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La Taverne des Royaumes Oubliés > Quête : Un rat au Coutelas > ۝ Les petits rats sous le Coutelas ۝


écrit par: Atlas Vendredi 30 Décembre 2011 à 09h37
Suite de : Un rat au Coutelas

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- Et bien toi alors ! Je doute que ces murs aient déjà entendu un rire aussi franc, voilà qui est des plus plaisants ! Fais attention où tu marches ou tu risques bien …
PARCHEMIN
Jet d’équilibre DD15 (sol inégal, glissant) : 11(D20) + 2 = 13 : échec (marge de 2, pas de chute)

- … de patauger dans la fange !

L’Elian se récupéra de justesse, son pied droit prenant appui, dans ses petits pas de danse, sur une large dalle de pierre plus glissante que la précédente. La rive bâbord de l’égout qu’ils longeaient – comme l’autre d’ailleurs – ne faisait guère plus d’un demi-mètre de large, la voute la réduisant de beaucoup pour quiconque était plus grand que la Hin.

Le couloir se perdait dans l’obscurité. La lueur des danseurs flammèches avaient ce désavantage d’éclairer très bien le sol brillant … mais dans un rayon de cinq petits mètres à peine. A l’extérieur de cette sphère de lueur s’étendait des ténèbres habitées.

Il leur semblait qu’une multitude de créatures avaient soudain pris vie sous les rais de lueurs de leurs propres ombres et sans doute en était-il ainsi. Les goutes suintantes de condensation, des mouvements dans l’eau que le froid rendait –une chance- moins odorante que par temps chaud, des algues ou mousses s’accrochant tristement aux maçonneries, le décor prêtait plus au dégout qu’au rire.


- Sois-en sur, le Capitaine ne nous lance pas à sa recherche pour rien!

Sur la rive droite, en face du couple improbable, un rat, repu de sa prise dans la taverne, les regardait passer, dressé sur ses pattes arrière.
PARCHEMIN
Jet de perception auditive contre discrétion DD?? : 17(D20) -1 = 16 : échec

Soudain ses moustaches fouettèrent l’air autour de son museau tendu et de ses oreilles dressées et il bondit en avant dans la même direction qu’eux comme si une nuée de chats était à ses trousses.

Zéphyr ne l'avait probablement pas remarqué mais quelque chose la força à se retourner face à l'Elian, une lueur inquiète dans le regard : - "
Il semble que le moment soit venu de voir si tu sais manier cette belle lame. Suis-moi!"

Un danseur quitta l'auréole de lumière de la Hin, contournant Fairïe pour remonter l'égout ... et dessiner le contour d'un couple de créatures bien trop grosses -plus d'un mètre de long- pour être des rats normaux. La Danseuse de Vent se retourna et bondit jusqu'à ce que le tunnel s'élargisse en une salle plus large, à la jonction d'un autre conduit sous-terrain.

écrit par: Fairië Atala Vendredi 13 Janvier 2012 à 15h44
Courant dans les pas de la jeune Hin, Zéphyr pouvait cependant toujours entendre un léger rire cristallin lui parvenir dans son dos. Voir ainsi le visage qu’arborait le Psion, ne pouvait que certifier la bulle dans laquelle il semblait évoluer. Son larges sourire ne quittant toujours pas son visage, il semblait pour un œil extérieur, n’absolument pas prendre en considération la situation dans laquelle il se trouvait actuellement. S’amusant comme s’il jouait à une partie d’un jeu quelconque enfantin.

-(commun) Et bien dis donc. Moi qui pensait que nous allions jouer les touristes et passer un bon moment. Je dois dire que j’ai fait fausse route ! Mais que c’est excitant ma jeune amie. Se stoppant à la suite de Zéphyr, il reprit. D’ailleurs je dois dire que cette folle course poursuite me rappel bien des souvenirs. Surtout avec ce jeune cousin Quevard. Il ne cessait de nous poursuivre, moi et Etylia dans les galeries du clan Pierrefendue. Son rire retentit encore. Que de bon souvenir. Et sinon ma jeune ami que faisons nous ?
Posant la question comme s’il était sur un jeu de piste, attendant le prochain indice.


Si Zéphyr décide de faire face :
- Fairië lance Armure inertielle ( pas de dissimulation de l’effet visuel) espérant que sa l’éclairera quelque peu.
-Dégaine son épée
-Attaquera le rat le plus près de lui avec assaut mental



hrp.gif je suis vraiment désolé pour l'attente. en ce moment tout est assez tranquille maintenant donc je pourrais poster très rapidement.

écrit par: Atlas Mardi 17 Janvier 2012 à 23h32
PARCHEMIN
Marcher à allure normale sur un terrain glissant confère une pénalité de –5.
Courir sur une telle surface nécessite autant de jets que le multiplicateur de distance (2 sont suffisants)

Jet d’équilibre de Fairïe DC15 : 18(dé) +2 -5 (avancée rapide) : réussite
Jet d’équilibre de Fairïe DC15 : 14(dé) +2 -5 (avancée rapide) : échec (pas de chute)

Vu sa taille, le rat sanguinaire n’est pas soumis au jet d’équilibre, la largeur lui est suffisante.

Fairïe est pris au dépourvu (CA: 10)
Rat Sanguinaire 1 attaque : 8(dé) +4 = 12 : réussite
Dégâts : 1D4 = 3
Maladie : jet de vigueur DC 11 : 5 (dé) +2 = 7 : échec
Fairïe est infecté par la fièvre des marais
Jet d’équilibre de Fairïe DC15 : 17(dé) +2 = 19 : réussite, Fairïe ne tombe pas


Il est bon de rire du Destin, de lui signifier à chaque occasion qu’il n’aura sur nos vies que la prise qu’on lui accorde. Souvent. Mais peut-être pas dans les profondeurs glissantes de Luskan, un couple de rats de plus d’un mètre de long sur les talons. A la douce folie de l’Elian, une des deux créatures bondit vers le dos offert et enfonça des incisives aussi longues que des dagues dans la jambe virevoltante, s’y enfonçant sans difficulté. Il n'avait pas eu le temps de se retourner à temps ...

Aussitôt, Fairïe sentit que la morsure lui brulait trop et que l’infection s’y engageait déjà. Il eut juste le temps de voir de l’incompréhension dans le regard de la Danseuse avant de se retourner pour faire face à son agresseur.

Fairïe utilise son Armure inertielle

Un instant trop tard pour éviter la morsure, il activa son énergie psionique créant autour de lui une véritable armure. Sa large épée en main, il était enfin prêt à en découdre...


Initiative
Fairïe : 17(dé) +2 = 19
Zéphyr : 19(dé) +4 = 23
Rat sanguinaire 1 : 12(dé) +3 = 15
Rat sanguinaire 2 : 4(dé) +3 = 7

Dans son dos la danseuse chantait un air rassurant, apportant aussitôt un réconfort bienveillant.

Zéphyr lance Soins légers, Fairïe récupère tous ses points de vie.

hrp.gif Tu peux améliorer un jet de sauvegarde ou réduire des dégâts au prix d’une action immédiate … à laquelle tu n’as pas accès quand tu es pris au dépourvu.

écrit par: Fairië Atala Jeudi 19 Janvier 2012 à 16h43
Fermant les yeux une courte poignées de seconde, il laissa la voix de la jeune Hin lui parvenir aux oreilles. Bourdonnant de douleurs, le chant lui insuffla une chaleureuse sensation de chaleur parcourant ses membres et atténuant le mal. Pourtant il sentait un mal plus pernicieux s’insinuer en lui mais ce n’était ni le lieux ni le bon moment pour l’éradiquer.

Blesser, infecter, pataugeant dans les égouts de Luskan, tout cela n’affecta pourtant pas l’humeur de l’Elian. Arborant un large sourire
:
-(commun) Et bien ma chère Zéphyr. Votre voix est digne des plus grandes. Bien que et cela m’ennuie quelques peu de vous le dire mais ne surpasse pas cette elfe à Phent, que nous avions l’habitude de voir autrefois. Le poids de son imposante lame reposant à même le sol, le visage de l’Elian semblait réellement laisser deviner qu’il cherchait quelque chose. Ma.. Mi..non s’était un Ni … Niniel ! je la tiens.
Ramenant sa main droite à coté de sa gauche tenant fermement son imposante lame, il bandit ses muscles. Un son strident retentit à travers les égouts de Luskan, un gerbe d’étincelle naquit laissant sa lame prendre son envol dans un arc de cercle, de bas en haut vers le rat sanguinaire.

Malgré la tension naissante, la voix de Fairië résonna alors même que son mouvement s’enclenchait.
-(commun) Lorsque nous sortirons de ce lieux, j’accompagnerai votre voix de ma modeste contribution.

Attaque le rat face à lui.

hrp.gif J’attend de voir les résultats des dés. Et je verrai si j’utilise résilience améliorée ou non suivant les dégâts que me fait le rat.
PS : en revanche la prochaine fois essaye d’être un peu plus clair. Je parle notamment pour le sol glissant. Très honnêtement j’avais pas du tout compris que tout le sol des égouts étaient comme cela.

écrit par: Atlas Lundi 23 Janvier 2012 à 22h47
Même le poison n’atteindrait le Cœur de l’Elian, ainsi resterait Fairïe, à l’abri de la peur, du dégout, de la douleur des entrailles de la Cité des Voiles. Seule l’idée de brimer la Liberté avait réussi à l’atteindre jusque-là.

Zéphyr n'arrêtait pas de chanter même si elle avait changé d'air pour un autre bien plus inquiétant d'une langue qu'il ne comprenait pas

Le deuxième rat avait bondit au-dessus du canal de l’égout pour contourner le premier, courant pour se trouver à son niveau, sur sa gauche, prêt à retraverser mais hésitant au dernier moment en entendant l'air sinistre.

Quand un Danseur s'écarta pour prendre place sur la lame, dans un cri strident, il se redressa sur ses pattes arrière, les oreilles dressées et les moustaches frémissantes. Dans un bon, il fuit le cercle de lumière, suivant sans le savoir le rat –bien plus commun- au ventre plein des prises du Coutelas.

Zéphyr lance un sort
Rat sanguinaire 2 s'enfuie


Ce fut au tour de Fairïe d'entrer en scène, d’un geste parfait de cette épée trop grande, il trancha l’air et la créature comme s’il traversait l’éther. Entre les oreilles basses du rat, tranchant le crane dans un fracas aussi sinistre que le décor et laissant glisser la cervelle, dans une gerbe de sang sur les dalles. La carcasse tressaillit, spasme d’un système nerveux soudain brisé.

Attaque à l'épée à 2 mains de maitre : 19(dé) critique possible
17(dé) +3 : critique confirmé

dégâts : (4+5) x2 +2 = 20 pts
Rat sanguinaire 1 meurt


Une pointe de regret, presque de tristesse, perla dans le regard de Zéphyr. Elle secouait la tête en terminant un vers de la chanson qui avait soigné le guerrier d’un instant : - « Et bien … voilà que l’acrobate se fait tueur. La créature ne t’a pas raté non plus semble-t-il, mon chant aurait dû te remettre plus en forme, te voilà bien pâle … Poursuivons, à pas, il y a trop de rats ici, ce n'est pas normale. Allons-y petit danseur, comptons que nous trouverons un antidote au marché.»

écrit par: Fairië Atala Mercredi 25 Janvier 2012 à 00h13
Le visage taché de sang de la créature qu’il venait d’occire, Fairië offrait à Zéphyr une scène qu’elle n’avait peu être encore jamais vu. Droit face à elle, le visage moucheté de sang et légèrement incliné, l’Elian lui adressa son large sourire habituel qui, à cet instant et dans cette situation, ressemblait davantage à une folie meurtrière qu’à de la bienveillance. Etait ce l’un ou l’autre ? La réponse n’appartenait qu’à Fairië lui-même.

Sa lame imposante reposant au sol, il porta son regard de jade sur son arme. Le sang tachant la lame lui fit changer radicalement d’expression. Encore un de ces changements imprévisibles et rapide de l’Elian. D’un large sourire, il passa à des traits tirés par l’inquiétude et sans doute une pointe d’énervement. Tirant de son sac un vieux bout de tissu, il se hâta d’essuyer sa lame sous le regard de Zhéphyr, ne lui prêtant plus aucune attention. La Hin pouvait cependant voir que le nettoyage de l’Elian se fit de plus en plus précise à mesure qu’il s’approchait d’une inscription en elfique qu’arborait la lame. Sa besogne accompli, il empoigna à deux mains son arme visiblement trop lourde pour lui, et la porta à son visage qui rayonna de nouveau. La scellant de nouveau aux lanières de cuir reposant ainsi dans son dos, son regard se porta de nouveau vers la Hin.

Son franc sourire aux lèvres, il plongea son regards dans celui de Zhéphyr. Pendant une fraction de seconde, la Hin put sans doute apercevoir un regard presque inhumain, comme si celui-ci reflétait une histoire bien trop longue pour un jeune homme de l’âge de Fairië. D’une voix presque mélancolique et douce :

-(commun) La liberté nait de la souffrance ma jeune amie. Cette phrase prend peu être plus de sens lorsqu’elle s’attache à l’esclave voulant briser ses chaines. Mais elle peut également s’appliquer en ces lieux. Ouvrant les bras comme pour lui montrer l’endroit où ils se trouvaient. J’ai gagné la liberté de vivre en imposant souffrance et mort à cette créature. Comme elle a essayé de m’imposer la sienne il y a quelques secondes. Alors si l’on doit me nommer « tueur » pour gagner cette liberté de vivre alors je porterai le fardeau de ce titre. Puis d’un claquement de doigt, son visage refléta de nouveau la gaité. Voulant se lancer dans une série de petit bond pour réduire la distance qui le séparait de la Hin, il remit en cause cette décision et préféra marcher normalement, mais ne put s’empêcher de se lancer dans une série de mimiques des bras. J’espère que vous avez raison ma jeune amie, je ne me sens pas tout à fait en plein forme. Puis lançant un clin d’œil vers la Hin. Mais je ne peux mourir maintenant. Je dois donner mon nom à ma future île n’oubliez pas ! Levant l’index comme s'l se rappela soudain de quelques choses. Oh, mais si je meurs malgré tout ! pensez à déposer mon corps dans l’Océan. Cela sera digne du grand aventurier que je suis ! Bombant le torse marquant la pause. Les bardes chanteront mes louanges ... ou du moins je l'espere. aucun barde n'a encore voulu m'accompagner pourtant ce n'est pas faute d’avoir demandé. Puis reprenant le chemin indiqué par Zhéphyr il se mit à éclater de son rire maintenant familier à la Hin.

...

écrit par: Atlas Mardi 31 Janvier 2012 à 22h53
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Zéphyr étudia plus gravement qu’elle ne l’aurait souhaité cet humain qu’elle doutait à présent qu’il soit. Peu nombreux sur Toril -et ailleurs d'ailleurs- sont ceux à avoir voyagé aussi loin et à tant d’endroits qu’un Danseur de Vent et parmi ses sœurs si elle n’était pas la plus habile dans la manipulation de la Toile, aucune n’avait son pareil dans les connaissances obscures.

Elle avait reconnu l’écriture elfique d’un autre temps du premier coup d’œil et avait vu clair dans ce regard qui n’avait soudain plus rien d’humain. Mais connaitre mystères et secrets au delà de la norme lui avait enlevé la surprise face à son exemple.


- Sois-en sur Faïrie Atala ! Que tu parviennes ou non jusqu’à l’Île-aux-Rubis, je demanderai au Capitaine Bansh qu’elle porte ton nom et lui chanterai, de mon mieux, tes hauts faits, oh danseur avide de Liberté !

Singeant des bras les curieuses mimiques, elle conclue d’un : -
"Un barde, voilà définitivement une curieuse appellation pour nous autres artistes ! Je n'irai pas avec toi jusqu'au bout du voyage mais d'ici là, je conterai au monde tes plus hauts faits, sois-en sur !"

Elle avait bien entendu sa demande de mise en mer mais que ce soit de ne pas vouloir considérer cette idée ou de ne pas se sentir capable de trainer un corps des égouts à l'océan, elle n'en fit pas mention.

Menant la route, la Hin lança pour elle-même : -
"Par où était-ce encore? Ah oui, à droite ... tout droit ... puis à gauche."

Un danseur de plus quitta la couronne de lumière de Zéphyr et bondit en tournoyant dans le couloir. Jusqu'à la prochaine rencontre heureuse ou malheureuse. Et celle-ci ne tarderait peut-être pas.

Au loin, face à eux où ils auraient du tourner à droite, une masse informe était étendue sur le sol. Vivante ou pas? Impossible à dire de là.

écrit par: Sphinx Aodren Mercredi 01 Février 2012 à 19h11
Sphinx ne savait pas ou elle se trouvait exactement. Sur un sol dur, suintant l’humidité par tous les ports de la terre et des pierres qui se trouvai sous et autour d’elle. Elle se concentra tout d’abor afin de faire s’ouvrir ses satanées paupières qui pesaient au moins la valeur d’une bource bien remplis de pièces d’or chacune.

¤ Bien, sa pour le moment on oublie comme apparemment tous le reste de mon corps. Mais bordel que c’est t’il passé. Réfléchit …… rien … réfléchit mieux …. Toujours rien. ¤

Voilà qu’elle se retrouve bloqué dans un endroit qui empeste la moisissure, sans doute du a cette humidité ambiante, avec un trou noir a la place de se qui devrait faire partie de sa mémoire se qui ne lui permet pas de se faire une réel idée de la situation. Montré un signe de vie pour ne pas se faire dévoré part les charognards des environs lui parait une bonne idée mais impossible. Appeler a l’aide idem on ne sait pas dans se genre d’endroits se qui peut si cacher et hurler comme une folle pour de l’aide n’est pas forcément recommandé. Au moins ses oreilles elles ne lui font pas default elle se concentra donc sur les bruit ambiant c’est là qu’elle perçut des bruit de pas. Se cacher, elle banda tous ses muscle mais sans résultat. Paniqué et en même temps soulagé. Le sentiment se précisera quant elle saura si les bruit de pas provienne d’un coupe jarret ou d’une aide providentiel pour le moment elle ne peut que attendre et tenté d’ouvrir suffisamment les yeux pour voir les alentour et se qui approche.

Le cœur battant a tous rompre, la concentration, l’acharnement pour voir se qui se trouve là, se qui approche, fit que le temps sembla comme figé, imperturbable, sauf part les échos de se qui était en marche, se qui peut être mettra déjà fin a sa vie.

écrit par: Fairië Atala Jeudi 02 Février 2012 à 14h52
-(commun) Et bien ma tendre Zéphyr, vous égayez ma journée. Partant comme à son habitude, dans une série d’applaudissement du bout de ses doigts, il regarda du coin de l’œil de ces grands yeux de jade pétillants de malice la jeune Hin. Et c’est tout en marchant l’index en l’air qu’il continua. Ma chère, surtout n’ayons pas peur d’embellir la chose. Levant son majeur. Ensuite nous devrions nous mettre d’accord sur notre bataille épique et dantesque. Jetant un clin d’œil à Zéphyr de son large sourire. Mentir à parfois du bon quelques fois. Eclatant de son rire il reprit marchant à grande levée de jambe. Que pensez vous d’une courageuse bataille, vous moi et … stoppant net sa progression il se tourna d’un bond vers la Hin. Evitons de dire face à ces rats géants, je dois dire que cela manque de panache. Surtout si je meurs dans les heures qui suivent. Puis tournoyant sur lui-même dans un demi cercle, il continua son avancé. Auriez vous quelques idées à suggérer, comme par exemple … coupant court à son monologue, l’Elian s’arrêta brusquement à plusieurs mètres devant une tâche informe à même la pierre humide.

Se tournant vers la danseuse :

-(commun) Allons nous avoir notre seconde batailles épiques de la matinée. Un léger ricanement sortit des lèvres de Fairië. Avançant sur la pointe des pieds, surjouant la discrétion, il s’amusa davantage de la situation ponctuant ses pas par ses mimiques gestuelles de bras, que la Hin connaissait maintenant.
Ce n’est qu’une fois arrive quelques mètres, éclairer par un des danseurs de Zéphyr, que Fairië cessa son jeu théâtrale.

-(commun) Et bien ma chère, il semblerai que nous n’aurons pas notre bataille historique. A moins que les rats savent maintenant se changer en d’aussi jolie créature ! Faisant chanter de nouveau son rire cristallin, l’Elian s’avança en un petite bond aux cotés de la jeune demie elfe. S’accroupissant face à son visage, son large sourire au lèvres, il posa délicatement sa main droite sur le dos de la jeune créature.
- (elfique) Il semblerai, jolie jeune fille, que vous soyez en bien mauvaise état. Qui a donc bien pu vous mettre dans cette situation ?
Tournant la tête vers Zhéphyr.
-(commun) Ma douce chanteuse, pourriez vous lui faire entendre une de vos compositions. Une de celle que vous avez chanter pour moi ? je pense que cette jeune créature en aurait bien besoin. Puis replongeant ses yeux dans le regards gris pâle de la jeune femme, Fairië lui tendit sa main. Venez ma jeune amie, aidez vous de moi pour vous relevez …

écrit par: Sphinx Aodren Lundi 06 Février 2012 à 00h08
Un rire ? Plusieurs personnes différentes s’avançaient ver Sphinx, une de ces personnes riait. Etait elle tombé dans se genre d’endroit froid et lugubre ou l’on enferme des personne gênante et d’où il n’y a plus moyen de repartir au point que les prisonnier en devienne fou ? Aucune idée.

Elle tenta de regarder qui venaient. « Une aussi belle créature » disait un homme bien étrange. Un homme qui s’emblai se jouer de toute les situations vu comme il c’est approché d’elle. Quant il se pencha le visage fasse a Sphinx elle ne put s’empêcher de se redire qu’il était étrange. Il approcha sa main, la posa sur sont dos. Elle ne savait que faire car bien trop faible pour réagir et trop embrumé pour réfléchir. C’est alors qu’elle fut surprise de l’entendre lui parler en elfique. Qui avait put lui faire ça ? Elle mit toute sa volonté à lui répondre avec une pointe ironique.


Sphinx : (elfique) « En voilà… une bonne… question »

Les personnes présentes ne semblaient pas faire preuve d’animosité. L’homme repris la parole et demanda a une femme de chanter. Sphinx ne put qu’estimer qu’une barde était parmi eux. Quant cet être a la peau cuivré revint plonger ses yeux de jade dans sont propre regard Sphinx fut fasciné part l’éclat qui si trouvait. C’est alors que de multiple tatouage attira sont regard elle ne put en discerné que un suffisamment proche d’elle.

¤ La liberté nait dans la souffrance. Qu’elle phrase étrange et pourtant a y réfléchir tellement vrais. Dois-je lui faire confiance ? Pour le moment je n’ai pas d’autre choix je réserverai mon jugement pour plus tard quant, peut être, j’aurais retrouvé la mémoire. ¤

Quant c’est être plein de mystère lui tendit la main elle mit toute les forces dont elle pu faire preuve pour mouvoir sont corps si lourd, si encombrants, tout en ne le quittant pas du regard.

écrit par: Fairië Atala Lundi 06 Février 2012 à 20h38
Refermant sa main sur celle tendue de la jeune demi-elfe, le sourire de l’Elian s’accentua. Une fois mise sur pied, il l’a ceintura de ses bras l’aidant dans un premier temps à maintenir son appuie sur les murs humides des souterrains. Ce n’est que lorsque l’Elian fut certain que la jeune demie-elfe tenait debout, qu’il s’en écarta.

Un petit bond en arrière, lui suffit à s’écarter de la jeune créature. Les mains dans le dos, son large sourire toujours aux lèvres, il examina avec plus d’attention la guerrière, le buste penché légèrement en avant. Les yeux de Fairië s’arrêtèrent quelques secondes sur la lame qu’elle portait, à n’en pas douter elle devait posséder quelques compétences martiales, mais cela l’Elian n’y prêtait guère attention.

-(Elfique) vous verrez ! Lorsque le chant de ma douce chanteuse résonnera dans ce lieu, vous vous sentirez nettement mieux. En attendant …
Reposant son poids sur son pied droit, l’Elian se lança dans un tour sur lui-même axé sur son talon droit auquel il ajouta un salut théâtral.
-(commun) je me nomme Fairië Atala. Bondant le torse, les points sur les hanches le tout fort grotesque, il reprit. Grand et célèbre aventurier de profession. Relâchant sa pose, il leva l’index gauche en l’air accompagné d’une moue réprobateur. Bon je vous l’accorde, vous n’avez peu être pas encore entendu parler de moi. Mais sa ne serait tarder ma jeune amie. Car … tournant son index vers Zéphyr. Ma Douce chanteuse et moi étions justement en train de travailler sur notre formidable épopée. Son large sourire franc revenu, il continua après avoir de nouveau joint ses mains dans son dos. Mais également Grand explorateur encore inconnu, je vous le concède encore. Mais bientôt mon nom figurera sur toutes les cartes de Faerun. A ses mots son rire franc s‘éleva de nouveau. Puis prenant un air sérieux presque grotesque, il posa son index gauche sur sa bouche. Mais pas un mot ma jeune amie ! Sinon d’autre personne s’enticheront de ce projet. Puis levant les yeux, il sembla se rappeler d’une chose. Mais étant donné que je ne vous ai encore rien dit sur notre épopée, vous ne pourrez donc pas l'ébruité. Marquant une légère pause, le front plissé en proie à d’intense réflexion, il reprit fixant le sol. Mais donc pour que vous puissiez l’ébruiter il faudrait avant tout que vous sachiez que je pars à la découverte de l’île aux rubis sinon ce que je viens de dire n’a aucun sens. Relevant la tête en direction de la jeune demi-elfe, son large sourire revenu il continua son monologue sans fin. Dans tout les cas, remettez vous vite sur pied. L’aventure continue …

Terminant sa phrase par l’index levé en guise d’encouragement, il semblait maintenant n’attendre qu’une chose. Reprendre son épopée dantesque … mais se rendait-il compte de la situation dont laquelle se trouvait la jeune demie-elfe ? rien n’était moins sûr aux yeux de l’Elian.

écrit par: Atlas Lundi 06 Février 2012 à 23h17
Les mots de Fairïe avaient trouvé leur chemin jusqu’au cerveau meurtri de Sphinx et tandis qu’ils y prenaient pied, pléthore d’images, de sons, d’odeurs et de sensations y revinrent en masse, manquant l’emporter une fois de plus dans un repos salvateur. D’Eauprofonde, elle était remontée vers le Nord, à la recherche de réponses à des questions qu’elle ne parvenait pas à formuler en des termes précis. Elle voulait savoir pourquoi sa vie d’avant avait si tristement explosé en éclats, pourquoi tous ses repères lui avaient été pris de la sorte et, dans cette quête, avait fait le choix d’aller voir plus loin.

A l’approche de la Cité des Voiles, elle avait suivi un groupe de voyageurs qui espéraient –d’après leur dire, elle doutait à présent que quoi que ce soit qu’ils lui aient dit fut autre chose qu’un mensonge- rejoindre Padhiver. Ils avaient acquis sa confiance en lui conseillant d’emprunter un chemin moins conventionnel que la route de commerce, strictement surveillée par une garde suspicieuse à la solde de la Tour de l’Arcane qui l’aurait mise au cachot pour la simple faute d’être une étrangère aux oreilles trop pointues. Les égouts, lui avaient-ils dit, constituaient de loin le chemin le plus sûr et, à défaut de meilleur plan, elle les avait crus. Leur présence rassurante lui avait permis d’y pénétrer sans se faire repérer, lui montrant par exemple le danger de ce sol traitre et glissant.

Au troisième changement de direction, alors qu’elle avait perdu tout sens de l’orientation et du temps, un d’eux, Hagon si son souvenir était bon, s’était retourné vers elle et l’avait assommée pour tenter de la dévaliser loin des regards. Pour une raison qui lui échappait totalement, il n’en avait pas eu l’occasion et avait fui, la laissant pour morte, avec la totalité de son équipement.

La tête lui lançait et elle en était quitte pour une grosse bosse mais n’avait rien de plus grave au premier coup d’œil, si bien qu’elle aurait déjà pu se relever si elle l’avait souhaité.


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La masse informe était bel et bien un corps, qui arrachait à sa gorge ses premiers mots et semblait vouloir s’arracher à ce sol froid et humide. Un sac à ses côtés, une belle lame, l’étrangeté aurait pu surprendre et nul doute que Zéphyr se posait une foule de questions sur la nature et la raison de la présence de cette créature à cet endroit dans cet état.

A la différence de Fairïe, elle se montrait prudente, prête à réagir s’il s’agissait d’un piège, s’assurant, à chaque pas qu’aucun autre n’était caché dans un renfoncement ou à quelque distance dans un des autres embranchements. C’eut été comble de malchance de faire deux malheureuses rencontres en si peu de temps mais la prudence avait tout son sens.

- Non mon bon ami dansant, elle n'en a pas besoin, mon chant ne soignera pas son trouble, il semble que ce soit autre chose. Regarde, elle n'a pas la moindre plaie, tout au plus une bosse.

Elle secoua la tête, agitant des grelots qui - chose étrange dont Fairïe ne se rendit compte qu'à cet instant - ne semblait s'ébruiter que selon son bon vouloir. Elle conclut en écartant les bras : -
"Et si tu choisis de l'emmener avec toi, ainsi soit-il! Bien qu'il restera au Capitaine Bansh le droit de choisir de l'emmener ou pas. Il n'est pas à cheval sur ce genre de principes mais une dame, sur un navire ..."

Elle rit de son charmant rire étincelant et secouant la tête, reprit le chemin du marché.

- Et trouvons de ce pas un remède mon ami !

écrit par: Sphinx Aodren Mardi 07 Février 2012 à 23h42
La tête de Sphinx lui tourna. Toute c’est information qui lui revenait en plus de lui déclencher une tempête dans le crâne ne lui plaisait pas du tout. Trahis, qu’elle idiote elle avait fait. Elle se stabilisa et attendit quelques secondes pour que sa tête ne lui fasse put autant voir le monde comme un manège, ces souterrains étaient glissant elle ne voulait donc pas se précipité et chuter … à nouveau.

Quant elle le senti elle releva la tête ver les personnes présente doucement afin que le tournis ne la reprenne pas. Elle les observa, un œil averti put voir de la méfiance en Sphinx. Elle fixa sont attention après quelques instants d’étude des lieux et des personnes sur l’étrange individu qui disait se nommé Fairië Atala qui se lança dans un monologue qui n’arrangea en rien sont mal de tête. Elle comprit ce qui était expliquer surtout le fait qu’il n’était ni connu ni célèbre mais le désirai ardemment d’après ses dire et qu’ils savaient comment sortir d’ici pour surement rejoindre un port d’après les dire de la chanteuse.

-(commun) Je me prénomme Sphinx Aodren. Merci de votre aide. Je peux peut être vous être utile. Elle se redressa pour reprendre sont assurance et ses yeux se firent de nouveaux plein de volonté et de détermination. Et sans vouloir vous froissé madame. Braquant ses yeux sur la chanteuse. Vous êtes également une femme pourquoi vous prendre a bord et pas moi ?

Elle regardait la réaction des personne présente elle se méfiait, bien sur, Sphinx venait déjà de se faire avoir une fois alors pourquoi pas deux. Elle reprit une dernière fois là parole avant que toute réponse sorte de leur bouche.

-(commun) Puis je savoir, également, si l’un de vous connaitrez un dénommer Hagon ?

Cette phrase était lancer presque innocemment avec un certain détachement mais pour un œil averti, une personne qui ne regarde pas que la surfasse, un petit rictus de colère au nivaux de ses lèvres et un léger flamboiement du regard définissait clairement ce Hagon comme une personne qu’elle n’appréciait vraiment que peut.

Suite à ses dires elle attendit la sentence avenir. Allaient-ils la laisser croupir ici ou lui permettre de venir ? Quoi qu’il advienne Sphinx restai avec une attitude aussi fier que peut l’être une personne méfiante qui viens de se faire avoir part un premier groupe et qui est perdu donc plus ou moins a la merci d’un nouveaux groupe, dont elle ne sait rien, pour sortir d’ici. De plus des questions la harcelaient. Pourquoi n’avait t’elle pas était détroussé ? Que faisait c’est personne ici ? Et de qu’elle remède parlait la femme au grelot ? Sphinx préféra pour le moment se taire chaque chose en sont temps les réponses viendraient surement.

écrit par: Fairië Atala Mercredi 08 Février 2012 à 21h07
Faisant des tous petits bonds, pied joint, sur lui-même, on aurait clairement pu identifier l’Elian à un enfant attendant sa sucrerie et cela jusqu’à ce que Zéphyr décida à nouveau de reprendre le chemin de la surface. Trop excité à l’idée de reprendre sa folle épopée, l’environnement de l’Elian se ferma à lui, comme à son habitude, si bien que la présentation de la jeune demi-elfe et même la voie de sa douce chanteuse ne purent percer les murs instables de la conscience du psion. Ce n’est que lorsque Sphinx demanda de se joindre à eux, que Fairië sortit de nouveau de son cocon. Stoppant sa série de petit bond, il fit une enjamber pour se tenir qu’à quelques centimètres du visage de la guerrière. Sa tête légèrement de côté, son sourire habituel, la jeune demi-elfe pouvait maintenant discerner un léger éclat dans les yeux de l’Elian.

-(commun) La question ma chère n’est certainement pas de savoir si vous nous serez utiles ou non. Mais … à ce mot il leva l’index droit entre son visage et celui de son interlocutrice … de savoir ce que vous, vous voulez faire. Marquant une légère pose il se contenta, les yeux toujours braqués dans ceux de son interlocutrice, de lui asséner un grand sourire emplit d’une profonde franchise. Une petite pirouette lui suffit à se retrouver dos à elle. Marchant à tout petit pas autour d’un cercle imaginaire il continua. Car voyez vous, toute la question se trouve posée en ces termes. Que voulez vous faire ? Voulez vous écumer les mers ? Partir à la découverte de nouvelles contrées ? Ou peu être croiser le fer face à des étrangers pour prouver vos compétences ? Vous vengez ? Ou que sais-je, piller, voler, assassiner et bien d’autre. Cette dernière phrase sur le ton de la neutralité, donnait tout un sens quand à la vision du monde que Fairië pouvait s’en faire. Stoppant sa progression au sein de son cercle imaginaire, il s’immobilisa face à la demi-elfe. Vous possédez le don le plus précieux qu’une personne dispose. La liberté … à ces mots ses bras s’ouvrirent en direction de Sphinx. La liberté de choisir le chemin que vous souhaitez.

Sans un mot de plus, il se tourna vers Zhépyr lui emboitant le pas et lassant tel quelle la jeune guerrière à ses choix.

Marchant en cadence, imitant de façon sur jouer la cadence de marche d’un soldat, il ne put se retenir de nouveau de faire entendre sa voix.
-(commun) vous savez ma douce chanteuse… vos grelots vous vont à ravir …

écrit par: Sphinx Aodren Jeudi 09 Février 2012 à 12h24
Sphinx ne fut pas surprise de ne pas obtenir de réponses vu la spécificité des personnes ici présente. Quant Fairië se mit à faire des petits bonds et des gestes farfelus elle se retrouva entre plusieurs sentiments contradictoires. Tous d’abort l’énervement, il faisait le pitre alors que la situation ne si prêtait pas forcément. Ensuite l’amusement, il fallait bien l’avouer malgré tout il le faisait bien et, voulut ou pas, cela la détendait un peu. Un sourire léger se déclina sur son visage même si pour finir un peu de d’épit face a la folie quasi certaine de cette personne se mêla encore a ses ressenti.

Quant il commença à parler elle l’écouta comme elle avait toujours écouté la pluspart des personnes,atentivement. On peut toujours y tirer leçon, renseignement, ou simplement une bonne histoire.

¤ Une liberté. J’en ai une sans en avoir. Il faut que je trouve qui a tué Darék et pourquoi. Je dois maintenant retrouver aussi ce Hagon histoire de lui montrer que l'on ne trahi pas sans en subir un moment ou un autre les conséquences. Pour le moment je dois sortir d’ici. ¤

Quant elle releva la tête ils étaient en train de reprendre leur chemin elle leurs emboita donc le pas sans dire mots pour le moment.

écrit par: Atlas Jeudi 16 Février 2012 à 22h47
Zéphyr rit à la gentille remarque de Fairïe puis se tourna vers la demoiselle, levant au ciel comme pour lui signifier, en un secret de fille à fille, de ne pas apporter trop d'attention à la folie de l'Elian : - "Et bien, très cher Sphinx, il se trouve que le capitaine est un ami de vieille date ... et que jamais au grand jamais je n'irai mettre un pied sur son navire ! Le Cuivre-Feuille, un bien singulier navire pourtant !"

Elle rit à nouveau et c'était comme une cascade prenait naissance dans un amas de roches et y faisait fleurir autant de fleurs.

- Il y a plus d'un âne à s'appeler Hagon. Pourquoi cherches-tu le tiens? Si il est passé par ici, il y a fort à parier qu'on le croise au marché lui aussi, nous ne sommes plus très loin et c'est le seul point d'intérêt dans cette zone des égouts. Vous entendez?

Même si il était encore impossible de savoir d'où et de qui, il y avait en effet du bruit, et peut-être même un peu de lumière mais sans doute au détour d'un coude ou de plus. Il sembla à l'ouïe elfique de Sphinx que les sons étaient plus aigu que ce qu'on aurait du entendre à Luskan. De l'agitation peut-être.

Zéphyr chuchota quelque chose et les derniers danseurs lumineux la quittèrent dans une valse aérienne vers un couloir de plus en plus éclairé. Celui qu’ils empruntaient maintenant n’était plus divisé en deux par une voie d’eau et ils purent se déplacer sans plus craindre de se cogner ou de glisser de se tenir penchés.

Ils débouchèrent alors sur un couloir de vingt pieds de large (6m) au centre duquel coulait une véritable rivière souterraine occupant la moitié de la largeur là où le précédent canal était rempli d’une eau quasi stagnante chargée d’immondice. L’odeur y était moins forte encore, le sol semblait même entretenu, le plafond, vouté, était plus haut aussi et à distances régulières, sur la gauche, dans des cavités creusées dans la maçonnerie, des lampes tempête apportaient un éclairage remarquable pour un tel endroit.

De loin on pouvait voir des tissus colorés d’échoppes temporaires, des tonneaux, des caisses, des planches en travers de la voie d’eau, des ouvertures plus large d’un côté et de l’autre et … la source de l’agitation qu’ils avaient perçus et qui maintenant résonnait clairement : Des gens se battaient entre les obstacles dont certains brulaient à l’odeur et la fumée qui s’en dégageaient déjà contre une masse grouillante de créatures, peut-être des rats ... Sur la rive en face, trois humanoïdes de petites tailles, encapuchonnés de pourpre, fuyait. Leurs manteaux étaient sales de sang autant que de crasse et abimés en plusieurs endroits. Un éclair d’énergie bleuté crépita, suivi d’une nouvelle série de cris. Des gens hurlaient au milieu de bruits de verres brisés, d’éclaboussures …


PARCHEMIN
Jet de Perception auditive de Sphinx : 19(dé) +3 = 22
Jet de Perception auditive de Fairïe : 14(dé) -1 = 13
Jet de Perception auditive de Zéphyr : 2(dé)+ ? = ?


… et d’une étrange mélodie que l’excellente ouïe de Sphinx fut la seule à percevoir. Un son de flute lui semblait-il.

écrit par: Sphinx Aodren Lundi 20 Février 2012 à 21h50
Sphinx écouta la demoiselle qui s’adressait à elle. Pourquoi cherchait-elle ce Hagon. Elle lui répondit sans plus attendre.

- Comprendre et peut être suivant ses dire lui faire tâté de ma lame afin qu’il comprenne que je ne suis pas personne a pardonné les attaque déloyale et le fait que l’on me dupe. Voilà pourquoi je cherche se fameux Hagon…

Elle arrêta sa phrase qui commencer a pointé sur une colère grondante envers la personne qui l’avait abusé, des bruit aigu, lointain, attira ses oreilles peut être le fameux marché dont venait de parler la demoiselle. Quelle ne fût pas sa surprise de découvrir la scène qui se déroulait en ces lieux.

Une agitation, oui, mais surtout une panique. Dans se qui aurait pu être un marché, noir peut être bien, régnait un chaos sans nom. Sphinx vit d’étrange forme vêtus de rouge encapuchonnés. Non pas vêtu de rouge, du sang voilà pourquoi ils avaient cette couleur. Elle se concentra tenta de comprendre la situation. C’est alors que ses oreilles, comparativement pour certain a celle d’un animal a ouïe fine, se mit à réagir. Un bruit de flûte qui a part un barde jouerai de la flûte dans un moment pareil. Il fallait ouvrir l’œil et tenter de savoir ce qui ce passai. Si elle le pouvait elle aiderait certaine personnes pris dans cette folie pleine de sang, de cris et de pleures. Sphinx se retourna vers ses compagnons d’infortune et leur dit :

- Vous entendez quelqu’un joue de la flûte. Etrange non ? et puis il y a eux. Finit elle part dire en désignant les forme encapuchonner.

Elle devait agir elle devait se concentrer comprendre la situation et agir en conséquence. Une batail se préparait surement. Elle ne voulait, cette fois, ne pas se faire avoir. Non ! Tous ses sens en alerte épée en main elle avait bien la ferme attention de ne pas se faire encore avoir.

écrit par: Fairië Atala Jeudi 01 Mars 2012 à 10h46
La scène qui se jouait devant lui n’insufflait guère de considération de la part de l’Elian. Et alors qu’un chaos régnait dans le marché sous terrain, Fairië se contenta avec un sourire immense de fanfaronner en petits bonds sur les dalles devenues praticables.
-(commun) Sa y est mes chères amies nous pouvons enfin nous déplacer librement.
Alors que son attention se focalisait sur de simples dalles sèches, le carnages qui continuait ne lui faisait ni chaud ni froid, continuant sa dance en tournoyant sur lui-même.

Ce n’est que lorsqu’il entendit le son crépitant d’un éclair qu’il daigna enfin regarder autour de lui. Son sourire toujours aux lèvres, tapotant d’excitation du bout de ses doigts.

-(commun) Assistons nous là à une de ces batailles épiques opposant les forces du bien contre les forces du mal. D’ailleurs … Cette situation me rappelle un passage d’un livre que je lisais en compagnie de Gorbnick Pierrefendue. Puis levant l’index pour se souvenir de quelques choses. A ce bon bon Gorbnick, vous saviez qu’ … Fairië stoppa son monologue lorsqu’il entendit la jeune Sphinx. Vous nous dites qu’une personne jouerait de la flûte. Stoppant sa réflexion, il tendit l’oreille. Ma jeune ami je n’entends malheureusement rien. La déception pouvait se lire sur le visage de Fairië. Moi qui me faisait une joie d'entendre de nouveau la douce mélodie d’une flûte. Puis quelques secondes lui suffirent pour évincer ce sentiment et de nouveau son radieux sourire fit place net.

Levant le bras droit, il décrocha sa lourde lame d’un mouvement sec du poignée, relâchant ainsi la pression des lanières de cuirs ceinturant son arme. Un bruit strident retentit à travers les murs du sous sol lorsque l’imposante lame toucha les dalles. Droit sur ses appuies, son imposte lame reposant face à lui au sol tenu par ses deux mains. Il regarda les combats d’un œil distrait.
-(commun) Je cherche uniquement à trouver Elarig. Ma liberté n’est pas mis en jeu.

Les mots étaient dits et les intentions sous-jacentes dévoilées. Et son large sourire franc n’accentuait que davantage le mal-être que pouvaient ressentir ses compagnons de fortunes. Telle était Fairië Atala.

Prépare son action.
si un rat l’attaque, Fairië portera une attaque.
La priorité étant mise sur le rat sanguinaire.

écrit par: Atlas Dimanche 18 Mars 2012 à 10h35
Au loin, le combat faisait rage et, malgré les considérations pacifiques dont elle avait déjà fait part à l'Elian, Zéphyr fut surprise de ne pas voir les aventuriers bondir pour participer à la rixe.

- Un son de flute dis-tu ma jeune amie? Et que penses-tu des cris de détresse des victimes de cette nuée? Il ne s'agit plus là de combattre un animal sur son territoire, il s'agit de sauver des vies! Cœur fier!

Et la Hin de laisser jaillir dans sa main droite une dague au pommeau muni d'un rubis étincelant et de bondir au cœur du combat! Au passage, elle se saisit d'une lampe tempête, créant une nouvelle zone de semi-pénombre. Le curieux son de flute était audible de tous maintenant, plus facilement de savoir quel bruit trouver au milieu du fracas, et il semblait qu'un autre son, tout aussi déplacé naissait au milieu des cris de douleur et de peur. La barde chantait, sur un rythme proche de celui de la flute mais s'en détachant singulièrement sur certaines notes pour surclasser la musique.

Avec ou sans eux, le combat se poursuivait, il leur appartenait d'écrire leur nom comme spectateurs ou acteurs de cette scène.


hrp.gif Aucun rat ne vient vers vous. La nuée avance d'une case, Zéphyr est en AA7 (Le plan est sur le sujet HRP si vous ne l'aviez pas vu rolleyes.gif ).
Vous présentant encore mes excuses pour cette longue attente.
hrp.gif

écrit par: Sphinx Aodren Lundi 26 Mars 2012 à 13h12
Il fallait intervenir c’est vrai. En se débarrassant des ses rats et de se rat alphas tous particulièrement ils pourraient passer et ils aideraient les personnes présente ici.

-Vous avez raisons madame nous devons intervenir ! je suis avec vous du moins pour cette batail.

Sont épée presque aussi grande qu’elle a la main elle s’avança afin de faire face et de combattre ces créatures. Une idée lui vint les tonneaux en feu pourrait les aider a les repousser la ils le voudraient. Les rats ne sont pas très friant de se genre de chose.

hrp.gif Sphinx regarde les alentour et tente de trouver le moyen de faire rouler les tonneau en feu en direction des rat afin de les faire reculer pour mètre une parti de personne a l’abris. Puis vois pour se mêlé a la batail.

écrit par: Atlas Vendredi 30 Mars 2012 à 23h41
Le temps que l’Elfe se lance à l’assaut, Zéphyr était déjà au contact. Elle dansait d’une grâce surnaturelle, accompagnant sa danse d’un chant glorifiant Akadi et même dans le chaos du moment, il lui sembla que tout était possible au côté d’une telle danseuse. Elle lança la lanterne sur les rats empêtrés dans ce qui restait de la toile d’une échoppe, l’huile et la flamme se propagèrent aussitôt, blessant des rats qui, soudain reprirent l’attitude normale des vermines : fuir le danger évident d’un feu.

Face à une nuée, frapper d’un coup d’épée ou de dague aurait eu autant d’effet que de frapper dans l’eau, et tenter de traverser la nuée aurait signé son arrêt de mort immédiat, elle n’aurait rien pu faire contre autant d’incisives tranchantes prêtes à tout pour avancer … mais il y avait fort heureusement une cible qu’il lui était loisible d’affronter de sa lame efficacement et qui cherchant une faille dans la défense de feu bondit au dessus de la rivière. De son côté. Sphinx prit la créature de dos, aussi gênée que les défenseurs par ses congénères de moindre taille et toute entière dirigée vers le cœur du marché.

Attaque : réussite, le rat sanguinaire se retourne vers Sphinx

La lame mordit la chaire du rat géant et dans un cri immonde lui fit face, prêt à se venger pour cette attaque.

Le son de flute était maintenant évident, même pour Fairïe qui n’avait pas souhaité se lancer dans la curée, tout comme le chant du Marchand de Vent qui tentait toujours de surpasser la musique sans plus de succès.

Profitant du feu qui enflammait toujours plus de tonneaux, caisses et fragments d’échoppes comme d’un bouclier efficace, les marchands et visiteurs fuyaient comme ils le pouvaient, abandonnant ce qu’ils ne pouvaient emporter rapidement. Blessés y compris. A chaque fois qu’un rat se trouvait brûlé, il plongeait dans la rivière et fuyait en contre-sens, soulignant, si c’était encore nécessaire, le caractère surnaturel de la scène. Pour celui qui aurait pris le temps d’analyser froidement la situation, le marché avait été sauvé par ceux qui avaient préféré incendier une partie de celui-ci, il y avait fort à parier qu’aucune autre méthode n’aurait pu fonctionner.

Le combat n’en était pas terminé pour autant, la fumée commençait à se densifier, les barrières de bois et de feu à s’affaiblir et le nombre de créatures à bondir contre elles contre tout instinct de survie risquaient bien de finir par passer au travers.

Plus inquiétant encore, les rats n’étaient pas seuls à affronter les marchands : plus loin, une créature courbée, dans l’eau jusqu’à la taille, plus terrifiante encore que le rat sanguinaire dont elle copiait les traits, faisait face à trois hommes qui tentaient tant bien que mal de le garder en respect et de permettre à un autre, dont le manteau gris à capuche cachait les traits, de réaliser les gestes complexes d’un sort, projetant un nouvel éclair bleuté … et ce joueur de flute qui n’était visible nulle part.

écrit par: Fairië Atala Vendredi 27 Avril 2012 à 14h35
Ses coudes reposant sur le pommeau de son épée, Fairië ne broncha pas devant les scènes de violence qui lui faisaient face. Bien au contraire, il semblait perdu dans les méandres tortueux, très tortueux, de son esprit. Regardant d’un œil distrait le combat, il était évident qu’il était en proie à un questionnement de toute importance et aucunes réponses ne semblaient s’offrir à lui. Un long soupir sortit de sa bouche, enfoui sous les cris de terreur et le crépitement des flammes.

Ce n’est qu’après quelques secondes de réflexion, que l’Elian décida enfin de bouger. Soulevant son imposante lame, il la plaça sur son épaule droite. Marchant comme ci de rien n’était au côté de sa douce hin …
Une fois à ses côtés, son large sourire réapparut aussitôt, mais mêlé cette fois d’une pointe de timidité et d’embarras
.
-(commun) Dites moi ma chère, j’ai une question qui m’est venu à l’esprit dont je ne connais guère la réponse… comment fait-on pour revendiquer une île ? … voilà j’ai pensé et repensé à la chose. Mais je ne vois absolument pas comment pouvoir revendiquer la chose. Posant les yeux sur les combats, il reprit. Pourtant si je veux construire ma petite auberge il va bien falloir que ces terres m’appartiennent ? Son long soupir réapparut de nouveau. J’aurai du le demander au capitaine. Il doit certainement le savoir. Levant l’index en l’air. Oh ! ce Elarig pourrait aussi certainement m’aider. A ces mots, l’Elian posa un regards tout autre sur le combat qui faisait rage. Ma chère, nous devons vraiment passer au plus vite pour rencontrer cet homme.

Fairië regarde inspecte autour de lui. Toute chose pouvant servir à mettre le feu. Flasque d’huile, lanterne … si j’ai bien compris les rat vont de gauche a droite, mais sont bloqués par les flammes en colonne Q du plan. Si Fairië trouve quelques choses d’inflammable, il y mettra le feu et le jettera en S5.
Sinon il attend gentiment en V3 que la situation évolue en V3.

écrit par: Atlas Vendredi 04 Mai 2012 à 22h06
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Trouver du comburant dans ce fatras était facile, tantôt un voile déchiré, du bois, des jarres d’huiles et autre et très vite Fairïe pu se saisir d’une perche accrochée à un morceau de tissus et d’en faire une torche improvisée aussitôt allumée. A grand renfort de moulinets, l’Elian lança son flambeau au travers de la nuée. Mais bien que son geste fut parfait et particulièrement bien pensé, la marée de rongeurs continuait son œuvre de destruction.

La Hin ne put que secouer la tête pour lui répondre, le visage résigné comme de celle qui a déjà compris qu'il ne servait à rien de tenter de raisonner le déraisonnable mais surtout parce qu'elle ne cessait de chanter.

Au-dessus du tumulte, un second chant se fit entendre, en réponse à la mélopée de Zéphyr, le renforçant jusqu’à effacer la curieuse musique que Sphinx avait perçu.


Et la musique s’arrêta tout à fait. Le temps semblant se suspendre de même.

Un battement de cil plus tard, les rats reprirent aussitôt l’attitude que l’on pouvait attendre de tels rongeurs : la peur, l’individualisme, l’instinct de survie qui pousse à fuir aussi vite que possible ce feu qui leur carbonisait le poil sur la peau.

Le rat géant avait plongé dans le canal central et avait très rapidement disparu sous l’eau pour se mettre à l’abri, hors de vue des aventuriers et des défenseurs de ce qu’il restait du marché, laissant un filet de sang sombre derrière lui.

La créature humanoïde était prostrée, tremblante, toujours tenue en respect par le groupe qui avait fait front et sauvé ce qu’il restait à sauver.

Quand la grande majorité de rats encore capable de se déplacer fut partie, les marchands qui n’avaient pas fuis tentèrent tant bien que mal d’éteindre le feu qui les avait protégés, créant toujours plus de fumée, et faisaient le compte de leurs pertes.

Dans un renfoncement, un corps bougeait à peine … son compte risquait d’être beaucoup plus difficile à faire.

Allongé dans une posture improbable, Sphinx reconnut un des voyageurs du groupe d’Hagon. Son regard vitreux, sa bouche entre-ouverte, son visage couvert de plaies, et aussi brulé que le reste de son corps ne laissait aucun doute, le fil de sa vie avait été tranché net. Et il y avait fort à parier qu’Hagon était passé par là.

écrit par: Fairië Atala Dimanche 27 Mai 2012 à 22h25
Un son strident retentit de nouveau contre les parois rocheuses du marché sous terrain. Juste un homme frêle trainant une lame démesurée derrière lui. Réajustant les boucles de cuir des lanières ceinturant sa lame, il l’agença de nouveau à sa place.
Son large sourire éclairant toujours son visage en direction de la Hin.
-(commun) Et bien ma jeune amie, il semblerait que le chemin nous soit de nouveau ouvert pour trouver Elarig. J’ai vraiment hâte de le rencontrer. A ces mots, l’Elian sautilla de nouveau sur place comme à son habitude. Prenant un air sérieux. Je dois vraiment lui demander pour la revendication de mon île … je dois tout faire en ordre. Cela m’ennuierait ma douce amie, que l’on vienne me chercher problème. Continuant son questionnement irréel au vu de la situation, il sautilla de pied en pied, à travers les cadavres de rats et d’hommes.

Tournant la tête vers Zephyr, il reprit de sa voie enjouée
:
-(commun) peu être que ces hommes seront sans doute ou trouver Elarig vous ne pensez pas ?

Les mains jointent derrière lui, il avança en sautillant en direction du petit groupe d’homme. Non sans avoir poser un regard désintéressé sur la créature humanoïde. Et malgré le drame, Fairië arborait encore et toujours ce sourire franc et radieux qui en cet instant semblait presque choquant. Mais cela n’était certainement pas quelques choses que pouvait comprendre le Psion. Et c’est malgré tout comme cela qu’il alla à leur rencontre.
-(commun) Veuillez m’excuser Messieurs, connaitriez vous un certain Elarig. Je suis à sa recherche. Il est ... un silence suivit d’une claque que l’elian s’adressa de lui-même sur le front. Puis un rire franc sortit de ses lèvres. Se tournant vers la Hin, il reprit. Ma douce amie, je ne sais même pas à quoi notre futur compagnon peut ressembler. Puis se retournant de nouveau vers ses interlocuteurs. Quoi qu’il en soit je dois vraiment le trouver.

Une nouvelle fois l’Elian montrait son étrange personnalité. Mais que pouvait-il faire d’autre. Nous sommes ce que nous sommes …

écrit par: Sphinx Aodren Jeudi 31 Mai 2012 à 00h18
Quant Sphinx reconnu la personne elle eu un sourire crispé. Une pensée lui vint.

¤ Et bien il aurait du se méfiai après il m'a dupé alors pourquoi pas d'autre ¤

Elle s’approcha du corps poser la comme un pantin désarticuler sans le corps avait du être cacher après un nouveau tour pendable de cette être sans vergogne qui se fait nommer Hagon. Ce qu'entrepris de faire Sphinx a se moment la pouvait paraître morbide et déplacer mais elle n'avait que faire du regard des autres, dés lors elle commencer a inspecter le corps de l'homme et a fouiller les poche et tous se qui pouvait l'être un indice peut être lui permettrai de retrouver se Hagon de de lui faire payer ce qu'il avait fait et puis de toute façon il n'avait plus besoin de se qu'il avait sur lui.
Quant elle entendis la vois du drôle d'être qu'était l'un de ses compagnon de voyage pour le moment elle se redressa afin de porter oreille a se qui se disait tout en continuant sa besogne.


Elle ne savait pas grand chose sur eux après tout mais il lui avait plus ou moins tendu la main alors elle décida que un de ses jour elle paierai cette petite dette.

Une fois le corps fouiller méticuleusement elle se redressa et regarda les alentour si quelqu'un avait besoin d'aide elle tenterai de l'aider.

¤ les personne présente après tous ne sont pour rien en se qui met arrivé¤

Tout en passant en revu l’endroit dévasté elle observai chaque personne une idée venait de la frapper et si il était encore parmi eux. Il y avait un faible chance mais bon ou du moins si quelqu'un le connaissais. Pourquoi ne pas faire comme sont compagnon de route. Sphinx s’approcha du groupe de personne et les interpella :

- Veuillez m'excuser mais je recherche un personne du nom de Hagon.

La jeune femme se lança dans un descriptif et fini part pointer du doit le corps dans le coin afin de leurs signaler qu'il avait un rapport avec cette homme. Une fois fait elle scruta chaque visage chaque réaction afin de voir si quelqu'un n'aurai pas une réponse a lui fournir.

écrit par: Atlas Dimanche 03 Juin 2012 à 09h30
Il y eut un flottement, répondant à l’attitude complètement décalée de Fairïe. Et à la plus improbable réponse à sa question qu’elle eut pu espérer. La masse prostrée tenue en respect par le groupe qu’ils avaient rejoint poussa le beuglement monstrueux d’une bête qui se sait perdue et n’a plus même la force de lutter contre son funeste destin.

Après quelques interminables secondes pendant lesquelles elle ne cessa de se contorsionner, la bête subit une transformation qui semblait lui déchirer les entrailles, ses os craquant de manière sinistre, sa fourrure se raccourcissant comme si chaque poil était une aiguille s’enfonçant d’elle-même dans son corps torturé.

Puis il y eut un râle, un soupir, et guère plus que le corps d’un homme, nu, brulé par endroit par le feu et au moins un éclair magique, endormi dans la posture fœtale censée lui apporter la paix.
Un des trois hommes en arme, rangeant son épée fine au fourreau, sembla contrarié puis lança avec un sourire en coin : -
« Un rat-garou, je te dois une pièce d’argent … »

Un autre, la tête légèrement penchée sur le côté regardait le pauvre homme avec un air condescendant. Il était évident que le garou souffrait de sa terrible malédiction : - « Cité des Voiles qui voit les racontars de marins avinés prendre vie. »

Le troisième restait alerte comme si le combat pouvait reprendre à tout instant et l’arcaniste de conclure : - « C’est une chance cela dit qu’un chanteur ait eu la clarté d’esprit de briser la musique du joueur de flute, il y a décidément trop de rats à Luskan. »

La Hin acquiesça, cherchant quelqu’un du regard. Quand elle croisa celui de Sphinx, elle secoua la tête. Personne n’avait pu voir vraiment ce qu’elle avait fait, elle-même n’avait vu que de loin la terrible transformation.

PARCHEMIN
Sphinx trouve une bourse de 4 pièces d'argent et 3 pièces de cuivre. Sous ses vêtements en très mauvais état, il porte une veste de cuir de mauvaise qualité. Sous son corps, une épée courte et à côté une torche éteinte.


- Je ne sais pas où est ton Hagon mais voilà notre Elarig… Sacré Bansh … Qu’une créature étrange soit supposée vivre quelque part qu’il essayera toujours d’en faire un des siens …

Les rares marchands rassemblant leur bien n’accordaient aucune attention aux deux groupes d’aventuriers jusqu’à ce que l’un d’eux s’exclame : - « La vieille Myrthe ! De l’aide quelqu’un avant que Kelemvor ne l’emporte ! »

Le corps presque sans vie qu’ils n’avaient qu’aperçu dans un renfoncement et avaient oublié aussitôt dans l’action du combat avait un nom qui raisonna dans l’esprit de Fairïe : le marché de la Vieille Myrthe, c’était bien là que Bansh lui avait dit de trouver le marin.

écrit par: Sphinx Aodren Mardi 05 Juin 2012 à 20h35
Sphinx ayant pris les pièces d'argent et de cuivre sur le corps et ayant eu une réponse négative sur la personne qu'elle cherchai se reportant a examiner les alentour.
Quant elle entendis l’appel au secours elle réagit assez promptement. En effet ayant quelque base de premier secoure elle pourrait peut être secourir la personne blessé enfin fallait-il l’espère.
Sphinx une fois proche de la vieille Myrthe comme elle était nommé apparemment elle commença a examiner ses blessure afin de savoir quoi demander ou déchiré si besoin était. Une prière légère pouvait s'entendre. Une prière a Selune pour qu'elle soutienne cette personne là blessé et guide ses doigts afin de la soigner. Puis elle demanda a haute et clair voix si des personne ici avaient une connaissance dans la médecine ou des soin quelconque. Quant elle en aurait finit avec cette personne et qu'elle se serait assuré qu'elle s'en sortirai elle chercherai le moyen le plus rapide de sortir de cette enfer de dédale de retourné au grand air là ou elle pourrait voir Selune briller dans le ciel de sa douceur exquise. Là ou elle pourrait respirer a plein poumon sans avoir d’odeurs nauséabonde lui laisser un arrière goût de dégoût et ou elle pourrait reprendre sa route sans avoir a se fier a qui que se soit.
Tout en épongeant le front de la dame et lui administrant de sont mieux se quel pouvait et savait elle pensa que jamais du moment de la tragédie qui l'avait fait prendre les chemin elle n'avait pu faire confiance ou eu une amitié réel avec qui que se soit. Enfin se n'était pas le moment de sa laisser aller il fallait agir et elle agirai au mieux.


Sphinx fait un jet de premier secours pour tenter d'aider la vieille Myrthe.

écrit par: Fairië Atala Mercredi 13 Juin 2012 à 17h04
Le silence engendré par le questionnement du Psion eu comme simple effet d’agrandir son large sourire. Plongeant son regard de jade sur chaque interlocuteur, il attendait une réponse à sa question qui pour lui, lui semblait compréhensible. Lorsqu’il vu que sa question ne trouverait aucune réponse, son sourire se transforma en une petite moue.

Alors que la discussion continuait sans lui, comme à son habitude, l’Elian martelait maintenant les pavés du marché en un petit cercle. Les traits fermés et exagérés, il en était à son troisième tour lorsqu’un prénom retentit dans sa tête, provenant de la douce voix de sa chanteuse.

¤ Elarig …¤

Stoppant net sa progression, il fixa sa jeune amie posant ses yeux sur le Rat-garou. Lentement un large sourire se redessina sur les traits du Psion. S’ensuivit son éclatant rire cristallin que Zéphyr pouvait maintenant reconnaitre. Il bondit d’un seul instant vers le rat-garou, se retrouvant côte à côte avec les hommes d’armes. Applaudissant du bout des doigts comme il en a l’habitude, Fairië ne put s’empêcher d’effectuer quelques petits bond sur lui-même puis s’immobilisa aussi net pointant son index gauche vers le visage du Rat-Garou.

-(commun) TROUVE !! Adressant son large sourire vers Zephyr il continua dans sa direction. Ma jeune chanteuse vous êtes formidable. Moi qui me croyait devant un mur infranchissable. Vous éclairez de nouveau mon chemin de votre lumière éclatante.

Dépassant les hommes d’armes en clopinant joyeusement comme si de rien n’était, il vint se positionner à hauteur d’Elarig. S’accroupissant à hauteur du demi humain, il éleva sa voix.
-(commun) Monsieur Elarig ! Poussant de son index droit l’homme au sol comme le ferait un enfant. MONSIEUR ELARIG ! j’ai besoin de vous pour trouver mon île ! Mettant plus de force dans son index. Réveillez vous Monsieur Elrarig … DEBOUT !


écrit par: Atlas Mardi 19 Juin 2012 à 21h54
- Ton ami payera-t-il les dégâts que cette créature a provoqués ?

Le guerrier qui venait de répondre était aussi cynique qu’amer. D’y porter attention on pouvait se rendre compte que sa manche droite était trop sombre que pour ne l’être que d’être mouillée par l’eau de l’égout. En poursuivant l’observation, on pouvait remarquer que la main qui tenait son épée portait la teinte rougeâtre reconnaissable du fluide vital. Bien qu’il dût être cruellement blessé pour perdre autant de sang, la poigne sur son arme était intact et rien dans ses traits ne laissait supposer la moindre douleur. De la colère, et quelque chose qui tenait de l’envie de poursuivre son combat en achevant le corps nu à ses pieds mais rien de plus.

Le deuxième de poursuivre, son arme d’Hast lui avait permis de le tenir en respect sans en subir le moindre coup : -
« J’ai entendu parler de ton ami. Un grand singe de ce qui se dit. S’il n’était Frère de la Côte, il aurait déjà eu une dague entre les omoplates. Luskan n’aime pas les étrangers et celui-là cumule les a priori. »

Le troisième, celui qui avait pris la créature brisée en pitié, avait hoché de la tête en direction du mage quand il avait entendu la supplique de Sphinx de l’aider à soigner la vieille dame.

Test de Premier Soin de Sphinx : 14(dé) +2 = 16 : La vieille Myrthe est stabilisée.

Test de Premier Soin de Sphinx pour aider à lutter contre le poison : 20(dé) +2 = 22 : La vieille Myrthe n’est plus infectée.


La pauvre dame portait un grand nombre de morsures dont certaines étaient déjà gonflées de la crasse des égouts ou de l’infection des rats. Elle avait dû tomber à la renverse, son grand âge ne lui permettant pas d’y faire face, et s’était visiblement cassée la jambe dans sa chute mais le plus impressionnant était son regard, blanc, vitreux, dérangeant pour celui qui n’avait jamais croisé un … aveugle.

La guerrière lui avait nettoyé ses plaies visibles à l’aide du morceau de tissus le plus propre qu’elle ait pu trouver et d’eau claire et positionné sa jambe de telle sorte qu’elle ne la fasse pas plus souffrir. Elle était intervenue in extremis. Quelques instants plus tard, son esprit aurait quitté son corps brisé.

Celui qui la rejoint sortit de sa besace une fiole bleutée facilement reconnaissable, marquée des deux mains bandées du symbole d’Illmater. Lui soufflant quelques mots rassurant à l’oreille, il lui en fit boire le contenu, décrispant le visage parcheminé et terminant de nettoyer les multiples plaies dont elle souffrait. La blessée s’endormit aussitôt.


- Laissons-lui un peu de temps pour se reprendre, nous n’avons soigné que son corps.

Le dernier des défenseurs, le mage, n’était pas en reste. De son mieux, bientôt rejoint par Zéphyr, il aidait les marchands à déblayer les dégâts, à réarranger les étals, leur distribuant plus de réconfort qu’autre chose, chassant le chaos comme il le pouvait.

- Le contre-chant fut difficile mais c’était une excellente idée, merci, nous y serions tous restés. As-tu repéré le musicien ?

- Non … malheureusement pas … il devait utiliser une flute des égouts, j’en avais déjà entendu parlé mais jamais vu à l’œuvre. Elle permet de commander aux rats.

Le mage hocha la tête pour signifier qu'il comprenait.
Bizarrement, Fairïe restait seule à côté d'Elarig, et ce dernier commençait à se plaindre de son réveil douloureux.

écrit par: Fairië Atala Lundi 25 Juin 2012 à 08h48
Ses deux genoux sur le menton, Fairië continuait de fixer Elarig comme si de rien n’était. Attendant son réveil, il avait cependant porter son regard de jade sur les deux hommes encore debout face à lui. Son esprit, pour le moins atypique ne parvint cependant pas à discerner la colère chez l’individu blessé, malgré une description méthodique de sa personne. Le sang lui coulant de son bras blessé, les traits si caractéristiques d’une personne voulant en découdre. Malgré tout ces indices à porter du regard scrutateur du Psion, rien n’y faisait, il était comme une machine dont certains engrenages manquaient à son bon fonctionnement.

Adressant son large sourire d’accoutumé aux deux hommes, comme toutes réponses. il reposa sa tête sur ses genoux. Fixant Elarig, il continua de le pousser de l’index.

-(commun) Allez Monsieur Elarig, Bansh nous attend. Et j’avoue que j’ai hâte de naviguer en compagnie du capitaine. Mais pour ça, nous avons besoin de vos connaissances. Alors hop ! on se lève. Posant les yeux tout autour de lui, toujours son sourire aux lèvres. Il poursuivit son monologue tout bas. De plus je dois dire Monsieur Elarig que je n’aime guère cette ville. Surtout après que le capitaine m’a fait part de certaine chose concernant cette citée. Regardant d’un air songeur l’homme nu. Je dois vraiment vous remettre sur pied. Levant son regard de jade, il vit sa belle chanteuse non loin. Son large sourire illumina de nouveau ses traits tatoués. Je crois que je sais comment y parvenir.

Dépliant ses jambes, lissant les plies de sa jupe, les prémisses de la maladie commençait maintenant à se faire sentir et de légers tremblements commençaient à entraver sa gestuelle. Son franc sourire toujours présent, il se positionna d’un petit bond, à coter des deux hommes d’armes.
-(commun) La liberté de pouvoir faire ses propres choix est primordial et je pense que Monsieur Elarig n’a pas eu le choix de faire ce qu’il a fait. Si vous tentez de le tuer maintenant vous entraverez sa liberté de choisir s’il veut mourir ou non …

Puis laissant les deux hommes, il continua son avancé en direction de sa jeune ami. D’une démarche pour la première fois saccadée, il parcourra le marché sans poser un seul regard sur les survivants. Traversant d’une traite, il rejoignit le mage et Zéphyr.
-(commun) Ma belle amie, j’ai décidemment encore besoin de vous. Pourriez vous chanter de votre douce voix un air pour remettre sur pied notre Elarig. Et … un spasme vint ponctuer sa phrase. Comme vous le voyez ma douce, je commence à ne pas me sentir très bien. J’ai besoin d’un remède contre la morsure de ce rat de tout à l’heure.

Malgré l’importance de ses propos, son large sourire continuait toujours d’être présent. Comme si la mort ne lui venait en aucune façon à l’esprit. Mais était ce peu être la cas.

écrit par: Atlas Mardi 03 Juillet 2012 à 05h58
Zéphyr se retourna vers le Psion le regard plein de tristesse, de la crainte d’être arrivée trop tard, peut-être pour la vieille dame, peut-être pour autre chose, Fairïe eut été bien incapable de le dire.

Le décalage entre la situation et l’attitude de l’aventurière ne l’étonnait déjà plus, quand elle secoua la tête c’était en réponse à la demande de soin.

- Ma foi n’attire pas la grâce des dieux mon ami, et j’ai déjà trop joué de la toile que pour pouvoir soigner qui que ce soit par son intermédiaire. Voici celle qui aurait pu vous aider tous les deux, il lui faut le temps de récupérer.

L’homme qui avait rejoint la barde et offert la potion de soin à la vieille dame renchérit : - « La vieille Myrthe est une guérisseuse de talent, elle pourrait guérir l’infection de la morsure de rat si tu lui laisses un peu de temps. Il y a peu de maux qui lui soient inconnus mais votre Elarig souffre de lycanthropie. C’est tout autre chose … Au mieux, elle pourra te donner une piste mais en aucun cas l’en soustraire. »

Le marchand qui avait donné l’alerte se frottait les mains sur sa toge qui avait dû être précieuse avant d’être partiellement brulée, mordue, arrachée. Il essayait de se donner un peu de contenance et de reprendre le dessus maintenant le danger passé. Par réflexe, il avait écouté la discussion et trouvé, par habitude, le moyen de satisfaire un client potentiel.

- Je peux vous aider mon bon monsieur ! Nombre de mes marchandises sont invendables, le temple ne voudra pas plus me les reprendre… et nous vous sommes redevables, nous aurions pu perdre plus encore.

S’écartant de quelques mètres et cherchant dans les débris un flacon intact, il revint presque aussitôt avec une mince fiole noircie mais apparemment entière.

- Voilà pour vous. M’aiderez-vous à retrouver ce qui peut être sauvé de ce désastre ?

D’un geste ample, il indiqua la zone dans laquelle il avait fouillé. A défaut de vendre ses produits en or ou en argent, il espérait bien recevoir une aide.

Fairïe reçoit un antidote.

écrit par: Fairië Atala Jeudi 05 Juillet 2012 à 08h31
Le flacon en main, Fairië adressa son large sourire habituel à son bienfaiteur.
- (commun) Et bien Monsieur le marchand, vous venez certainement de m’épargner une longue douloureuse et atroce agonie. Portant sa main droite sur le cœur et de son autre bras il battit l’air de geste théâtrale. Grâce à vous ma formidable épopée n’est pas encore finie et mon île m’attend toujours.

Effectuant une révérence exagérée comme à son habitude, il porta à ses lèvres la potion buvant son contenu d’un trait. Avait-il au moins pensé une seconde que cette fiole pouvait contenir autre chose qu’un simple remède … rien n’en était moins sûr. Une fois la fiole vide, il se retourna en direction de sa belle amie.
-(commun) Il semblerai ma belle chanteuse que notre épopée est encore loin d’être terminée. Finalement le monde connaitra bientôt notre petit secret. Grimaçant un clin d’œil comme à son habitude, exagéré, il reprit. Ce bon marchand m’a apporté son aide, je me dois de lui apporter la mienne en retour.

Un petit geste de la main en signe de salut, il rejoignit en petit bond l’échoppe de son bienfaiteur, ou du moins ce qu’il en restait. Son visage illuminé par son sourire il éleva de nouveau la voix :
-(commun) c’est la moindre des choses que je puisse faire. Puis claquant la paume de sa main droite sur son front. Quel mal élevé je suis, mon bon Rigo Pierrefendue m’aurait déjà mit un coup de pied aux fesses. Je vous remercie pour votre gentillesse. Appelé moi Fairië le grand … posant son index sur son menton les sourcils foncés … non Fairië le conquérant ... non plus. Que diriez vous de Fairië … croisant les bras il émit une moue réprobateur. Il va vraiment falloir que je travaille dessus. Puis d’une fraction de seconde, son visage s’illumina de nouveau. Appelé moi simplement Fairië pour le moment.

Retroussant les manches de sa tunique, il se mit à triller ce qui pouvait être encore sauvé des décombres.


boit antidote

écrit par: Atlas Mardi 17 Juillet 2012 à 21h07
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Fairïe aidait de son mieux. Bien que ses efforts n’allaient que rarement dans le même sens que celui du marchand ou des autres aidants, il participait de son mieux et cette aide fut appréciée au dessus de sa valeur.

Il fallut encore quelques longues minutes avant que la vieille Myrthe ne soit à nouveau totalement lucide si tant est qu’on puisse parler de lucidité pour une telle personne. Ses premiers propos –on leur expliqua qu’il en était toujours ainsi- étaient difficilement compréhensibles, tout en énigmes, en mélange de pensées et d’idées rarement directement liées à ce qu’on pouvait lui demander.
Elle n’était pas sénile pour autant et de l’avis des visiteurs du marché, il n’y avait personnes à des lieues à la ronde plus savante dans le traitement des maladies, empoisonnements, malédiction et autres afflictions. Et sa cécité ne lui cachait pas tout, que du contraire.

- « Le chant des vagues grince dans mes oreilles ! Quelle … drole d’étoile que voilà. Oh. Hihihi. Merci petite sang-mêlée ! D’où te vient la bénédiction de ton sang ? De ta mère ? C’est vide dans ton esprit, tu ne dois pas le savoir toi-même. Ohoh. Merci quand même, on ne cherche pas la branche de l’arbre qui porte le fruit qui donne le jus n’est-ce pas ? »

Le Rat-Garou se relevait seulement, ses yeux balayant les lieux sans les reconnaitre. Pour celui qui le regardait avec attention, on pouvait lire dans son regard gris une tristesse, une douleur plus que physique et un mélange de rancœur et de culpabilité. Il fut conduit docilement près de la vieille, tête basse il n’osait affronter le regard accusateur de personne. Malgré son regard mort, elle le pointa aussitôt du doigt : - « Tu portes les traces de tes larcins maudits ! Pirate qui se réfugie dans un nid de rats hihihi ! »

Elle riait, d’un rire désagréable au bruit d’os grattant la pierre. Elarig déjà tout sauf fier, manqua de s’effondrer sur place. Il avait pris conscience de sa nouvelle nature et du poison qui coulait dans ses veines et savait pertinemment comment l’affliction lui avait été communiquée.

- Mais je ne peux rien pour toi petit rat et je n’ai pas la bonté d’âme des lunatiques. Va donc leur rendre visite à leur si belle gemme du nord et dis leur que tu viens de la part de la vieille Myrthe ! hihihi ! Ne soit pas surpris de leur réponse, ils ne me connaissent pas aussi bien que je les connais. Mais ça coute et pour ça, il faudrait … oh ! Toute une île, c’est mignon !

Et elle s’arrêta soudain, comme plongée dans une intense réflexion, comme bougonne d’avoir été dérangée.

écrit par: Fairië Atala Jeudi 26 Juillet 2012 à 16h49
Après plusieurs minutes à trifouiller dans les décombres, malgré l’effort le Psion ne semblait pas trouver sa tâche si désagréable que ça, a voir son large sourire toujours présent et une ballade sifflante provenant de sa bouche. Bien entendu un long monologue avait, au préalable, été fait par Fairië pour expliquer le pourquoi du comment …

Et lorsque la vieille Myrthe redonna, de nouveau, signe de vie c’est en quelques clopinements qu’il alla rejoindre le groupe. Alors que pour un grand nombre de personne, ce type de discours pouvait sembler pesant voir agaçant, il en était tout autre pour Fairië qui semblait prendre un grand plaisir a l’écouter, au vu de son rire cristallin qui résonnait et de ses applaudissements du bout de ses doigts. Le seul bémol fut le rire de la vieille Myrthe qui tira les traits du Psion.

Malgré l’attitude plus qu’explicite qu’arborait le pauvre Elarig, il en était tout autre pour Fairië qui, bien évidemment, ne se rendit compte de la situation. Et c’est en sautillant sur place, marquant son excitation qui leva de nouveau la voix après celle de la vieille dame. Posant son regard et son large sourire vers elle.


-(commun) Je dois dire ma chère Madame Myrthe que vous m’éblouissez. Excepté je dois l’avouer, votre rire. Je pense que vous dégagerez davantage de mystère avec un rire plus posé. Vous savez ! Vous plairiez beaucoup au clan Pierrefendue, je vous le garantie. Et c’est toujours avec son large sourire que l’Elian continua sa discussion aberrante au vu de la situation. Se tapotant le nez une seconde il reprit d’un ton théâtrale en direction d’Elarig, ponctués par de grand gestes des bras. Toi ! le sang mêlé qui se refugie parmi les siens, ton aide s’avère indispensable à la découverte d’une pépite bercée par les flots ! Viens sang mêlé, viens avec moi, et chevauchons en compagnies de … marquant une pause il semblait chercher quelques choses … l’homme poilue. Regardant sa belle chanteuse, il haussa les épaules puis revint à Elarig continuant d’un ton théâtrale exagéré. Et marquons de nos noms l’histoire ! Nos destins sont maintenant liés, Viens … Viens avec moi et trouvons de ce pas cette fameuse gemme du nord.

Clôturant enfin son monologue, il clopina sur place d’une jambe à l’autre tout fier de lui pour enfin s’arrêter aussi sec. Levant les yeux vers les personnes présentes il reprit :
-(commun) excusez moi … quelqu’un a une idée de ce qu’elle veut dire par la gemme du nord … éclatant d’un grand rire, il attendait à priori une réponse.

écrit par: Atlas Jeudi 02 Août 2012 à 22h34
La vieille Myrthe dressa la tête vers Fairïe, reniflant comme un animal cherchant à identifier la source d’une odeur désagréable : - « Parce que tu penses qu’il y a matière à rire ? Les rats se reproduisent trop vite, c’est affreux. Et le sang-mêlé c’est l’autre, le rat n’a rien de bon dans son sang. Non, vraiment. »

Il y avait matière à ce que les deux s’entendent tant ils étaient semblables sur leur capacité à passer instantanément d’un sentiment à l’autre. Elle semblait maintenant se rendre compte qu’elle était dans un égout et que dans d’autres circonstances, elle aurait pu gouter à une vie plus facile que celle d’une vieille femme forcée de se cacher.

Elarig ne comprenait absolument rien de ce que venait de lui lancer le Psion et se demanda si la folie ne l’avait pas finalement emporté entre l’aveugle et cet inconnu sautillant. D’un regard implorant, toujours honteux, il passait de Sphinx à Zéphyr, aux aventuriers qui lui avaient fait front et même aux marchands, à la recherche d’un rocher de raison dans cette océan d’incompréhension.


- Mon bon Phaerïe … je pense que tu mélanges plus encore la soupe de notre soigneuse …

Zéphyr planta son regard dans le sien dans l’espoir d’attirer sa pleine attention et d’éviter qu’il ne reparte dans une autre tirade théâtrale avant qu’elle ait terminé.

- Je ne connais qu’un endroit que l’on appelle la Gemme du Nord, c’est Lunargent. C’est un bien long trajet, très loin de l’Île-aux-Rubis. Tu vas devoir choisir tes priorités et garder à l’esprit qu’Elarig est à présent un lycanthrope avec tout ce que ça représente en dangers potentiels. Il le sait mais sait aussi le peu de chance qu’il a de trouver quelqu’un pour l’aider à s’y rendre.

Enfin, l’intéressé prit la parole : - « Je n’attends rien de vous et ne connais pas cet homme poilu mais si j’ai une chance de rembourser ma dette, je vous suivrais en enfer, ça ne sera pas pire que ce qui m’attend ici. »

Le mage responsable de ses brulures le reprit sans prendre de gant : - « Sois-en sur … Nous ne t’oublierons pas même si je te plains pour la malédiction qui t’affecte. »

Tandis que le marché reprenait son apparence d’avant l’attaque, les aventuriers, dans un salut de circonstance à la barde et aux marchands, quittèrent les lieux par une échelle qui devait les mener à la surface. Le guerrier blessé manqua en tomber mais ne grogna même pas tandis qu’un de ses compagnons le soutenait pour l’aider à grimper. Sphinx connaissait cette attitude martiale, le refus de soins magiques pour se souvenir qu’il devait s’améliorer encore pour éviter d’être blessé à nouveau.

Sphinx n’avait pas avancé dans ses recherches. D’Hagon elle n’avait retrouvé qu’un compagnon sans vie et pas la moindre piste qui puisse la rapprocher de Darek et de ses assassins. Pour ses agresseurs, il lui restait pour seule idée qu’ils aient pu partir vers Padhiver comme ils lui avaient dit l’avoir prévu... à défaut de mieux…

Une autre possibilité s’ouvrait à elle, de partir à l’aventure avec le fantasque Psion –si ce fameux Bansh l’acceptait-, une aventure bien plus périlleuse que celle d’affronter des rongeurs.

écrit par: Fairië Atala Vendredi 14 Septembre 2012 à 16h34
L’air glacial de la cité de Luskan lui fouetta le visage contrastant avec la chaleur des sous terrains. Attendant que ses acolytes sortent à leur tour, il s’adressa avec son large sourire a sa douce chanteuse :
-(commun) Très chère, je regrette presque notre escapade dans ces sous-terrain. S’emmitouflant, que d’avantage, dans son manteau il reprit. Mais remarqué je n’ai guère envie de me retrouver de nouveau avec ces gros rats. Les traits de son visage se tirèrent une fraction de seconde , puis se tournant en direction d’Elarig. Pardonnez moi, mon ami, en parlant de « Gros rats » je ne voulais pas vous vexer. Puis éclatant de son rire particulier, il reprit d’un ton théâtral. Mes amis ! maintenant que nous avons terrassés du mal et survécus à notre épopée sous-terraine, il est temps, je pense, de rejoindre notre capitaine.

Marquant une pause, il commença de nouveau sa dance étrange, sautillant d’un pied à l’autre marqué par le cliquetis de son imposante lame.
-(commun) Je ne sais pas pour vous, mais je pense que nous devrions tout d’abord nous entretenir avec notre bon Bansh. Après tout c’est notre capitaine… levant l’index en l’air en guise de rassemblement il continua d’un ton chantant. Allons y mes amis ! ma belle chanteuse, pouvez vous nous indiquer la route ? je dois dire que je suis quelques peu perdu. Finissant sa phrase par son large sourire.

écrit par: Sphinx Aodren Lundi 24 Septembre 2012 à 13h05
Sphinx observait se taisait et regardais les scène le théâtre qui se jouai devant elle. Une pièce grotesque avec des personnage certes aux en couleur. Envers les aventuriers mage et guerrier qui était présent elle éprouvai une pointe de respect chose dont elle n’avait pas pour habitude.
Un peut de pitié pour se garou et une bonne dose de méfiance, et avec tous sa toujours une incompréhension de ses infortunés compagnon de route. Après tous sa, laissant entre de bonne mains la vieille dame aussi curieuse que Fairië pouvait l’être, elle s’engagea a la suite du guerrier blessé pour enfin sortir de ses souterrain.


Une fois a l’air libre malgré sont fond glacier elle respira a plein poumons.
¤ Je ne peut continuer avec c’est drôle de personnage il sont bien sympathique mais je ne pense pas arriver un jour a les comprendre et j’ai bien assez de mes propre ennuis s’en en ajouter des leur qui m’échappe totalement qui plus est.¤

Quant le groupe d’aventurier sorti elle les laissa s’entretenir. Puis avec un pas décider et se tenant devant eux elle leur dit :
« je tient a vous remercier de l’aide apporter et espère que , quel qu’elle soit, votre quête sera couronner de succès. Je ne vous retiendrai pas plus longtemps et m’en vais retourner a mon propre chemin. »
Après cette tirade elle laissa échapper un léger mais charmant sourire et les salua d’une légère révérence du buste avant de tourner les talon et de se diriger vers la première auberge qui pourrai lui permettre de se détendre et reposer quelque peut au calme afin de décider la suite de sont voyage.

écrit par: Atlas Mercredi 26 Septembre 2012 à 21h40
Zéphyr avait rit, d'un rire cristallin, chantant, doux et brillant à la fois, puis de sous sa cape reprenant une allure de nuit étoilée, elle disparut, laissant Fairïe seul ou presque.

Voilà que la demi-elfe, elle aussi, avait finalement fait le choix de chercher ailleurs l’aventure et de ne plus guère souffrir d’une rencontre aussi colorée fut-elle, sans doute trop éloignée de ses propres recherches ou encore trop attachée à l’idée qu’un jour, il le fallait, elle retrouverait les assassins de Darek.

Ni Bansh, ni aucun autre Frère ne la pleurerait de n’avoir pas même eu l’occasion d’en apprendre l’existence. Une page se tournait sans enluminure pour Sphinx.

Par instinct ou autre chose, les pas de Fairïe le ramenèrent à l’entrée du Coutelas, Elarig derrière lui, tel une ombre tremblotante cherchant avec une crainte non dissimulée le visage de Séluné dans le maelstrom du ciel nocturne. Au dehors plus personne ne cherchait à les suivre quand bien même ils s’en furent inquiété. La nuit était mauvaise, le sol glissant serait bientôt boueux et froid, retenant les imprudents de ses mains tendues pour les faire choir et les recouvrir de sa triste couverture brune et blanche.

Les vitres opaques de fumée et de graisse ne laissaient apparaitre qu’une pâle luminescence jaunâtre, c’est à peine si les sons trouvaient leur chemin au travers de la lourde porte close.

Quand ils franchirent la porte, la chaleur leur revint soudain, rougissant leurs joues et remplissant leurs yeux de larmes les empêchant de voir tout de suite le regard noir et les dents serrées des plus proches de l’entrée. La salle était bondée.

Arumn accueillit le Psion aussitôt, le poussant à entrer plus profondément dans son établissement, vers une table à laquelle se dressait une masse qu’il ne pouvait que reconnaitre.


- Je suis content de te revoir l’ami, et le capitaine le sera plus encore. Son humeur était tombée aussi bas que possible, il était temps que Tymora lui sourit à nouveau.

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Arumn est le tenancier de l’auberge du « Sabre d’Abordage » à Luskan


De ne pas le connaitre de la sorte, le tenancier n’accorda aucune attention visible à l’homme qui l’avait suivi de près, une des dames de salle s’en chargerait.

écrit par: Fairië Atala Jeudi 27 Septembre 2012 à 16h32
Les traits du visage tirés par la tristesse, il se laissa guidé par Arumn à travers les lieux. Durant son retour, il n’avait cessé de penser à sa jeune chanteuse, elle allait lui manquer c’était certain. Il n’avait même pas pu jouer de conserve avec elle. Et lorsqu’il releva la tête, c’est un visage souriant que Bansh pouvait de nouveau discerner. La tristesse balayée par un mélange de joie et d’excitation, c’est en clopinant d’un pied à l’autre qu’il alla rejoindre avec engouement son capitaine.

Et c’est avec un dernier saut pied joint, qu’il atterrit en face de l’humanoïde. Se tenant droit comme un « i » , imitant un genre de soldat :

(commun) Fairë Atala, capitaine ! Au rapport !

Puis sans laisser le temps a Bansh de prononcé un mot, il se laissa tomber sur la chaise, son imposante lame à ses côtés. Fixant le gorille, Fairië possédait comme a son accoutumé son large sourire, les yeux pétillants, une longue histoire allait certainement attendre Bansh :
-(commun) Mon capitaine, ravie de vous revoir de nouveau ! je dois dire que cela n’a pas été de tout repos, mais au combien distrayant … tapotant le bout de ses doigts comme à son accoutumé lorsque l’excitation le gagne. Ne laissant aucun répit au pauvre capitaine, il continua.. Ma formidable épopée a commencé sous cette taverne, suivant ma douce chanteuse à travers les égouts de Luskan, nous avons été attaqué par de gigantesques rats comme vous n’en avez jamais vu. Avec d’énorme dents ... Fairië se mit a mimer le combat. Ma douce chanteuse en a fait fuir un. Quand un moi j’ai du malheureusement occire l’autre. Dans cette fougueuse bataille épique, j’ai été blessé à la jambe, mais là encore ma belle chanteuse me sauva la vie. Continuant sans la moindre pause. Nous avons ensuite continué à travers les égouts, et nous sommes tombés sur une demoiselle du beau peuple. Regardant le plafond, se tapotant le l’index sur son menton. Ou bien était-ce une demi elfe ? je ne m’en souviens plus. Balayant avec sa main , il continua. Quoiqu’il en soit, nous avons continuer notre épopée et sommes tombés nez à nez dans une épique bataille … De nouveau le Psion se mit a remuer frénétiquement ses bras, mimant la scène, les combats… ma douce chanteuse et moi-même nous nous sommes battu avec courage contre une horde de rat, avant que tout ne revienne au calme. puis j’ai fait la connaissance d’une vieille dame vraiment sympathique … une moue se dessina sur son visage … mais avec un rire, capitaine, vraiment effrayant. Puis nous somme remontés et je suis de retour.

Son monologue finit, il empoigna la chope du capitaine et se rinça longuement avec. La reposant avec un large sourire, il continua :
-(commun) Oh oui c’est vrai ! je vous ai ramené Elarig aussi… penchant son buste vers le capitaine, la main devant sa bouche … il s’avère que notre homme est un rat géant … fixant le capitaine il lui asséna un clin d’œil … si si je vous assure. Mais ce pauvre Elarig n’a pas l’air très très joyeux. Ou est –il d’ailleurs ?



écrit par: Atlas Mardi 02 Octobre 2012 à 21h08

écrit par: Fairië Atala Mardi 09 Octobre 2012 à 12h28
-(commun) A toute à l’heure capitaine !

Il n’en fallu guère plus à Fairië pour suivre le garçon de salle jusqu’au chambres supérieures. Tout en sautillant, il traina tout le long de la salle commune son imposante lame derrière lui, comme si de rien n’était. Le Psion adressa son larges sourire à quiconque le dévisageait. Avait-il compris quel genre d’hommes trainaient dans le coin … il y avait fort à parier que non.

Et c’est avec un réel plaisir qu’il se plongea dans l’eau chaude. Scrutant son mollet, là ou il y a encore quelque heures sa jeune chanteuse l’avait soigné.

-(commun) Ma belle amie a décidemment beaucoup de talent. Quel dommage que nous n’avons pas trouvé le temps de jouer ensemble. Eclatant de son rire. Elle m’aurait sans doute ridiculisé.
Plongeant sa tête sous l’eau , sa masse de cheveux suivant, il se redressa. Fixant le plafond, ses doigts commencèrent à parcourir sa peau, dessinant les motifs encrés sur son épiderme, lentement puis de plus en plus rapidement. Ses yeux se fermèrent et les traits de son visage se figèrent dans une neutralité dérangeante. Et encore et toujours ses doigts parcouraient frénétiquement et inlassablement sa peau.

Au cours d’un temps que lui-même ne put définir, ses doigts s’arrêtèrent. Ses yeux de jade se rouvrirent et son sourire habituel réapparut. Sortant de son cocon de chaleur, il était temps de rejoindre son bon capitaine. Pour connaitre un peu plus sur la suite des évènements. A cette pensée, il ne put s’empêcher de se tapoter le manteau d’excitation.

Sortant des chambres supérieurs, il alla rejoindre de nouveau le capitaine dans la salle commune, en petit bonds devenus maintenant habituels.


focalisation psionique

écrit par: Atlas Mercredi 10 Octobre 2012 à 21h32

écrit par: Sphinx Aodren Samedi 13 Octobre 2012 à 01h26
Sphinx ne savait pas vraiment quoi faire a part trouver un endroit ou passer le nuit, prendre un bain et laver ses vêtements. Quant elle entra dans le seul lieu qui pourrait correspondre a ses attente elle en apprécia la chaleur qui lui annonçai peut être un bon repos.Une table a l'écart attira sont attention. Tout en balayant du regard la salle et détaillant les occupants du lieu elle si dirigea pour prendre place. Emmitouflé dans ce manteau qui sentait tous sauf la fleur elle se délassa les membres et prêta l'oreille a la conversation qui se déroulais non loin. Tout en s'étonnant de l'aspect de celui qui avait tous l'aspect d'un gorille.

Des histoire abracadabrante elle en avais déjà entendu mais pas comme celle ci, pas qui sonnait vrai, pas de ses histoire qui, pour on ne sais qu'elle raison, vous fait bouillir le sang et penser que vous voudriez en savoir plus, vous voudriez le voir de vos propre yeux, vous voudriez y être.


¤ Étrange sensation je ne suis pourtant pas du genre a m'emballer pour se genre de choses. Mais il est vrai que cela m'intrigue. Est-ce sa que l'on nomme l'appel de l'aventure ? ¤

Plongée dans ses pensées elle sentit quelque chose la prendre au ventre et réalisa la faim qui la tenaillai en sentant l'odeur de nourriture. Enfin l'odeur de nourriture qui n'était pas éclipser part la mauvaise odeur qu'elle même dégageais.Une mendiante voilà a quoi elle se faisais pensée.

¤ Manger un morceau avoir une chambre et de quoi me laver tout comme mes affaires serai le bien venue j'aviserai plus tard de se que je peut bien faire.¤

Suite a cette pensée Sphinx se leva afin d'aller demander de quoi manger et une chambre avec de quoi se laver. Sont cerveau emplit de multiple question sur ses but, sa vie, sont chemins, sa solitude.

¤ Même si l'étrange Fairië était déroutant il est vrai que sa compagnie et sont étrange bonne humeur apparente me faisait du bien et dans un sens m'amusais. Malgré que nos chemins soit divergeant, je le regrette déjà un peut.¤

D'un geste de la main chassa ses idées noir temporairement en se disant qu'elle devais sans doute être plus fatiguer qu'elle ne le pensais. Sa ne luis rassemblais pas de regretter une personne, qu'elle ne connaissais pas vraiment qui plus est. Ne pensant plus qu'a se restaurer et repartir sur un meilleur pied elle avança d'un pas faussement plus décider.




écrit par: Fairië Atala Samedi 13 Octobre 2012 à 21h46
Fairië adorait les histoires, et le récit du capitaine attira toute son attention. Cependant le Psion n'avait rien d'un public "normal". Pour la plupart des personnes, il est évident que ce récit susciterait sûrement tristesse ou compassion, et surtout avec la présence de ce pauvre Elarig pour appuyer les dires du capitaine. Et si Bansh s'attendait à une quelconque réaction "normal", il en fut tout autre avec le Psion comme interlocuteur. Fairië ressemblait davantage à un enfant à qui on racontait une histoire d'horreur. Ces yeux de jade grand ouvert, il avala plusieurs bouchées de pain sans détourner les yeux de ceux du capitaine. Et lorsque le grand singe se leva, Fairië ne pipa mot, trop occupé à examiner sa nourriture. Son esprit occupé maintenant à autre chose.

Délaissant son assiette, le Psion n'éprouvait pas de plaisir particulier à manger et d'ailleurs ne le faisait uniquement en de très rare occasion. En revanche il éprouvait un certain plaisir à gouter de nouvelle chose. Mais la curiosité ne durait qu'un temps limité. Levant la tête, son regard s'attarda sur la pièce commune, comme pour chercher quelque chose à faire.

Oreilles pointues, cheveux argentés, son regard se laissa aller sur une demi-elfe passant par là.

¤Mais c'est ...¤
En une fraction de seconde, les yeux de jade du Psion pétillèrent de nouveaux, son large sourire en place. Il se leva brusquement. Dressé sur la pointe de ses pieds, il battait les bras de grand mouvement ample pour attirer l'attention de la jeune femme. Scandant à plusieurs reprises le nom de Sphinx. Tel un enfant tentant d'attirer bruyamment l'attention de ses parents. Puis se lançant à sa rencontre, il l'aborda avec son grand sourire.

-(Elfique) Ma chère !! Je pensais que vous nous aviez quittés pour de bon !! Vous tombez à point nommé, l'ennui me guettait et je le voyais pointer le bout de son nez, jusqu'a ce que je vous aperçoive. Battant l'air de sa main droite. Mais venez, venez ! Resserrant sa main gauche dans celle de la jeune femme, il l'entraina jusqu'à sa table. Je vous en pris prenez donc un siège. Nous ne sommes plus que deux ma chère. Pointant du doigt la nourriture encore présente sur la table. Vous semblez affamée, mangez donc !

écrit par: Sphinx Aodren Lundi 15 Octobre 2012 à 09h51
Sphinx était presque arriver au comptoir quant une voie scanda sont prénom plusieurs fois se qui la surpris et le fit s'arrêtait dans sont élan. Elle se tourna dans la direction ou on l'interpelais.
Fairië se dirigeais vers elle avec un de ses sourire qui semblais toujours presque trop joyeux mais elle ne put s'empêcher de lui répondre avec un léger sourire.


¤Décidément sa bonne humeur est contagieuse mais que me veut t'il ? ¤

Quant il lui prit la main pour l'entrainer au niveau de la table ou les victuailles ,qui lui avait réveiller l'estomac se trouvais, elle se laissa faire trop surprise du contentement qu'il semblai avoir de la retrouver.

¤Il s'ennuyai ? Et il semblerais que ma venus est atténuer cet ennuis. Étrange êtres.¤

Quant il lui proposa de s'installer et de manger elle n'en cru pas ses oreilles. Elle pris place et regarda enfin en fasse les yeux qui refléter cette joie enfantine d'un vert si particulier et lui adressa cette fois un sourire non fin, réel et reconnaissant, avant de se servir dans se qui se trouvais sur la table.

Après quelque bonne boucher et un soupir d'aise elle s'adressa a sont interlocuteur:

(Elfique) "Merci de votre gentillesse je ne voulait pas déranger. Je n'ai trouver que cette endroit pour me réchauffer et me reposer quelque peut je n'aurai pensée que vous m'inviteriez. Suite a ses mots, quelque peut gêner elle laissa aller un rire musical.Je doit bien avouer que sa me fait plaisir de vous revoir!"

écrit par: Fairië Atala Mardi 16 Octobre 2012 à 16h56
- (Elfique) A la bonheur ma chère amie !

Sa tête posée entre ses mains, les coudes posés sur la table, Fairië fixa de ses yeux pétillants la demi-elfe. La regardant se jeter sur la nourriture, il eu un rire enfantin :

-(Elfique) Et bien très chère, je ne pensais pas qu’un si petit corps pouvait engloutir autant en si peu de temps. Il faut penser à vous nourrir plus souvent ! Déduction pour le mois bancale d’un homme dont la nourriture n’était pas nécessaire à sa survie. Partant dans un éclat de rire soudain. Combien de fois Rigo me bottait les fesses car je ne mangeais pas, alors qu’il connaissait ma condition. Mettant sa main devant sa bouche pour imager un secret. Surtout n’allez pas le lui répéter, mais je crois que c’était sa façon de me dire qu’il tenait à moi. Suivit d’un clin d’œil, Fairië retourna à sa position précédente, la tête dans ses mains. Pour preuve ! il m’a carrément botté le derrière lorsque je suis parti du clan. En prétextant que j’avais encore omis certaines marchandises à Phent. Secouant la tête par la négation son regard se posa de nouveau sur Sphinx. Et vous très chère, que faisait une aussi belle jeune fille dans ces égouts … grimaçant … pour le moins ragoutant de cette ville insupportable. La demi-elfe pouvait maintenant se rendre compte des changements radicaux du Psion , notamment en terme de discussion.

écrit par: Sphinx Aodren Mercredi 17 Octobre 2012 à 10h16
Il lui parler directement se qui, pour lui , ressemblais le plus a une vrais discutions. L'attention toucha Sphinx. En découvrant qu'il était marchand, qu'il était partit de sont clan et qu'il semblais être aussi seul qu'elle, elle se senti un peut plus proche de cette homme étrange.

(Elfique)- Marchand et bien vous deviez être de ses marchand qui sont tellement habille pour déstabiliser que l'on finit part lui acheter se dont on avaient absolument pas besoin. Elle conclu sa phrase part un petite rire musical.

Il avait le dont de lui mettre du baume au coeur part sont côté farfelu ou trop franc ou toujours a mille lieu d'un comportement que l'on pourrai définir de normal, quoi qu'il en soit il avait le dont de la faire respirer, presque comme avant. Au question de Fairië elle décida de répondre pour une fois franchement après elle verra si l'avenir lui démontrera qu'elle a eu tord ou bien raison de lui accorder sa confiance.

(Elfique) - Se que je faisait dans les égouts et bien rien de plus simple, une fois partit sur les route pour savoir pourquoi le peut de stabilité de ma vie a voler en éclat je suis tomber sur un groupe de personne a l'approche de la Cités des Voiles. Grand mal me fasse. Un rire, sinique cette fois, s'échappa du font de sa gorge qui pouvait ressembler a l'echos d'un coup de poignard dans le dos. Je les ais entendus dire qu'il voulais rejoindre Padhiver, je me suis donc présenter pensant trouver de l'aide de route peut être même des compagnon d'un temps au moins. Sotte que je suis. Ils ont gagner ma confiance, mon dit de ne pas passer part les chemins conventionnel parce que la route commercial est surveiller par une garde qui m'aurait mis au fer juste pour le fait que je suis une demie-elfe. A ses mot elle prit une mine sombre un aspect presque meurtrier pointa dans son regard pour se cacher a nouveau au fond de l'âme de la jeune femme. Ils m'ont donc parler du passage dans les égouts on même étaient gentils en me prévenant des pièges et danger de l'endroit. A un moment donner, quant je fut totalement perdu sans plus aucun sens du temps et du lieu, un d'eux, Hagons, c'est retourner vers mois et ma assommer Sur sa mine s'afficha une mous sur jouer de quelqu'un de surprit Sans prévenir le malotrue vous vous rendez conte ! Malgré le rire penaud quelle laissa échapper on pouvait voir a sont attitude que la demie elfe tentait de dédramatiser le fait de la duperie.Il a tenter de me dévaliser loin des regard. Mais pour je ne sais quelle obscure raison il n'a pas put le faire. Puis j'ai repris conscience et vous m'avez découverte.

Après cette tirade elle bût un peut et tenta un sourire qui semblais dire " appart sa tous va bien je vous assure" sa grande conviction. Les yeux ensommeillés elle resta un moment fixer, le regard perdu dans le lointain. Elle finit par marmonner:

- Si Darék me voyait il rirait bien de moi.

La phrase semblait adressée a elle même. Un souvenir qui, pendant quelque seconde, embruma sont regard d'une grande tristesse puis elle reprit pied dans la réalité. Relevant la tête et, pour une raison dont même elle ne pourrait définir, dit a sont interlocuteur accouder a la table dans sont attitude si étrange :

(Elfique) - Si vous avez besoin de quelqu'un pour vous accompagner je peut, peut-être, vous être utile. Je ne vous force pas bien sur je ... vous laisse y penser si vous le souhaitez.

écrit par: Fairië Atala Vendredi 26 Octobre 2012 à 23h33
Ses yeux de jade pétillants de curiosités, le Psion semblait boire les paroles de la jeune demi-elfe, tel un enfant contemplant son orateur avant de sombrer dans son sommeil. Son large sourire ne s'effaça pas une seule fois, même lorsque la jeune guerrière vint à parler de sa mésaventure l'amenant au bord de la mort. Son expression joyeuse toujours de mise, il ne semblait n'avoir pas la moindre once d'empathie pour la jeune demi-elfe. L'histoire terminée, Fairië tapotait du bout de ses doigts, gage d'une excitation non feinte:
-(Elfique) Et bien ma jeune amie ! Ceci était une sacrée histoire ! Vous avez su éloigner de moi l'ennuie qui me pourchassait. Posant son index sur son menton, il leva sa voix pour lui même. Donc ma jeune amie arpente les sentiers de la vengeance. A ces mots son regard se posa dans celui de Sphinx, si elle soutenait son regard, elle pouvait voir une étrange lueur dans les yeux du Psion, reflétant d'ancienne blessure du passée et teinté d'inhumanité. Son sourire avait disparu et sa voix se fit plus neutre. Ce chemin est capable de laisser de nombreux cadavres sur son chemin, il est également le plus facile à arpenter, mais demande en retour de grands sacrifices apportant son lot de blessure. Inconsciemment sa main droite se porta sur son imposante lame attendant à ses côtés. Aucun son ne sorti de sa bouche pendant quelques secondes, laissant Sphinx seule avec les bruits d'une taverne sur le point de s'endormir.

Puis son sourire revint aussi vite qu'il avait pu disparaitre et sa voix aussi enjoué qu'a son début.

-(elfique) Ma chère, je n'ai pas le pouvoir d'accepter votre demande. Seul mon bon capitaine poilu peut vous donnez son autorisation de parcourir la mer en notre compagnie. Puis ses yeux prirent un éclat pétillant. Dites moi très chère, avez vous déjà naviguée ? Sentie la brise sur votre visage ? L'écume sur vos lèvres? Avez-vous déjà ressentie cette liberté qui vous tient lorsque vous fendez avec ardeur l'Océan? Son sourire se fit plus grand. Si tel est le cas ! Alors mon capitaine poilue ne verra, je pense, pas d'inconvénient à vous voir monter à bord de son navire. A moins qu'il soit comme l'un de ses innombrables capitaines sans nom, refusant de naviguer avec femme à bord. Quoiqu'il en soit ! Ma jeune et jolie oreille pointue devra demander à Bansh demain matin. Nous embarquons à l'aube. Ses yeux d'écrivit un peu plus le visage de son interlocutrice. Vous semblez épuiser. Je ne connais pas l'état de votre bourse mais si vous le voulez, mon lit vous attend. Poursuivant d'un clin d'œil. Et je suis persuadé que ce bon Arumn doit encore avoir de l'eau chaude. Prenant un air dégouté. Car je dois vous le dire, ma jolie jeune fleure ne sent pas la rose.Riant de sa blague bancale de son rire cristallin. Et ne vous inquiétez pas pour moi. Disons que je n'ai pas vraiment besoin de dormir, mais juste d'un endroit ou me poser. Le lit peut donc être a vous.

écrit par: Sphinx Aodren Samedi 27 Octobre 2012 à 09h02
Sphinx eu un frisson qui passa tout le long de sont échine. Quant cette personne parlait de vengeance ils donnais des sueur froide il semblais en parler comme si la vengeance était une vieille amie ou même une amante. Croire qu'ils pourrait être compagnons de route ou amis était folie et fadaise de sont esprit fatiguer.Il fallait se méfié de cette être, n'avait il pas partez pendant un instant sa mains a sont armes quant sont visage était devenus de marbre. On ne pouvait pas le comprendre ni le cerner, ces changement de comportement a l'extrême n'aidai donc en rien.la proposition qu'il lui fit la laissa un moment bouche bée.

- Merci mais je pense prendre une chambre et un de l'eau pour me laver. Votre remarque est vrais je sent mauvais mais je n'ai pas comme vous la chance d'avoir put prendre un bain. je vous remercie pour vos attention je vais prendre chambre et de quoi me laver de moi même. Demain si j'en ai l'occasion je proposerai mon aide au capitaines dont vous m'avez parler et si il refuse alors surement que je continuerai mon chemin de mon côté sur une autre voie.

Sphinx ne voulait pas être trop longtemps l'amusement de quelqu'un elle avait assez divertie lors de sa vie d'orpheline et ne souhaitai pas que cela recommence.
Elle c'était encore tromper surement cet homme instable la trahirait si tous simplement l'envie lui venait. Mais elle verrait le destin et le capitaine du navire ou il embarquerai déciderai de la voie a empruntée.


Après c'est réflexion Sphinx se leva salua Fairië et alla prendre chambre et baquet.

écrit par: Atlas Vendredi 02 Novembre 2012 à 14h03
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Sphinx

Il n’y avait plus de chambre seule de disponible et les garçons de salle étaient déjà partis profiter d’un peu de repos avant que ne reprenne, avant l’aube, leur travail au Coutelas. Pas de bagarre ce soir, les nuits étaient déjà trop froides que pour prendre le risque de se faire jeter dehors.

Ca n’empêcha pas la guerrière de camper sur ses positions, elle avait eu l’impression que le Psion se jouait d’elle et l’avait … très mal pris.

Une dernière serveuse, les paupières lourdes de sommeil offrit néanmoins à Sphinx l’opportunité d’un bain dans l’arrière salle, là où elle les prenait elle-même quand elle en avait l’occasion. Si la demi-elfe avait du aider à transférer l’eau des lourds sceaux vers le baquet qui tenait lieu de bain, elle aurait fait bien plus pour le bonheur de se plonger dans le liquide tiède chassant la plus grande part de l’odeur pestilentielle des égouts, incrustée dans sa peau, dans ses cheveux.

La serveuse lui offrit de même une chemise de nuit pour lui permettre d’utiliser cette même eau pour nettoyer ses vêtements, lui promettant qu’elle pourrait revenir à l’aube se changer là et que ceux-ci seraient secs pour le compte, puis était partie dormir à son tour.

Sphinx trouva une place dans une chambre commune, lit laissé libre et payé d’avance par un marin qui n’avait plus donné signe de vie depuis - lui avait expliqué sa bienfaitrice-, et s’endormit aussitôt, plongeant dans un rêve étrange mettant en scène ce vieil ami dont elle voulait venger la mort et un démon, à la peau couleur rubis, lui proposant son aide. Mais dans son rêve Darèk était en vie, debout à côté d’elle et n’avait donc plus besoin d’être vengé pour quoi que ce soit et au moment où elle voulut le dire au démon face à elle, elle se rendit compte qu’elle était un rat, blanc comme la neige qui tombait à l’extérieur. Quand elle tourna son petit cœur de rongeur vers son ami, il avait disparu.

Elle se réveilla en sursaut mais ne tarda pas à replonger dans le sommeil, une seconde fois, sans qu’aucun songe ne la trouble plus.


Fairïe

Qu’avait-il pu dire pour s’accorder soudain le désaccord de la demoiselle à laquelle il avait proposé jusqu’à son lit ? Il y avait fort à parier que Fairïe n’en eut cure et il rejoint sa chambre, débarrassée de son baquet.

Neuvième jour du mois de Nuiteuse, année de la Magie Sauvage (9 Nuiteuse 1372)
Lieu : Luskan, Taverne du Coutelas
Climat : Nuageux, légères averses de neige fondante
Température: environ 2°C
Moment: Aube naissante


Sphinx

La pale lueur de l’aube illuminait à peine l’Orient tandis que du Septentrion continuait de souffler un vent froid et humide, charriant des flocons qui ne parvenait à recouvrir les bâtisses mais déjà changeaient les chemins de terre en boue froide, mordante. Une certaine animation reprenait pied dans l’établissement, un co-locataire de Sphinx était déjà levé et, malgré une certaine attention à ne pas faire plus de bruit que nécessaire, l’avait réveillée en ouvrant le coffre, au pied de son lit, dans lequel ses affaires personnelles avaient été rangées la veille.

La clé que la serveuse de la veille lui avait donnée pendait autour de son cou sous la chemise de nuit. Aussi discrètement que possible, elle eut vite fait de rejoindre l’arrière salle et de s’y changer pour retourner prendre ses affaires dans son coffre. Rien n’avait bougé, l’odeur d’égout avait presque disparu.


Sphinx & Fairïe

Dans la grande salle, quelques buches avaient été placées dans le feu, les braises attisées eurent vite fait d’en grignoter les contours, conservant l’agréable chaleur qui n’avait qu’à peine diminué pendant la nuit. Ceux qui y avaient passé la nuit évacuaient les dernières vapeurs d’alcool et de songes pendant que la vie y reprenait cours.

Bansh était déjà là, à sa table de la veille, habillé d’un curieux manteau noir, ouvert à l’avant, qui laissait voir une véritable armure de cordes et au centre de celle-ci, au droit du plexus, un cristal d’un pouce de diamètre couleur émeraude. Sur la table, il avait ouvert une carte de vélin représentant la Côte des Epées annotée de centaines d’inscriptions diverses écrites dans une belle collection de langues différentes.

Arumn était déjà derrière son bar également, surveillant les clients qui prenaient plus de temps à se réveiller ou qui auraient risqué espérer quitter les lieux sans payer leur note.

écrit par: Fairië Atala Mardi 06 Novembre 2012 à 19h40
Un immense sourire aux lèvres, Fairië avança en clopinant comme à son habitude, signe de bonne humeur. Un cliquetis d'acier provenant de son imposante lame dans son dos, ses longues locks détachées virevoltant à chaque bond. Le bonhomme ne manqua certainement pas d'attirer l'attention sur lui.

Et malgré l'heure matinale, les traits du Psion n'avaient pas changés, aucun signe d'une nuit méritée ou les marques d'un réveil forcé par l'aube naissante. Passant proche du bar, il adressa un large sourire à Arumn :

-(commun) Mon cher tavernier ! Nous y sommes, bientôt tes clients chanteront les louanges de Bansh et de son fidèle ami Fairië. Bondant le torse, le Psion n'avait sans doute toujours pas saisi le type de clientèle du coutelas. Eclatant de son rire si particulier, il continua son chemin vers le capitaine.

Stoppant sa "bouffonne" progression face au capitaine, son visage ne cessa pas de se fendre d'un immense sourire.

-(commun) Enfin capitaine ! Nous sommes fin prêt pour notre grande épopée. A la vue de la carte dépliée, le sourire du Psion s'élargit encore davantage. En l'espace d'une fraction de seconde, il avait le nez dans le vélin, balayant avec émerveillement les contours de la carte. Tapotant les bouts de ses doigts entre eux, l'excitation du Psion était clairement visible. Relevant le visage en direction de son capitaine, Bansh pouvait maintenant voir dans les yeux du Psion un désir de Liberté.

écrit par: Sphinx Aodren Mercredi 07 Novembre 2012 à 18h14
Heureusement que des personnes avait encore bonne âmes. Grâce a cette dame elle avais pus se laver et passer une bonne nuit. Au moins en entrent ici elle n'avait pas tous perdu.

A peine entré dans la salle principale elle vit l'étrange capitaine. Comment aborder le capitaine. Sphinx apprécia la douce chaleur qui se trouvait dans la pièces et qui lui donnait un peut de baume au coeur. Au moment ou elle allait approcher de la table du capitaine un cliquetis attira sont attention. Fairïe était la avancer d'une manière totalement décaler. Que pensés de cet êtres étrange personne totalement Lunatique et imprévisible, sphinx s'en soucierait plus tard au besoin. Elle s'avança jusqu'à la table ou se trouver Fairïe et le capitaine maintenant et dit :


- Je vous salut. faisant un signe respectueux en direction du capitaine. Comment aller vous Fairïe ? Sphinx n'attendit pas une réponses du pitre qui avait de nouveau un sourire si étrange qu'elle n'aurai de nouveau pas su quoi en penser et porta sont attention sur la carte. Je me présente Sphinx Aodren j'ai rencontrer Fairïe dans les égout et après avoir parler avec lui hier soir il ma fait part que vous preniez les décisions. Je n'ai pour l'heure pas naviguer il est vrai mais j'ose malgré tout vous proposer mon concours dans ce voyage que vous entreprenez.De plus je peut me rendre utile sous de multiple aspect.

Après cette plaidoirie elle repris sa respiration et attendis une réponses, une réaction de sont interlocuteur.

écrit par: Atlas Lundi 12 Novembre 2012 à 22h10