Quel est votre nom, voyageur ?
L'aventure n'attendait que vous !
   

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> L'Orbe du Dragon, Visite de Proskur
écrit le : Vendredi 08 Février 2013 à 18h50 par Narvarth
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De Dolorès à leur hôte, Mirtzar semblait en veine ce soir pour se dégoter des interlocuteurs sur des sujets de théologie. Et le Fils du Clan s'en réjouit. Trop peu des siens étaient au fait des croyances extérieures aux divinités hines, et comme le hin avait monopolisé les Anciens lors de leur passage dans les Monts Trempefeu, son ami nain s'était surement retenu sur certains sujets de conversation bien plus qu'il n'y paraissait.

-Permettez, chers hôtes, que je vous présente Mirtzar, ami et Compagnon de voyage, dont la vaillance me permet de me tenir auprès de vous ce soir, ainsi que la non moins valeureuse Soeur Dolorès.
Elesil qui sautillait à terre choisi une fois de plus d'attirer l'attention sur lui en donnant un léger coup de bec dans le mollet du Fils du Clan Languelion.
-Sans oublier Elesil.

Narvarth s'était en un sens porté garant de leur toute nouvelle connaissance. Elle se réclamait suivante des valeurs d'Ilmater, et même si cette soirée était la première occasion de mieux la connaître, le hin avait estimé qu'il n'y avait pas de raison à laisser la tension s'installer. Certes elle avait les traits d'un peuple pas vraiment ami des Hins, mais elle allait surement prouver par ses agissements qu'elle n'était pas comme ceux dont elle partageait le sang.

Il la regarda brièvement à la lueur du bivouac, Mirtzar et lui se satisferaient très certainement d'une soirée comme celle qui s'annonçait, mais elle, ne prendrait elle pas offense de ces regards braqués et cette méfiance?

Profitant que ses compagnons se présentent plus avant s'ils le souhaitaient, Narvarth répondit à l'elfe poète.

-Messire Amaldir, vous nous honorez à nous croire digne d'être chantés, après ces paroles qui nous ont tant donné envie de rejoindre ce campement, je crains que nos actes ne soient pas autant enthousiasmant. Mais je vous en laisse seul juge, Mirtzar a su se fait apprécier d'une assemblée de hins très exigeant en terme d'histoires, en trouvant les bons mots.

Il se tourna vers son ami pour le gratifier d'un clin d'oeil, autant une excuse de le mettre sur le devant de la scène, qu'un signe pour attirer son attention sur la remarque mentale qui allait suivre.
¤Reste vague Ami, j'ai cru apercevoir un grand Ver sur le médaillon de ce Tarì Amaldir.¤

Il coupa court attendant une occasion plus discrète d'avoir une "absence" aux yeux des autres, car il était dur de suivre une conversation mentale et verbale en simultanée.
Il en revint donc à l'elfe et aux deux humains.

-Et vous messeigneurs, quel chant vous à poussé à venir profiter de l'accueillante compagnie de ce campement?
Il avait supposé que les trois Grandes'Gens étaient ensemble, si ce n'était pas le cas il aurait tout le loisir de s'en excuser par la suite dans la soirée.



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écrit le : Vendredi 08 Février 2013 à 20h46 par Ana N' Si
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endant ce qui lui sembla durer une heure, Mirtzar resta statufié par la remarque mentale de Narvarth et, plus encore, par ses paroles. Le nain d'or était prêt à admettre que l'elfe puisse être un ennemi. Après tout, il avait passé sa précédente mission a poursuivre un groupe de drows. Mais que le rôle de raconter leur histoire lui incombe était bien plus difficile à accepter, surtout s'il devait passer sous silence la raison de leur présence en ce lieu. Il allait donc devoir broder et inventer, quelque chose pour lequel il n'était pas très bon. Mais il expliqua à son ami qu'il était prêt à suivre le plan.

¤D'accord, je vais faire mon possible. Mais je vais essayer d'incorporer autant de réalité que possible pour éviter de me trahir bêtement.¤

Toutefois, avant de raconter sa vie, Mirtzar comptait bien se servir des pouvoirs que le Père de la Bataille acceptait de lui prêter pour tester le risaue de voir l'elfe se retourner contre eux. Lui-même n'avait aucun don de prescience ou de divination mais il était capable, sans trop savoir comment, de déterminer si quelqu'un était animé par le mal ou non. Cela lui demandait un peu de concentration donc, pour gagner du temps, il se lança dans une tâche bénigne, à savoir dire quelques mots avant de se gratter la barbe.

-Bien, par où commencer notre épique récit?

Il savait qu'il lui faudrait environ une demi-minute pour déterminer si l'elfe, ou qui que ce soit d'autre dans les environs immédiats, était à approcher avec prudence mais il estimait que son grattage serait une excuse suffisante pour tenir aussi longtemps. Une fois son test terminé, il commença à raconter l'histoire.

-Je vais passer sous silence nos multiples aventures à la surface des Royaumes comme dans ses profondeurs les plus sombres pour me concentrer sur la partie de l'histoire qui concerne notre venu ici. Tout ce que je vais dire sur ce passé peu lointain est que nous sommes passés bien prêt de la mort et que nous avons connu plusieurs tragédies et un peu de bonheur. Pour nous remettre de ces événements, nous décidames d'aller nous reposer chez mon ami Narvarth le temps de panser nos blessures et d'instiller de nouveau de la joie dans nos coeurs. Mais, hélas, le repos ne fait pas partie du destin des héros et le devoir nous appela de sa voix peu agréable sur le moment.

¤Foi de Boucledacier, c'estla dernière fois que Théodus nous envoie un message en plein milieu de la nuit pendant les vacances qu'il nous a accordé sans s'excuser et en nous insultant. J'espère pour lui que c'est aussi important qu'il le dit.¤

-Car, il faut le préciser, nous appartenons tous deux à une légendaire compagnie d'aventuriers choisis par Dame Alustriel elle-même pour servir et protéger les Marches d'Argent. Il se trouve qu'elle a une amie vivant à Proskur qui a besoin de son aide pour régler un problème épineux, dont nous ne connaissons pas la teneur exacte à l'heure qu'il est. C'est tout ce que je sais sur les raisons de notre présence aux portes de cette ville. Mais peut-être êtes-vous plus intéressés par la liste de nos exploits que j'ai du passer sous silence pour ne pas empêcher ceux dont la musique ou la voix sont plus agréables que mon babillage de nous faire maintenant profiter de leurs talents.

Mirtzar avait la vague impression de ne pas avoir dit grand chose de dangereux et de pouvoir parler de beaucoup de ce sont il avait parlé sans risquer de se trahir aucunement. Il était donc assez satisfait de lui-même. Il était temps de faire part des conclusions de son étude des Grandes Personnes à Narvarth. En plus, ils avaient prévu une stratégie pour ce genre de cas.

Initialement, Narvarth avait proposé d'imiter le sifflement d'un oiseau ou le cri d'un animal pour qu'il sache que le moment était venu de communiquer mais le seul animal dont Mirtzar pouvait imiter le bruit était l'ours, et encore seulement quand il ronflait. En plus, le paladin avait l'impression que se mettre à imiter un animal sauvage en ville risquait d'attirer plus l'attention qu'autre chose. Ils avaient donc décidé d'un mot suffisamment usuel pour ne pas sembler étrange mais qu'ils n'utilisaient pas dans une situation normale pour ne pas créer des messages mentaux inutiles. Le mot choisi était: manteau.

Pour que le mot ne semble pas sortir de nulle part, Mirtzar essaye de trouver une personne autour du feu portant un vêtement qui lui sembla chaud et il se tourna vers elle en souriant.


-C'est un bien joli manteau que vous avez-là. D'où vient-il?

Mirtzar utilise Détection du mal dans la direction de Tarì Amaldir et le peu de talent qu'il a pour le travail d'acteur pour cacher les raisons de leur présence.



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écrit le : Samedi 09 Février 2013 à 18h09 par Dolores
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Dolores s'avança fièrement au milieu de ces petits êtres, si chétifs et ridicules par rapport à sa carrure d'athlète. Elle ne put que noter amèrement les effets de son apparition sur la foule. Instinctivement, ses reins se cambrèrent, ses épaules se redressèrent, faisant ressortir sa poitrine généreuse, et la nuque se raidit face à l'attitude apeurée de l'assemblée. Ses yeux, brièvement rétrécis, témoignèrent de sa concentration et de son repli sur soi, comme pour se protéger d'une brusque migraine ou de propos trop insultants. La demi-orque avait l'habitude de ces réactions outrancières. Elle avait cependant espéré, à la faveur de l'attitude bienveillante de leurs deux « gardes », qu'il en serait autrement cette fois. Peine perdue. Sa déception fut visible quelques secondes. Même si elle comprenait leur réaction, elle ne l'acceptait pas de gaieté de cœur.

Cela faisait néanmoins longtemps qu'elle avait décidé de ne pas laisser à son héritage orque le loisir de lui gâcher davantage la vie. Non, elle ne permettrait pas à cette race, honnie entre toute, de remporter cette victoire supplémentaire ! Aussi se ressaisit-elle rapidement et offrit à toutes et à tous son plus charmant sourire, rassurant surtout les femmes et les enfants sur ses intentions. Arrivée devant le sage, elle s'inclina avec politesse. Hélas, les paroles de ce dernier la blessèrent plus que l'attitude, par ailleurs et en définitive bien compréhensible, de ses compatriotes. Son visage se rembrunit et elle laissa parler ses compagnons, le temps d'encaisser le choc. Et prendre un peu de recul.
¤Comment puis-je espérer convaincre les hins de mes intentions pacifiques si même un sage de cette communauté me confond avec un orc ?!¤ Elle ne pouvait laisser passer cette maladresse. Elle n'était pas une orque et il convenait de le rappeler à cette communauté. Que chacun et chacune rentre dans le rang et la considère comme un être pacifique. Le clou qui dépasse appelle le marteau. Même si, comme d'habitude, elle avait la sensation d'être le clou ...

- Excusez-moi, mais vous avez dit orque ? Je suis sincèrement désolée de vous apprendre que vous m'offensez. Si je ne peux nier que mon sang se trouve entaché par cette racaille, je n'en suis pas moins humaine. Je me flatte même de n'avoir gardé de cette engeance de malheur qu'une apparence physique vaguement voisine. Mon esprit est entièrement humain, je vous l'assure, et radicalement imperméable à leur soif de sang et de carnage. Aussi préférerais-je que vous me considériez comme un membre à part entière de cette race plus civilisée. Même si elfes et hins sont encore d'une autre stature en ce domaine ...

Dolores s'inclina à nouveau pour saluer son hôte :

- Merci de nous accueillir dans votre communauté. Comme l'a précisé mon compagnon Narvarth, je ne suis qu'une sœur, une simple servante d'Ilmater. Je parcoure ce monde pour défendre le faible et l'opprimé, partageant autant que faire se peut leur lourd fardeau, au mépris du mien. Mais, si vous le souhaitez, je puis faire une exception ce soir, et vous raconter pourquoi je hais davantage les orcs que vous. Cela vous permettrait de porter à votre tour le poids de mon existence. Je préférerais pourtant vous jouer un morceau de flûte. Oh, je ne suis qu'une débutante, surtout comparée à l'elfe ici présent, mais ma musique sait, mieux que mes mots, exprimer la douleur de ma vie, pour celui qui sait écouter. Et c'est moins traumatisant pour les enfants.

Un sourire et un geste circulaire de la main accompagnèrent sa dernière phrase, pour bien montrer que son histoire ne serait pas agréable pour toutes les oreilles, et notamment celles des quelques gamins alentours. Elle signifiait aussi par là qu'elle ne voulait pas plomber l'ambiance.

Dolores s'était glissée dans la conversation en mettant à profit le temps de réflexion consommé par Mirtzar. Aussi se tut-elle lorsque ce dernier commença son récit. Mais elle fut déçue par la teneur de son discours, qui ne lâchait guère d'informations nouvelles. Même elle connaissait Dame Alustriel, la dame étincelante, la puissante magicienne à la douce réputation. Ajoutant à cela l'objet avoué de leur mission et les propos précédents, plutôt vagues, elle comprit que ces deux-là, sous un jour serviable, cachait leur jeu et se montraient méfiants. Attitude qu'elle comptait adopter à son tour, ces aventuriers expérimentés ne pouvant qu'être de bon conseil pour sa survie.



 
 
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écrit le : Mercredi 20 Février 2013 à 16h45 par Kipepeo
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user posted imageChapitre 1: Uhka


Année de la Magie Sauvage
Troisième jour du Pourrissement
Arrivée à Proskur
Tombée de la nuit


Les deux sentinelles eurent leur moment de gloire, dandinant un court instant devant l'Ancêtre, tout heureux et fiers, lorsque le sage eut un léger froncement de sourcils qui les ramenèrent promptement à leurs devoirs. D'un bon ils disparurent.

Le discours de l'un et de l'autre semblaient provoquer des murmures d'approbation que l'Ancien capta aisément. Il leur indiqua d'un signe de bâton discret de s'assoir autour du feu, laissant le temps à l'un et l'autre de se mettre un petit bout de paillasse ou de couverture, si l'herbe un peu sèche par endroit laissait quelques traces de terre claire. Cependant autour du feu le brouhaha des conversation reprit, certains se levèrent pour aller coucher les enfants, d'autres allèrent chercher pour les nouveaux venus un bol de soupe et une miche de pain afin de les accueillir aussi dignement qu'il fut possible au sein de leur clan.

Almadir semblait écouter avec grande concentration les propos du nain, levant les sourcils au bon moment, comme un interlocuteur passionnément intéressé par une histoire tout à fait hors du commun. Dès qu'il eut finit, Dolorès prit la parole.

Mirtzar tout à sa contemplation d'un manteau d'une fabrique tout à fait banale mais qui comportait quelques décorations qui allait de verroteries colorées à quelques plumes et même une patte de lapin, eut le temps néanmoins d'embrasser du regard pétri d'une magie divine l'assemblée et notamment l'elfe aux airs de troubadour. Pour l'instant seul un être heurta son regard de paladin et il dut faire un effort pour cacher ce qu'il venait de voir. Effort apparemment réussi alors qu'Almadir était concentré sur le récit de Dolorès. Laissant le temps à la jeune demi-orque de se présenter, non sans expressions approprie, aidant peut-être à apaiser les esprits craintifs. Puis il leva sa voix grave, prenant les étoiles à témoin, le sourire clair :


- Les voyages sont sources de grande expériences et de belles rencontres. Nous avons tous tant à partager. Et quoi de mieux autour d'un feu où l'assemblée est ouverte et prête à accepter les différences. Soirée bénie mes amis, que j'enjoins à garder précieusement dans vos souvenirs.

Dolorès était peut-être la plus sage des trois, sentant avec consternation que cet elfe en faisait un peu trop. Il y avait on ne sait quel genre de pommade grassement étalée dans ce discours. Un malaise indéfinissable dans sa joie de grande rencontre. Serait-ce fortuit ? Assurément ils avaient librement choisis leur destination... Mais elle n'eut pas long à se concentrer davantage sur cet étrange elfe qu'instinctivement elle n'aimait pas, qu'une petite main s'était posée sur son bras, tirant timidement. A côté d'elle une halfeline à l'embonpoint qui ressemblait à une grossesse bien avancée. La face ronde surmonté par un chignon de cheveux roux fait à la hâte, des tâches de rousseurs rehaussant le gris, et les joues qui viraient au rouge alors qu'elle parla dans son oreille. S'il vous plait Madame, j'ai un enfant qui s'est fait mal en tombant de la charrette. Sa jambe est brisée, il souffre beaucoup et fait de la fièvre. Pouvez-vous l'aider ?

Navarth et Mirtzar avaient tout deux l'attention de l'ami elfe qui offrait avec générosité son aide pour le lendemain matin :
Voyez-vous, je connais assez bien Proskur pour y passer souvent. Peut-être puis-je vous aider à retrouver cette personne que vous cherchez ? Mais je m'avance peut-être un peu. C'est une offre à laquelle vous ne devez nullement répondre. Sachez seulement que si ça vous dit, je suis à votre disposition. Avant de laisser le temps de répondre Amaldir s'enquit, curieux, sur les activités de la guilde d'où ils étaient issus, guilde qu'il ne semblait pas connaître.


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écrit le : Vendredi 01 Mars 2013 à 18h44 par Ana N' Si
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ussi étrange que cela puisse paraitre, Mirtzar était heureux d'apprendre que l'elfe était maléfique. Ou qu'il portait un objet maléfique. Ou les deux. Pas vraiment parce qu'il était content de voir que le mal continuait d'étendre son emprise sur le monde, bien au contraire, mais parce que cela voulait dire que le Morndinnsamman, et Clanggedin Barbedargent en particulier, lui accordait un peu de confiance et beaucoup de pouvoir. C'était plus qu'il ne pensait mériter et il était fier de ce cadeau.

Dans un tel cas, en règle générale, la première pensée du paladin aurait été de se dire qu'il s'était trompé ou qu'il avait mal interprêté les signes mais il n'eut pas le moindre instant de doute. La certitude ne venait pas de lui mais des Dieux et ils ne pouvaient chercher à le tromper. Cet elfe était suspect et Mirtzar comptait bien le garder à l'oeil.

Il réalisa aussi, et ce pour la première fois, que ce genre de pouvoir qu'il n'avait jamais vraiment utilisé en situation de réel danger avait une limitation incroyable à laquelle il n'avait jamais pensé. Il savait qu'Almadir était une créature viciée, et un nain averti vaut une bonne demi-douzaine d'humains, mais il ne savait ni comment, ni pourquoi. Et, plus que cela, il n'avait aucun moyen de le prouver autre que sa propre parole. S'il s'étaient trouvés en forêt ou même seuls sur la route, Mirtzar aurait demandé à Narvarth de l'aider à capturer l'elfe, si possible vivant, pour essayer de comprendre comment il en était arrivé là, pour savoir s'il était possible de l'aider à se repentir et à revenir, ou à venir s'il n'avait connu la joie d'agir pour le bien de tous, sur le bon chemin. Ou, dans le pire des cas, pouyr l'empêcher d'être nuisible pendant quelques temps et pour le livrer aux autorités compétentes. Mais, dans cet univers citadin, il devait y avoir de nombreuses lois interdisant de s'en prendre à quelqu'un sans avoir été préalablement menacé et il devait donc se montrer patient et prudent. C'était aussi la première fois qu'il aurait préféré être en forêt qu'en ville.


¤Mon pauvre Mirtzar, si tu continue comme ça tu vas finir par devenir un vrai sauvage!¤

Cette pensée lui arracha un sourire. Il attendit patiemment que Narvarth crée le lien mental pour pouvoir partager les informations qu'il avait obtenues et pour mettre en place un plan d'action. La proposition de visite d'Amaldir tombait à pique, cela allait leur donner une bonne raison de rester près de lui et de le surveiller. Mirtzar voulait juste savoir si son compagnon voulait laisser les choses suivre leur cours et se contenter de garder un oeil sur le félon ou les accélérer un peu en demandant au barde de s'éloigner du groupe pour une discussion privée et le confronter. Mirtzar voyait la situation comme une bataille et il savait qu'il y avait deux choses qu'il fallait éviter lorsqu'on prépare une stratégie: Attaquer avant de connaitre l'ennemi et lui offrir l'occasion de conbattre sur son propre terrain. Et il avait l'impression que leurs choix se limitaient presque à ces deux possibilités.



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écrit le : Samedi 02 Mars 2013 à 19h59 par Dolores
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Dolores examinait les humains, qui avaient su rester si discrets depuis leur arrivée, cherchant à apprécier leur fonction dans cette vie. Avaient-ils l'air de négociants de passage, profitant par hasard de l'hospitalité des hins, comme eux-mêmes ? Ressemblaient-ils davantage à des guerriers et pouvaient-ils accompagner l'elfe comme gardes du corps ? Ce dernier prit alors la parole et elle reporta son attention sur lui. Son regard devint de plus en plus méfiant. De manière instinctive, elle ne l'aimait pas. Son sang orque prenait-il le pas sur sa raison, en lui dépréciant cette race honnie pour une partie de ses ancêtres ? Ou sa faculté d'observation avait-elle noté un détail que son cerveau n'avait pas encore placé à l'avant-plan de sa conscience ? Quoiqu'il en soit, tout son entraînement lui avait appris à faire confiance à ce sixième sens qui pouvait parfois séparer la vie de la mort. Même si ici, la situation semblait paisible. Aucune crainte à avoir d'un poète, ni de leurs hôtes accueillants et pacifiques. Alors, pourquoi ce malaise indéfinissable ? Elle se dit qu'il était peu probable que l'elfe ait besoin de gardes du corps et aurait voulu savoir ce qu'il avait clamé avant leur irruption. Mais ses réflexions furent rapidement interrompues par un contact non anticipé sur sa main.

Son bras se retira soudainement, comme pour échapper au frisson que cet attouchement avait provoqué dans sa colonne vertébrale, et ce jusque sa nuque. Sa tête s'orienta avec la même brusquerie vers la forme à ses pieds. La vision d'une jeune femme hin, qui plus est enceinte à première vue, calma aussitôt ses émotions et son palpitant, déclenchant même un sentiment de culpabilité en elle. C'est avec un sourire timide, presque gêné, que Dolores posa un genou à terre en matière d'excuse, et posa une main droite qui se voulait rassurante sur son épaule, délicatement.


- Par Ilmater, ma douce, vous m'avez fait peur. Veuillez me pardonner. Je crois qu'il y a un malentendu entre nous. Je fais partie de la branche martiale de mon ordre. Mon intervention est davantage en amont des blessures. Mon rôle consiste justement à faire en sorte qu'elles n'arrivent pas, que personne ne souffre. Et quand elles atteignent nos protégés malgré tout, ce sont les prêtres qui prennent le relais. Cependant, je puis toujours vous suivre pour évaluer la gravité de l'état de votre enfant, jeune maman. J'ai ici quelques baumes qui peuvent peut-être le soulager, on verra bien. Conduisez-moi à lui.

Elle se redressa alors et devisa avec la hin, histoire de chasser quelque peu ses soucis tout maternels, le temps du trajet au moins. Se faire du mouron pour ses enfants étaient le triste lot de toutes les mères du monde. Enfin, presque toutes les mères, celles de la plupart des races. Elle connaissait quelques exemplaires plus ... détachées.

- Comment vous appelez-vous donc ? Et je vous en prie, appelez-moi Dolores. Ah, les enfants sont autant sources d'inquiétude que de joie. En avez-vous d'autres ? Et si ce n'est pas encore le cas, j'ai l'impression que cela va bientôt l'être, ou je me trompe ?



 
 
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écrit le : Mardi 05 Mars 2013 à 21h38 par Narvarth
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-L'objectif de notre groupe de joyeux lurons est de veiller à ce que les habitants des régions du Nord ne soient pas trop dérangés par les autres habitants plus sauvages du secteur. Répondit le hin, après avoir cherché à gérer les priorités, entre la réponse attendue par leur auditoire, et le besoin de lui parler discrètement de son ami nain. Il avait failli entrer en contact mental avec Mirtzar pendant que leur nouvelle compagne achevait de se présenter, mais n'en avait eu le temps avant que Tàri Amaldir n'en revienne à la Compagnie.
Il avait donc décidé de donner une courte réponse, vague au possible, mais comme il n'était pas plus habitué que Mirtzar à manquer de franchise, il ne cacha pas plus la vérité, se contentant d'être loin de leurs objectifs personnels.

Avant de pouvoir converser librement avec le nain, le Fils du Clan devait leur assurer quelques secondes de liberté, et donc donner la parole à Tàri Amaldir.


-Nous vous remercions pour votre généreuse proposition messire, seulement nous ne sommes pas attendus sitôt les portes ouvertes, nous pensions flâner un peu parmi les commerces de la ville, et du fait, nous ne voudrions pas vous faire perdre votre temps. Enfin nous verrons bien demain matin ce qui est faisable, ce n'est pas urgent, et j'avoue être pressé de connaître votre histoire ainsi que celle de nos généreux hotes. Cette soirée de détente est vraiment la bienvenue. Compléta-t-il alors que l'Ancien les invitaient à profiter du confort près du foyer qui baignait le campement de la lumière de ses flammes.

¤Désolé mon ami, j'espère que nous aurons un peu de temps. Alors dit moi, que penses-tu de tout cela?¤

Ayant toujours côtoyé des Elfes de valeur dont il gardait les meilleurs souvenirs, Narvarth espérait de bonnes nouvelles de son camarade, seulement, la furtive vision de ce qui était représenté sur le médaillon de cet elfe ci lui faisait penser qu'il allait peut être devoir sortir Tàri Amaldir de la généralité qu'il s'était fait des surfaciens de ce peuple.



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écrit le : Mercredi 06 Mars 2013 à 19h31 par Ana N' Si
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irtzar eut du mal à cacher une grimace quand Narvarth refusa l'offre d'Amaldir de leur servir de compagnon le lendemain sans avoir eu le temps de recevoir les informations que les dieux avaient données à Mirtzar. S'ils souhaitaient le surveiller, cela allait leur compliquer la tâche et Mirtzar était presque certain d'être incapable de surveiller qui que ce soit discrètement.

Évidemment, il était conscient que, selon toutes probabilités, l'elfe n'avait rien à voir avec leur mission à Proskur et qu'il devait donc, pour ne pas être détrimentaire à la Compagnie des Marches d'Argent et à leur mission, accepter de ne pas chercher à l'empêcher de nuire. Il avait la certitude qu'il ne pourrait jamais faire autant de bien autour de lui qu'en aidant la Compagnie qui lui donnait des moyens et un cadre qu'il n'avait pas s'il décidait de suivre son seul instinct mais cela ne rendait pas plus simple d'accepter de fermer les yeux sur les infamies se passant sous ses yeux pour autant. Mais il devait se faire une raison, des atrocités étaient commises chaque jours, à peu près partout à la surface comme dans les tréfonds de faerun et il ne pouvait porter seul le fardeau de chercher à les corriger. Cela voulait dire admettre qu'il n'était pas celui qui devait régler certains problèmes même si cela faisait mal.

Il reçut alors, au moment où il arrivait au terme de cette réflexion, le message de Narvarth et il essaya de clarifier son esprit. Narvarth oeuvrait lui aussi pour le bien d'autrui mais il était plus stable que le nain et il lui permettrait sans doute d'agir avec plus de clame et de raison. Il était véritablement chanceux d'avoir un tel ami et compagnon.


¤J'ai essayé de demander conseils au Morndinsamman et Clanggedin Barbedargent m'a répondu. Une aura maléfique iradie depuis Amaldir. Ou depuis un objet qu'il porte sur son sein. Je ne suis pas très doué pour analyser les messages divins mais si l'elfe est la source de l'aura il est soit au service d'une entité maléfique très puissante, soit il est lui-même très dangereux. Par là je veux dire que je ne suis pas certain que nous puissions l'arrêter et protéger les innocents qui nous entourent. Je pense que la seule chose que nous pouvons faire et de le surveiller pour la nuit et de chercher à le dénoncer à la garde aussitôt que possible. Mais je te laisse seul juge de ce que nous devrions faire.¤



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écrit le : Mardi 12 Mars 2013 à 11h32 par Kipepeo
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Année de la Magie Sauvage
Troisième jour du Pourrissement
Arrivée à Proskur
Tombée de la nuit


Il n'est pas évident à des hommes habitués aux guerres ouvertes, aux expéditions quasi punitives de se retrouver face à un dilemme où le potentiel ennemi oeuvrait ouvertement au sein d'un clan innocent. Navarth et Mirtzar étaient conscient d'un potentiel danger, si danger il y avait, tandis que Dolores s'était levée à l'appel angoissée d'une mère halfeline.

L'elfe ne semblait pas vexé de voir son offre d'aide refusée par le rôdeur. Il hocha la tête d'un air entendu, le sourire au lèvres. Un silence s'installa autour du feu de camp, laissant entrevoir les prémices d'un repos pour tous. D'ailleurs déjà quelques uns s'étaient levés pour aller se coucher, vidant peu à peu la place. Laissant les convives terminer leur repas et s'installer, l'Ancien semblait perdu dans ses pensées, les yeux plongés dans le feu dont les flammes s'amenuisaient. Non loin de là, les deux humains qui n'avaient dit mot, se contentaient de s'emmitoufler dans leurs capes, et semblaient arranger leur litière pour se préparer à une nuit sous les étoiles qui s'étaient parés de leur lumière argentée.

Dolorès fut conduite à l'une des caravanes, laissant derrière elle la protection de ses deux nouveaux camarades. Elle avait agit selon son bon coeur, et la femme halfeline semblaient fort heureuse que celle-ci avait accepté de voir son enfant. Même moine, Illmater était connus par tous comme étant vecteur de guérison, et l'halfeline avait vu en cette grande femme un signe d'espoir. Comme toutes les mères de tous les royaumes, celle-ci avait espéré un signe divin d'aide providentielle


Mon nom est Chanterelle Madame. Je suis arrivée dans la journée au sein de ce clan, clan qui a bien voulu m'accepter. Une attaque du côté de Eversult, qui m'a laissée moi et mon enfant comme seule survivants. Sans l'aide de Tàri, je ne sais pas ce que nous serions devenus... C'est lui qui m'a encouragée à parler à l'Ainé. Heureusement, mes compétences de couturières sont les bienvenus ici et il semblerait que je puisse rester.

Malgré la pénombre, Dolorès put voir briller ce qui ressemblait à des larmes dans les yeux du petit bout de femme. Cette dernière leva le rideau à l'arrière et monta la première, tout en roucoulant des mots doux vers la couche où était étendu un jeune halfelin. Ses joues étaient creusées, son regard brillait le désespoir et restait sans expression, comme si on lui avait ôté toute volonté de vivre. A côté de lui une petite assiette où la nourriture maintenant froide ne semblait pas avoir été touché. Son teint blême et son souffle court suscitait de la pitié. Son bras droit était couvert de bandages. Doucement Chanterelle s'approcha du garçon tout en murmurant Regarde mon petit, voici quelqu'un qui pourra peut-être t'aider. Tu la laisse regarder ton bras ? Tout en parlant elle s'était accroupie à côté de lui, dégageant doucement les bandages. Le garçon n'eut aucune réaction. Dolorès l'observant de près, aurait pu simplement penser que ce garçon avait en outre d'une blessure qui se dévoila à son regard, simplement perdu l'envie de vivre. La blessure était une simple estafilade, sans doute octroyée par une lame tranchante. La plaie semblait ne pas vouloir se refermer et laissait sur le bandage une coulée de liquide de couleur nauséeuse, virant presque sur l'ocre.

En fait, continua Chanterelle j'ai peur qu'il ne survive pas la nuit. Il faut que je puisse entrer demain à Proskur afin de trouver un prêtre comme vous me le conseillez si bien... L'halfeline se tut, et se poussa un peu pour permettre à la grande femme de s'approcher plus près du malade.

Cependant, autour du feu, Tàri reprit la parole de sa belle voix chaude, brisant le silence d'une nuit qui semblait sereine.
Permettez-moi d'accéder à votre requête en guise de cadeau de remerciement, pour cette soirée emplie d'évènements heureux. Un artiste adore parler de lui, c'est bien connu dit l'elfe sans l'ombre d'humilité. Il se concentra, et commença son récit.

"La flamme du Nord brille sur les terres froides, mettant toutes créatures au défi d'y survivre. Dame Goldianne Almadir était une grande guerrière, froide et déterminée, guide de son peuple, veilleuse solitaire, gardienne des secrets d'un passé où hommes et dragons se faisaient la guerre. Elle n'eut que bien peu de temps à consacrer à l'éducation de son unique enfant, un fils qui jamais ne sut qui était son père. L'enfant grandit en compagnie de livres anciens contenant légendes et érudition, d'un vieux serviteur muet mais attentif et de créatures étranges qui peuples les déserts de glace. Le jeune homme qu'il devint, ne firent ni la fierté ni le malheur de Goldianne, qui attelée à sa tâche fut oublieuse de son existence. Un jour son fils parti sans même lui faire ses adieux. Goldianne était devenue pareille aux terres du nord : glaciale, figée dans ses devoirs, insensible à toute chaleur des créatures peuplant la terre. A-t-elle seulement regardé son fils partir seul dans l'immensité de la glace, personne ne le saura jamais. Le tout jeune homme resta longtemps à errer dans l'immensité jusqu'au jour où il fut recueillit au sein d'une congrégation monastique auprès de laquelle il trouva sa voie. Aujourd'hui devenu homme, il parcourt les royaumes afin de mettre en garde : la gardienne du Nord est en fin de vie, les portes se trouveront sans sentinelles et l'aube d'une nouvelle ère de givre est en marche... Cet homme, cher amis vous l'aurez compris, est votre serviteur..."

Tàri avait arrêté de sourire. Ses lèvres se pincèrent en une vague grimace de douleur et son beau visage s'assombrit un instant. Messieurs, je pense qu'il est temps pour moi d'aller chercher un long moment de méditation... conclut-il doucement. Navarth et Mirtzar avaient du mal à trouver une faille dans son récit, récit qu'il avait peut-être enjolivé. Mais il est vrai que les références auxquels Tàri avait fait allusion avait allumé un intérêt dans leurs yeux, intérêt qui n'échappa pas au bel elfe. Ce dernier semblait satisfait, comme si la mission dont il parlait dans son histoire avait été accomplie.


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écrit le : Samedi 16 Mars 2013 à 12h33 par Narvarth
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¤Comme tu l'as dit, ami, la présence de tout ce petit monde nous limite, nous parviendrons bien plus tard dans le soirée ou demain à nous retrouver seul avec lui, si jamais nous n'en découvrons pas d'avantage que ce que les Dieux t'ont laissé entrevoir.¤
Ah! Qu'il n'aimait pas être dans l'incapacité d'agir. Ils n'avaient pas les capacités des grands orateurs qui auraient pu amener ce Tàri à en dévoiler d'avantage sur sa nature et la raison de sa présence ici.

Théodus leur avait dit que leur interlocutrice du lendemain aurait des réponses pour eux, peut être aurait elle connaissance de cet elfe si jamais les raisons de leur présence à tous aux portes de Proskur avaient une base commune.

C'est alors que l'elfe démarra un nouveau récit. Captivant, pour le moins.
Buvant les paroles du Conteur, le Fils du Clan essayait de noter dans un coin de sa mémoire l'ensemble des informations délivrées par Tàri Almadir, pour une fois encore pouvoir en reparler le lendemain avec leur contact à Proskur.

En parallèle, il essayait vainement de trouver un dire qui clochait dans le récit.
Il se concentra, essaya de puiser dans les histoires qui se racontaient au Bastion sur les Terres du Nord, essayant d'approcher ces belles paroles avec l'enseignement que lui avaient inculqué les Anciens, lors de son initiation, espérant trouver une source de réflexion entre les lignes du récit.

La seule chose qui parut étrange pour Narvarth était l'absence de lien familial évoqué par Tàri, chez les elfes ça ne devait pas être commun...

Il nota au passage une question supplémentaire à poser lors de leur entrevue discrète du lendemain, Tàri parlait de conflit passés entre les humains et les dragons, quelle place revenait aux elfes?

C'était le flou total dans les réflexion de Narvarth, peut être que Mirtzar aurait relevé d'autres choses.
Comme l'elfe annonçait se retirer de la scène pour cette soirée, en s'éloignant un peu, les deux Frères des Marches pourraient discuter plus librement.

Le hin tourna la tête, cherchant la moniale des yeux, des fois qu'elle en sache plus qu'eux sur cette congrégation monastique, mais ne la trouva point. Il avait été suffisamment prit par le récit pour ne point la voir s'éloigner.


Connaissance Mystères (+5) et Nature sur les Terres du Nord (+10) pour voir si des informations reviennent à Narvarth sur le récit de Tàri.



Si tu veux être obéi, donne des ordres raisonnables.

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Fiche niveau6 de Narvarth
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