivre que ce qu'ils c'étaient imaginés.. La plupart des voyages que l'elfe noire avait accomplit étaient de courte durée et en compagnie de caravaniers. Les combats qu'elle avait livré c'étaient déroulées en compagnie de personnes beaucoup plus aptes qu'elle à se défendre et bien plus expérimentées. Jamais encore elle n'avait ainsi du rebrousser chemin en prenant conscience de la faiblesse d'un groupe face à un ennemi. Et goutter à présent au véritable goût de l'aventure et du danger n'était pas aussi plaisant que ce qu'elle avait imaginé...

écrit par: Mamon Samedi 28 Janvier 2006 à 17h22

A la vue de la rapière qui s’éleva dans les aires pour donner le coup fatal à l’animal, Mamon ne pût s’empêcher de fermer les yeux et de cria pour arrêter ce geste. -Nonnnnnnnn! Un cri d’horreur sortait de sa bouche, entraîner de force par Lye il essayait de résister pour revenir vers la mule. Puis après quelques secondes il repensa au troll qui se dirigeait vers eux et voulait sans aucun doute faire de son dîner leurs cadavres. Il se remit à courir dans la même direction que ses compagnons et permit à l’elfe de pouvoir le lâcher et reprendre sa course naturellement. La mort de cette mule l’avait marqué pourtant ça mort leurs permettrait sûrement de pouvoirs distancer cette créature assoiffer de sang. -Merci…. Merci! Si… vous n’aviez pas…. Agit comme telle…. J’aurais sûrement laissé ma vie avec cette pauvre mule.. Ses mots étaient entrecouper de respiration rapide et d’un sentiment de chagrin, une larme coulait sur sa joue. Intérieurement il ne pouvait s’empêcher de revoir la tête de la mule tomber sur le sol et cela le déprimer de ne pas avoir pu sauver un pauvre animal, mais il savait bien que si la Drow n’avait pas fait ceci le troll dégusterait sa cervelle en ce moment même. Combien de temps allaient il devoir courir, allaient ils perdre la vie ici ? Mamon pria sa déesse de toutes ses forces et de toute sa foi pour qu’elle les aide à se sortir de ce mauvais pas.

écrit par: Kran Samedi 28 Janvier 2006 à 19h11

Kran fut estomaqué par la seine la loyauté de Mammon était telle qu'il aurait sacrifié sa vie pour sauver la vie d'une mule, mais cela aurait été une grande perte pour le groupe de perdre Mammon et une tragédie pour la compagnie et ses autres compagnons. L'elfe avait su réagir promptement et rapidement ce qui avait permis à Mammon d'échapper à la mort. Le barbare était en amont avec Anariel et avait regardé la scène avec effroi. Il se sentait comme impuissant même si la nature l'avait doté d'une force et d'une résistance herculéenne il ne sentait impuissant face à l'horreur et la puissance du troll. Il se demanda sil le troll s'arrêterait pour déguster la mule ou bien les poursuivrait mais dans le doute il décida de continuer de s'éloigner afin de prévoir les prochains gestes de leur assaillant. " Bien joué Lye, continuons il ne faut pas nous laisser à nouveau surprendre par le troll prenons nos distances. Par chance nous pourrons peut être venir chercher les affaires qui seront encore en un seul morceau." ¤ IL va falloir trouver autre chose nous n'allons pas fuir sans cesse mais je connais pas suffisamment cette créature pour pouvoir anticiper ses actions.¤ Pendant que Kran continuait de courir aux cotés d'Anariel , il songeait à un stratagème pour contourner le troll ou bien le faire dévier de leur trajet afin de pouvoir continuer leur quête. Ses compagnons et lui s'éloignaient de leur but de plus en plus.

écrit par: Dragan Dimanche 29 Janvier 2006 à 07h57

Le jeune paladin cheminait prudemment sur la route détrempée. Courbé sur sa monture au trot, bien emmitouflé sous sa cape qui continuait de faire ruisseler l’eau de la pluie, il lorgnait du coin de l’œil les énormes empreintes dans la boue. Cette piste le conduisit directement à l’auteur du massacre que Dragan identifia comme étant un troll. Au même moment, la bête affreuse chargea un bivouac en bordure d’une route où tous étaient arrêtés pour la nuit. Le jeune paladin ne connaissait que trop bien les histoires et les mises en garde qui se racontaient dans les tavernes du nord. Des récits de créatures sauvages mi-humaines, mi animales et d’autres monstruosités sans nom faisaient dresser les poils de plus d’un fils d’Ilmater. Il n’y avait plus aucun doute dans l’esprit de Dragan, les rumeurs étaient fondées : il y avait bien des trolls qui circulaient dans ces plaines et leur dernier passage n'était pas si loin dans le temps. Son but immédiat était d’empêcher un autre massacre. Il lui fallait sauver ces gens avant qu’il ne soit trop tard. Le paladin savait trop bien que les rivalités avec les trolls pouvaient être aussi sanglantes que les guerres contre les clans orques. Son esprit tournait à toute vitesse, cherchant une solution à son embarras, son regard brillant de vivacité alternait entre le groupe et la bête féroce. La peur et la nervosité intérieure qui s’amplifiaient, se lisaient dans l'éclat bleuté de ses yeux. Ce voyage qui semblait en l’occurrence être profondément ennuyeux, avait pris une toute autre tournure car maintenant, c’était un sentiment de malaise qui dominait et Dragan avait la désagréable sensation d'être bousculé par le temps. Devant l’insoutenable tableau qui s’offrait à ses yeux, Dragan bouillait intérieurement. Ce petit groupe complètement désorganisé ne tiendrait que peu de temps face au troll… Les images du drame qu’il avait vécu quelques instants auparavant, lui revinrent en mémoire. ¤ Je ne peux pas les laisser se faire massacrer comme ces pauvres gens l’ont été. Si je dois choisir, je préfère mourir que de n’avoir rien tenté. ¤Frémissant, ses poils s’hérissaient à cette idée. En réponse, une petite décharge d’adrénaline tonifia ses muscles. Se trouvant maintenant à quelques mètres de distance de l’affreuse bête, avec une grande détermination digne de celle d’un grand chevalier, son corps musculeux tout entier semblait prêt à l’action. Les sourcils froncés, son regard vigilant en la matière allait et venait et sa mâchoire serrée donnait à son visage à la fois une expression d’assurance et d’autorité. Tout était clair dans sa tête, c’était maintenant ou jamais. Bénéficiant de ce moment de répit, la bête se déchaînant sur le bivouac, le jeune paladin décida de profiter de cet instant en dirigeant sa monture au galop pour aller rejoindre le petit groupe qui déguerpissait à la vue du troll. D’un oeil vigilant, la bête scrutait les alentours, cherchant à déceler des adversaires éventuels avant que ceux-ci ne la prennent pour cible. Plusieurs fois, intriguée, elle s'était accroupie sur le sol pour renifler les odeurs humaines. Le fracas de matériel était bien audible. Aux cris de rage indubitablement inhumains, se mêlaient des grognements d'impatience trolls. Arrivant telle la cavalerie avant la bataille, Dragan venait d’assister à une scène pour le moins courageuse. Par réflexe de survie, dans un geste désespéré, une femme venait de sacrifier une mule pour sauver ses confrères. Le jeune paladin en resta hébété un instant. Puis il reporta son attention sur le groupe. Eperonnant sa monture, il accéléra pour atteindre la hauteur des fuyards.

écrit par: Morkab Caliban Dimanche 29 Janvier 2006 à 09h49

Narration Le Colosse des montagnes filait devant, ses jambes puissantes habituées à ce genre d’effort le propulsaient à avec une rapidité qui contrastait avec son allure massive. Néanmoins soucieux du sort de ses frères et sœurs, il ne donnait pas toutes sa mesure à ses foulées, retardant ainsi sa course pour ne point distancer Anariel sur ses pas. La prêtresse drow était finalement parvenue à détacher Mamon du spectacle qu’elle s’était sentie obligée de perpétrer afin qu’il ne perde pas la vie, et tous deux couraient maintenant bon train également dans la boue de la route détrempée. Ce n’est que lorsque les retardataires regagnèrent le duo de tête que le petit groupe reformé se rendit compte de l’arrivée imminente sur eux d’un cavalier. Bien que couvert d’une cape épaisse à capuche sur laquelle l’eau ne semblait pas avoir de prise et qui dissimulait la plupart de son apparence, sa corpulence indiquait un homme robuste. Un hennissement déchirant rompit la nuit et extirpa l’attention des compagnons du nouvel arrivant. La mule qui s’était écroulée sous le coup de rapière n’avait pas été tuée sur le coup et dans leur précipitation ils n’avaient guère eut le temps de s’en assurer. Au dessus d’elle, le troll se dressait maintenant sous la pluie battante. De ses mains dressées haut vers le ciel pendaient les intestins encore fumants de l’équidé. Le monstre poussa un rugissement qui les ébranla tous avant de commencer à ingurgiter de façon écoeurante les entrailles de l’animal. Nul doute qu’après ce repas providentiel il se mettrait alors en quête d’un dessert. Heureusement pour le petit groupe, l’horrible bête ne se tenait pas entre eux et la route qu’ils devaient suivre pour poursuivre leur périple.

écrit par: Anariel Dimanche 29 Janvier 2006 à 14h26

Horrifiée par la mort de la mule, tuée par Lye. Anariel comprenait que ce geste était fait pour sauvé Mamon, mais elle en fut attristée et horrifiée...Elle regardait pendant un court instant avec Kran, avant de reprendre sa route, troublée...Celui ci ralentissait pour resté a sa distance...Et quand Mamon et Lye les eurent rejoint, ils entendirent arrivés un cavalier. La quesselle l'observa de ses yeux de source...Apparemment c'était un humain, elle en était même sure. Mais l'horreur la prit quand elle vit que la mule n'était pas encore morte, et que ses entrailles furent dévorés par le troll. L'elfe se rassura que celui ci n'était pas encore près d'eux.... Mais elle refit un vide dans son esprit..Elle qui pensez que rien de grave pourrait leur arrivés, elle avait sous estimés leur destinés...Elle soupira et s'accrocha a Lye...Elle restait auprès d'elle, éprouvé par la tournure qu'avait pris les évènement... - Murmura t'elle a son amie en elfique, éprouvée. Mais ils leur fallait continuer leur routes, le troll avait certainement envie d'un dessert après avoir dévorés les entrailles de cette pauvre mule. Elle était triste pour elle, et surtout pour Mamon, elle savait qu'il prenait énormément soin d'elle..Elle aussi aimait les bêtes...Mais la c'était la vie de Mamon qui en dépendait et elle aurait était tellement triste si celui ci aurait perdue la vie...En tout cas cette mission commençait plutôt mal, mais la douce Quesselle ne s'en démordait point et restait toujours aussi motivé, mais plus troublée et sur ses gardes depuis le début de la marche...Elle était trempée jusqu'au os, mais elle avait oubliés le froid depuis bien longtemps, trop préoccupée pour sauvé leur peau, plutôt que pour sécher leur linges....L'elfe au regard de source priait toujours intérieurement sa déesse afin qu'elle les sauve de ce mauvais pas. *Oooh Mystra! Protégeais nous, aidez nous!!* La douce demoiselle trempée, celle qui avait un visage souriant au début de la mission et qui a présent arborait une expression angoissée reposa son regard sur le cavalier, espérant qu'il ne s'agissait pas encore d'un des cavaliers de la légion d'argent qui avaient étaient fort peu aimable avec eux...

écrit par: Lye Dimanche 29 Janvier 2006 à 19h25

Lye se sentit soulagée par la réplique de Mamon, le prêtre lui avait une nouvelle fois prouvé qu'il était doté d'une grande ouverture d'esprit. Intérieuremant, elle sourit, la pluie batante lavant de son sang la longue lame argentée qu'elle tenait entre ses doigts fins. Ses vêtements détrempés collaient à ses courbes fines et gracieuses, sa longue cheveulure d'ivoire baignée de reflets nacrés ruisselant de pluie devant son regard crystallin. Elle espérait distancer le Troll le plus vite possible et n'engager le combat que en dernier recours. Cependant, si cela devait arriver, elle était prête et n'hésiterait pas un seul instant à sacrifier sa vie pour celle de ses amis. Le spéctacle du monstre savourant les entrailles fumantes de la bête encore vivante lui donna la nausée, elle se forca à détourner les yeux. Au moins la mule pourrait servir à ralentir le colosse qui, malgré sa taille imposante, ne semblait avoir aucun mal à se déplacer et ne mettrait sans doute pas longtemps à les rattraper. C'est alors qu'un cavalier se dressa sur leur chemin. La sombre quesselle n'eu pas vraiment le temps de le détailler longuemant, ne faisant même plus attention à son visage à découvert qui trahissait clairemant son appartenance à la race Drow. Le stress était tel que sa crainte face aux reactions des hommes envers ses origines n'était plus. En cet instant seule sa course pour la survie occupait son esprit. Cependant, l'arrivée du cavalier l'extirpa de ses pensées et elle n'attendit pas avant de prendre la parole d'une voix toujours aussi accentuée par sa langue natale: "Je ne sais qui vous êtes messire mais ne restez pas là! La bête approche, sauvez vous tant que vous pouvez encore éviter le combat. Rien ne sert de mettre des vies en péril tant que l'on peut l'éviter." Sur ces mots lancés sans s'arreter elle reporta son regard sur l'elfe lunaire qui courrait à ses côtés. La tension de l'ensorceleuse était particulièrement perceptible et la quesselle en comprenait parfaitemant l'origine. Sa douce amie avait faillit rejointre la dame des mystères lors de sa dernière rencontre avec ce genre de bête. Rien de cette scène n'avait été effacé de la mémoire de la prêtresse, et bien qu'en ce temps elle n'avait forgé avec l'elfe lunaire aucun lien affectif, son état l'avait ce jour là particulièremant affligé. C'est alors qu'elle sentit qu'Anariel s'accrocher à elle, éprouvée par la course pour leur vies. Sans hésiter elle ralentit l'allure afin de mieux la soutenir, si il l'avait fallut elle aurait sacrifié sa vie pour elle sans se poser la moindre question. Trop essoufflée pour lui tenir un long discour rassurant, elle lui glissa simplemant quelques mots à l'oreille dans la noble langue: Après un bref sourire à son amie elle jetta un regard à la créature qui engloutissait le cadavre de la mule dans laquelle elle avait glissé sa lame quelques minutes auparavant. Elle n'avait pas besoin de regarder le prêtre de Mailikki pour imaginer sa reaction et ce qu'il ressentait car malgré le peut d'affection qu'elle avait pour les animaux la drow était totalemant écoeurée par le spectacle. En plus de la pluie incessante et du paysage qui ne dégnait leur céder aucun abri, voila que à présent ils fuyaient un Troll qui venait de saccager leur campement. L'elfe lunaire avait raison: la nature n'était vraiment pas clémente avec eux.. Ramenant sur son épaule le sac de provisions qu'elle avait emporté avec elle, la prêtresse chassa de ses yeux limpides quelques mèches d'argent gorgées d'eau. Elle essayait de percer l'obscurité de la nuit dans l'espoir d'apercevoir un refuge qui pourrait les cacher du Troll pendant qu'il se rassasiait. Sa main gantée serrée autour de celle de l'ensorceleuse, elle suppliait intérieuremant sa déesse de guider ses pas vers le bon endroit..

écrit par: Dragan Lundi 30 Janvier 2006 à 05h54

Probablement grâce à son recrutement dans la Compagnie des Marches, Dragan prenait cette nouvelle fonction à cœur, comme tout ce qu’il faisait d’ailleurs. Le paladin prenait conscience qu’il lui faudrait être désormais plus compatissant du sort de ceux qui ne peuvent se défendre eux-mêmes. Cette histoire de massacre ne l’avait intéressé non pas par le fait que ‘les siens’ étaient décédés mais plutôt parce qu’il ne refusait jamais une opportunité de rendre justice. Rendu à la hauteur du petit groupe, le jeune paladin rejoignit la femme de tête qui semblait être celle qui les dirigeait. Dragan lui proposa de tous les réunir et parer à une éventuelle riposte car désunis, cela pouvait leur être fatal. En voyant leur manque de cohésion dû probablement à la panique, il fallait agir et vite. Établir une stratégie n’était pas mince affaire en si peu de temps. Nerveux, il tourna la tête dans la direction de la meneuse et lui lança une suggestion d'une voix impérieuse. - Je vois à votre brassard que nous sommes tous deux, membres de la Compagnie des Marches et je ne peux que m'en réjouir profondément. Tout d'abord, je tiens à vous féliciter pour ce que vous avez fait tout à l’heure. Votre action démontre une force de caractère et un courage à toute épreuve. L'homme fit une courte pause, regardant à tour de rôle chacun des aventuriers présents. "Mais je crains que tout cela ne soit pas suffisant... En effet, vous n'avez fait, j'en ai peur, que retarder son appétit vorace. M’dame, je crois qu’il faut tous se réunir pour envisager de quelle façon nous pourrons riposter à une attaque, s’il y a. Nous devrions essayer de trouver un endroit suffisamment sûr pour faire halte un moment". Jetant un regard par dessus son épaule, il jugea si ils étaient à une distance raisonnable de la bête. La fatigue des derniers jours envahissait chaque partie de leur corps et la distance qu’ils avaient franchie dans leur course effrénée leur faisait dire qu’il était temps de faire une pause. Ne sachant si son intervention était judicieuse, mais comptant sur son charisme naturel, il attendit sa réponse scrutant avec angoisse sa réaction, sachant fort bien qu’unis, ils seraient plus en mesure de se défendre.

écrit par: Mamon Lundi 30 Janvier 2006 à 20h13

Mamon vomit tout en courant à la vue du troll mangeant les tripes de la mule qui était encore vivante. La pluie plus les larmes qui lui coulaient dans les yeux l’empêcher de voir correctement ce qui était en face de lui, quand il entendit un homme à cheval s’adresser à Lye. * Un homme appartenant à la compagnie? Bizarre, Théodus nous aurait envoyé du renfort? Cela se pourrait vu la dispute qu’il avait eut avec Foragus, il a dut pensée qu’une personne de plus ne pouvait que faire du bien à la troupe* Il laissa Lye répondre à l’homme car il était encore sous le choc de ce qu’il venait de voir et il n’avait pas envie de vomir tout en s’adressant au cavalier. Il continua à courir tout en restant attentif à la réponse de l’elfe noire, il se tenait prêt à suivre l’ordre qu’elle donnerait, du moins il essayerait de le suivre et de faire de son mieux pour rattraper l’erreur qu’il avait commit avec la mule.

écrit par: Kran Lundi 30 Janvier 2006 à 23h10

Kran n'appréciait guère l'arrivée soudaine de ce nouveau guerrier. Leur groupe était déjà suffisamment éclectique pour ne pas avoir à subir encore un fort caractère. Mais compte tenu de la situation il se ravisa et se dit que finalement on n’ était pas de trop à un de plus dans le groupe. Le tout était de savoir si cet homme avait connaissance de la mission qui avait amené le groupe jusqu'à cette route. A la vue du troll dévorant la bête il se dit qu'une petite halte ne lui ferait pas de mal et en plus il commençait à avoir un petit creux. Par contre il fut ravi que cela soit la pauvre mule plutôt que Mammon qui avait les tripes à vifs. " Soit messire, un membre de la compagnie est la bienvenue mais que faites-vous en ces lieux. Et quel est votre but ici ?" ¤ De quel droit il s'imagine à peine arrivée il va déjà nous commander de s'arrêter. Je vais attendre les choix de mes compagnons et rester en retrait. Il m'a l'air un peu prétentieux celui la avec ses grands airs.¤ Le barbare jetait un regard méfiant au nouveau guerrier et espérait une réponse franche et précise. Il se demanda si ces compagnons ressentaient la même chose à l'égard de cet homme.

écrit par: Lye Mardi 31 Janvier 2006 à 00h01

La prêtresse cessa de courir en entendant le cavalier prendre la parole. La distance qui les séparait du Troll était à présent assez grande pour qu'ils puissent s'arreter quelques secondes sans trop de dangers. Cependant comme l'avait souligné le nouvel arrivant le monstre ne tarderait sans doute pas à se chercher un déssert. Essoufflée, la jeune drow posa son regard crystalin sur l'homme, affichant un léger sourire malgré sa fatigue. Quand kran eu posé sa question et que le cavalier lui eu répondu, elle répondit à aux paroles qu'il lui avait adressées précédamant: "Vous avez raison messire, la bête ne tardera pas à reprendre sa chasse.. Il faudra en effet mettre en place un plan d'attaque si le combat devient inévitable, cependant pour l'instant je pense qu'il vaudrait mieux trouver un endroit à l'abrit du Troll et courir pendant qu'on en a encore le temps. Anariel et moi pourrons vous guider sans problem dans la nuit et en ce qui me concerne j'y vois parfaitemant clair. Permettez moi de presser les choses cependant, nous parlerons d'avantage lorsque nous seront hors de danger." Trempée, ses vêtements blancs tachés de boue, la danseuse n'avait pas perdu de sa grace mais on ne pouvait pas en dire autant de son élégance. Cependant le contact des vêtements mouillés contre sa peau d'ébène dévoilait certaines formes de son corps presque autant que si elle n'avait rien eu sur le dos. Mais la jeune elfe noir n'en semblait pas génée le moins du monde, sa pudeur étant depuis le plus jeune age particulièremant restreinte. Pour danser nue sous la lune en l'honneur de sa déesse, il ne fallait sans doute pas en avoir beaucoup. Détournant les yeux et reprenant la route en une marche rapide, elle arriva à la hauteur de Mamon. Lye avait clairemant perçut son malaise et en était profondémant désolée. Ne sachant pas vraiment comment consoler le prête mais souhaitant au moins lui apporter son soutien, elle lui posa la main sur l'épaule et lui adressa un doux sourire. Attentionnée et amicale, la servante d'Eilistrae ne témoignait plus qu'une méfiance minime à ses trois compagnons à l'exception d'Anariel en qui elle avait une entière confiance. Le malaise de Mamon la peinait, elle n'aimait pas voir un être triste mais c'était encore pire lorsqu'elle commençait à s'attacher quelque peu à celui ci. Alors, doucemant, elle glissa sa main dans la sienne, rengainant sa rapière et capturant de la même façon celle de l'elfe lunaire. "Allez...dépéchons nous!" Son ton se voulait rassurant et apaisant, ses lèvres arquées en un timide sourire. Elle savait que dans un groupe le soutien mutuel était indispensable et n'avait aucune gène à approcher le prêtre de la sorte malgré le fait qu'elle ne le connaisse encore que très mal. Lui, Anariel, Kran et elle allaient devoir parcourir un long chemin ensemble, petit à petit chacun allait apprendre à se connaitre et elle avait choisit de leur témoigner une confiance qu'elle offrait rarement et se sentait le devoir de les soutenir tout trois. La pluie continuait de tomber et le Troll n'était pas bien loin derrière eux, ce n'était pas le moment de faire halte, il fallait encore avancer jusqu'a être hors de danger. L'elfe ne s'arretait pas, elle ne courrait plus mais marchait vite, rythmant bientôt son allure sur celle de ses compagnons.

écrit par: Morkab Caliban Mardi 31 Janvier 2006 à 09h57

Narration Malgré le fait que le troll soit encore très proche, le petit groupe avait pris un risque considérable en s’arrêtant quelques instants pour se reformer et s’adresser au cavalier. Heureusement pour eux, le monstre affamé était tout dévoué à son ignoble curée, arrachant désormais les membres de l’animal défunt avant d’y mordre à pleine dents avec sauvagerie. Mamon éprouvait des sueurs froides et tentait d’ignorer le terrible spectacle en même temps que le sentiment d’impuissance qui le submergeait. La sombre Quesselle prouvait vraiment en cet instant toute la force morale dont elle était capable et que Foragus avait senti chez elle dès le premier contact. Galvanisé par son souci de préserver la vie de ceux qui lui étaient chers, elle tirait littéralement à bout de bras l’elfe lunaire et le prêtre de Mailikki devant le regard médusé de Kran qui, impressionné, constatait avec étonnement une telle détermination chez un être aussi gracile et d’apparence frêle. L’attitude méfiante des membres de la Compagnie des Marches n’avait pas surpris Dragan outre mesure. Une réaction contraire aurait même été inquiétante au-delà du fait d’être anormale. Ce qui par contre le tétanisa un instant, avant qu’il ne se reprenne et n’éperonne sa monture pour les rejoindre, était qu’il venait de prendre conscience de la nature de cette femme exceptionnelle qu’il avait arbitrairement instituée comme meneuse au regard de sa conduite courageuse. La peau d’ébène qu’il avait pu apercevoir sous les vêtements diaphanes détrempés qui moulaient son corps si voluptueux, la petite taille de la jeune femme, les traits d’une incroyable finesse… Tout portait à croire qu’il s’agissait d’une drow, un membre d’une des races les plus connues pour leurs tendances maléfiques. Malgré tout ce qu’il pouvait penser de la chose, connaissant les préceptes moraux défendus par la Compagnie, il était certain que si elle avait été intégrée parmi elle ce n’était pas sans raison. Le silence perdura durant de nombreuses minutes tandis que la formation progressait rapidement sous la pluie sur la route de la Fourche en direction de l’Est. Aucun abri n’était toujours visible dans cette plaine, mais peut-être était-ce dû au manque de visibilité, car si la faculté merveilleuse de Lye lui permettait de voir comme en plein jour, elle ne fonctionnait guère à plus que trente cinq mètres. Au-delà, les ténèbres régnaient. L’adrénaline passée, la fatigue reprenait ses droits sur ceux qui n’avaient pas eu la possibilité de se reposer encore convenablement.

écrit par: Dragan Mardi 31 Janvier 2006 à 10h40

S'attendant déjà à peu de manière venant d'un barbare, le jeune paladin lui adressa un regard de reproche. Il le trouvait beaucoup trop direct à son goût. Dragan bouillonnait intérieurement. ¤ J'en était sûr ¤. Dragan avait suivit la conversation sans dire un mot et comme si elles le hantaient, des images revenaient sans cesse à sa mémoire. Il repensait à ce troll, à la carriole et enfin a lui et a ce qu'il devait faire, maintenant qu'il se trouvait à bonne distance. Seulement le jeune paladin ressentait une forme d’inquiétude car ils n’étaient pas pour autant en sécurité, puisque qu’ils étaient toujours exposés au danger. ¤Ces imbéciles sont donc incapables de protéger leur famille? Parfois j'aimerai... ¤ Il interrompît sa pensée. Cependant cette fois-ci, le jeune paladin ne put retenir ses mots, qui furent, certainement à la surprise générale, un peu plus cinglants qu'à l’accoutumer. ¬Bien heureusement que je peux compter sur vos capacités à guerroyer en ces terres hostiles. Je suis fier et heureux de vous compter parmi mes amis! Dit-il d’un air hautain et supérieur, l'impression de tout savoir. Ceci ressortait de la même manière que chez le barbare devant lui. ¬Mon épée restera à votre service et vous protègera du mieux que possible, même si je devais y perdre la vie! Et ce sont là les mots d'un paladin des Marches d’argent, pour qui l'honneur est la première cause de mortalité! Dragan afficha un sourire aimable à ses compagnons avant de freiner sa monture et descendre de selle.

écrit par: Lye Mardi 31 Janvier 2006 à 11h11

L'elfe noir qui soutenait ses amis dans leur avancée fut plus amusée qu'autre chose des paroles du cavalier qui venait de se laisser glisser le long du flanc de sa monture afin de mettre pied à terre. Les jeunes hommes en quête de gloire étaient vraiment trop impulsifs! Mais rien dans l'attitude qu'il adopta n'atteigna la sombre quesselle, elle était persuadée que toute cette mise en scène de sa part était due à la fougue de la jeunesse. Si l'honneur était pour le paladin sa prioritée, pour la prêtresse c'était la vie de ceux à qui elle avait offert son affection. Maintenant qu'ils commençaient à gagner du terrain il était hors de question de revenir en arrière pour affronter cet ennemi bien trop dangereux. L'idée de paraitre lache n'avait pas même effleuré son esprit. D'ailleurs, la suivante d'Eilistrae n'avait pas la même définition de la lachetée que la plupart des gens. La fuite était celon elle signe de prudence lorsqu'elle était pratiquée dans une situation où les chances de vaincre étaient plus que minces. Les mots du nouvel arrivant qui semblait avoir encore tout à apprendre de la vie amusèrent l'elfe noire. Cependant, elle n'en laissa rien paraitre, sachant pertinamant que cela risquerait de blesser le jeune homme dans sa tentative d'impressioner le groupe d'aventuriers. Alors, un léger sourire aux lèvres, elle se contenta d'acquiesser à ses propos en continuant sa route. De plus aucun d'entre eux ici n'étaient là pour se battre. Leur mission n'était pas de nettoyer les marches d'argent de toute la vermine qui y grouillait. Elle était précise et ils étaient encore bien loin de leur but qui, à ce rythme, semblait inateignable. Portant son regard encadré de longs cils argentés sur le Troll, la drow constata avec soulagemant qu'il était encore trop occupé à dévorer la mule pour se soucier d'eux. Au moins ce sacrifice n'avait pas été vaint.. En repensant aux cris de la bête dévorée de l'intérieur, elle serra doucemant les mains de ceux qu'elle tirait avec elle. Et si ça avait été l'un d'entres eux? Son ventre se noua lorsqu'elle imagina chacun d'entres eux à la place de l'animal qui avait été sacrifié pour les sauver. Dire que Mamon aurait put finir ainsi.. Dans ce cas là elle se jura qu'elle l'aurait vengé. Lorsque le sang coule seul celui ci peut le laver. Ces pensées provoquèrent en elle une montée de rage qui illumina son regard bleu profond. Secouant la tête pour chasser cette sensation, elle eu vite fait de faire disparaitre cette haine qui c'était si facilemant emparée d'elle. Depuis petite elle luttait contre sa nature impulsive, et encore aujourd'hui elle se demandait si elle pourrait la maitriser en n'importe quelle circonstance. Jetant un regard circulaire autour d'elle, elle adressa un sourire réconfortant à ses compagnons de route, prenant bientot la parole d'une voix douce et calme: "Allez.... Malgré ces épreuves nous finiront par y arriver. Le voyage sera long mais ensembles nous y arriveront." Revenant quelques secondes à la nouvelle silhouette qui les accompagnait, elle s'interrogea sur son origine. Pourquoi était il venu par ici? Est-ce que les rejoindre faisait partit de sa mission au sein de la compagnie des marches d'argents? Dès qu'elle en aurait l'occasion, la prêtresse l'interrogerait à ce sujet.

écrit par: Anariel Mardi 31 Janvier 2006 à 12h35

Anariel ne lâcha pas la main de Lye avant un certain temps; La Quesselle lunaire était restait silencieuse pendant un certain temps, et même le restait encore, trop troublée pour dire quoique ce soit, elle parlait de ses regards qui voulait tout dire. La belle elfe lunaire avait également les vêtements trempés, relevant ses formes fines et féminines, mais tout comme son amie, elle n'en était point gênée, etiant une elfe n'ayant pas énormément de notion de pudeur, bien qu'elle respecte certaine coutume, évitant de se mettre nue en présence d'humains...Mais la la situation était telle qu'elle n'y pouvait absolument rien. Elle frissonna, ressentant a nouveau le contact glaciale des tissus mouillait sur sa peau, l'ayant oublié un certain temps, pendant qu'il sauvaient leur vie... Elle fit une mine de dégoût en voyant le troll qui finissait son repas, mais ils allaient continuer leur marche, et si il devront répondre a une offensive imminente, ils le feront, car ils sont ensemble... Pour ce qui est du paladin, elle éprouvée pour lui une certaine sympathie, mais aussi un peu de méfiance, ne le connaissant pas vraiment. Mais la Demoiselle ne jugeait pas avant de bien connaître, alors elle n'en pensait pas grand chose pour le moment. Car le plus important est de s'éloigner de cette bête!!! *Plus loin de ce troll on sera, mieux cela vaudra* Ana resta donc près de Lye, celle ci avant certainement sentie son silence... Anariel repensait a cette pauvre mule, mais valait mieux elle que Mamon, et a présent, cette mule devait avoir rejoint le royaume de Mailikki, cela était mieux pour elle...Elle pensa a tous ses frères, a son courage et sa volonté de continuer.. Elle ne lâchait pas l'affaire, même si il y a un troll pas loin d'eux, il fallait de la prudence...Donc le voyage, malgré toutes ses émotions allait continuer, avec ce nouveau membre...Tout de même elle se posait des questions...

écrit par: Morkab Caliban Mercredi 01 Février 2006 à 10h35

Narration Le groupe nouvellement enrichi de la venue du paladin, qui désormais marchait au côté de sa monture, progressait maintenant à vive allure sur la route boueuse. La course des premiers instants avait naturellement cédé la place à une marche rapide qui visait à prendre le plus possible le large de l’immonde créature. Nul n’aurait pu dire le temps qui passa à ainsi avancer sous la pluie toujours présente avant qu’ils ne sentent la fatigue de nouveau s’installer, nécessitant de prendre du repos sous peine de devoir être rapidement épuisés dès le petit matin. Autour d’eux, dans la nuit, il n’y avait toujours aucun signe du moindre abri dans leur champ de vision. Les membres de la Compagnie firent halte sur le bord du chemin comme ils l’avaient précédemment fait, espérant ne pas avoir deux fois le même genre de mésaventure durant la même nuit. Tandis que chacun tentait de se préserver comme il le pouvait des intempéries, il leur paraissait clair qu’il fallait maintenant faire le compte de ce qui avait pu être sauvé en dehors de leur équipement personnel. Les tentes manquaient bien évidemment à l’appel, ainsi que les couvertures et le petit matériel qui était harnaché à la mule. Seules les vingt-quatre rations et la boite contenant les potions de soins avaient pu être emportés durant la panique générale. L’eau supplémentaire n’avait malheureusement pu être emportée. Il était temps de se repartir cet excédent de charge, leur animal ne pouvant plus remplir cet office. Ils pourraient après discuter un peu plus avec le guerrier qui les avait rejoint et essayer de trouver un sommeil nécessaire même dans ces conditions difficiles.

écrit par: Lye Jeudi 02 Février 2006 à 20h14

Lye était soulagée de laisser le Troll loin derrière eux. Elle portait encore sur son épaule le sac de provisons qu'elle avait emporté au pasage, sa rapière battant à son flanc droit. A présent l'elfe noir s'interrogeait sur els conditions dans lesquelles ils allaient continuer leur voyage. Il allait faloir s'arreter à la ville la plus proche pour renouveler les vivres.. D'ici là, l'avancée serait sans doute difficile et inconfortable. Cependant il fallait à présent faire halte, elle voyait ses compagnons céder à la fatigue et ressentait le besoin de prendre un peut de repos elle aussi. Pour couroner le tout, ils n'avaient rien pour se protéger des intempéries, et si ils voulaient dormir ce serait sous la pluie! S'arretant, l'elfe noir fit halte avec le petit groupe d'aventuriers. Mais malgré sa fatigue il fallait pour sa part qu'elle execute son rituel nocturne avant le levé du jour et elle en ressentait une plus en plus forte nécessitée. Mais la présance d'ennemis potentiels la rendait nerveuse.. Devait elle aller seule dans la nuit? La danse en plus s'executait nue..elle n'aurait même pas sa rapière pour se défendre. Tout en réfléchissant à ce qu'elle devait faire, la prêtresse posa le sac à terre. Retirant une petite gourde de celui ci, elle commença à incanter. Aucun autre objet n'était tombé sous sa main et elle savait que ses compagnons auraient besoin de lumière.. Quelques secondes s'écoulèrent avant que le récipiant ne commence à luir comme une torche, éclairant le visage de la prêtresse en en dévoilant la douceur de traits. "Voila pour vous éclairer...je vous rejoint plus tard." Leur adressant un sourire, l'elfe sombre s'éloigna, se mouvant avec grace, ses pas semblant à peine effleurer le sol. Songeuse, elle s'avançait dans la nuit, la lueur qu'elle avait offert à ses compagnons pouvant lui permettre de les retrouver si ils échapaient à son champ de vision. Cependant elle espérait aussi qu'elle n'attirerait personne d'autre.. Ne leur ayant pas laissé le temps de répliquer, elle était déjà partie. Seule dans l'ombre de la nuit, la prêtresse s'exposait aux dangers de la plaine en en étant parfaitemant consciente. Cependant, prudente, elle ne restait pas très loin d'eux. Anariel pouvait d'ailleurs discerner sa silhouette de ses yeux d'elfes qui avaient la capacitée de percer l'obscuritée. Faisant bien attention à rester dans son chan de vision, la drow s'arreta sous la pluie, l'eau ruisselant le long de ses vêtements qui adoptaient à présent la forme de la moindre de ses courbes. L'aventure ne faisait que commencer et déjà ils étaient en une situation peut confortable. Habituée à une organisation sans failles, la quesselle se sentait quelques peut destabilisée. Ils venaient de perdre une grosse partie de leur matériel, objets qui pouvait leur sauver la vie. Mais l'heure n'était pas aux questions. Quelques rayons de lune perçaient travers les épais nuages, les yeux bleus de l'elfe cherchant sa silhouette quelque part dans le ciel sombre. Le souvenir de plusieurs voix s'élevant à l'unisson en l'honneur de sa dame réchauffa le coeur de Lye. Les siens devaient en cet instant se livrer à leur prière tout comme elle allait bientôt le faire. Cet instant était unique, chaque nuit différente, comme si la jeune femme rentrait en communion avec sa déesse sous le regard de séluné. Alors, fermant les yeux, elle se laissa aller, un murmure s'élevant doucemant dans l'ombre de la nuit avant de se muer en un chant empreint d'émotion et de douceur. Laissant glisser ses vêtements le long de sa fine silhouette, la prêtresse se pliat au souhait de sa déesse en se présentant à elle dans son plus simple appareil. Bientot la prêtresse se livra corps et âme à sa prière en une danse sereine et emotive, comme si plus rien autour d'elle n'existait. Les paroles du chant étaient incompréhensibles pour ses compagnons, cependant malgré la langue inconnue dans laquelle il était chanté sa mélodie suffisait à traduire toute la mélancolie qu'il exprimait.

écrit par: Anariel Jeudi 02 Février 2006 à 20h36

Anariel, exténuée, fut soulagée lorsque la troupe décidèrent enfin de s'arrêter. Elle restait tendue, tant qu'elle savait que le troll errait sur ces terres... Mais il n'était pas en vue, et c'était déjà cela de gagner... Elle sentait de la mélancolie chez son amie a la peau d'ébène, et l'elfe lunaire ne se sentait pas au mieux de sa forme non plus.. Tant de choses avaient changer en si peu de temps, ils ont perdus leur affaires, leur mule, dévorée sous leur yeux par cet être immonde, il avait faillit perdre Mamon, et cela la troublait énormément... Elle posa son regard sur celui ci, exprimé sa peur et sa tristesse.. Puis elle regarda son amie partir, s'éloignait pour aller honorer sa déesse... Elle sentait au mieux sa tristesse, comme la sienne effluvait de son corps comme un parfum inspirant la mélancolie d'un ange... Elle veillait sur elle, elle s'en voudrait si il lui arrivait quelque chose... La quesselle ferma les yeux, ne disant pas un seul mot durant ce court moment.... *Huumm ma pauvre amie, nous somme bien déprimée cette nuit la...* Elle recouvrir son regard de source, le posant sur le velours de la nuit, les étoiles...Malgré le mauvais temps, elle admirait ce qu'elle arrivait a voir... Elle pensait a sa famille, ses cousines, ses petites soeur, sa mère..Et a son père, elle qui était persuadée que celui ci était encore vivant...Elle y croyait, en était même sure....Elle pensait a eux, mais aussi a Lye, a sa communauté....Elle avait tant besoin de ces pensées pour se ressaisir, ce dire que la vie continue, que c'est ainsi....Elle reposa ses prunelle sur la belle danseuse, elle chantait si bien, sa voix cristalline la reposait......Elle se tournait vers ses "frères" et observait avec curiosité le paladin...Tout en restant polie et fine, sans le dévisagé, elle le regardait tout simplement

écrit par: Kran Vendredi 03 Février 2006 à 00h23

Le barbare ne fut pas mécontent de cette halte mais il pensa surtout à tout le matériel qu'ils avaient dû laisser afin d'échapper au troll. Certes une vie avait été épargnée grâce à l'intervention de Lye mais les tentes et les couvertures venaient à manquer. Avec cette pluie qui ne cessait toujours pas les compagnons de la marche avaient dû mal à se sécher et retrouver de la chaleur? De plus ils allaient devoir rationner la nourriture puisqu'une parti était restée sur la mule. Le barbare s'assit avec ses compagnons et attendit patiemment laissant encore paraître une légère fraîcheur malgré l'effort qu'il venait de fournir. ¤ On s'arrête déjà moi qui commençais à juste m'échauffer, bref on a une bouche de plus à nourrir et nos provisions s'amenuisent ; il va falloir que nous trouvions de quoi nous ravitailler dans les prochains jours.¤ " Chers compagnons, l'heure est venue de vérifier ce qu'ils nous restent comme équipement. Je peux me charger un peu mais pas autant que la mule non plus, dit-il en souriant. Je veux bien prendre le tour de garde avec quelqu'un au cas ou une autre charmante créature viendrait nous souhaiter la bienvenue dans ces terres. Pourquoi pas avec vous cher Dragan comme cela vous pourrez me compter votre histoire."

écrit par: Dragan Vendredi 03 Février 2006 à 20h26

Dragan avançait silencieusement, jaugeant ses compagnons du regard. Il s'était habitué à voyager seul, parcourant les terres à son rythme et s'arrêtant i ci et là dans des villes ou des hameaux, discutant avec les habitants. Bien malgré lui, il se félicita d'avoir trouvé un groupe avec qui voyager, car sa connaissance de la région n'était pas la meilleure. S'étant rencontrés dans de bien mauvaises circonstances, d'un commun accord, ils avaient donc décidé de faire ce bout de chemin ensemble. Ils avaient cheminé prudemment sur la piste boueuse qui restait tout de même encore dangereuse. Ainsi donc, depuis la tombée de la nuit, le petit groupe avançait dans un calme relatif. Mis à part la rencontre avec le troll, aucun incident n'avait, pour le moment, troublé leur progression. Dragan se sentait maintenant beaucoup plus en sécurité, car un petit groupe courait moins de risque qu'un voyageur isolé. Son regard se posa sur la jeune drow. Une femme à l'air solide, non dénuée d'un certain charme... Et qui, mine de rien, commençait à prendre la tête de la petite troupe... Grand bien lui en fasse, pensa Dragan. Il lui laissait le plaisir de les diriger : il s'en sentait lui-même incapable! Et si les autres acceptaient de la suivre, et bien il serait le premier à la soutenir, car elle semblait plus sûre d'elle que la plupart de ses autres compagnons. Tous s'étaient arrêtés pour la nuit, les discussions auprès de la lumière que la drow avait créée pour eux, les avaient amenés à se découvrir les un les autres. Depuis qu'il avait fait la connaissance de ses nouveaux compagnons de voyage, le jeune paladin était demeuré peu causant. Non habitué à la promiscuité d’autant de gens qui lui étaient si étrangers, il tentait de se sociabiliser et d’en apprendre plus sur leur manière d’être. D’une intelligence vive malgré le côté rude de son aspect, il évoluait rapidement. Bien que la conversation était son fort et qu’il était concentré, le jeune paladin se souciait de garder une bonne entente indispensable, aussi se força-t-il à répondre à Kran. Sa voix était étonnement gutturale. "Avec plaisir mon cher Kran. Je vois que nous avons au moins un centre d'intérêt commun!" Sur ce, le jeune paladin entreprit de lui raconter l’histoire du massacre de la carriole.

écrit par: Morkab Caliban Samedi 04 Février 2006 à 09h43

5 ème jour de la Seconde Chevauchée de Marpenoth durant l’année de l’Entropie – La Traîne de nuit Narration Pendant que la prêtresse de la déesse de la danse exécutait son cérémonial quotidien au-delà du champ de vision des simples yeux humains, le paladin nouvellement venu faisait le récit à Kran, Mamon et Anariel de ce qui l’avait conduit sur la piste du Troll. La scène de l’horrible massacre dont il avait constaté les traces était encore fraîche dans sa mémoire et ne serait-ce qu’en parler n’était pas tâche aisée. Toute à se transe religieuse, Lye laissait affluer en elle le pouvoir de sa divine maîtresse, lui rendant un hommage poignant en une danse sensuelle et artistique. Lorsque les hommes furent gagnés par la fatigue, le moment de dormir s’imposa et ce, malgré la pluie qui continuait de se déverser sur eux. Si les conditions étaient impossibles, il leur fallait absolument tenter de se reposer quelque peu sous peine de perdre rapidement tous leurs moyens. Anariel, grâce à sa nature elfique avait eu suffisamment de repos précédemment et se proposa de rester éveillée tandis que sa compagne achevait ses prières. Une fois son rituel terminé, les deux vieilles amies se retrouvèrent afin de se tenir chaud sous cette eau tombée du ciel et qui semblait ne jamais vouloir s’arrêter. Les jeunes femmes se demandaient comment ils feraient si ce temps se poursuivait encore longtemps. Merci de préciser dans vos futurs posts comment vous vous répartissez l’équipement récupéré.

écrit par: Mamon Samedi 04 Février 2006 à 15h08

Mamon écouta le récit du paladin sans en perdre une parole, puis après ce récit il pria sa déesse pour qu’elle lui accorde ses faveurs et la remercier d’avoir protéger ses compagnons et lui-même contre ce troll. Avant de s’endormir, il repensa une dernière fois à la pauvre mule qui avait perdu sa vie pour sauver la leurs. Mais maintenant ils allaient devoir porter leurs matériels eux même ce qui aurait pour conséquence de les fatigué un peu plus chaque jour. *Peut-être pourrons nous utiliser le cheval du paladin pour transporter quelque sac, surtout s’il marche à coté pour nous suivre. J‘en parlerais demain matin à Kran et l‘on verra autrement je veux bien portait les fioles de soins et la moitié des provisions s‘il le faut * Le prêtre pensa à ceci environ une heure avant de se laisser rattraper par le sommeil il n’avait même pas entendu revenir l’elfe noir. Son sommeil le fit partir dans un rêve ou le soleil brillait ou il faisait chaud et le ciel était bleu. Ceci lui permit de ne pas trop ressentir les inconvénients de la pluie pendant son sommeil

écrit par: Anariel Samedi 04 Février 2006 à 20h45

L'elfe trempée, se blottit dans les bras de sa meilleure amie, afin de se réchauffer mutuellement...Elle observait donc le royaume de la nuit sous cet intempérie...Elle posait encore ses yeux sur Dragan, puis sur les autres...Elle avait froid, mais être au contact de Lye la réchauffait petit a petit le coeur... Elle fermait les yeux, se demandant comment ils allaient repartir ce qu'ils avaient réussis a sauver des equipements...Elle qui était si enjoué l'est beaucoup moins, mais elle tient a gardée beaucoup de volonté pour continuer...Ainsi dans sa détermination, elle se laissa aller a la méditation...Toutes ces aventures tumultueuses l'avait exténué et elle sentait le besoin de se reposer et de laisser aller ses songes de méditation vogué vers de douces pensées....Elle ferma ses yeux, posant sa tête sur l'épaule de Lye, et celle ci pouvait sentir que la douce flanchait dans la méditation elfique... Cela ne durera que deux heures, mais cela suffisait amplement..Mais elle luttait contre la méditation...Elle reprit ses esprits et posa son regard sur Lye... *Hummm...* Elle repensait a tout ce qui la motivait..Elle était encore jeune, elle avait encore l'insouciance et la voila partie en mission... Sa mère voulait encore la gardait auprès d'elle, mais elle se sentait prête, envahie par la frénésie de l'aventure, elle était femme, elle était mure! Elle savait ce qu'elle faisait, elle le faisait pour eux, ses frères...Elle avançait, en leur compagnie, que demander de plus? La Jeune Quesselle reposa son regard sur ses frères, mais la méditation l'appelait, elle en avait besoin, elle ne savait même pas pourquoi elle luttait contre...Et puis, ce n'est que deux heures de méditation...Deux heures, deux minuscules petites heures...Et ainsi, en peut de temps, elle était déjà en train de méditer dans les bras de sa meilleure amie. La Dame au cheveux de Diamants rêvait et tentait de communiquer avec sa familles....

écrit par: Lye Samedi 04 Février 2006 à 21h12

Lye termina sa danse peut avant que sa voix s'éteigne dans l'ombre de la nuit. Essoufflée, ses cheveux baignés de reflets d'argents fruit de quelques minces rayons de lune, la danseuse ouvrit les yeux. Elle sentait en elle une nouvelle force. Malgré l'effort, une énergie qu'elle n'avait encore jamais renssentit venait de s'emparer d'elle. Encore inconsciente du don de sa déesse, elle savait cependant qu'après chacun de ses rituels sa dame lui faisait grace d'une petite part de magie divine. Au fond d'elle même, elle savait que sa divinité avait été contente d'elle.. Reprenant son souffle, la gracieuse danseuse resta immobile quelques instants, ses grands yeux bleus fixés sur la silhouette de la lune qui semblait desesperement chercher à échapper aux ténébreuses ombres qui voilaient le ciel. Des goutelettes de pluie glissaient sur sa peau douce, ses cheveux gorgés d'eau collant à son corps en dissimulant une partie de sa poitrine et descendant jusqu'en bas de ses reins. A présent silencieuse, la danseuse resta ainsi songeuse quelques minutes, son esprit s'égarant dans quelques lointains souvenirs que chaque danse semblait éveiller en elle. Puis, enfin, elle s'arracha à sa contemplation du ciel pluvieux. Récupérant ses vêtements, elle les enfila à contre coeur. Si les humains n'avaient pas été si pudiques elle s'en serait volontier passé car ils ne lui apportaient rien d'autre qu'une perpetuelle humidité contre la peau. L'elfe noire n'avait jamais compris ce moeurs étrange qui voulait que personne ne dévoile son corps en public et le réserve à son compagnon ou sa compagne. Pour elle les vêtements n'étaient que de simples "outils" utiles en hiver ou dans certaines circonstances pour se protéger. C'était vraiment une idée étrange que de ne pouvoir se montrer nue. Les humains avaient-ils à ce point honte de leur nature? Elle ne savait pas vraiment, mais cette coutume ne lui en paraissait qu'encore d'avantage stupide. Cependant, respectueuse des meurs des autres, elle veillait soigneusemant à ne les offenser d'aucune façon. Alors, grimaçant au désagréable contact des vêtements trempés sur sa peau sombre, la quesselle revêtit ses affaires qui ne tardèrent pas à adopter les courbes de sa fine silhouette. Regagnant le petit groupe, elle constata avec un sourire que tout le monde était parti dormir sauf Anariel qui faisait le guet. *Esperons qu'elle ne nous repère pas encore un troll!!* Avec un sourire, elle alla s'asseoir à ses cotés. L'elfe lunaire vint alors se blotir dans ses bras, geste qui ne surprit pas la drow le moins du monde. Alors, d'une étreinte presque fraternelle, elle la serra doucement contre elle. La fatigue de son amie était perceptible, elle semblait lutter contre le sommeil. Tout ses autres compagnons étaient déjà bien loin dans le monde de morphée. Alors, doucement, elle sussura quelques mots à l'oreille de son amie au regard source voilé de fatigue: "Ne t'en fais pas Ani, je veille sur vous" Lorsque enfin elle échappa au monde réel pour se consacrer à sa méditation, Lye la garda contre elle, profitant de sa chaleur en lui offrant aussi une partie de la sienne. D'un murmure, elle fit disparaitre la lueur qui avait animé quelques minutes la petite gourde afin que la lumière n'attire pas de nouvel ennemi. Resserrant un peu son étreinte autour de son amie, la drow frissona. Elle espérait ne pas être trahie par ses yeux et que personne ne viendrait à nouveau troubler l'harmonie du fragile petit groupe qui avait fort besoin de repos. Silencieuse, elle faisait régulièremant glisser son regard crystalin sur chacun présent avant de le perdre à l'horizon, attentive au moindre mouvement. Songeuse, elle repensait aux siens, à sa famille. Son coeur se serra quelques instants, elle realisait en cet instant à quel point ils lui manquaient tous. Ensuite elle s'égara vers d'autres pensées, s'interrogeant sur la manière dont ils allaient continuer le voyage. Le cheval pourrait sans doute porter l'excédant de poids si son propriétaire était d'accord. Ce n'était pas vraiment ce qui inquiétait l'elfe noire. Le temps ne s'arrangeait pas et les vivres ne suffiraient peut être pas à leur permettre d'arriver jusqu'a leur but. Ils ne trouveraient pas de ville avant des kilomètres et ne pourraient pas se procurer l'eau manquante dans une cité. L'idée de rebrousser chemin faisait à elle seule pâlir la drow. Non.. pas après ces épreuves.. Il faudrait qu'elle discute avec ses compagnons pour choisir quoi faire. Posant son regard sur sa main, elle s'arreta un instant sur l'anneau que lui avait donné la compagnie et dont la présidente du conseil lui avait expliqué le fonctionnement. Il fallait prévenir la compagnie de l'incident.. peut être pourraient-ils leur envoyer des vivres et de l'équipement ou même les informer sur où ils pourraient sans procurer. De plus la fin de la première journée allait s'achever dans cette nuit et il ne lui couterait rien de contacter Foragus. Alors, l'approchant de ses lèvres, elle murmura: "Foragus" Après quelques secondes d'hésitation, ne connaissant pas exactemant le fonctionemant de l'objet, elle reprit la parole: "Ici Lye, nous avons été attaqué par un troll, la plus grande partie de notre équipemant est détruite et un paladin du nom de dragan nous a rejoint." La drow savait que l'anneau ne pouvait transmettre qu'une phrase par jour. Elle espérait en avoir appris assez à Foragus en une seule phrase pour qu'il comprenne la situation. Puis, après un soupir, elle revint à sa contemplation du ciel.

écrit par: Dragan Dimanche 05 Février 2006 à 06h24

Épuisé par leur dure et longue journée, chacun des aventuriers se décida finalement à aller se coucher, histoire de profiter d'une bonne nuit de sommeil. Il serait bien temps, le lendemain de discuter et convenir, ensemble, de la suite à donner aux événements. Dragan et Kran semblaient avoir des relations plus détendues, chacun reconnaissant les qualités morales et physiques de l'autre. Après lui avoir raconté son histoire pendant leur tour de guet, les deux jeunes hommes profitèrent de cette occasion pour se connaître davantage. Ensuite, pour passer le temps, ils bavardèrent de choses et d’autres. Il demeura à ses côtés jusqu’à l’arrivée de la drow. Au travers des brumes ensommeillées, Dragan vit Lye revenir une fois sa danse terminée, rejoignant Anariel qui avait froid et elles se réchauffèrent mutuellement. La lueur de la lune éclairant le corps frêle de la drow, le jeune paladin pouvait profiter de ce moment pour admirer la beauté éclatante de Lye. Il eut grand mal à détacher son regard de la profondeur de ses yeux. Sa mâchoire lui sembla se décrocher sous le choc de la surprise que cela lui provoqua n’ayant pas eu le temps de la contempler si longuement. Dragan, emmitoufflé sous sa cape, avait choisi de dormir adossé à son paquetage. Après s'être assis le plus confortablement possible, les jambes allongées, la fatigue s'emparant du jeune paladin, il sombra dans un sommeil qu'il espérait réparateur malgré la pluie incessante. Sa rêverie semblait moins profonde qu'à son habitude, mais eut le mérite de le soulager des raideurs de sa chevauchée. Le repos étant primordial, l’équipement pouvait attendre au lever du soleil.

écrit par: Morkab Caliban Dimanche 05 Février 2006 à 10h18

Dragan état préjudiciable: fatigué Mamon état préjudiciable: fatigué Lye & Anariel détection = Réussite Kran & Mamon & Dragan détection = Echec 5 ème jour de la Seconde Chevauchée de Marpenoth durant l’année de l’Entropie – L’aube Narration Les premières lueurs blafardes de l’aube ne furent pas les seules à tirer les aventuriers des Marches de leur sommeil. Des trombes d’eau se firent les précurseurs d’une journée qui se voudrait également pluvieuse comme l’avaient bien pressenti Kran et Mamon. Un pluie lourde et cinglante avait pris la relève de la pluie fine constante et avait promptement obligé le petit groupe à reprendre son avancée après les prières matinales de Mamon, quitte à subir les assauts du temps qui semblait se liguer contre eux. Parmi les compagnons, à l’exception des deux Quesselles, seul le Colosse des montagnes habitué aux rigueurs de la vie dans la nature, et possédant une constitution exceptionnelle, avait pu trouvé suffisamment de récupération durant son sommeil. Le prêtre de Mailikki et le jeune paladin sentaient leurs muscles noués et la fatigue peser sur leurs épaules après leur nuit passée engoncés dans leurs armures. Se hâtant sous l’averse, Kran, le plus fort physiquement, avait arbitrairement décidé de porter les rations et les potions en attendant qu’une décision fut prise à leur sujet. La route reprise, chacun courbait l’échine sous l’ondée puissante qui menaçait de les noyer s’ils relevaient la tête. Sur les côtés de la voie, la plaine n’était plus qu’une vaste étendue de boue gluante et nul ne de doutaient qu’y mettre les pieds aurait été une expérience pénible, voire dangereuse. Au bout d’une heure, le déluge décida de perdre de sa virulence et les nuages ne répandirent plus que l’ondée habituelle qu’ils avaient subit depuis la veille. Même s’ils continuaient d’être trempés, cette pluie était aisément plus supportable que la précédente. Peu de temps après, l’anneau de Murmures des Marches se mit à luire au doigt d’ébène de Lye et une douce voix chaude familière lui parvint des confins de son esprit. Je pense très fortement à vous en vous recommandant de ne pas prendre de risques inutiles et de vous préserver en poursuivant votre action aux côtés de Dragan. La chaleur de Foragus l’avait enveloppé l’espace d’un instant, la nimbant de souvenirs tendres qui la réconfortaient en cet instant. Une fois de plus, les deux consoeurs elfiques furent celles qui, de leurs sens affûtés, repérèrent la venue de cavaliers se profilant sur la route derrière eux. Venant de Fortnouveau ou de Sundabar, leur allure allait bon train. En ces terres désolées autant de voyageurs aussi rapides ne pouvaient être qu’une patrouille de la Légion d’argent ou des gens mal intentionnés. Peut-être fallait il se préparer au pire…

écrit par: Anariel Lundi 06 Février 2006 à 11h18

Anariel, qui après deux heures de méditation dans les bras de sa meilleure amie se réveilla en pleine forme, désespéra en voyant que le temps ne s'était guère arrangé et qu'il en était même d'avantage maussade. Elle fit une légère grimace, tout en fronçant les sourcils, elle se leva avec peine, et la Douce Quesselle suivait la petite troupe qui avait repris la marche malgré le mauvais temps...Elle sentait bien que Dragan et Mamon étaient fatiguée, mais elle fut impressionnée par la résistance de Kran, en voyant cela elle esquissa un doux sourire...Par la suite, elle sentie que Lye sentait une présence..Même si Ana ne l'entendait pas, elle se demandait si c'était son anneau des murmures qui fonctionnait. Elle sortit le sien, que l'on lui avait fait parvenir le soir avant l'aube de la mission. La Douce Amie esquissa un sourire et enfila l'anneau au reflets bleutés a son doigts, ayant la bonne intention d'en faire un bon usage... *Bien, a présent, j'espère que tout ira bien...* Avançant fièrement au cotés de Lye, elle espérait retrouvé son euphorie d'autrefois, malgré la pluie s'abattant sur eux, et le vif souvenir du troll de hier soir. De plus, ils comptaient un membre en plus dans leur groupe, cela est il positif pour eux? Pour elle cela l'est, c'est une aide en plus pour le groupe, malgré tout...Même si elle le connaissait guère...Nos compagnons avançaient, lorsque les sens affûtés d4ana, sans doutes ceux de Lye également, repérèrent des Cavaliers... La Douce Jeune Femme fronça les sourcils..Elle se souvint encore, de la façon dont ils furent reçus par la légion d'argent, et elle se demandait encore si ce groupe etait des leurs... Elle ne les appréciait guère en tout cas. Mais Ani restait sceptique, il y avait tout de même beaucoup de chances que ce soit des cavalier de cette légion, ou des brigand, ou une chance infime que ce soit des membres de leur fière compagnie. Ainsi par instinct, elle se rapprocha de Lye. Sur elle, elle portait encore son arc et ses flèches, qu'elle avait réussit a garder...Elle espérait a ne pas en faire recourt de ces armes....

écrit par: Lye Mercredi 08 Février 2006 à 14h30

Lye avançait, silencieuse, perdue dans ses songes. Des goutelettes glissaient le long de sa peau douce, provocant parfois en elle quelques frissons glacés. Bien que commençant à s'habituer à l'humiditée si bien installée dans ses vêtements , elle n'en avait pas moins froid. Alors, ignorant la tunique humide collée à son corps, elle continua sa route en s'égarant dans de douces pensées. Sa famille lui manquait, elle s'interrogeait sur leur état.. La vie des elfes noirs qui avaient choisis le chemin du bien n'était pas facile et elle espérait de tout son coeur qu'ils n'aient pas rencontré de problems avec les humanoïdes des environs. Bientôt quelque chose la tira de ses songes. Sursautant dans un premier temps, elle posa finalemant son regard sur l'anneau qui l'alertait en une douce lueur du message qu'il allait livrer. Quand la voix chaleureuse de Foragus raisona en elle, la jeune quessellle se sentit l'espace d'un instant envaie de chaleur. Quelque chose en lui l'apaisait, sa voix la détendit quelques peut. Cependant, ce qu'il lui apprit ne l'avança pas beaucoup. Ses recommendations étaient sages mais il ne semblait pas prévoir de leur offrir de l'aide. Quand à la présance de Dragan, il n'en paraissait nullemant inquiet. Ne connaissant pas le cavalier, la jeune prêtresse avait gardé à son égard une certaine distance et une méfiance indégniable. Le fait qu'il appartienne aux frères de marches appaisait malgré tout ses doutes, du moins en partie. A présent que Foragus conseillait de pousruivre la route à ses cotés et ce sans une once de méfiance elle se sentait moins nerveuse envers le nouveau venu. Quelques secondes s'écoulèrent ensuite, l'elfe noire évitant de marcher dans les trop grosses flaques. Sa capuche rabaissée pour cacher son visage la protégeait aussi des minces rayons de soleils qui filtraient à travers les nuages. La pluie ne lui plaisait guère, mais le ciel sombre lui promettait une journée moins désagréable. En temps normal, elle vivait plus la nuit que le jour. Cependant, la drow ne pouvait pas imposer son mode de vie à ses compagnons de route et ne se permettait même pas d'essayer. L'averse qui venait de s'apaiser un peut laissa indifférente l'elfe noir. après tout, elle était tellement mouillée que plus ou moins ne ne changeait pas grand chose. Puis, à l'horizon, elle vit apparaitre des cavaliers. Se tendant, elle remonta son foular pour ne laisser d'elle rien de visible. La légion d'argent qu'ils avaient rencontré plus tôt leur avait dit qu'ils ne seraient plus sous leur protection dans ces territoires dangereux. Elle supposait que leurs chances étaient minces de rencontrer à nouveau la fameuse cavalerie. Le destin ne semblait pas vouloir les laisser voyager dans de bonnes conditions, et bien soit, elle s'y ferait. Ses compagnons purent alors entendre le glissemant d'une lame doucemant tirée de son fourreau. La sombre quesselle l'avait dégainée en un geste gracieux, laissant la main porteuse de la lame porteuse de l'objet mortel cachée dans le replit de sa cape. Si il devait cette fois y avoir un combat, ils ne seraient pas assez rapides pour fuir. "Des cavaliers approchent...si ils nous sont hostiles nous ne seront jamais assez rapides pour prendre la fuite." Ses yeux crystalins fixés sur les cavaliers, la drow continuait d'avancer en silence, ses doigts qu'elle venait de cacher sous un de ses gants crispés sur le pomeau de son arme. Se penchant, elle attrapa un caillou. Si ils venaient à se battre elle l'utiliserait pour plonger les ennemis dans de profondes ténèbres. "Eilistrae, protège nous.."

écrit par: Morkab Caliban Vendredi 10 Février 2006 à 06h19

Narration Peu de temps après qu’ils ne les aient repéré, les cavaliers ralentirent visiblement l’allure alors qu’ils avaient presque comblés la distance qui les séparait des membres de la compagnie. On pouvait aisément discerner qu’il s’agissait de deux chevaux menés par deux individus de taille humaine et de deux poneys dont un portait un enfant et l’autre un nain au vu de sa corpulence. Finalement, n’avançant guère plus vite que le trot, ils s’approchèrent suffisamment pour qu’il fût clair que ce qu’ils avaient pris pour un enfant était un halfelin. Lorsque les cavaliers furent à une trentaine de mètres, celui de tête héla les compagnons tandis qu’ils continuaient de grignoter les mètres entre les deux groupes. - Holà, messires ! Veuillez nous excuser, auriez vous quelques déboires ? Nous avons pu constater des traces d’une lutte récente non loin d’ici… Un campement saccagé. Auriez vous besoin d’assistance ? La voix de l’homme se voulait bienveillante et chaleureuse. Leurs capes qui les protégeaient de la pluie ne suffisaient pas à couvrir leur équipement qui se voulait à connotation martiale. Ce petit peloton hétéroclite ne paraissait pas provenir d’un corps d’armée défini mais possédait davantage l’apparence d’un groupe d’aventurier parcourant la campagne.

écrit par: Lye Samedi 11 Février 2006 à 21h22

L'elfe noire s'arreta en voyant les cavaliers approcher, son regard bleu profond les détaillant de la tête aux pieds. La main crispée sur sa rapière, elle attendait, prête à bondir au moindre signe agressif. Quelques mèches nacrées échapaient encore à son pale capuchon dégoulinant, le foular blanc ne cachant plus que mal son visage d'ébène en en adoptant les formes à cause de l'humiditée. Lorsque le cavalier de tête s'adressa à eux d'une voix chaleureuse, la jeune elfe noire sentit son estomac se dénouer, comme si on venait de la délivrer d'un poid énorme. D'après ses dires ils venaient de croiser le campemant ravagé, sans doute le leur, et l'homme de tête leur offrait assistance. Bien qu'encore sur ses gardes, la prêtresse se détendit quelques peut, reprenant sa marche pour combler les derniers mètres qui les séparaient d'eux. Peut être allaient ils pouvoir leur offrir l'aide désirée.. De plus, ils ne semblaient appartenir à aucune légion, ayant plus le profil d'un petit groupe d'aventuriers. D'ailleurs, ce qu'elle avait au début pris pour un enfant adoptait peut à peut les traits d'un halfelin. Ce groupe était presque aussi étrange que le leur vue la diversitée des races qui le composait. Quand enfin les quelques mètres qui les séparaient encore furent comblés, la sombre quesselle s'arreta devant eux, la rapière toujours cachée dans le replis de sa cape. Silencieuse les premiers instants, elle continua de les dévisager de son regard crystalin détenteur d'une rare sagesse. Ses vêtements imbibés d'eau avaient pris la forme de sa gracieuse silhouette, ses cheveux d'ivoir échapant à son mince capuchon. Finalemant, elle prit la parole. Sa voix était nuancée par un accent peut commun, quelques mots égratinés par celui ci. "Bien le bonjour messires cavaliers. Il y a en effet de grandes pour que le campemant saccagé que vous avez croisé soit le notre. J'aurais aimé vous répondre que nous pouvions continuer la route sans encombres, cependant j'ai bien peur qu'a présent les vivres viennent à manquer. Si vous pouviez simplemant nous indiquer un endroit, s'il existe, où nous pourrions nous fournir l'équipemant nécessaire pour continuer notre chemin, nous vous en serions extrêmemant reconnaissant." L'elfe noir avait rabaissé un peut plus sa capuche d'une main gantée, il était clair qu'elle ne tenait pas à ce que l'on puisse voir son visage soigneusemant dissimulé. Cependant, on pouvait aussi penser que la jeune quesselle était quelques peut génée par la pluie qui ne semblait pas vouloir cesser de tourmenter le groupe d'aventuriers. D'ailleurs, elle s'interrogeait sur la présance des voyageurs en ces terres. Rien chez eux ne pouvait trahir leur appartenance à une quelconque association. Du moins, pas à la compagnie des marches. Malgré qu'elle fut rassurée par le fait qu'ils ne soient pas, à première vue, des individus mal atentionés, elle n'en restait pas moins méfiante. Jetant un instant un regard à ses compagnons afin de voir si aucun ne souhaitait ajouter quelque chose, elle continua à s'interroger sur leur présance ici. De plus, comme à chaque rencontre, l'elfe noire était inquiète. Si ils venaient à découvrir sa nature, quelle serait leur réaction?? Ce sujet restait, comme à chaque fois, une pensée angoissante pour la prêtresse. Posant une nouvelle fois ses yeux sur Kran, Anariel, Mamon et Dragan, elle se sentit cependant rassurée. Avec eux à ses cotés, ses craintes étaient en grande partie apaisée. pas put corriger ortho dsl

écrit par: Morkab Caliban Dimanche 12 Février 2006 à 10h44

Test de Psychologie >< DD 12 : Kran 5+1 = 6 Echec Mamon 1+3 = 4 Echec Lye 12+3 = 15 Réussite Anariel 11+1= 12 Réussite Dragan 5+0= 5 Echec Narration Instinctivement et certainement grâce à leur exceptionnel vécu, les deux Quesselles perçurent que quelque chose clochait dans l’attitude des cavaliers. Des signes de nervosités dans leur comportement gestuel, des regards vifs échangés entre eux furent ce qui leur permit de sentir l’attaque juste avant qu’elle ne se produise. Soudainement, les nouveaux venus soulevèrent leurs capes pour révéler leurs armes et se lancer à l’assaut. Kran, Dragan et Mamon n’avaient rien vu venir et se trouvaient pris de court. Heureusement pour les compagnons, la route ne permettait pas aux assaillants de faire front à plus de deux en même temps sans prendre le risque de s’embourber ou glisser dans la fange visqueuse du bord de route. Initiative : Lye = 1+1= 2 Anariel = 7+5= 12 Halfelin = 19 Nain = 8 Femme en retrait = 7 Homme en retrait = 13 Halfelin attaque avec masse = 15 >< CA Kran 15 = Réussite Kran encaisse 7pts de dommages. Anariel test d’Art de la magie 15+4= 19 >< DD 15 = Réussite Anariel JS Volonté 13+2= 15 Réussite Le halfelin portant une armure d’écailles sous son ample vêtement avait tiré une masse légère et, asticotant sa monture avait rapidement attrapé son bouclier avant d’atteindre Kran qui formait l’arrière garde du groupe avec Dragan. Par bonheur, la courte distance nécessaire pour avoir jouer de l’effet de surprise avait empêché le petit guerrier de charger avec sa monture. Néanmoins, le violent coup de boutoir sur le torse reçu par le barbare le fit chanceler et se courber en deux de douleur. Alors qu’Anariel s’apprêtait à agir elle constata que le jeune homme qui s’était adressé à eux en premier, et se trouvait maintenant en deuxième ligne, venait d’achever de lancer un sortilège qu’elle reconnut comme étant ‘Hébètement’. Presque aussitôt, elle sentit son esprit agressé par une force extérieure invisible, mais dans un effort de volonté, elle parvint à repousser cette énergie magique.

écrit par: Anariel Dimanche 12 Février 2006 à 13h12

Anariel, qui a la venue chaleureuse des cavaliers s'était calmée et rassurée, sentie son coeur faire un bond les voyant les attaqués. C'était certainement des brigands, et ceux la les avaient eu en beauté...Fronçant les sourcils, elle arcquait ses sourcils, surprise, quand elle sentit qu'un sort lui fut jetée sur elle, apparemment un sort d'hébétement, venu de l'homme qui leur avait parler et qui s'était mis en retraite. Mais de part sa force magique et psychologique, elle parvient a repousser cette énergie tant bien que mal, se crispant d'avantage, en ayant plus qu'assez que le destin s'acharne sur eux...Elle remit sa flèche dans son carquois, ayant la ferme intention de riposté magiquement a son sortilège...Elle ferma les yeux et incanta, afin de lancer un rayon de givre sur l'humain qui avait tenter de l'amadouer avec son sort d'hébétement. Incantant d'avantage afin d'amplifier la puissance de son rayon, et elle l'envoya sur l'humain. - Dit elle en elfique, ses traits durcit par la colère...Elle espera que son sort le touche, de toute manière, si il échouait, elle en rejetera un, tout en faisant attention a ne pas user tous ses sorts pour en garder en cas de besoin. Et elle a toujours sur elle son arc et ses fleches.Elle vit l'halfelin attaquer Kran, Mais elle avait si peu de temps, elle avait lancer son sort, elle devait s'assurer que celui ci ai fonctionné. Elle en priez interieurement Mystra, Que celui ci soit touché. Et le temps avançait a une vitesse folle.... *Mystra, aidez nous! Guider mes flèches et mes sorts*

écrit par: Lye Dimanche 12 Février 2006 à 19h30

La jeune elfe noir qui avait eu l'espace d'un instant la naivetée de se croire hors de danger sentit un frisson glacé courir le long de son échine à la vue des cavaliers qui se préparaient à se jeter contre eux à l'assaut. Le temps qu'elle se remette de sa surprise, Kran avait déjà laisser échaper un gémissemant et c'était écroulé en deux. La prêtresse avait elle eu l'illusion d'un monde où les humanoides s'entraidaient plutot que de profiter de la faiblesse de l'autre? Avait elle crut l'espace d'un instant à ce rêve de voir un jour les peuples soudés les uns avec les autres? Sans doute... mais il n'était pas l'heure de se reprocher d'avoir osé rêver, les cris de son ami firent monter en elle une force étrange, le gout du sang inondant sa bouche. Son regard auparavant si doux et serein se remplis de haine. Seul le sang pouvait l'avait la blessure...En temps normal, peut être aurait elle chercher à éviter le combat, mais depuis l'enfance on lui enseignait qu'il fallait vaner tout acte porté à l'un des siens par la même violence. Prenant une grande inspiration, l'elfe noir chercha en elle la concentration necessaire pour faire appel à la magie divine. Sans doutes leurs assaillants croyaients ils s'attaquer à de simples voyageurs en perditions... ils allaient être surpris!!! Debout sous la pluie, ses mains se mouvant en des gestes gracieux et parfaitemant maitrisés, la drow incantait afin de faire venir à ses cotés une créature céleste. Ayant rabatut sa capuche en arrière, on pouvait parfaitemant voir ses traits fins crispés par la colère et la concentration. Ses longs cheveux de nacre ruisselant de pluie venaient parfois voiler son visage, deux oreilles effilées perçant à travers la soyeuse chevelure. Elle incantait, faisant appel aux pouvoirs que lui avait confié sa déesse. L'elfe n'avait plus le loisir de s'égarer dans ses songes, toutes ses pensées fixées sur un seul et unique but: faire venir la créature.

écrit par: Morkab Caliban Dimanche 12 Février 2006 à 19h52

Anariel lance ‘Rayon de givre’, attaque de contact à distance 9+5= 14 Réussite Homme en retrait encaisse 2pts de dommages. Femme en retrait attaque par arbalète 16 >< CA Mamon surpris 13 = Réussite Mamon encaisse 16pts de dommages. Anariel test d’Art de la magie 13+4= 17 >< DD 16 = Réussite Kran JS Volonté 4+1= 5 Echec Narration En jointant ses deux index dans une gestuelle somatique finale, Anariel fit apparaître une petite boule de glace qui se transforma en un fin faisceau blanc qui prit pour cible le lanceur de sorts à cheval. L’homme atteint en pleine poitrine se cambra en arrière tandis qu’une couche de givre s’y cristallisait. La femme à ses côtés était en train de viser soigneusement de son arbalète le prêtre de Mailikki. Son carreau se ficha en plein cœur du jeune homme qui tomba à la renverse sans un râle. Un gros flot de sang sourdant de sa blessure annonçait une mort imminente sans soins appropriés. Le nain achevait de remuer ses mains lors qu’il prononça d’une voix étonnamment grave et résonnante dans lequel l’ensorceleuse reconnut un sort divin d’Injonction. « Lâche ». Ce mot atteignit le Colosse des montagnes aussi sûrement qu’un coup de poing en plein visage et il eut bien de la peine à se remettre de la surprise de voir ses mains s’ouvrir seules, laissa choir son arme au sol. Ripostant à la magie par la magie de manière vengeresse, l’elfe noire en appela à la puissance de sa déesse pour convoquer à leur aide un magnifique chien d’argent au regard brillant comme les étoiles du firmament. Sitôt arrivé et semblant comprendre les volontés de sa maîtresse du moment, le céleste animal bondit tous crocs dehors sur l’ennemi le plus proche, en la personne du combattant halfelin monté. Sa mâchoire se referma en craquement sonore sur la cuisse de sa proie qui jura de surprise et de douleur à cet assaut impromptu. Initiative : Lye = 12+1= 13 Anariel = 7+5= 12 Kran 17+2= 19 Halfelin = 13 Nain = 20 Femme en retrait = 14 Homme en retrait = 10 Dragan JS Volonté 12-1= 11 Echec A peine terminé d’avoir lancé un sortilège gênant Kran, voilà que le nain sur son poney se concentrait de nouveau pour engendrer une aura lumineuse autour de son symbole tenu dans sa main. Sa litanie finie ne semblait pas avoir de conséquences jusqu’à ce qu’un gémissement du paladin ne permit de comprendre qu’il paraissait comme tétanisé, incapable de ne serait-ce que de tourner la tête.

écrit par: Lye Dimanche 12 Février 2006 à 21h31

Lye sentait l'adrénaline du combat s'emparer d'elle, la bête celeste obeissant à ses ordres comme si c'était une évidence. Mais le carreau qui veint se ficher dans le coeur du prêtre fit vite passer la joie de la drow qui s'élança à ses cotés et sacrifia un de ses sorts mémorisés pour en canaliser l'énergie sous la forme d'un soin après avoir retirer la flèche d'un coup. L'animal céleste devait continuer d'attaquer l'halfelin après l'avoir désarçoné. quand à elle, elle faisait de nouveau appel à la magie divine pour venir à bout des blessures de Mamon. Son coeur battait la chamade. Non, elle ne devait pas le perdre, elle ne devait pas le laisser partir.. Incantant, la prêtresse prodigait à son amis les soins nécessaires afin que sa blessure disparaisse. Mais serai-ce suffisant? Elle essayait pour le moins de le stabiliser. Haletante, ses cheveux d'argent volaient à chaque souffle, sa poitrine se soulevant au rythme sacadé de sa respiration. La haine qui c'était peut à peut glissée en elle n'avait fait que s'emplifier. Si le combat été gagné, elle n'épargnerait la vie d'aucun des brigands. Déjà deux fois qu'ils frappaient l'un des siens. De plus, voila que Dragan lui aussi était victime de la magie du nain. Mais qui étaient ils pour ainsi s'attaquer à des voyageurs? L'attitude des humains pouvait aisémant se comprendre, cependant la prêtresse ce serait attendue à mieux de la part d'un nain et d'un halfelin. Pour ainsi s'en prendre à un groupe plus nombreux qu'eux ils devaient avoir une certaine assurance. *Avant de leur arracher leur dernier souffle je leur ferait cracher tout ce qu'ils pourront me dire sur leur identitée...* Combien de dangers encore allaient ils croiser sur leur route? seraient ils à la hauteur? Ses pensées s'emelaient dans l'esprit de l'elfe noire. L'adrénaline faisant naître en elle une nouvelle force alors que la colère ne cessait d'enflammer son regard de plus en plus. Ses pensées s'égarèrent un instant vers Anariel, elle espérait de tout son coeur qu'elle s'en sorte... Cependant c'était sans doute celle qui allait le mieux et l'elfe noire en était soulagée. En cet instant seul la vie de Mamon accrochée à un fil devait retenir son attention. Elle fit donc le vide dans sa tête en plissant les yeux, essayant de soigner le jeune prêtre allongée au sol. Lye lance Soin léger

écrit par: Morkab Caliban Lundi 13 Février 2006 à 09h00

Kran manœuvre de défense totale Halfelin attaque d’opportunité = 13 >< CA Kran 15+4(défense)= 19 Echec Lye lance Soins légers Mamon récupère 9pts de vie. Femme en retrait attaque par arbalète = 17 contre CA Dragan 20-4(perte de Dex)= 16 Réussite Dragan encaisse 4pts de dommages. Halfelin attaque par masse 17 >< CA Kran 15+4(défense)= 19 Echec Narration Acculé par le fait qu’il n’eût plus d’arme, le Frère-molosse n’avait pas d’autre choix que de tenter de se protéger afin de se donner suffisamment de temps et de sécurité pour la ramasser à terre. Habitué au combat, il savait bien évidemment que tenter de se baisser, saisir l’arme et attaquer dans la foulée était une manœuvre dangereuse si on n’était pas expressément entraîné à la chose. Tentant de feinter une attaque, il bondit sur sa hache en esquivant le coup de masse que lui portait son adversaire. La femme avec son arbalète tirait de nouveau un trait en choisissant cette fois-ci pour cible le paladin rendu statique. Atteint à l’épaule, seul un mugissement inarticulé fut la preuve de la souffrance de Dragan ressentit en cet instant alors qu’il ne pouvait bouger le moindre muscle. Durant ce temps, la charitable prêtresse drow s’élançait à la rescousse de son ami et extirpait la flèche de sa poitrine. Ses mains, moites en raison de son inquiétude, rayonnaient de la divine lumière doucereuse de sa maîtresse, enveloppant le corps meurtri du jeune homme. Presque instantanément, le sang cessa de couler et la plaie se refermait partiellement tandis que Mamon rouvrait les yeux sur le regard de cristal de sa magnifique compagne. Enragé de ne pas avoir réussit à empêcher le barbare de récupérer son arme, le guerrier halfelin sur son poney frappait de plus belle, essayant de défoncer le crâne de son adversaire. Mais une fois de plus, les tactiques défensives sauvaient la mise de Kran et lui permettaient de ne point subir de plaie supplémentaire.

écrit par: Anariel Lundi 13 Février 2006 à 12h28

La Quesselle tremblait de rage, tellement les actes de ces brigands sur ses camarades étaient révoltant. Pourquoi les attaquaient ils?Pour les dépouiller? Mais ils n'avaient presque plus rien sur eux, mais alors pourquoi? Elle vit Mamon recevoir un carreau, souffrant terriblement. Si Lye n'aurait guère était la pour le soigner, ils auraient put le perdre. Reportant son attention sur la coupable, tirant encore sur Dragan, Elle esquissa un sourire diabolique, avant de sortir en un geste vif une flèche de son carquois, d'une vitesse liée a l'adrénaline de la jeune demoiselle.. Elle la visa, sa colère guidant ses geste, priant intérieurement Mystra de la guider, visant la poitrine de la femme a l'arbalète, elle tira, espérant que cette flèche la touche...Fronçant les sourcils, suivant la trajectoire de la flèche. Qui étaient ils? Pour Anariel, cela devait être des roublards, voleurs de Grands chemins, mais seraient ils assez mauvais pour vouloir en tuer de pauvres voyageurs a moitié dépouillés par la venue d'un troll?Pourquoi étaient il aussi cruel. Alors qu'elle se disait que ce ne pouvait guère être pire après avoir reçue la visite d'un troll, elle avait bien tort. Et qu'est ce que l'avenir leur préservait encore? La pluie, le troll, et maintenant eux, cette mission commençait sous de mauvais augure pour l'elfe, qui était toute heureuse il y a quelques jours encore, de partir a l'aventure..Et a chacun de leur pas, les marches se sont assombris, et est ce cela pourrait être pire que maintenant...Elle disais cela hier encore, le dira elle demain..Elle ne voulait pas perdre ses frères, et elle sentit affluer en elle une colère indescriptible, semblable a celle qui la manipulait le soir ou elle rencontra sa fille, le soir ou celle ci se faisait agressée par un bandit. Son bras ce soir la, était guidée par la même force, et cette force, l'accompagne a présent dans son arc, ses sorts...

écrit par: Morkab Caliban Mardi 14 Février 2006 à 08h47

Anariel attaque par arc 16+5= 21 >< CA Femme en retrait = Réussite Femme en retrait encaisse 2pts de dommages Chien céleste attaque 11+3+2(en tenaille)= 16 >< CA Halfelin = Echec Narration Aussi véloce qu'un éclair, l’ensorceleuse avait tiré une flèche de son carquois et l’avait engagée dans son arc. Semblant animé d’une vie propre, le projectile fonça au travers des combattants avant de se planter dans l’épaule de l’arbalétrière. Durant ce temps, le chien au pelage argent continuait de harceler l’halfelin mais sans succès cette fois-ci. Initiative : Lye = 4+1= 5 Anariel = 4+5= 9 Kran 9+2= 11 Dragan 13+4=17 Mamon 11+4= 15 Halfelin = 16 Nain = 14 Femme en retrait = 18 Homme en retrait = 23 Homme en ratrait lance un sort Anariel encaisse 3pts de dommages Mettant en coupe ses deux mains en un geste cabalistique, le pratiquant des arcanes ennemi en fit jaillir une petite bille lumineuse qui fila droit sur Anariel et lui transperça la poitrine pour ressortir par l’omoplate gauche en un ‘splotch’ sonore. La gracile ensorceleuse de la compagnie serra les dents sous l’effet de la douleur afin de ne pas lâcher ses armes. Des sueurs froides la gagnèrent rapidement. Reprenant pour cible le paladin, la tireuse à l’arbalète fit feu. Heureusement pour Dragan, son armure remplit son office comblant l’immobilité dont il était frappé. Cependant, il commencçait de nouveau à sentir ses muscles lui répondre. Subitement, comme si cela n’avait jamais été différent, il reprit pleinement possession de ses moyens.

écrit par: Lye Mardi 14 Février 2006 à 20h59

Lye sentit son estomac se dénouer quelques lorsque la blessure se referma. Intérieuremant, elle remercia sa déesse de l'avoir aidé à ramener son ami. Mais le temps était compté.. Elle se dressa alors devant le prêtre étendu au sol, la petit galet toujours au creux de sa main moite. Les deux archers une fois dans les ténèbres ne pourraient plus faire grande chose. Alors, avec calme, elle commença son incantation, sa voix mélodieuse s'élevant comme en un chant au fur et à mesure que les ténèbres enveloppaient le minuscule objet qu'elle envoya au niveau des arbaletiers afin de les plonger dans les ténèbres les plus profondes. A présent si ils voulaient s'attaquer à eux, ils devraient le faire au corps à corps. A cette idée la drow referma sa main sur sa rapière, un sourire mauvais naissant sur ses lèvres. Les ténèbres s'élevèrent ensuite du minuscule galet, enveloppant à 18 mètres à la ronde tout ce qui pouvait y avoir autour. Elle avait essayé de le lancer sur celle qui avait frappé de son carreau le prêtre qu'elle venait d'extirper des griffes de la mort. Les chances étaient minces, mais la drow espérait que le minuscule objet à présent porteur de profondes ténèbres se soit glissé quelque part dans la tunique de l'assaillante. Anariel avait prit ses flèches et la prêtresse espérait que son sortilège ne la gène pas trop. Quand aux autres, ils étaient tous en assez mauvais posture. Juste à la fin de son incantation, l'elfe noire éleva la voix avec force: "Par Eilistrae je vous tuerais!!!"

écrit par: Anariel Mercredi 15 Février 2006 à 22h26

Recevant la boule lumineuse en pleine poitrine, la douce quesselle grimaça sous la douleur, serrant de ses mains ses armes...Elle sentait en elle affluait la haine et le désir de les réduire en cendre...Elle se redressa, serrant son arme et redressant son arc...Ses yeux exprimaient une colère indescriptible, elle prit une flèche entre ses fin doigts, lui transmettant sa rage, et sa volonté de tuer cet impétueux humain..Malheureusement, elle ne le voyait pas..Elle pensait pour le prochain coup a faire lumière dansante, mais il fallait agir...Elle visa a présent le nain, cet autre lanceur de sort. Si elle l'atteignait, ce sera un ensorceleur en moins. Elle prépara donc son arc, positionnant sa flèche. Elle tentait de lui transmettre toute son art, cette flèche, elle la voulait décisive, elle voulait que ce soit la dernière pour ce nain. Elle le visa, Priant que cette flèche l'achève, elle le faisait pour elle, pour eux, ses frères..Elle refusait le fait qu'ils puissent perdre ou mourir. Ce sentiment de rage était débordant...Elle implorait Mystra, et invoquait en elle la force. Elle tira alors, fermant les yeux, lâchant une dernière phrase en elfique, espérant de tout coeur que sa flèche touchera sa cible: la tête, entre les deux yeux. Elle fut si minutieuse en la tirant... Une fois la flèche tirée, elle suivit sa direction, priant encore sa déesse qu'elle atteigne sa destination, que cette flèche le tue...Pour ce qui est de l'humain, elle attendra de voir le résultat de sa flèche, elle n'avait pas le temps pour l'instant, seule sa flèche préoccupée son esprit. Serrant ses doigts, se crispant, sa haine lisible sur son beau visage, qui exprimait auparavant la joie et la bonne humeur, exprime dorénavant la colère et l'envie de tuer...Sa rage croissait à chaque seconde qui s'écoulait, et a chacune de ses secondes, elle désirait leur arraché le coeur...

écrit par: Morkab Caliban Jeudi 16 Février 2006 à 12h43

Dragan attaque par rapière 15+4+2(en tenaille) = 21 >< CA Halfelin = Réussite Halfelin encaisse 3pts de dommages. Halfelin attaque par masse = 20 >< CA Dragan 20 = Réussite Dragan encaisse 5pts de dommages. Mamon convertit le sort Anathème en Soins légers. Dragan récupère 7pvs Nain lance un sort Dragan JS Volonté 13-1= 12 = Echec. Etat préjudiciable : effrayé Kran attaque par grande hache 11+4+2(rage)+2(tenaille)= 19 >< CA Halfelin = Réussite Halfelin encaisse 9pts de dommages.Anariel attaque par arc 13+5= 18 >< CA Nain = Réussite Nain encaisse 6pts de dommages. Lye attaque à distance 11+1= 12 >< DD 20 = Echec Narration Maintenant sorti de son immobilité, le paladin dégaina comme l’éclair sa longue et fine lame tout avançant de quelques pas de course jusqu’à sa cible montée. L’arme transperça l’armure au-dessus de la protection du bouclier du halfelin au niveau de l’épaule, provoquant un recul chez ce dernier. « Damnation, tu va crever comme un chien, ‘Frère des marches’ ! », cria-t-il pour se galvaniser avant de contre-attaquer de sa masse qui atteignit Dragan au crâne, lui ouvrant le cuir chevelu. Faisant appel aux forces de la grande déesse Mailikki, Mamon posa la main sur l’épaule du chevalier qui reculait encore estourbit par le coup qu’il avait reçu. Une chaude lumière se diffusa autour du blessé et sa plaie se referma partiellement. Mais alors que la tête de Dragan cessait de lui tournait, il croisa le regard du nain et son cœur s’emplit d’une crainte horrible, ses jambes flageolaient et une envie irrépressible de s’éloigner naquit dans son ventre en lui tordant les boyaux. Depuis le début, le barbare n’avait pas été très chanceux mais il espérait bien changer l’ordre des choses. Affermissant sa prise sur sa grande hache, il laissa libre court à ses instincts primaires qui lui avaient permis de terrasser de jeunes ours dans les montagnes et lui avaient assuré son surnom de Colosse des Montagnes. Poussant un hurlement presque inhumain, il abattit sa lourde arme en direction du halfelin qui l’avait estomaqué auparavant. Ses gros muscles saillants se contractaient tandis qu’il appuyait puissamment lorsque la lame mordit les chairs du guerrier à la masse. Un bruit d’os broyé annonça la défaite du petit-homme juste avant qu’il ne chute de sa monture. Kran envoya un coup de pied rageur au corps inerte au sol et admonesta quelques insultes bien senties aux autres soudards qui avaient osé les attaquer. Profitant que le nain sur son poney soit distrait par l’action d’éclat du Frère-molosse, Anariel décochait une flèche avec une redoutable précision qui réussit à passer outre la protection de l’armure d’écailles et le bouclier de sa cible. Durant ce temps, la belle Lye avait terminé son enchantement de ténèbres qu’elle avait lancé sur un caillou et, d’un geste vif le lança au centre du groupe des cavaliers. Aussitôt une chape d’une noirceur d’encre s’éleva, surgit du néant. La zone couverte formant un dôme de 12m de diamètre ne semblait englober que les agresseurs et pas les compagnons de la prêtresse. Des cris de surprise jaillirent de la coupole sombre. Initiative : Lye = 19+1= 20 Anariel = 12+5= 17 Kran 17+2= 19 Dragan 10+4=14 Mamon 5+4= 9 Nain = 18 Femme en retrait = 9 Homme en retrait = 12

écrit par: Lye Jeudi 16 Février 2006 à 15h18

Lye sourit en voyant les ténèbres échaper au galet avant d'englober les cavaliers. Elle n'avait pas ateint la jeune femme mais ne s'en étonnait pas le moins du monde. Viser n'avait jamais vraiment été son point fort... A présent il fallait guider les flèches de son amie à travers les ténèbres! Sans perdre de temps, elle en appela de nouveau à la magie ancestrale des elfes noirs. Le sourire aux lèvres,un murmure s'éleva à nouveau de la sombre prêtresse. Un instant, elle jeta un regard à Anariel qui connaissait bien cette technique utilisée à plusieurs reprises lorsqu'elles avaient combatu ensembles. Sans se faire attendre, de minces lueurs vertes apparurent dans les ténèbres, envelopant les assaillants et déterminant leur emplacemant. Tournant la tête vers son amie a la chevelure diament, elle lui lança: "A TOI DE JOUER ANA!!!" Les flèches d'une mortelle précision de son amie avaient toujours impressionées la drow. Elle qui ne savait pas se servir d'un arc devenait presque admirative envers son amie qui maitrisait si bien cet art. Un jour peut être elle lui apprendrait.... Mais l'instant présent demandait toute l'attention de la jeune elfe noire. Elle espérait de tout son coeur qu'ils s'en sortent vivant.. Mais le combat qui avait dans ses débuts mal commencé semblait à présent tourner en leur faveur. L'halfelin était mis hors d'état de nuir et les hommes c'étaient à présent redressés. Le prêtre de Mailikki, Eilistrae soit louée, s'en était sortit. A présent, pourvu que la chance continue de jouer en leur faveur...

écrit par: Anariel Jeudi 16 Février 2006 à 21h18

Heureuse de voir que son tir avait atteint le nain, sans le tuer pour autant malheureusement, elle vit son amie incanter afin de la guider dans ses tirs, faisant luire les attaquant d'une fine lueur verte. Elle esquissa un doux sourire et tira sa flèche de son carquois, afin cette fois ci de viser le jeune homme...En ajustant sa flèche, concentrée elle visait l'humain, sans perdre la moindre parcelle de seconde...Et tirant de sa corde, elle priait constamment Mystra. Comme toujours, dans une volonté de fer, elle concentra son énergie dans sa flèche, et en la tirant, elle répondit a sa chère amie, d'une voix clair, guidée par la volonté d'abattre l'humain ensorceleur. "Merci Lye! On va les achever!!" Elle suivit du regard, fière et anxieuse, sa flèche, priant toujours et encore sa dame, de guider sa flèche dans le coeur de cet homme..Elle le faisait pour protéger les siens, elle n'avait pas le goût du sang, mais la colère pouvait lui donner le goût de tuer. Mais elle tenter de le contrôler, elle sait, de toute façon, qu'elle ne fera jamais de mal a ses proches...Elle les protégera, de son coeur, et dans cette flèche, la douce archère avait transmis sa rage de protection, et sa haine contre tous ceux qui oserait vouloir du mal a sa "famille", elle les achèvera, elle aidera les siens a les tués...Mais il fallait avoir des renseignements sur eux, savoir qui ils étaient, pourquoi les attaquaient ils? Elle avait entendue, de la bouche de l'halfelin: "tu va mourir, frère des marches!"..Ils savaient qui ils étaient!! Alors, ils devaient sûrement avoir un lien avec le vol des caravanes!!

écrit par: Morkab Caliban Vendredi 17 Février 2006 à 17h15

Lye lance Lueurs féeriques Kran se déplace et attaque de sa grande hache 14+4+2(rage)= 20 >< CA Nain = Réussite Nain encaisse 11pts de dommages Ana attaque par arc 13+5= 18 >< CA Homme en retrait = Réussite Homme en retrait encaisse 2pts de dommages Dragan attaque par rapière 2+4+2(charge)= 8 >< CA Femme en retrait = Echec Homme lance un sort Dragan JS Volonté 11-1= 10 = Echec Femme tire deux épée courtes et attaque à outrance : - attaque par épée = 16 >< CA Dragan 20-4(statique) = 16 = Réussite - attaque par épée = 4 >< CA Dragan 20-4(statique) = 16 = Echec Dragan encaisse 12pts de dommages Mamon lance un sort. Narration Sous l’action du pouvoir magique de la splendide drow, les adversaires de la Compagnie se mirent à luire comme des spectres dans la nuit, soudainement auréolés d’un halo verdâtre qui rendait impossible toute dissimulation de leur part dans les ténèbres qui les recouvraient maintenant. Profitant de cette aubaine, la Quesselle aux gestes véloces engagea une nouvelle flèche sur son petit arc et visa l’homme qui prenait visiblement plaisir à les arroser de sortilèges néfastes. Son trait placé judicieusement lui déchira le flanc droit, le pliant à son tour sous la douleur tout comme Anariel l’avait fait quelques instants auparavant. Au même moment, le Colosse, tout à la rage qui le submergeait, s’enfonça dans le dôme sombre pour y cueillir le premier ennemi sur sa route comme on fauche le blé au temps des moissons. Le nain armuré fut jeté au sol comme un vulgaire fagot après avoir subit la force déchaînée du grand illuskien. Dragan qui commençait à reculer sous la terreur que lui inspirait le nain, vit tout son courage lui revenir lorsque ce dernier fut mis à bas. Aussitôt, dans une attitude martiale, il poussa un cri tandis que ses pieds le portaient au combat en chargeant. Rapidement, il atteignit la luminescente arbalétrière et frappa d’estoc, ratant malheureusement l’agile femme qui l’avait entendu venir et qui délaissa son arme à distance pour tirer en un éclair deux lames courtes. Etrangement, le jeune paladin ne semblant plus vouloir tenter d’esquiver les coups qui allaient lui être porté, il eut la chance de voir une des épées être déviée par le métal de son armure. Malheureusement la blessure qu’il reçut de l’autre arme lui entailla le cou juste au-dessus de sa protection, lui tranchant l’artère. Alors qu’il tombait à genoux droit comme un piquet, une gerbe de sang jaillissait en tous sens, maculant la robe du cheval devant lui. Bien sûr ceci ne fut pas perçu par ses compagnons, le jeune homme n’étant pas illuminé par les leurs féeriques. Seuls les mots de la jeune femme leurs parvinrent : "un de moins, à qui le tour, bande chacals puants !". Mamon lançait sur lui un sortilège en serrant l’emblème de la Licorne autour de son cou. Il se mit bientôt à luire d’une lueur dorée qui couvrait finement sa peau et ses effets. Initiative : Lye = 2+1= 3 Anariel = 20+5= 25 Kran 11+2= 13 Mamon 11+4= 15 Femme en retrait = 10 Homme en retrait = 19

écrit par: Lye Samedi 18 Février 2006 à 12h09

Lye afficha un air victorieux en voyant la flèche d'Anariel se planter dans le flanc de l'homme qui les avait si facilemant abusé. Déjà le colosse des montagnes avait plongé dans les ténèbres suivit de Dragan. Deux de ses compagnons venaient d'y disparaitre et cela inquiétait la jeune elfe noir. C'était sans doute le plus grand défaut de ce sortilège.. Et ses craintes ne furent pas infondées car bientot les paroles victorieuses de la femme provquèrent chez elle une rage insoutenable. Elle venait d'abattre l'un des leurs!!! Son regard s'enflammant de haine, l'elfe noire inspira profondémant en essayant de se calmer. Si elle voulait être efficace il ne fallait pas laisser place à sa nervositée! Plissant ses paupières, la gracieuse prêtresse effectua quelques mouvements appliqués, en appelant une nouvelle fois à la puissance de sa déesse et en la suppliant intérieuremant de lui venir en aide. Inquiétée par la perte possible d'un de ses compagnons, l'elfe noire se battait pour ne pas céder à son angoisse. Elle espérait pouvoir achever le plus vite possible cette femme, Anariel et Kran s'occupant des deux autres, l'halfelin déjà hors d'état de nuir. *Eilistrae...aidez moi* [i]Elle avait déjà fait appel de nombreuses fois à sa magie et espérait ne pas trop épuiser ses réserves. Se calmant, son doux visage affichant une expression sereine, ses longs cheveux d'ivoir ruisselant de pluie, la prêtresse continuait d'effectuer des mouvements de ses doigts fins prête à lancer un sortilège. Anariel a une chance de cocu c'est dégueulasse!!! ><

écrit par: Anariel Samedi 18 Février 2006 à 12h41

Meme pas vrai dabord, toi tu n'as aucun point de degat XD Fière d'elle, la jeune elfe décida d'achever cet impetueux ensorceleur minable. Il lui restait 17 flèches, cela était suffisant, surtout que c'était plus efficace pour l'atteindre. Ainsi, dans un geste précis, elle sortit une quatrième flèche, et visa a nouveau l'humain, pliée sous la douleur. Elle en profita pour étirer son arc, Priant toujours sa dame de guider et de donner vie a sa flèche, qu'elle vole l'âme de cet humain...Guidée dans sa colère, elle tira, d'une geste fin, précis, guidée par la haine d'une jeune femme, voulant protéger les siens...Elle suivit sa flèche du regard. Lye s'occupait d'invoquer sa déesse contre la jeune femme, elle et Kran, s'occuper de l'humain et du nain....Elle espérait que cette flèche soit décisive, ayant viser a la perfection son torse. Elle regarda encore la trajectoire de sa flèche, et l'envie de le tuer se lisait a la perfection dans ses prunelles de sources, qui étaient devenues aussi dur que le rayonnement d'un diamant gris. et Dans sa beauté durcit par les griffes de la haine, elle suivait sa flèche du regard, suivant les lignes de temps ralentie, rien que pour savoir si cette flèche atteindra ce maudit humain... *Tue le, Tue le....* Le vent et la pluie, voila qu'elle a était leur point de départ, et voila ou ils en sont, devant le sang et la mort, le combat, la haine la plus démesurée lisible dans un regard de glace. Trempée, raide, en attente, dans un labs de temps si court qu'elle en aurait crut rêver..Ce n'est qu'un rêve? Non c'est bien réelle, la pluie était trop glacée sur son corps, et le sang était trop chaud, coulant de sa plaie le long de sa tunique collée a sa peau frissonnante. Elle n'aspirait qu'au bonheur, et la voila au bord de l'effroi...Ils y arriveront! Ils les tueront!! Ces maudits périront, par Mystra, elle s'en fit le serment...

écrit par: Morkab Caliban Lundi 20 Février 2006 à 16h00

Anariel attaque par arc 16+5= 21 >< CA Homme en retrait = Réussite Homme en retrait encaisse 4pts de dommages Mamon se déplace et fouille Kran JS Réflexes 12+2= 14 >< DD12 = Réussite Kran attaque par hache à 2 mains 11+4+2(rage)+2(charge)= 19 >< CA Femme = Réussite Femme encaisse 3+4+2(rage)+2(charge)= 11pts de dommages Kran état préjudiciable : fatigué Narration Les yeux illuminés par une colère flamboyante, la gracieuse Quesselle s’était mue en une terrible combattante assoiffée de vengeance pour le sang de ses frères qui coulait mêlé à la pluie diluvienne. Prenant de nouveau pour cible l’humain qui les avait ainsi si honteusement floué de son hypocrisie, Anariel banda son arc court et fit partir un nouveau tir meurtrier qui le frappa en plein ventre, l’envoyant disparaître à terre derrière la silhouette massive de son cheval. N’écoutant que le courage qui le caractérisait, Mamon se pressa vers le dôme de ténèbres en demandant à ses compagnes de le couvrir pendant qu’il se portait au secours de ses frères au combat. Il ne fut pas long à disparaître de leur vue, cherchant certainement à tâtons la victime du dernier coup de la femme encore en lice. Avec un cri qui rappelait que l’homme n’était pas si éloigné de la bête, le terrible barbare, maintenant ivre du sang de ses ennemis, chargea comme un taureau sur la dernière cible lumineuse qui lui apparaissait clairement dans le noir. Dans sa rage aveugle, il eut la chance d’enjamber le corps gisant du paladin qui lui faisait obstacle telle une pierre d’achoppement. Armant sa lourde hache au-dessus de son épaule, il fit un large demi-cercle qui fut impossible à la femme montée à esquiver. Frappée de trois-quarts dans le dos, les os s’entendirent craquer tandis que la lame accrochait les chairs et la faisait dégringoler au sol, mettant par là même un terme à ce funeste combat. Haletant, la hache baissée, le Colosse des montagnes contemplait immobile la silhouette de la jeune femme, prostrée dans une pose grotesque. Puis, il chuta à genoux, fatigué de ses efforts combatifs. Le prêtre de Mailikki sortait de la demi sphère en tirant le corps ensanglanté du paladin. Lye était sur le point d'achever son sort lorsqu'elle abandonna sans conséquence son incantation, se rendant compte de la situation nouvelle.

écrit par: Mamon Lundi 20 Février 2006 à 19h50

Mamon tira le paladin comme il put et le sorti de la sphère de ténèbres, et il put s’apercevoir que ses compagnons en avaient terminé avec ces malfrats. Mais ce combat les avait épuisés, surtout le barbare qu’il voyait reprendre son souffle un genou à terre. Il reposa très vite ses yeux sur le paladin qui avait l’air très mal en point, il regarda sa blessure et essaya de le réconforté avec quelques mots. -Tiens bon, je vais essayer de soigner tes blessures mais ne bouge pas. Il continua à lui parlé tout en demandant à sa déesse de lui permette d’échanger un de ses sorts contre un sort de soins. Cela risque de te faire un peu mal, mais après tu ne devrais plus sentir de grosse douleur et surtout l’hémorragie devrait s’arrêter. Il posa ses mains sur la blessure où le sang jaillissait et se mêlait à la pluie qui n’avait toujours pas cesser de tomber, et commença son incantation.

écrit par: Morkab Caliban Mercredi 22 Février 2006 à 11h33

Mamon convertit le sort enchevêtrement en Soins légers Narration Toute la bonté du dévoué prêtre de Mailikki transparaissait aux yeux de ses compagnons en cet instant. Penché au dessus du jeune homme dont ils ne connaissaient rien quelques heures auparavant, Mamon avait pris soin d’appuyer la tête sur ses genoux, dont le cou sévèrement entamé menacé de se briser. La face levée vers le ciel sous la pluie battante, la main serrée sur son symbole sacré, il faisait monter vers sa céleste déesse une prière muette. Son autre main était posée quant à elle sur la plaie ouverte d’où sourdait un sang noirâtre se diluant rapidement au contact de l’eau qui se déversait sur eux. Une douce lumière dorée jaillit de la paume du prêtre pour venir se répandre sur l’homme allongé. Nulle douleur ne fut ressentie en cet acte, mais une douce torpeur envahit le paladin, le baignant dans un état cotonneux l’espace d’un instant. Sous les yeux de tous, la déchirure des chairs s’estompa avant de ne laisser finalement plus qu’une grosse marque rouge sur le cou miraculeusement réparé. Quelques instants après, Dragan ouvrait des yeux hagards.

écrit par: Lye Vendredi 24 Février 2006 à 20h55

La jeune elfe noire reprit son souffle, son estomac se desserant lorsque, enfin, ils furent tous hors de danger et que leurs adversaires rendirent l'ame. Mais cette sensation de soulagemant disparut vite quand le prêtresse de Mailikki extirpa des ténèbres le corps ensanglanté de leur ami. Il ne lui fallut cependant pas longtemps pour le tirer des griffes de la mort. Comme si on venait de lui enlever un lourd fardeau des épaules, la jeune femme inspira une longue bouffée d'air avant d'aller s'agenouiller près du jeune homme qui ouvrait les yeux. Effleurant doucemant sa joue, elle lui adressa un doux sourire qui éclaira les traits fins de son visage a la peau d'ébène. D'une voix calme et claire, elle lui adressa quelques mots: "Vous voila tiré d'affaire jeune guerrier...." Relevant son regard crystalin vers Mamon, elle lui adressa à lui aussi un doux sourire avant de reprendre: "Tiré d'affaire grace à un compagnon plus que précieux et courageux.." Quand elle fut sure que l'état du paladin soit stable, la gracieuse prêtresse se releva, ses vêtements imbibés d'eau ayant pris la forme exacte de sa fine silhouette. Avançant vers Anariel, elle sentit son coeur se remplir d'une douce chaleur en constatant qu'elle était seine et sauve. Jamais elle ne se serait pardonnée si elle l'avait laissé périr. D'abord, elle l'étreignit tendremant, comme pour s'assurer qu'elle était bien là. Cela faisait plusieurs années qu'elle s partageaient tout l'une et l'autre, et c'était un amour fraternel qu'elle lui vouait. C'est dans la langue noble qu'elle lui adressa ces quelques mots: "Heureuse de te voir en forme ma douce amie....." Le liquide chaud qu'elle sentit sur ses doigts la rappela cependant bien vite à la realitée, son amie était blessée.. Sans attendre, elle incanta, une douce lueur naissant de ses peaumes ouvertes au dessu de la plaie. Agenouillée devant elle, elle lui sourit une fois la blessure refermée, s'assurant de son état en la scrutant en long en large et en travers. Puis, elle se redressa, cherchant du regard les cadavres de leurs assaillants. Bien que se refusant de piller les morts, pour elle ceux cis n'avaient plus rien d'humain ou de respectable: ils avaient voulus les tuer. Elle espérait donc pouvoir trouver chez eux de quoi se ravitailler et pourquoi pas, s'enrichir. Les biens qui attiraient le plus son attention étaient bien sur les chevaux, les bêtes pourraient les aider à atteindre leur but plus rapidemant que prévus. De ses yeux de crystal, elle les chercha, espérant qu'il n'aient pas fuit lorsque leurs maitres leurs avaient été arrachés en rendant leur dernier souffle. Revenant à ses compagnons, elle leur adressa à nouveau la parole: "Il n'y a pas de temps à perdre..il faut reprendre la route avant que de nouveaux brigants nous tombent dessu. Je propose que nous prennions chez ces vaux-riens ce qui peut nous être utile, et en particulier les chevaux. Il n'y a celon moi aucun scrupule à avoir envers ses ennemis....." Approchant des ténèbres, elle regarda autour si elle n'apercevait rien d'interessant, attendant patiamant la dizaine de minutes nécessaire pour que le globe disparaisse. Elle aurait put essayer de retrouver le caillou et de le couvrir pour estomper l'obscuritée, mais le retrouver à l'aveugle prendait bien plus de temps que d'attendre que la pénombre magique se dissipe d'elle seule. Posant son regard sur ses compagnons, elle leur sourit, clairemant soulagée par l'issue du combat: "Je suis heureuse d'avoir à mes cotés de si valeureux combatants..." je sacrifie le sort d'invocation 1

écrit par: Anariel Vendredi 24 Février 2006 à 21h40

Essoufflée, Ana se baissa légèrement en fin de combat, exténuée, soufflant de ses lèvres fines la brise de la colère s'atténuant au moindre de ses gestes, soumis au temps et au regards de ses frères se remettant sur pieds. Ils avaient gagnés, et elle remerciait Sa dame d'avoir guidé ses flèches et son sort. Elle se releva, frissonnante, ressentant a nouveau le froid glacial, elle qui l'avait négligé pendant la bataille, au profis de sa haine. Mais ce sentiment de rage était dissipé, et un sourire hésitant refleurit sur ses lèvres tremblantes. Elle se rendait compte a qu'elle point elle avait était cruelle, mais elle savait qu'ils l'avaient mérités, ces bandits....Ses yeux reprirent la douceur des sources de roche lorsque qu'elle vit Lye se dirigée vers elle, la prenant dans ses bras, s'adoucissant a son contact, fermant les yeux dans l'étreinte de sa chère amie. Lorsqu'elle releva la tête, Lye se rendit compte de sa blessure, qui lui tiraillait la poitrine. Celle ci la soignait donc, et Ana la remercia en elfique - Lui murmura t'elle. Puis elle la vit s'éloigner, elle se dirigea donc vers Mamon et Dragan, leur souriant. Elle avait récupérer son doux visage, son expression de douceur se rapprochant d'eux. Posant sa main sur l'épaule de Mamon, elle lui parlait, d'une voix douce et rassurante. C'étaient ses frères, elle avait eu peur pour eux, si peur.. Elle fut soulagée de les voir en vie, elle posa sa tête sur son épaule, d'un geste tendre, trop heureuse de les voir en vie... -Vous vous êtes bien battus mon frère, je suis soulagée que vous êtes en bon état....Fit elle en relevant la tête. Il faut dire qu'elle avait eu si peur...Elle se dirigea par la suite vers Dragan, lui adressant un sourire, restant un instant auprès de lui -Nous avons faillit vous perdre, je suis soulagée que Mamon vous ait ramené a nous...Elle leva la tête vers son amie, leur adressant la parole...Elle proposait de fouiller les cadavres afin de récupérer des affaires qui pourrait leur être utiles et de bouger afin d'éviter de se refaire attaqué. Personnellement, portait les affaires de ces gredins la dégoûtait, mais il fallait bien, si c'était utile...Elle aquiessa donc, se levant, allant vers sa douce amie, lui répondant a sa douce phrase -Et nous sommes heureux d'avoir parmi nous une aussi puissante et douce prêtresse

écrit par: Mamon Lundi 27 Février 2006 à 11h32

Mamon fut heureux de voir que sa prière avait permis de sauver le paladin, il regarda ensuite les deux elfes qui lui souriraient. Il leur rendit se sourire et regarda en direction de Kran qui reprenait toujours son souffle, ce combat l’avait bien exténué et avait presque coûté la vie à un de ses compagnons. -Je pense que Lye à raison nous devrions reprendre notre route le plus vite possible. Dit-il à l’attention de tous, puis il ajouta avec un petit sourire. Et pour ce qui est de fouiller ces malfrats je suis tout à fait d’accord, je pense que certain d’entre eux ont peut-être des choses qui pourront nous servir. Il regardait surtout les corps des lanceurs de sorts, puis en levant la tête vers le ciel il termina. Je ne pense pas que Maïlikki nous en veuille pour cela vu ce qu’ils nous ont fait subir c’est la moindre des choses. Apres ce petit discours il regarda le paladin pour voir s’il reprenait ses esprits. Le prêtre enleva sa cape et la posa sur le sol boueux et y posa délicatement la tête du jeune croisé, puis il se leva et se dirigea vers le corps du lanceur de sort le plus proche de lui et commença à à examiner son équipement et ses affaires pour voir s’il ne pouvait pas récupérer quelque chose qui aurait put lui servir.

écrit par: Morkab Caliban Jeudi 02 Mars 2006 à 09h41

Lye convertit le sort Convocation de monstres I en Soins légers Narration Durant ce temps, la zone obscure eut tôt fait de disparaître, levant le voile sur la scène qui venait de se dérouler. Les corps de leurs ennemis d’un moment gisaient dans les mares de leur propre sang. Assis maintenant au sol en train de récupérer de l’effort fourni, le Colosse Kran était appuyé sur le manche de sa double hache, visiblement insouciant des quelques plaies reçues lors du combat. Avant d’entreprendre de fouiller du regard pour s’assurer de la présence des chevaux, la prêtresse drow avait rendu toute sa vitalité à son amie Anariel en faisant appel au pouvoir de sa déesse. Tandis qu’elle errait parmi les cadavres à la recherche de quelque objets intéressant, Dragan s’était relevé, refusant que Mamon n’allonge sa cape dans la boue dans un geste qui n’était pas nécessaire. Il se mouvait comme s’il n’avait rien subit de préjudiciable mais était visiblement bien conscient pourtant que son trépas ne fut pas passé loin, il accola très fraternellement Mamon en le remerciant chaleureusement. Puis, il s’était écarté et était venu jusqu’à l’ensorceleuse elfique et très courtoisement lui avait pris la main pour la lui baiser et avait ajouté ces quelques mots lorsque celle-ci s’était inquiété de son état : - Anariel, je garde bien en tête ce moment, où, en partie grâce à votre habileté à manier l’arc, vous nous avez sauvez la mise. Il s’était redressé et avait porté son regard sur Lye avant de tomber littéralement à genoux devant elle dans la boue. Dans un geste spontané, il lui étreignit les jambes, tirant involontairement sur la tenue rendue diaphane par la pluie et qui mettait au supplice tout homme qui posait les yeux sur elle par les formes qu’elle révélait. - Pardon, noble dame, pardonnez-moi de ne pas avoir été suffisamment prompt à vous protéger de ma lame comme Foragus me l’avait personnellement demandé. J’ai échoué en cela mais je vous promets, belle et sage demoiselle de dédier mes actions futures à cette entreprise… Je n’échouerai plus, sur mon honneur. Avec la pluie continuant de tomber sur sa tête baissée et rentrée dans ses épaules, le jeune et beau paladin avait perdu de sa superbe et semblait tout à coup bien moins arrogant et hautain qu’il ne pouvait l’être lors de leur rencontre. Il en était même attendrissant. Finalement, il se décida à relâcher la sensuelle jeune femme à la peau d’ébène et visiblement troublé, s’empressa de s’attacher à l’ouvrage de rassembler les chevaux. Sous l’oeil attentif d’Anariel, Lye trouva les objets suivants : une masse d’armes légère, un petit bouclier en métal, une armure d’écailles de petite taille, un carquois avec 20 flèches, un carquois avec 6 carreaux, une arbalète légère, un arc court, un sac à dos dans lequel se trouvait une paillasse, un pied de biche, un briquet à silex, trois torches, un autre sac à dos avec une autre paillasse, un flacon d’un liquide noir, une plume, du parchemin, un bloc de cire, 9po et 16pa. Mamon de son côté trouva : Une armure cuir de taille moyenne, 2 épées courtes, un sac à dos avec paillasse, un sac de petites étoiles pyramidales à trois branches en métal, une corde de chanvre, un havresac, un sifflet, un trousseau d’ustensiles aux formes étranges comme des tiges et des crochets, un autre sac à dos avec paillasse, étui à parchemin vide, 3 torches, une pierre à aiguiser ; un écu en bois, une armure d’écailles conçue pour un nain, une épée longue, une dague, 19po et 13pa.

écrit par: Anariel Vendredi 03 Mars 2006 à 16h44

Anariel se remettait peu a peu de ses émotions, frissonnant toujours, gardant dans son regard cristallin une lueur d'angoisse qui s'estompait petit a petit avec le temps... Sa robe moulait ses formes féminines, etiant tout aussi trempée que celle de Lye...Elle allait la rejoindre dans sa fouille, etiant près de Dragan, s'inquiétant pour lui. Mais celui ci refusa la couverture de mamon et se leva vers elle, lui prenant sa main, froide voir même gelée par la pluie, et lui faisant le baise main. Il la remercia, d'une certaine façon, disant qu'il gardera en mémoire le moment ou elle leur avait sauvé la mise, de par le tir de ses flèche. L'elfe rougit instinctivement, touchée par les paroles du Paladin. Elle lui adressa un sourire, cherchant ses mots afin de lui répondre d'une voix douce et claire... -Merci mon ami, je garderai également en souvenir, vos actes de bravoures dans ce combat, vous qui avait faillit perdre votre vie, je suis heureuse de vous revoir en meilleure posture...Fit elle dans un commun parfait, tintée de son accent elfique, qu'elle ne pourra jamais estompé...Elle s'éloigna du Paladin, afin de se rapprocher de sa douce amie, afin d'observer ce qu'elle avait déjà trouver. Elle y vit diverse choses, dont une armure, qui ne leur serait pas utile, etiant a la taille d'un halfelin, ainsi que le bouclier qui va avec...Mais il y avait diverses choses qui pouvaient leur être utiles, même de l'argent. Il fallait partager équitablement, selon les besoins et les aptitudes de chacun...Elle serait bien intéressée par les flèches, pour l'arc, elle en avait déjà un...Mais le flacon au liquide noir l'intéressait également, cela devait être une potion avec une aptitude ou un pouvoir spéciale..Mais elle ne disait rien, elle se disait qu'ils devaient partager d'un commun accord, si cela se trouve, quelqu'un d'autres voudraient des flèches...Elle esquissa un sourire a son amie -Il y en a bien des choses, mais il me semble que Mamon trouvera aussi autant d'affaire, ils nous faudrait partager....

écrit par: Mamon Dimanche 05 Mars 2006 à 19h35

Après avoir inspecté les cadavres Mamon se dirigea vers ses compagnons et énuméra ce qu ‘il avait vu d’intéressent. En tendant sa main pour montrer l’un des objets qu’il avait trouvés, il demanda -Quelqu’un sait à quoi cela sert ça. Il montrait un trousseau d’ustensiles aux formes étranges. C’est la première fois que j’en vois. Avant que l’un d’entre eux ne lui réponde l’elfe de lune avait émit l’idée de partager le butin. Pour le prêtre cela semblait évident, ils avaient combattu ensemble donc rien de plus logique que de partagé. -Je suis d’accord avec Anariel nous devrions partager le butin. Il regarda la jeune elfe et lui adressa un sourire. Si c’est possible je voudrais bien le sifflet et l’étui de parchemin si personne n’en a l’utilité. Puis il remontra le trousseau. Et ceci aussi si quelqu’un peu me dire à quoi cela sert. Il attendit la réponse en affichant un visage de gêne, il pensait qu’ils allaient se moquer de lui du fait qu’il ne savait pas ce que c’était.

écrit par: Morkab Caliban Samedi 11 Mars 2006 à 03h15

Narration Le fait était que tout le monde ignorait ce que qu’était exactement le trousseau d’ustensiles de formes diverses et effilées, en conséquence, Mamon le glissa en attendant dans son sac. Puisque personne ne semblait s’opposer à sa demande, il y mit également le précieux étui à parchemin qui serait bien utile par des temps aussi pluvieux que ces derniers jours, et aussi le sifflet. Il ramassa l’or qu’il mettrait dans sa bourse en attendant qu’il fut utile petit groupe. Lye avait fait de même ne collectant que l’or de peur de s’encombrer de choses qui ne lui étaient pas franchement utiles. Anariel, quant à elle, décida de se pourvoir d’un carquois de flèches supplémentaires après les trois projectiles qu’elle avait usé lors du combat. Elle ajouta à son inventaire la petite fiole dont elle tenterait d’identifier la nature lorsqu’ils se reposeraient à l’occasion. Kran s’était finalement redressé, moins épuisé et regarda les armes et armures presents mais aucun ne sembla trouver grâce à ses yeux. Peu après le paladin avait rassemblé les montures et s’approcha, distribuant à chacun un des destrier. - J’ai contacté le Bastion par le biais de l’anneau, dit-il finalement à l’assemblée de ses frères et sœurs, je présentai les derniers évènements, j’espère que nous aurons rapidement une réponse. Avant de monter sur son cheval, il récupéra l’arbalète légère et ses carreaux qui s’était montrée si meurtrière à leur encontre quelques moments auparavant, il l’arma d’un geste qui dénotait qu’il en avait déjà manipulé et la laissa pendre à sa ceinture. Alors que la belle drow allait elle aussi monter sur le destrier, elle remarque un bout de papier dépassant de l’intérieur de l’armure du halfelin à laquelle on avait prêté que peu d’attention. S’emparant de la feuille, elle constata qu’il s’agissait d’un pli anonyme. Le sens de la missive était on ne peut plus explicite : « Azgrum, après vérification de source sûre, je suis en mesure de vous certifier le départ d’un groupe d’investigation depuis le Bastion de Sundabar. Je compte sur vous et sur vos hommes pour mettre un terme définitivement à la menace qu’ils représentent pour nos intérêts dans la région. Les trouver ne devrait pas être difficile puisqu’ils emprunteront la route de la Fourche vers l’Orient. Assurez vous qu’ils ne découvrent rien et ne laissez aucunes traces de leurs corps. Nous nous reverrons où vous savez. N’échouez pas. »

écrit par: Lye Samedi 11 Mars 2006 à 13h33

Lye laissa ses compagnons organiser le partage du "butin", pas spécialemant interessée par ce qu'il présentait. L'or cependant allait pouvoir être utile à tout le monde si il fallait renouveller les vivres. A la vue des chevaux elle afficha un grand sourire et laissa échapper un soupir de soulagemant. Elle avait eu peur qu'ils se soient enfuis loin d'eux après le combat. Avec eux, ils pourraient aller beaucoup plus vite et plus facilemant rattraper le retard qu'ils avaient pris. Leur but était encore si loin... Glissant sa main sombre sur l'encolure claire de la jument baie qu'elle tenait par la bride, elle apprécia la douceur de son crin. Ils accueuillaient dans le groupe de nouveaux compagnons de route. Jetant un regard à Mamon, elle étudia l'expression de son visage à l'arrivé des chevaux. Puis, alors qu'elle allait enfourcher l'animal, un petit morceau de papier qui dépassait de l'armure de l'halfelin la coupa dans son élant. Prise d'une soudaine curiositée indomptable, elle reveint sur ses pas, se penchant surl'objet encore rouge du sang de son porteur avant de prendre entre ses doigts le morceau de parchemin puis de le ramener à elle. Le dépliant en espérant que la pluie ne l'ai pas trop et ne l'abime pas trop. Le commun lui posait parfois quelques ennuis à l'écrit, elle dut donc s'y prendre à plusieurs reprises, les sourcils froncés, avant d'être certaine de ce qu'elle lisait. Sans attendre, elle s'avança vers ses compagnons sans lacher la bride de la jument et les interpela: "Attendez! regardez ça..." Puis, elle entreprit de leur lire ce qu'il y avait d'inscrit sur le document, son visage trahissant sa surprise et ses sourcils froncés témoignant de son inquiétude: "« Azgrum, après vérification de source sûre, je suis en mesure de vous certifier le départ d’un groupe d’investigation depuis le Bastion de Sundabar. Je compte sur vous et sur vos hommes pour mettre un terme définitivement à la menace qu’ils représentent pour nos intérêts dans la région. Les trouver ne devrait pas être difficile puisqu’ils emprunteront la route de la Fourche vers l’Orient. Assurez vous qu’ils ne découvrent rien et ne laissez aucunes traces de leurs corps. Nous nous reverrons où vous savez. N’échouez pas. »" De peur d'avoir mal lus ou mal compris le document, elle le tendit à Mamon, comme pour être certaine de ce qu'elle venait de comprendre. Où les ménerait donc ce chemin? Si quelqu'un avait envoyé les brigants à leur rencontre c'est qu'il devait être directemant concerné par "l'histoire des caravanes". On leur cachait quelque chose, et pas seulemant à eux. Apparamant ce fait ne devait pas être découvert ce qui n'était pas étonnant. Tôt où tard et de n'importe quelle façon ils allaient le découvrir. Mais ce qui avait noué l'estomac de la jeune drow c'était surtout le fait que ce qu'elle pensait être le supérieur des brigants ou simplemant l'informateur était au courant de leur départ. Chacun des membres du groupe avait été réceamant appelé au sein de la compagnie des marches d'argent. Pour savoir qu'on les avait envoyé sur cette route, l'informateur était peut être un traitre et sans doute encore à sundabar. Il fallait informer Foragus.. Mais son anneau avait déjà été utilisé en ce jour, elle porta son regard crystalin sur Anariel, presque effrayée. Etaient ils en dangers là bas? Calmemant, elle s'adressa à son amie: "Ana...il faut que tu préviennes Foragus." Glissant ses yeux limpides sur l'horizon, elle soupira. Qu'est-ce qui les attendait encore après un troll et une groupe de brigants? désolé du retard j'ai eu quelques petits problems de disponibilitée en ce moment ^^, je posterais réguliéremant maintenant vous en faites pas

écrit par: Mamon Samedi 11 Mars 2006 à 17h00

Après avoir rangé les objets dans son sac le prêtre esquissa un sourire quand il vit le paladin arriver avec les chevaux, ces montures allèrent leur faciliter la suite du voyage. Il se présenta devant l’un des chevaux et lui caressa l’encolure tout en lui disant quelques mots à son oreille « Je m’occuperais de toi comme un ami ». Quand il voulut monter en selle la jeune Drow leur fit remarquer un morceau de papier, elle le déplia et lu le contenu. Mamon resta attentif à la lecture de ce message, à la fin du de la lecture les pensées bouillonnèrent dans son cerveau. *L’homme m’a parlé d’espions, et de plus la discussion que j’ai entre perçu de Foragus et Théodus avait l’air de montrer qu’ils avaient peur de quelques chose. Es ce que tout ceci à un rapport avec ce que l’on ma demandé?* Après quelque seconde il reprit ses esprits et remarqua que Lye lui tendait le mot en question, il le prit entre ses mains et le relu pour être sur de bien avoir tout compris. Quand il eut fini de le lire, il regarda ses compagnons et se demandait s’il fallait leur parler de ce qu’il savait, mais il hésita et ne dit rien sur ce sujet. -Vu ce qui est marqué sur cette missive quelqu’un à était mis au courant de notre voyage. Il regardait ses amis avec un air mêlant désarrois et un peu méfiance. Y aurait-il un espion au sein de notre guilde? Il resta là à regarder ses frères et sœurs en attendent une manifestation de leur pare, il ne pouvait croire en la culpabilité de l’un d’entre eux, ils s’étaient déjà sauvé la vie l’un l’autre. Si quelqu’un de l’équipe avait voulu la mort des autres, il aurait laissé faire le troll ou ses acolytes, donc cela devait venir de l’intérieur de la compagnie et dans ce cas il fallait faire attention à qui ils allaient parler maintenant.

écrit par: Anariel Samedi 11 Mars 2006 à 17h25

Ana observait le partage du butin, voyant que personne n'était intéressé par le carquois plein de flèches, elle le prit, en supplément du sien, car elle en aura bien besoin.. La douce elfe prit également la petite fiole, se disant qu'elle essayera de l'identifier pendant un temps de repos. Ainsi après le partage du butin, le paladin vint leur informer qu'il venait d'informer le bastion des évènements, et leur distribua a chacun une monture. Dans son coeur naquit un soulagement, la route leur serait bien moins pénible sur le dos de ces chevaux.. Elle alla vers sa monture a la robe brune, un brun claire qui lui plut, car il était doux et soyeux... Mais la jeune demoiselle sursauta a l'appel de sa douce amie, qui venait de trouver une information importante...Elle l'écouta attentivement, et comprenant la situation, elle fronça les sourcils. Elle aurait dut s'en douter! Le fait que ces brigands savaient qu'ils étaient des frères de la compagnies des marches aurait du la mettre en évidence qu'il y aurait un lien a l'affaire des caravanes... Alors tout était organisée... toute cette affaire!Relevant le regard, elle se jura a elle même d'aider ses frères a déceler ce mystère...Elle observait le visage de Lye, y lisant sa grande inquiétude, qui croissant avec la sienne. Si elle avait bien compris, ils risquaient encore a prendre ce chemin, et pourtant, il fallait continuer afin de résoudre cette mission..Elle s'approcha donc de son amie, réfléchissant encore...Si ces brigands ont put être mis au courant de cette information, c'est que l'informateur pouvait est issus de Sundabar. Il n'y avait que cette solution, qui aurait put savoir qu'ils sortaient du bastion pour résoudre cette énigme a part les membres du bastion même...Il y avait un traître, elle en était sure...Lye lui demanda d'informer Foragus... La jeune quesselle aquiessa et leva sa main, observant son anneau qui luisait a son doigts...Elle n'avait droit qu'a une seule phrase, et elle devait transmettre l'essentiel dans cette phrase... -Bien...vous avez raison mes frère, il y a sûrement un traite, dans notre compagnie, sûrement encore au bastion, je vais en avertir Foragus.fit elle. Apres cela Elle reflechissait a sa phrase et au final, rapprocha légèrement sa main de ses lèvres, et prononça le nom de Foragus...Elle attendit quelques secondes et se lança, d'une voix claire, tintant d'une légère inquiétude, comme une goutte d'eau dans le nectar de sa voix, coulant le long des roches, cachés au fond des grottes souterraines.... -Ici Anariel, nous venons d'apprendre que les brigands qui nous ont attaqués ont était informés, sûrement par un informateur au sein du bastion, faites donc attention...Dit elle, prononçant ses mots d'un accent elfique. Par la suite elle posa son regards a ses compagnons, espérant qu'elle a bien résume la situation et transmit l'information

écrit par: Mamon Mardi 14 Mars 2006 à 10h22

Mamon regarda ses compagnons avec un certain dépit, qui pouvait être cet espion, l’avait-il déjà rencontré depuis son arrivé. Il était hors de question de penser que l’un de ses nouveaux amis ne fasse parti de se complot. -Il nous faudrait partir maintenant, cela ne sert a rien de réfléchir ici d’autre hommes comme ces malfrats pourraient arriver. Tout en parlant il monta en selle et caressa la crinière de sa monture. Reprenons notre route, nous penserons à ceci au prochain campement. Le prêtre ne voulait pas montrer qu’il était inquiet, car vu ce que lui avait dit l’homme mystérieux le voyage risque d’être plus dangereux que prévu. *Oh Maïlikki reine de la forêt ! Pourquoi autant de gens veulent détruire votre nature. * Il adressa un grand sourie à ses frères et sœurs de route puis pointa l’horizon en direction de leur destination. -En route mes amis et que Maïlikki nous protége.

écrit par: Morkab Caliban Mardi 14 Mars 2006 à 11h59

Narration Malgré les doutes qui les tenaillaient et toutes les inquiétudes qu’ils pouvaient avoir concernant la suite de leur mission avec un hypothétique traître parmi la compagnie, il leur était évident qu’il y avait nécessité d’avancer sous peine de voir peut-être débarquer un nouveau groupe de mercenaire. Les chevaux les aideraient grandement dans cette tâche cependant, il ne fallait pas perdre de vue qu’ainsi montés, ils risquaient de rater un indice sur la disparition de la caravane s’ils pressaient trop le pas. Tandis qu’Anariel finissait d’envoyer un message à Foragus par l’anneau magique de la compagnie, Dragan vint poser une main réconfortante sur l’épaule du jeune prêtre. - Ne soyez pas inquiet, frère Mamon, je suis certain que nous parviendrons à élucider ces craintes, et vous verrez, aucun de nos alliés ne sera sous le coup d’une condamnation pour félonie. Son regard plongeait dans le sien, exprimant une grande compassion et une sincère confiance. "Vous avez raison nous devons nous remettre en route ! Si ces dames n’y voient pas d’objection ?" Il leur adressa à toutes deux un grand sourire. Kran était déjà monté à dos de bête, et menait l’animal à leurs côtés. Peu à peu se dissipait de sur son visage les signes de l’épuisante frénésie qui l’avait possédé durant un moment. Aucun des compagnons n’avait eu auparavant l’occasion de voir pareille transe guerrière. Même s’ils avaient déjà entendu parlé que les tribus barbares du Nord étaient réputées pour ce genre de techniques de combat, il était autrement plus impressionnant de le voir en action sur le terrain, terrifiant presque. Sa grosse voix caverneuse se fit entendre : - Tout le monde sait-il faire du cheval ? Si ce n’est pas le cas et par mesure de sécurité, je vous propose que nous gardions une monture pour faire office de transport d’équipement, ceux qui éventuellement ne savent pas faire d’équitation devraient passer derrière quelqu’un qui sait. Alors qu’ils vaquaient à ces derniers préparatifs pour reprendre la route, le pluie fine continuaient inlassablement de tomber sur l’immensité de cette plaine du Val de Sundabar transformé en pataugeoire boueuse.

écrit par: Mamon Mercredi 15 Mars 2006 à 13h03

-Si notre chemin n’à pas trop d’embûches et qu’il n’ait pas nécessaire de faire des acrobaties cela devrait aller pour moi. Répondit le prêtre à l’attention de Kran, il peigna de ses mains la crinière de son destrier, puis il ajouta. Mais si il le faut je veux bien laisser ma monture pour transporter le gros de notre matériel. Le demi elfe comprenait la démarche du barbare, ceci permettrait d’alléger pas mal le poids transporter de chacun, ce qui pourrait permettre de reposer leur corps endolorit. La pluie commençait à l’énerver un peu, il se demandait quand allait elle s’arrêter pour laisser la place aux rayons du soleil qui les réchaufferais et sécherait leurs vêtements. Puis il ne sait pas pourquoi il commença à s’attarder sur les courbes généreuses des deux elfes qui commençaient à se deviner à travers leurs vêtements mouillés et presque transparents. *Elle sont vraiment magnifique, je n’avais pas fais attention. Les hommes doivent se bousculer pour avoir leurs faveurs* Tout en attendant la réponse il rougit un peu en adressant un sourire aux deux jeunes femmes, un peu gêné d’avoir eu ces pensées.

écrit par: Kran Mercredi 15 Mars 2006 à 17h26

Après ce rude combat, le colosse des montagnes reprit complètement ses esprits et assimilait sa blessure à la poitrine à une forte courbature, il regarderait l'étendu des dégâts plus tard ou bien demanderait à l'un se de ses compagnons de voir si c'était grave. Mais confiant envers sa santé il ne s'en soucia plus davantage. Il allait retrouver goût à l'équitation en voyant les bêtes laissées par leur assaillant. Il caressa longuement le museau de son cheval avec tendresse et le rassura à voie basse lui dit : "je serai ton nouveau maître maintenant, je prendrai soin de toi" Il monta sur son cheval et regarda derrière lui ses compagnons tout en essayant de faire une sorte d'inventaire de leur état de santé. Il se retourna et se mit à regarder l'horizon en repensant à cette attaque. ¤Il va falloir que je m'entraîne encore je n'ai pas été rapide et fort pour protéger mes frères et sœurs. QUi étaient donc ses hommes ? En tout cas je suis sur d'une chose ils connaissaient notre destination et notre itinéraire, je n'aime pas ça j'espère qu’on ne nous a pas trahi au sein de la compagnie.¤ je suis de retour désolé mes chers compagnons, je vais pouvoir à nouveau poster assez régulièrement.

écrit par: Lye Samedi 18 Mars 2006 à 01h10

La jeune elfe noire a la crinière neigeuse était déjà sur le dos de sa monture. Perdue dans ses pensées, ses grands yeux crystalins rivés sur l'horizon, la prêtresse était si songeuse qu'elle n'entendait plus que le brouaa des conversations derrière elle sans chercher à en saisir le sens. Cette attaque la laissait inquiète... La présance plus que probable d'un traitre dans leur rang avait accentué sa méfiance et minimiser sa si fragile confiance. Etait il avec eux? se pouvait il que l'un de ses compagnons..... Toute éventualitée était possible, surtout qu'étant au centre de l'action chacun des membres de l'expedition était l'informateur idéal pour toute personne interessée. Cependant, si ça avait été le cas, se seraient ils ainsi aidé mutuellemant? Rien ne pouvait être sûr dans l'un et l'autre des cas, et la quesselle déjà peut confiante se décida à garder ses distances. Tôt ou tard, la jeune femme était bien décidée à trouver la clef de cette enigme et ceux qui en menaient les ficelles. Cette histoire de caravane en cachait elle d'autres? Le regard qu'elle sentit posé sur elle fit courir un frisson le long de son échine. Habituée à se dissimuler de tout ceux qui auraient put en vouloir à sa nature de drow, l'elfe noire se sentait presque menacée lorsqu'on la regardait trop longtemps en détails: un vieil instinc, peut être... Croisant de ses yeux limpides ceux de Mamon, elle cacha du mieux qu'elle put son malaise et lui rendit difficilemant son sourire avant de revenir à l'horizon, comme pour oublier qu'il la regardait. Ce n'était pas les fins vêtements rendus transparents par la pluie qui la rendaient mal à l'aise, c'était autre chose...un sentiment plus profond, plus encré en elle. N'ayant pas prété attention aux paroles échangées entre ses compagnons, Lye ne donna pas son avis pour les chevaux. Cependant, à la voir sur la jument il était certain qu'elle savait au moins se tenir sur un cheval.

écrit par: Morkab Caliban Samedi 18 Mars 2006 à 08h14

Narration Par mesure de sécurité et certainement parce qu’il s’agissait de la personne en qui elle avait absolument confiance, La ravissante Lye accepta Anariel à s’asseoir derrière elle à dos de monture, cette dernière ne sachant pas faire d’équitation. Dragan fit un faible sourire à la drow devenue quelque peu distante et qui n’avait pas répondu à son attitude courtoise. Sur son visage se dessinait l’anxiété qu’il ressentait intérieurement. L’engouement des premiers moments de la petite troupe semblait faire désormais place à une réalité plus morne et plus contrastée. Les obstacles, la pluie, les doutes et les craintes traçaient peu à peu leur sillon indélébile au sein de la petite équipée de la Compagnie. Kran, monté sur son cheval, demeurait très pensif. Ses interrogations et sa remise en question personnelle ne seraient pas inutiles à l’ensemble des frères et sœurs. Mamon, lui, flattait l’encolure de sa bête dans l’espoir de l’amadouer plus par empathie que par réelle compétence dans l’art de mener une monture. Alors qu’ils reprenaient tous la route de la Fourche en direction de l’Est sous la pluie qui ne cessait toujours pas de tomber fine et pénétrante, le spectre de la suspicion planait tel un oiseau de proie au dessus du cortège. Au bout d’une heure de chevauchée silencieuse qui reposa leur pied et facilita leur avancée dans cette boue collante qu’était devenu la route de terre, ils virent bientôt des formes indistinctes sur le bas-côté. En approchant, il fut clair qu’il ne s’agissait pas d’un embuscade, à laquelle tout le monde avait pensé au moins un instant, mais plutôt d’un carnage. Trois corps humanoïdes de taille moyenne gisaient à demi ensevelis dans la tourbière de la plaine. Des traces de lutte étaient encore clairement visibles malgré la pluie et indiquait qu’un combat certainement rapide avait eu lieu en cet endroit.

écrit par: Anariel Dimanche 19 Mars 2006 à 16h32

Ana, sentait au près de Lye, une effluve, un parfum d'inquiétude et d'anxiété, émanant du visage de sa douce amie, tout en montant sur le cheval, derrière la douce elfe à la peau d'ébène. Elle qui ne savait pas vraiment faire de l'équitation, était tout de même fascinée par cet art et désirée l'apprendre. Mais cette idée s'ôta de sa tête en sentant ce malaise....L'elfe posa son regard sur les autres, et se remémora le fait qu'il y avait un traître au sein même de la compagnie. Mais pour Ana, il était inimaginable qu'il puisse être un de ses frères ici présent...Elle ferma ses paupières, se rapprochant de lui pour lui susurrer ces quelques mots dans sa douce langue natale, afin de la rassurer. Connaissant celle ci, elle se doutait bien que Lye pensait que le traître pouvait être un des trois garçons, mais selon la dame lunaire, cela était impossible...Si ce serait un traître, ils ne se serait pas serrer les coudes, ils les auraient systématiquement trahie a la vue de leur acolyte, non cela était impossible, totalement impossible - Murmura Anariel a Lye, d'une voix douce et apaisante, comme une goutte de miel venant se poser sur une pétale de rose...Elle posa son regard de source sur le ciel gris. Elle soupira, espérant tout de même revoir ne serait qu'une brume de beau temps...Du moins, elle ne s'inquiétait plus pour les yeux de son amie, avec ce temps, le soleil ne risquait pas de lui brûler la rétine, du fait qu'il n'était guère visible depuis un certain temps. La demoiselle restait pensive pendant un court instant, qui lui parut pourtant long. Perdue dans ses songes, ses pensées, réfléchissant a cette histoire de trahison...Tout cela était si déroutant, comment ne pas y réfléchir a en perdre la tête? De plus Foragus n'avait toujours pas répondue, elle espérait recevoir une réponse prochainement, afin qu'il puisse les guider et éclairer leur lanterne. Il faut dire que la jeune Quesselle est inquiète pour eux... Lorsque que la chevauché commença, les pensée de la Dame se tournèrent vers le paysage, le contemplant d'un air neutre et calme, une lueur de pluie luisant dans ses yeux, comme elle luit dans le ciel... Elle sentait le vent lui frôler le visage, observait ses frères d'un calme olympiens, puis regardait a nouveau le ciel, d'un mouvement fin mais suivant une habitude s'installant a cette chevauchée.. Elle se sentait fatiguée par tous ces évènements..Mais la Quesselle était forte et elle saurât retrouver des ressources en elle même. Soudain, ils virent des silhouettes au loin. La peur lui enserra le coeur, même si elle avait tenter de persuader a Lye que tout ira bien, elle avait peur d'être a nouveau victime d'une embuscade... Mais en approchant, ils se rendirent compte que c'était plutôt ces humanoïde gisant sur le sol qui avaient était victime d'une attaque.

écrit par: Kran Lundi 20 Mars 2006 à 00h19

Le barbare s'approcha des corps étendus au sol en essayant de ne pas modifier les lieux du carnage avec les sabots de son cheval et en conservant une distance suffisante pour ne pas s'embourber. Il fit un bref aller retour devant les corps et tentât de trouver un indice du haut de sa monture. En même temps qu'il regarde, il analysait les lieux pour savoir s'il allait pouvoir descendre de sa monture en prêtant attention à la profondeur avec laquelle il s'enfonçait dans la boue et se penchait de temps en temps de part et d'autre de sa monture pour draguer le sol avec le manche de sa hache puis baissa son regard sur les quelques traces qui étaient autour des corps. La chose qui lui sauta aux yeux en premier fut la façon dont étaient disposés les humanoïdes, ils gisaient comme s’ils n'avaient pas eu le temps de se défendre et son attention revint sur les traces et s'adressa à ses compagnons. " Approchez-vous prudemment mes compagnons c'est une véritable tourbière mais est-ce que ces quelques traces vous disent quelque chose ? ¤leur dit-il en montrant du doigt les endroits ou il y avait des traces¤ Il faudrait sortir les corps de cette boue pour tenter de les identifier ou tout au moins essayer de trouver un indice sur leurs personnes ou aux alentours. Après le message que nous avons trouvé sur nos précédents assaillants, nous devrions nous méfier des routes que nous empruntons" Le spectacle n'était pas très amusant, même si le colosse était habitué à la vue du sang et des combats, l'état de ses corps traduisait la violence avec laquelle ils avaient été tués qui provoquerent un frisson dans le cou du barbare un bref instant.

écrit par: Mamon Mardi 21 Mars 2006 à 13h37

Depuis leur départ à cheval Mamon n’avait pas prononcé un mot, il était resté dans ses pensés. Il ne faisait même plus attention à la pluie qui n’avait toujours pas arrêté de tomber. Il essayait de savoir qui pouvait avoir eu vent de leur mission, il n’avait en tête que Théodus, Foragus et ses trois compagnons dans la salle, puis il pensa au paladin qui était arrivé après. Il devrait lui poser quelques questions pour essayer de savoir si quelqu’un était présent quand il reçut sa mission. Au moment ou il allait s’approcher du croisé, il fut stopper par la vu de silhouette étendue sur le sol. Il pensa aussitôt à une nouvelle embuscade mais ceci fut vite oublié à la vue du carnage qui avait eu lieu à cet endroit. Le prêtre descendit de son cheval et commença à effectuer des prières pour ces pauvres corps étendus la devant eux. Il essaya de retourner et d’examiner les corps pour deviner leur race et leur appartenance ethnique, il essaya aussi de voir ce qui les avait mit dans un tel état. Au fur et à mesure de son examen, le demi-elfe se sentait en proie à un mal être. La vue du sang et des blessures commençait à peser sur son estomac, alors quand il eut fini d’examiner les corps il se mit à l’écart pour réfléchir sur ce qu’il venait de voir.

écrit par: Morkab Caliban Jeudi 23 Mars 2006 à 18h12

Kran test de Survie 2(Dé)+1= 3 >< DD 15 = Echec Mamon test de Survie 14(Dé)+10 = 24 >< DD 15 = Réussite Narration Une fois descendus prudemment de cheval afin d’éviter de s’enliser dans la boue épaisse du bord de route, comme l’avait fait remarqué Kran à ses compagnons, le barbare et le dévot de Mailikki s’essayèrent à attirer à eux les corps des trépassés. Mais force était de constater qu’immobilisés ici sous la pluie, les cadavres s’étaient enfoncés dans la vase et refusaient obstinément de bouger sous les efforts à bout de bras des deux aventuriers. Lye et Anariel regardaient le spectacle, entre horreur et dégoût. Dragan, s’était une fois de plus approché des jeunes femmes, et se laissa aller à un commentaire d’une voix triste. - Ce voyage doit vous semblez bien différent de ce qu’il paraissait être au départ, n’est-ce pas ? Je regrette seulement que vous n’ayez de nouveau à contempler de vos yeux magnifiques pareille atrocité. La vie en ces terres désertées semble soudain bien courte et bien effrayante. Une voix familière s’éleva soudain dans la tête de la splendide drow, Foragus usait de son anneau pour lui communiquer un message. " Je suis désolé pour vous de ne pas en savoir plus au sujet des ces mercenaires, si traître il y a je vais tacher de me renseigner tandis que vous demeurerez prudents ma douce amie." Mamon, après étude des empreintes sur les lieux, pouvait assurer avec certitude que ce qui avait mit un terme rapide et définitif à l’existence de ces voyageurs était un animal. Un sanglier plus précisément et un sanglier de taille plutôt conséquente apparemment. Cependant, quelque chose dans la morphologie et de la répartition du poids lui permettait de penser qu’il ne s’agissait pas là d’une espèce ordinaire du règne animal, sans qu’il puisse en dire la nature exacte.

écrit par: Lye Jeudi 23 Mars 2006 à 19h33

Lye qui c'était au début contentée de suivre silencieusemant ses compagnons en se laissant bercer par le chant de la fine pluie qui ne semblait vouloir cesser de les suivre, s'arrêta net devant les cadavres. Les pupilles dilatées, le souffle coupé, ses pensées se mélangèrent dans sa tête. Malgré les apaisantes paroles de son amie, l'elfe noire n'était pas moins méfiante à l'égard de ses compagnons de route et ce nouveau massacre venait accentuer son incertitude. Au début, elle crut que ces pauvres personnes étaient des victimes de leurs précédents assaillants, mais le diagnostic de Mamon vint clore son hypothèse. Encore une fois, ils étaient confrontés à une autre énigme... La chance ne semblait pas vouloir leur sourire, rien d'ailleurs ici ne donnait de l'espoir. La voix du paladin la fit revenir à la réalité. Tournant ses grands yeux de crystal vers celui ci, elle lui adressa un timide sourire plus poli que sincère avant d'acquiescer. Sautant agilement de sa monture, la gracieuse prêtresse avança vers les corps mutilés au maximum qu’elle put, se penchant pour tenter de voir le visage de chacun. Les corps sans vie étaient trop loin pour qu’elle puisse les effleurer, mais elle n’avait pas besoin de cela pour imaginer la rigidité de leurs membres. Elle regretta de ne pouvoir voir de plus près les blessures mortelles qui leurs avaient arrachées son dernier souffle. Lye aurait cherché des traces sur les corps qu'aurait put laisser un sanglier pris d'une incontrôlable violence. Des traces de coup, de cornes... Tout en observant de loin, la frêle jeune femme s'interrogea sur les différentes possibilités de ces morts. Pourquoi un simple sanglier aurait il attaquer ces personnes? et ces gens...qui étaient ils vraiment? Bien que peut attachée à la forêt, elle avait passé un siècle assez près de celle ci pour avoir un minimum de connaissances sur ses plus nombreux occupants. Les sangliers n'étaient pas particulièrement agressifs, sauf effrayées ou inquiets pour leur progéniture. Comme tout herbivore, ils préféraient sans doute se tenir à l'écart des Hommes plutôt que de les attaquer. Cet assaillant était il une femelle perdue cherchant désespérément à protéger ses petits? L'elfe noire en doutait... De plus, le prêtre de la dame des forêts n'avaient nullement indiquer la présence d'empreintes de jeunes animaux pas seulement les traces d'une bête adulte et de bonne taille. Pourquoi un sanglier seul s'aventurerait sur une route et attaquerait un groupe de personnes? Ca ne paraissait pas vraiment...crédible. "Je suggère que nous rendions ces personnes à la terre qui les a porter jusqu'a leur mort... Mais comment allons-nous nous y prendre ?" Alors qu'elle jetait un dernier regard au "champ de bataille" l'elfe noire sursauta. La voix de Foragus rempli de chaleur son coeur refroidi par les évènements, malgré le peu d'informations qu'il lui apportait. Peut être n'était il auparavant au courant de rien, mais maintenant il était prévenu et pourrait se défendre. S'approchant d'Anariel, elle lui murmura à l'oreille: "Foragus m'a répondu, il ne sait rien mais au moins maintenant il est au courant" En lisant l'horreur qu'inspiraient le spectacle à son amie sur son visage, elle lui adressa un doux sourire plein d'affection de douceur: "Je donnerais tout ce que j'ai pour que jamais cela ne t'arrive… Mon amie."

écrit par: Anariel Samedi 25 Mars 2006 à 22h55

Ana horrifiée, tentant de dissimulée son effroi et l'horreur lisible au fond de ses yeux, en baissant légèrement la tête. Elle était habituée a nombres d'évènements, ayant parcourut les routes de Faerun, d'Evreska a Haute Foret, mais l'elfe n'avait jamais vécu de jour aussi sombre que celui ci. Elle verrat peut être pire au cour de sa vie, mais ce n'est jamais agréable a voir...Se crispant sur la monture, elle descendit a son tour, s'approchant des corps, essayant de comprendre le pourquoi du comment. D'après Mamon, se serait un Sanglier qui les aurait tuer. Mais il aurait fallut une bonne raison au sanglier de s'attaquer a des humanoïdes, rare était les cas ou ces animaux s'en prenait aux humains et autres humanoïdes, et cela était peu probable, même un sanglier de grande taille ne ferait pas autant de dégât. Mamon et Kran en avait du mal a bouger les corps....La jeune Quesselle soupira, se rapprochant de Lye, recherchant sa présence apaisante, etiant toujours la pour elle. Relevant la tête, elle révéla son visage imprégnée de tristesse et de dépit... Lye proposa que l'on enterre ces pauvres gens. Ana était pour, mais cela serait difficile...Quoi qu'ils était déjà a moitié enlisés dans la terre, ce qui facilitera quelque peu la tache...Par la suite, sa douce amie leur annonça que Foragus lui avait répondue, mais que malheureusement, il n'en savait guère plus. Mais rien que le fait que Foragus fut mis au courant soulagea la jeune elfe lunaire...Elle était toujours, dans son esprit, envahie de questions, a propos de cette embuscade subit il y a peu, de cette histoire de trahison, et maintenant, de ces innocents massacrés...Et toujours cette maudite pluie qui prenait un malin plaisir a les trempés jusqu'au os sans décidé de s'arrêter un jour...Mais Anariel faisait tout pour garder son calme, et la présence de sa chère amie y jouer beaucoup. Ouvrant largement ses prunelles de source, qui paraissait maintenant couleur pluie, comme celle qui énervait tant la jeune dame de lune, Ana écoutait les douces paroles de Lye, souriant légèrement a celle ci. Et elle lui répondit, en elfique. -

écrit par: Kran Dimanche 26 Mars 2006 à 01h24

Malgré sa force naturelle développée et l'aide de son compagnon Mammon, le colosse des montagnes abandonna essoufflé et se rendit à l'évidence que la terre n'allait pas leur donner ses corps aussi facilement qu'il ne l'avait pensé. Avec toute cette pluie le chemin ressemblait à une sorte de glaise très argileuse et les corps s'étaient comme enlisés comme s'ils se trouvaient dans ses sables mouvants. Lorsque l'analyse des traces restantes furent dite par Mammon, Kran n'en revenait pas comment un sanglier avait pu faire de tels dégâts à des êtres humains. Le barbare s'imagina dans sa tête une sorte de sanglier avec le gabarit et la force d'un ours mais il avait du mal à s'imaginer qu'une telle créature pouvait exister. ¤Je me demande si l'une de nos deux soeurs a déjà rencontré une telle créature ou peut etre que l'une d'entre elles en a déjà entendu parlé, je le leur demanderai plus tard, s'il ne nous arrive pas d'autre malheur.¤ Avec tous les versants de montagne parcourus et les animaux qu'il avait chassé, il n'en avait rencontré aucune qui soit capable d'un tel carnage. Alors il écouta les paroles de la jeune elfe et il fit un signe de tête pour approuver le fait qu 'il faille donner une place descente pour ses hommes. Mais la réponse donnée par Foragus ne le satisfaisait guère et du coup oublia de songer à une manière d'extirper les corps de cette mélasse et se remémora l'attaque auquel il avait été confrontée avant de rencontrer ses corps.

écrit par: Mamon Mercredi 29 Mars 2006 à 18h10

*Comment un sanglier peut-il faire un tel carnage.* Mamon réfléchissait et pensa à ce qu’il avait apprit, il n’y à pas si longtemps. * Ah moins que ce ne soit cette organisation qui essayerait de détruire la nature.* enfin il se retourna vers ses compagnons et leur dit ! -Vous avez raison un sanglier ne pourrait pas faire autant de carnage sauf si celui ci a subit une modification dut à de la magie maléfique. Il remis ses yeux sur ces cadavres qui le mettait mal à l’aise, enfin il répondit à la question de Kran avec un air triste. -Si nous les enterrons nous allons perdre beaucoup de temps vu l’état du sol, et du temps nous n’en avons pas assez. Il commença à faire des gestes symboliques au-dessus des corps et reprit. Je vais leurs donner leur dernier sacrement cela sera déjà une bonne chose pour les aider à trouver les repos éternels au quel ils ont le droit. Il ne dit plus un mot et resta là à psalmodier un cantique pour honorer le dernier voyage de ces pauvres malheureux.

écrit par: Morkab Caliban Jeudi 30 Mars 2006 à 13h44

Narration Malgré la volonté affirmée de certains de mettre en terre les dépouilles des pauvres malheureux qui gisaient dans la vase du bas-côté de la route, il étaient évident qu’un telle entreprise comportait bien trop de risques de se voir soi-même s’enliser dans la tourbière. Mamon se contenta donc d’administrer les derniers sacrements aux défunts. Au moins, il l’espérait, ce geste permettrait-il que leurs âmes trouvent le bon chemin jusqu’à la demeure de leur dieu. Mailikki, même si elle demeurait la maîtresse des animaux et de la flore, n’en était pas moins une déesse de bonté et il ne pouvait pas être dit qu’elle détournerait le regard sur l’horreur présente devant les yeux d’un de ses prêtres. En tant que serviteur de cette divinité forestière et du règne animal, Mamon ne pouvait s’empêcher de se questionne sur la nature étrange que lui inspirait les traces de la présence sur les lieux de se singulier animal. Kran et Dragan surveillait les environs en silence, certains tous deux que le petit groupe n’en avait pas fini avec les surprises d’un mauvais genre. Ils s’étaient tous lancés dans une aventure dont ils ne savaient pas s’il reviendraient vivants, et leur inexpérience les faisait certainement spéculer sur les complots qui se tramaient hors de leur vue par de sinistres ennemis et en venaient à imaginer les ombres qui pouvaient bien se tapir dans le cœur de leurs frères et leurs sœurs en qui ils avaient soi-disant toute confiance quelques heures auparavant. Au bout d’un moment, les compagnons finirent par s’ébranler, reprenant la route vers l’inconnu, bien obligés de laisser derrière eux les corps de ceux qui avaient eu moins de chance visiblement. Environ deux heures passèrent sans que rien de notable ne modifie le paysage, désormais devenu routinier, de la plaine qui s’étendait jusqu’aux contreforts des montagnes. Puis apparurent de gros nuages sombres annonciateurs d’une pluie encore plus drue. Et quelques minutes plus tard, un véritable abat d’eau leur tomba dessus en une averse diluvienne. Tout autour d’eux se formait un véritable écran où tout devenait indistinct et informe, même les sons étaient étouffés par un tel déluge, laissant les membres du groupe obligés de crier pour s’entendre parmi le vacarme environnant. Cinq mètres devant eux ils n’apercevaient plus la route sur laquelle ils chevauchaient. Chacun, le dos courbé sur sa monture, tentait comme il le pouvait de s’évader intérieurement pour prendre leur mal en patience. Chaque parcelle de leur corps était trempe et cela promettait de ne pas changer d’ici peu.

écrit par: Mamon Samedi 01 Avril 2006 à 16h36

Mamon n’avait pas arrêté de penser à tout ce qui venait de se passer depuis son arrivé à Sundabar. Il se demandait ce que lui et ses compagnons de route avaient pu faire pour que les dieux leur en veuillent ainsi, car pour l’instant la chance n’était pas avec eux depuis le début de ce voyage. Quand la pluie commença à tomber encore plus fort, le prêtre ne pût se contenir et commença à jurer en elfe. ’ ’ ’ Il savait bien qu’aucun dieux ne lui répondrait mais cela lui fit du bien. La fatigue et ses vêtements mouillés le démotivait, lui donnait envi de tout arrêter et faire demi-tour pour pouvoir s’étendre sur un lit moelleux et passer des vêtements secs. -Vous ne pensez pas qu’il faudrait vraiment trouver un endroit au sec ou l’ont pourraient allumer un feu et nous sécher? Demanda-t-il en criant un peu car le bruit de pluie couvrait le son de leurs voix.

écrit par: Kran Mercredi 05 Avril 2006 à 19h22

Le colosse des montagnes n'avait pas pensé à un début d'aventure si passionant et envoutant. L'attaque d'un troll, une embuscade, des cadavres mystérieux le long de leur route, tout ce qui pourrait mettre en joie un barbare digne de ce nom. La seule contrainte que Kran supportait de moins en moins était cette pluie, il préférait contrôler les évènements et ses éléments naturels commençaient à le taper sur le système mais il se tût tout de même pour ne pas décourager ces compagnons. ¤ Encore cette foutue pluie, on en finira donc jamais, en plus on ne voit pas à 10 mètres, j'espère que d'autre évèvenement sympathique ne vont pas avoir lieu. Faite qu'on arrive dans un endroit chaud et sec pour changer¤ marmonnait-il dans sa bouche avec la résonnance qu'impliquait sa grosse voie grave. Le barbare regardait la route se dégrader de plus en plus au fur et à mesure que la pluie tombait, elle devenait de moins en moins pratiquable. Ces vêtements et lui-même en avait plus qu'il n'en fallait pour absorber toute cette humidité qui dégoulinait le long de son manteau. Il commençait à patauger dans ses bottes et se disait intérieurement qu'il pairait cher pour avoir un bon repas, un bon feu et un bon lit au sec. Il se retourna pour contempler les visages de ses compagnons mais ce ne fut pas chose facile avec cette ondée, il discernat tout de même leur trait grossièrement.

écrit par: Morkab Caliban Mercredi 05 Avril 2006 à 23h48

Narration Le paladin rapprocha sa monture de celle de Mamon afin d’avoir à éviter de s’égosier en essayent de lui parler. Le jeune combattant aux traits nobles tirait machinalement sur les bords de sa capuche même s’il était évident que celle-ci ne remplissait plus son office à le protéger des intempéries. - Frère Mamon, comme à votre habitude vous parlez avec sagesse, mais je crois que nous aurions tôt fait de nous perdre ou de nous mettre en danger si nous venions à quitter cette route pour trouver un refuge à la pluie. Et comme vous l’avez constaté comme moi, je ne pense pas que ce soit au bord du chemin que nous en trouverons non plus. Il ne nous reste plus qu’à faire de notre mauvaise fortune bon cœur et à poursuivre notre avancée, je le crains. Kran observa les visages des deux jeunes femmes qui demeuraient maintenant muettes, préférant certainement garder leurs forces et chercher le courage de continuer sous cette épreuve que les forces de la nature s’amusaient à leur faire tomber dessus. Il était navré de ne pouvoir leur épargner pareil difficultés, sachant pertinemment qu’elles étaient d’un nature bien moins robuste que la sienne. Chemin faisant, le temps sembla vouloir s’améliorer et au bout d’une heure environ, les gros nuages noirs se firent moins denses et la pluie décrue dans son intensité, retrouvant peu à peu la petite bruine permanente à laquelle ils étaient rôdés depuis leur départ. Cette accalmie leur redonna un peu de baume au cœur et ils continuèrent leur route, sachant que rebrousser chemin ne mettrait pas un terme de toute manière à leur calvaire. Les heures passèrent et la petite troupe eût le plaisir en milieu d’après midi de voir s’installer une éclaircie. Ils restèrent durant plusieurs minutes perplexes sur le changement de temps mais finirent par se rendre à l’évidence qu’ils disposaient d’un peu de répit. " Loué soit Heaum !", s’exclama spontanément Dragan. " Les dieux ont entendu nos prières." Il arborait un sourire radieux et franc qui réchauffa quelque peu le cœur de ses compagnons.

écrit par: Anariel Dimanche 09 Avril 2006 à 16h09

Anariel qui était totalement dépitée, contrairement a Kran qui était content de toutes ces péripéties, mais qui semblait comme elle s'énervait de la pluie, baissa la tête, se rapprochant de sa douce amie sur la monture, afin de trouver un peu de réconfort dans ce monde morne. Écoutant a peine ses frères parler, elle observait la route, du haut de la monture menée par Lye...Elle finissait par être fatiguée intérieurement et physiquement, priant sa déesse que par magie elle fasse apparaître un rayon de soleil. Elle savait que Mystra n'était pas la déesse du soleil et du beau temps, mais elle était arrivée a ce stade de déprime lourde et pesante. Soupirant a nouveau, elle se regarda, puis observa les autres, puis le chemin.... *Tout est pesant....* Mais par la suite, au bout d'un certain temps, le temps s'éclaircissait... Elle ne l'aperçut pas directement, trop engourdis pour cela..Mais au fur et a mesure que les gros nuages disparurent peu a peu, un petit soleil réussit a luire a nouveau dans son coeur, réussissant même a lui soutirer un sourire de soulagement.. Elle leva les yeux au ciel, sentant que le temps se fit moins lourd. Cela retirer un poids au coeur, le mauvais temps en moins....Elle espérait que cela puissent continuer ainsi. Chose est sure les dieux avaient entendus leurs espérances...Elle espérait que cela continue, que le soleil brille de toute ses forces..Mais pas trop en même temps, pour ne point blesser les yeux de sa douce amie. *Ma dame merci infiniment...* Écoutant le crie de joie du Paladin, elle esquissa fin sourire, se dégourdissant un peu, essorant ses cheveux, sous cette éclaircit...Elle réveilla son corps en torpeur, ses tissus encore mouillés cependant, moulant ses formes féminines... Elle n'avait aucune pudeur, cela ne la gênait pas vraiment, c'était surtout l'humidité qui la gênait...Elle espérait qu'ils puissent se reposer, se sécher....Ils n'avaient plus de tentes, mais ils se débrouilleront bien...

écrit par: Mamon Lundi 17 Avril 2006 à 13h20

Heureux que la pluie laisse enfin la place au soleil, Mamon laissa échapper un cri de soulagement « ah! Enfin », il enleva sa capuche pour laisser ses cheveux sécher au vent et commença à remercier sa déesse. *Merci a vous reine de la nature, votre cadeau me remet du baume au cœur. * Le prêtre regarda ses compagnons et fut heureux de voir la joie sur le visage du paladin, en se retournant vers Lye, il ne put que comprendre son mal être. Il approcha son cheval du sien et commença à lui parler. -Ma chère amie, ne vous faite pas de souci comme cela. Lui dit-il avec un sourire réconfortant. Je suis prêt à mettre ma vie en jeu sur le fait que s’il y a un traître ce n’est pas l’un d’entre nous. Puis en montrant l’elfe de lune qui était assise derrière elle, il ajouta. De plus vous avez votre amie sur qui vous pouvez compter, pour m’à part je vous assure de vous protéger de mieux que je le peux, mon amour pour la nature et la beauté m’aidera. Après cette discussion il tournât tout cela dans son cerveau, devait-il dévoiler tout ce qu’il savait à ses nouveaux amis ou alors gardait encore le secret comme lui avait demandait l’homme mystérieux ?

écrit par: Morkab Caliban Jeudi 20 Avril 2006 à 09h09

Narration Peu après que le petit groupe ne continue son chemin, de gros nuages noirs refirent rapidement leur réapparition annonçant la fin de l’éclaircie. Un orage soudain s’abattit sur eux et de grands éclairs zébrèrent le ciel de magnifiques mais impressionnantes raies lumineuses. Les compagnons prenaient véritablement conscience de leur petitesse à être ainsi esseulés en pleine nature et à contempler toute la grandeur de sa puissance. Intimidés sous ce spectacle assourdissant, ils progressaient sur la route en file indienne lorsque la foudre tomba non loin d’eux dans un crépitement et une explosion d’étincelles et de feu. Malgré la distance qui les séparait du point d’impact, la détonation et la chaleur immédiate qu’ils subirent effrayèrent leurs montures. Kran fut projeté en arrière dans la boue lorsque son cheval se cabra. Celui de Lye rebroussa chemin au triple galop dans un hennissement plaintif tandis que sa queue s’était enflammée certainement atteinte par des projectiles minéraux incandescents jaillis de l’explosion. L’elfe noire s’accrochait aussi fort qu’elle le pouvait à la crinière et l’encolure de l’animal afin de ne pas se rompre les os dans cette folle cavalcade. La peur s’empara des montures des trois autres dont seul le cavalier émérite qu’était Dragan parvint à en reprendre le contrôle. Le destrier d’Anariel s’était écarté par geste réflexe de celui de sa compagne Drow et il s’embourba après quelques enjambées dans la plaine boueuse, provoquant un arrêt si brutal que l’elfe lunaire en avait basculé cul par-dessus tête pour s’étaler de tout son long dans la fange. Mamon tentait tant bien que mal de ne pas être expédié de sa monture dont il avait lâché la bride et qui s’enfuyait à toute vitesse sur la route en direction de l’Est. Le paladin derrière lui avait finalement décidé d’opter pour lui venir en aide et essayait de le rejoindre aussi vite qu’il le pouvait.

écrit par: Mamon Lundi 24 Avril 2006 à 19h57

Surpris lui aussi par la foudre, Mamon eu du mal à se retenir à la crinière de son cheval. Pour essayer de le calmer le prêtre utilisa son pouvoir de communication animal, il posa sa main gauche sur la tête de l’animal tout en se retenant avec l’autre à sa crinière et parla à sa monture avec une voix rassurante. -Tout doux mon ami ce n’est rien c’est juste la foudre qui est tombée plus loin! Il essayait de parler distinctement malgré la furie de l’animal affolé. Calme toi je suis avec toi tu ne risque rien je te l’assure. Le demi-elfe mettait tout son cœur et son amour pour que son destrier ce calme et qu’il puisse aider les autres qui eux aussi avaient des problèmes avec leurs montures. La chance n’était pas de leur coté en ce moment, les dieux les avaient- il oubliées? Ou alors une entité supérieure et malveillante les aurait-il prit en grippe? Tout cela commençait à traverser l’esprit de Mamon. Le prêtre espérait vraiment pouvoir calmer son chaval, car à cette allure il ne tiendrait pas longtemps dans cette position. La douleur commençait à arriver dans sa main qui serrait de toutes ses forces la criniére du déstrier.

écrit par: Kran Lundi 01 Mai 2006 à 23h06

La vivacité de l'éclair fut telle que le barbare ne put contrôler son cheval et se retrouva les quatre fers en l'air à patauger dans la boue. ¤Manquait plus que ça, je n'étais pas encore assez mouillé. Le temps ne veut pas de nous ou alors soit un grand mage est contre nous soit nous avons la poisse, je ferai mieux d'utiliser mon temps pour me mettre à l'abri et voir si je peux aider les autres.¤ Le barbare se releva tant bien que mal car le sol était tellement imbibé d'eau que l'on se croyait au beau milieu d'un marécage. Compte tenu de sa taille, il y arriva et regarda dans toutes les directions pour voir ou se trouvait sa monture et d'un autre coup d’œil regardait ou en étaient ses compagnons. Le colosse des montagnes assista à la scène et vit l'elfe lunaire elle aussi projetée dans la boue. Il décida d'aller dans sa direction afin de l'aider à sortir de cette mélasse non pas parce qu'il doutait de ses capacités mais pour montrer que malgré son coté de barbare, il savait parfois se comporter comme un homme bien élevé et dévoué envers ses compagnons surtout lorsqu'il s'agissait d'une jolie damoiselle.

écrit par: Morkab Caliban Vendredi 05 Mai 2006 à 07h12

Narration Eclaté en tout sens le petit groupe tentait comme il le pouvait de se rallier. Mais pour certains cette épreuve serait peut-être celle de trop. La pluie, les combats avaient sapé peu à peu la détermination première qui était la leur. Seul les plus vaillants d’entre eux pourraient tenir bon et aller de l’avant malgré le danger afin d’assumer la mission qu’on leur avait confié. Les autres auront certainement profité de ce dernier évènement pour fuir, battre en retraite vers la sécurité de la ville fortifiée de Sundabar et de ses hauts murs, mais qui auraient pu leur en tenir rigueur ? Voilà, pour cause d’absentéisme chronique des membres dans le postage, je donne à ce stade la possibilité à ceux qui le souhaitent de quitter l’aventure. Dans le cas où personne ne se manifesterait sous peu, la quête serait close. Ceux qui sont prêts à poursuivre le formule dans leur prochain post en intégrant le fait qu’ils passent le reste de l’après-midi à chercher les autres après avoir stopper leurs montures.

écrit par: Mamon Samedi 06 Mai 2006 à 12h46

Le prêtre ne voyant plus ses compagnons dans les environs ne savait quoi penser, ils retourna vers l’endroit ou la foudre avait apeuré les montures. Arrivé sur place Mamon les appela de toutes ses forces en criant leurs noms, il écoutait attentivement le moindre son qui aurait pu lui dire qu’ils étaient encore envie. *Sont-ils morts? Ou seraient-ils repartis vers Sundabard? Que dois-je faire continuer ou rebrousser chemin ? * Le prêtre se posait beaucoup de question, le doute s’installer en lui, il avait pourtant donné sa parole qui ferait de son mieux. Après avoir attendu quelques minutes sous la pluie sans voir un seul de ses compagnons, il prit le chemin en direction du désert. *Je tiendrais ma promesse et trouverais ce qui c’est passé. Maïlikki aide-moi dans mon périple et donne moi la force de continuer seul. * Sous la pluie battante le prêtre continua sa route en espérant revoir ses compagnons d’infortune, il espérait grandement trouver le reste de la compagnie. Je suis pret à continer l'histoire si du monde continu aussi. je sais que je suis en faute car l'absentéisme à commencer par moi avec mon souci personnel. je pense avoir fait de mon mieux pour recuperer mon retard mais les autres ce sont absenter aussi. donc pour moi l'ennuie c'etait installé, mais je suis toujours partant pour continuer ou si ce n'est pas le cas intégrer un autre groupe qui aurait besoin des services d'un pretre/druide de mon experience

écrit par: Kran Lundi 08 Mai 2006 à 22h57

Kran se tenait désormais debout entrain de patauger dans la boue et arriva à l'endroit ou il croyait pouvoir secourir la jeune elfe mais à sa grande surprise il n'y avait personne entre quelques coups de tonnerres il écoutait attentivement un signe de ses compagnons et entendit la voie de l'un d'entre eux mais il n'arrivait pas à le situer physiquement. Alors il se fit le plus grand possible et se mit également à se manifester par quelque hurlement à faire fuir les ours les plus féroces mais au moins il serait sur que l'un de ses compagnons l'entendrait. La pluie et l'orage commençaient à être enervant alors le barbare décida rechercher de l'équipement ou d'autre artefact qui aurait pu tomber de l'une des montures de ses compagnons et se tenait à moitié debout en tâtant les mains enfouies dans la boue. ¤ Mais ou est ce qu'ils sont bordel ? J'espère que ce n'est pas la foudre, pour le troll je comprends mais la. Tiens j'entends une voie d'homme dans cette direction, on dirait celle de Mammon. Je vais tacher de me diriger vers lui, je vais tacher de lui faire savoir que je suis encore là¤

écrit par: Mamon Mardi 09 Mai 2006 à 18h36

Heureux d’entendre la voix grave du barbare, Mamon eut un énorme soulagement il y avait encore du monde vivant ou présent. Le prêtre se dirigea vers la voix et cria lui aussi. -Je suis ici je me dirige vers ta voix!!! L’on pouvait entendre l ‘excitation de joie d’avoir retrouver l’un des membres du groupe. Tout ceci laisser à penser que les autres eux aussi était dans les parages. Tout en se dirigeant vers Kran le demi-elfe commença à appeler aussi les autres. « Lye, Anariel ou êtes vous ? Répondez? Kran et moi somme ici, dirigez-vous avec nos voix » Pourquoi avaient-ils disparus, peut être que le barbare avez vu ce qui c’était passé.Il les avait peut être vu fuir ou alors la direction dans laquelle elle était parti.

écrit par: Kran Mardi 09 Mai 2006 à 22h26

Le colosse des montagnes n'avait pas rêvé ce n'était ni l'orage ni le vent qui se propageaient dans les arbres mais c'était bien la voix d'un de ses compagnons, celle de Mamon. Il fût légèrement rassuré car le fait que ses compagnons avaient pris peur et s'étaient échappés ou pire encore qu'ils étaient complices de la précédente attaque lui avait traversé l'esprit mais s'atténua de nouveau lorsqu'il entendit encore celle de Mamon. Il n'arrivait toujours pas à le distinguer réellement mais il semblait apercevoir une silhouette au loin et continuait de donner des signes de vie en l'appelant lui et les autres. Jusqu'à présent aucun des autres membres n'avait répondu, leur étaient-ils arrivé un malheur peut être que Mamon avait aperçu quelque chose car depuis que le barbare avait été désarçonné de sa monture il n'avait entendu que le vent et l'orage et à présent la voix de son compagnon Mamon. Le temps avait-il eu raison de ses compagnons ou bien ce troll avait retrouvé nos traces ou pire encore un autre groupe de cavaliers les aurait interceptés, nul ne le savait. Kran se devait de penser à reformer un groupe avec les quelques personnes qui restaient[ et faire un bilan des vivres et des choses utiles encore exploitables.

écrit par: Dragan Jeudi 11 Mai 2006 à 04h51

Encore étourdit par les évènements passés, Dragan songeait à la conduite à tenir. Il s’était tenu aux côtés du prêtre de Mailikki depuis que la foudre avait scindé le groupe, mais celui-ci semblait tellement soucieux du sort des autres membres de la Compagnie qu’il paraissait à peine l’avoir remarqué. Cela dit, il comprenait évidemment son inquiétude et la partageait même, bien qu’il ne les connut que depuis peu de temps. En cavalier expérimenté, il se dressa sur les étriers de sa monture afin de mieux pouvoir scruter l’horizon. La pluie lui tombait sur le visage en un voile permanent mais il espérait pouvoir apercevoir quelque indice par ce moyen. Maintenant qu’ils entendaient la voix de Kran, il se mit à héler lui aussi, ne l’ayant pas déjà fait de peur de couvrir les possibles appels des autres. - Kraaaaan ! Nous sommes là, l’ami ! Mamon et moi sommes sains et saufs ! Il talonna légèrement sa monture pour la pousser en avant tout en l’admonestant de claquements de langue. - Venez, Mamon. Il ne doit point être loin, malgré cette ondée nous allons le trouver sans tarder.

écrit par: Morkab Caliban Vendredi 12 Mai 2006 à 07h23

La nuit tombait déjà lorsque les trois hommes se retrouvèrent enfin après avoir erré à la recherche les uns des autres suite à cette catastrophique séparation orchestrée par la furie des éléments. Ils passèrent ensuite quelques temps à inspecter les traces subsistant de leur cavalcade afin de trouver quelque indice de la présence de leurs deux compagnes, mais au bout d'un certain temps ils durent se rendre à l'évidence qu'avec l'obscurité ils ne pourraient en savoir plus. Alors qu’ils s’apprêtaient à patienter jusqu'au petit jour afin de reprendre leurs recherches, l'anneau de Mamon se mit à scintiller et une voix familière souffla dans son esprit, c'était celle de Lye. "Anariel et moi sommes ensemble, celle-ci est blessée et épuisées, nous rentrons à Sundabar." Les mots simples soulagèrent les trois hommes qui commençaient réellement à s'inquiéter pour la vie des deux elfes. N'ayant que trop pris de retard avec cette mauvaise farce des cieux, le trio se remit en route malgré les ténèbres de la nuit qui les avaient enveloppé. Il leu restait une enquête à mener et tout semblait se liguer pour leur compliquer la tâche... Après deux heures d'un trajet nocturne assez angoissant où la pluie poursuivait d'arroser inlassablement nos vaillants aventuriers, une lueur se fit perceptible un peu plus loin. Quelqu'un semblait brandir une torche qui pourtant ne s'éteignait pas malgré l'abat d'eau qui tombait sur leur tête. Des bruits de lutte furent bientôt tèés distinctement perçus. La suite : Ici Vous arriverez sur les lieux d'un combat, vous pouvez poster avec les autres protagonistes de l'histoire en sachant que d'éventuelles actions ne prendront effet qu'à la fin du round.